[ANDRAULT-PARAT].
GAILLARD (Marc) Andrault - Parat, architectes. Paris, Dunod,
[1978]. Grand in-4° sous reliure et jaquette (un peu défraîchie)
d'éditeur, 292 p., nombreuses reproductions en héliogravures
et quelques-unes en couleurs, édition bilingue français-anglais.
Sur la jaquette :
Pierre Parat est né en avril 1928 à
Versailles. Il est diplômé de l'École Polytechnique
de Lima et de l'École Nationale Supérieure des
Beaux-Arts de Paris Urbaniste - Membre du Directoire de la Mission
interministérielle pour la qualité des constructions
publiques, membre de la commission des abords des Monuments Historiques.
Michel Andrault est né en décembre
1926 à Montrouge, diplômé de l'École
Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Urbaniste, Architecte
Conseil de l'Équipement de 1966 à 1976, membre
du Comité Directeur du Plan Construction.
Après avoir obtenu leur diplôme
en 1955 et gagné le concours international pour la construction
de la Basilique de Syracuse en 1957, Michel Andrault et Pierre
Parat créent une agence commune qu'ils animent ensemble
depuis plus de vingt ans. On doit à leur équipe
de très nombreuses réalisations et études
dans tous les secteurs notamment dans les domaines des équipements
publics, des immeubles de bureaux, du logement social, de l'urbanisme
et des villes nouvelles. Leur participation à une centaine
de concours nationaux et internationaux, dont ils ont été
souvent lauréats, la qualité de leurs réalisations
dans les divers domaines où ils sont intervenus, les font
apparaître comme l'équipe la plus dynamique et la
plus représentative de l'architecture Française
contemporaine.
40 euros (code de commande
: Archi014).
L'archéologie
industrielle. Namur, Centre
d'Action Culturelle de la Communauté d'Expression Française,
1978. In-8° carré agrafé, 108 p., illustrations,
exemplaire en bel état.
Il s'agit
du n° 56 - Mars 1978 de la revue Les Dossiers du
CACEF.
Sommaire : de couverture :
- L'archéologie industrielle.
Colloque de Colonster 24-25-26 mai 1977.
- Préambule,
par Jacques Stiennon.
- L'Archéologie
industrielle et la démographie historique : une collaboration
fructueuse, par René Leboutte.
- Évolution
de la construction de bateaux destinés à l'Etat
indépendant du Congo, par André Lederer.
- L'avènement
de l'acier fondu en creuset de Poncelet frères dans l'Empire
français et au départ de Liège, par
Léon Willem.
- Contribution à
l'étude de la cartoucherie en Belgique, par Jacques
Thisse.
- La valeur des témoins
archéographiques en archéologie industrielle,
par Michel Dewez.
- L'histoire et l'expansion
des Pieux Franki (1909-1977), par Jean-Marie Putzeys.
- Les charbonnages
promoteurs immobiliers : l'Hôtel Louise à Micheroux
(1870), par Élian Rigo-Henderickx.
- L'une des premières
cités ouvrières modernes : la cité
Hoyaux, à Cuesmes-Mons, par Christiane Piérard.
- À propos
du Charbonnage de Cheratte, par Henri Delrée.
- Bilan des fouilles
sur le site de la Verrerie de Nethen (forêt de Meerdael),
par Cl. M. Terlinden.
- Les gares d'Anvers
et de Tournai au XIXe siècle, par Dominique Verhaegen.
- La dernière
mine de fer de la province de Liège : Couthuin,
par Nicole Caulier-Mathy.
- Conclusions générales.
- Les livres.
- Les disques.
12 euros (code de commande
: 28808).
ARTHAUD
(Claude) Les maisons
du génie. Paris, Arthaud, 1967. In-4° sous
reliure, jaquette et étui d'éditeur, 364 p., nombreuses
héliogravures et autres illustrations en couleurs, (collection
« Les Imaginaires », n° 31).
L'auteur,
grâce à la redécouverte de nombreuses archives,
nous emmène en voyage dans vingt-neuf demeures « que
le temps et la célébrité de leurs anciens
propriétaires ont figées dans l'état où
ils les ont laissées », à savoir celles
de Andersen, d'Annunzio, Bach, Balzac, Baudelaire, Beethoven,
Buffon, Bussy-Rabutin, Carlyle, Cervantès, Chateaubriand,
Chopin, Anatole France, Goethe, Le Greco, Haydn, Hogarth, Hugo,
Lamartine, La Varende, Léonard de Vinci, Montesquieu,
Rousseau, Rubens, Sand, Walter Scott, Madame de Staël, Tolstoï
et Voltaire.
40 euros (code de commande
: 13709).
BAZIN
(Germain) Paradeisos ou l'art du jardin. Paris, Chêne, 1988. In-4° sous reliure
et jaquette d'éditeur, 264 p., nombreuses illustrations
en couleurs.
Sur la jaquette :
Le jardin est une aspiration de l'homme que
l'on retrouve à travers toutes les époques et toutes
les civilisations. La description et l'analyse des multiples
formes qui lui ont été données depuis la
nuit des temps est l'objet du livre de Germain Bazin, le premier
historien d'art à considérer le jardin comme une
forme majeure de l'expression artistique. En effet, si l'on feuillette
une histoire générale de l'art, c'est à
peine si l'on y trouve une vue de Versailles. L'art du jardin
apparaît comme un « surplus ».
Pourtant, à la fois par son caractère
de gratuité et sa richesse symbolique, il est une expression
profonde de l'âme humaine. C'est une constante, en Orient
comme en Occident, que le jardin exprime la nostalgie d'un âge
d'or, d'un paradis perdu. Tout jardin est la rencontre du regret
de ce passé et du désir de le restituer.
Ainsi l'art du jardin apparaîtra dans
toute sa splendeur, à l'époque où l'humanité,
après le choc de la Renaissance, prendra conscience du
patrimoine de l'Antiquité et de sa mythologie rejetés
dans l'ombre pendant des siècles.
Versailles sera l'illustration même de
la nostalgie de l'Olympe, pour ne citer qu'un exemple. Mais en
plus d'être une référence à des modèles
du passé, le jardin représente pour les hommes
le cadre d'activités spécifiques : la rêverie
dans les jardins de l'Islam, la méditation des philosophes
grecs et latins dans les jardins antiques, la fête et le
divertissement dans les jardins maniéristes et classiques...
Et enfin, c'est toute l'histoire du rapport de l'homme avec la
nature, rapport de liberté ou de domestication suivant
les civilisations.
Dans cet ouvrage de référence
et d'érudition, qui traite de 170 jardins dans le monde,
le texte et l'iconographie se suivent et se répondent.
Gravures, plans, peintures, photographies montrent que l'histoire
des jardins est aussi l'histoire de leur destruction, de leur
métamorphose ou de leur remplacement. En ce sens, comme
toute uvre d'art, ils sont un témoin irremplaçable
de l'histoire des hommes.
35 euros (code de commande
: 15632).
BEAULIEU
(André) L'Hôtel du Parlement. Québec.
1981. [Québec], Assemblée
Nationale du Québec, 1981. In-4° sous reliure et jaquette
(défraîchie) d'éditeur, 96 p., nombreuses
illustrations en noir et en couleurs.
Extrait :
Dans le cadre de du renouveau du visage de
Québec apparaît, dès 1875, le projet de construction
d'un nouvel édifice du Parlement. Où ? En
lieu et place du collège des Jésuites qui, en plus
d'être devenu une caserne désaffectée, est
tombé au rang de nuisance publique et, pire encore, de
symbole de l'opposition polie mais convaincue entre l'Église
catholique et l'Église anglicane à propos de la
séparation des biens des Jésuites. Le collège
doit disparaître. Eugène-Etienne Taché et
Charles Baillairgé préparent tous deux des plans
préliminaires auxquels les journaux la Minerve
et le Journal de Québec font écho.
Mais par un de ces hasards féconds,
on décide que le terrain du collège est trop exigu
pour loger les « départements »
et le Parlement. Le second projet est ainsi lancé l'année
suivante, soit en 1876. Le nouvel édifice, préfiguration
de l'avenir d'un peuple, sera à la mesure de son
esprit et de ses ambitions » : il s'élèvera
hors les murs, à l'emplacement dit du Cricket Field, au-delà
de la porte Saint-Louis, là où, hier encore les
troupes anglaises avaient quitté Québec en 1871
les soldats anglais pratiquaient leur sport favori. Ce terrain
« faisait autrefois partie du fief Saint-François,
dont la création, en terre noble et première concession,
remonte au 10 mars 1646, sous le gouvernement de monsieur de
Montmagny. » Propriété du gouvernement
fédéral, il est acquis par le gouvernement du Québec.
Taché reprend, dès lors, ses
plans. Il les corrige, les remanie et maintient la conception
d'un bâtiment à quatre corps mais abandonne l'idée
d'une construction circulaire dans la cour intérieure
afin d'y loger la bibliothèque.
Et le chantier, au printemps de 1877, prend
vie. Il connaîtra les soubresauts des revendications ouvrières :
grèves, rencontre avec le premier ministre Joly de Lotbinière
en 1878 au sujet des salaires, explosions des fondations à
la dynamite... Trois façades s'élèvent :
celle du sud, que le chevalier Falardeau, rapporte Ernest Gagnon,
considérait comme « un palais admirable qui
serait un ornement dans les plus belles de nos villes d'Italie » ;
celles de l'ouest et du nord complétées en 1880,
puisque, cette année-là, les premiers fonctionnaires
s'y installent. La façade principale, ou Palais législatif,
sera entreprise au printemps de 1883.
De plan carré avec cour intérieure,
le bâtiment se compose donc de quatre corps dont trois
comprennent un pavillon central de faible saillie formé
d'un étage-attique au niveau des mansardes et d'un toit
bombé donnant un cinquième étage. La façade
ou corps principal comprend, au lieu d'un pavillon, une tour
centrale et deux avant-corps. Chaque partie comprend quatre étages.
Le soubassement a pour revêtement une pierre de grès
vert. Le rez-de-chaussée de même que les deux autres
étages, séparés par un bandeau continu et
surmontés par un entablement d'ordre ionique, sont en
pierre de taille extraite des carrières de Deschambault
situées à l'ouest de Québec. L'étage
mansardé, le dernier, est recouvert d'une tôle galvanisée
avec ornements en zinc repoussé. Dans les avant-corps
de la façade, cependant, l'étage mansardé
est remplacé par un étage-attique.
La définition du style de l'Hôtel
du Parlement a fait l'objet de maints essais. Ernest Gagnon parle,
en 1896, de « style Renaissance française »,
Gérard Morisset de « style Louis XIII » ;
les auteurs de Québec, trois siècles d'architecture
écrivent : « À Québec, le
modèle par excellence du style Second Empire est le parlement. »
Celui-ci a pour caractères distinctifs l'agencement en
pavillons et la recherche du pittoresque. Il n'explique cependant
pas la présence d'une tour centrale d'imposante dimension.
Celle-ci n'apparaît-elle pas comme un élément
étranger, comme un signe de « l'éclectisme »
si cher aux architectes québécois de la fin du
XIXe siècle ? De toute évidence, elle souligne
les liens étroits des parlementarismes britannique et
québécois ; elle suggère à sa
manière, le palais de Westminster.
10 euros (code de commande
: 15361).
[BOFILL
(Ricardo)]. Ricardo Bofill. Taller De Arquitectura. Ixelles, Musée d'Ixelles, 1989. In-4°
broché, 112 p., illustrations en noir et en couleurs,
édition trilingue (français, anglais, néerlandais),
peu courant.
Ouvrage
publié à l'occasion de l'exposition présentée
au musée d'Ixelles, du 14 juin au 30 juillet 1989, par
le centre d'art Nicolas de Staël de Braine-l'Alleud.
Table des matières :
- Du geste à l'uvre,
par Xavier Rubert de Ventos.
- Organiser le cadre de sa création,
par Ricardo Bofill.
- A personal point of view, par
Peter Hodgkinson.
- S.W.I.F.T. Headquarters, par
Patrick Genard.
- La Fabrica.
- Santuari de Meritxell.
- Le Lac. Les Arcades du Lac, le Viaduc.
- Les Espaces d'Abraxas.
- Les échelles du Baroque.
- Antigone.
- Les Colonnes de Saint-Christophe.
- Parc de l'Aiguera.
- Centre de Musique.
- Chai deuxième année.
- S.W.I.F.T. Headquarters.
- uvres exposées.
- Biographie.
- Bibliographie.
- Expositions.
- Principaux projets et réalisations.
- Taller de Arquitectura.
- Postface.
25 euros (code de commande
: 29267).
[BOTTA]. DAL CO (Francesco) Mario
Botta. Architecture 1960-1985. New-York, Rizzoli, 1987. In-4° broché,
287 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs, texte
en anglais, ex-dono sur la page de garde.
Table des matières
:
- The Patience of Things, par Francesco
Dal Co.
- Four Themes, par Mirko Zardini.
Place, The Wall, Openings,
Light.
- Catalogue of Works, par Mercedes
Daguerre et Riccardo Blumer.
- Critical Anthology, par Sergio
Polano.
- Appendices :
- List of Works.
- Writings by Mario
Botta.
- Bibliography.
- Index of Magazines.
- Biographical Notes.
- Photographic References.
25 euros (code de commande
: Archi006).
[BRODZKI
(Constantin)]. Constantin Brodzki architecte. Préface de Willem Draps. Introduction
Pierre Loze. Texte d'après la thèse de Gertjan
Hoste. Commentaire d'Albert Bontridder. Sprimont,
Mardaga, 2004. In-4° broché sous couverture à
rabats, 141 p., nombreuses illustrations en noir.
Préface :
Connu
d'abord par l'extraordinaire Pavillon de la Faune et de la Flore
du Congo à l'Exposition Universelle de Bruxelles en 1958,
Constantin Brodzki avait réalisé là une
remarquable scénographie muséale toute en courbes,
à la limite de l'architecture organique. Par la suite,
son parcours d'architecte en Belgique fut aussi fécond
que varié puisqu'il réalisa le Musée gallo-romain
de Buzenol-Montauban, des immeubles de bureaux ou des bâtiments
industriels, notamment pour CBR, ainsi qu'une série d'habitations
dans la région bruxelloise qui combinaient rigueur formelle
et préoccupations techniques poussées, sur le plan
de l'isolation et du confort.
À l'avant-garde de la création
et travaillant en collaboration étroite avec plusieurs
industries belges de pointe, Constantin Brodzki a contribué
ainsi à l'image de Bruxelles et du pays tout entier au
cours de plusieurs décennies. À ce titre, les bâtiments
érigés dans les années '80 pour le siège
de l'entreprise de télécommunications Swift à
La Hulpe représentent sans doute l'aboutissement et la
synthèse de sa démarche qui visait à atteindre
une perfection technique, une pérennité de l'ouvrage
et une commodité de travail inégalées pour
l'époque.
L'uvre de Constantin Brodzki est aujourd'hui
plus que jamais d'actualité. Récemment, la société
CBR l'a d'ailleurs sollicité pour remanier et adapter
aux besoins modernes l'organisation intérieure des bureaux
qu'il avait jadis construits pour elle. Initié par l'Association
du Patrimoine artistique, la publication de cet ouvrage le met
opportunément à l'honneur et inaugure aux éditions
Mardaga une collection sur le patrimoine de l'architecture contemporaine
en Belgique dont les uvres, si proches de nous qu'elles
puissent paraître, appartiennent déjà à
l'Histoire.
À travers Constantin Brodzki, dont il
détaille la fructueuse carrière, ce livre pose
aussi un jalon pour la sensibilisation précoce du grand
public à des constructions plus récentes, permettant
ainsi à chacun de prendre conscience de leurs spécificités
architecturales et de leur indéniable valeur patrimoniale.
15 euros (code de commande
: 30570).
[BRONGNIART].
Alexandre-Théodore Brongniart 1739-1813. Architecture et décor. Paris, Paris-Musées, 1986. In-8°
broché, 315 p., illustrations en noir.
Catalogue de l'exposition qui s'est
tenue du 23 avril au 13 juillet 1986 au Musée Carnavalet,
à Paris.
Table des matières :
- Avant-propos, par Bernard de Montgolfier.
- Introduction, par Monique Mosser
et Béatrice de Rochebouët.
I. L'Architecte, son milieu et ses collections.
- Évocation d'un
architecte, par Jacques Silvestre de Sacy.
II. Architecture privée.
- Les hôtels
particuliers : spéculation et caractères formels,
par Béatrice de Rochebouët.
- Brongniart spéculateur
à la Chaussée d'Antin, par Pierre Pinon.
- Monographies des
hôtels particuliers et notices, par Béatrice
de Rochebouët.
III. Architecture religieuse.
- Introduction,
par Monique Mosser.
- Le couvent des
Capucins et l'église Saint-Louis d'Antin, par Michel
Goutal.
- Brongniart et le
dorique sans base, par Marie-Raphaël Paupe.
IV. Architecture publique.
- Introduction,,
par Béatrice de Rochebouët.
- La Bourse, genèse
et construction, par Béatrice de Rochebouët.
- La Bourse, métamorphose
d'un paysage, par Jean Hur et François Dardel.
- L'École
Royale Militaire. Les derniers travaux par Brongniart (1782-1788),
par Monique Mahaux.
- Brongniart au Panthéon
: un architecte parmi les ingénieurs, par Jacques
Guillerme.
- Projets divers,
par Béatrice de Rochebouët.
- Brongniart et l'architecture
des spectacles, par Daniel Rabreau.
- Dessins techniques,
par Béatrice de Rochebouët.
V. Les fêtes de la révolution
et de l'empire.
- Introduction,
par Monique Mosser.
VI. Les arts décoratifs.
- Essai liminaire,
par Monique Mosser.
- Notes documentaires
sur l'activité de Brongniart au mobilier impérial,
par Chantal Gastinel-Coural.
- Alexandre-Théodore
Brongniart à la Manufacture de Sèvres, par
Tamara Préaud.
- Catalogue des dessins
pour la Manufacture de Sèvres, par Tamara Préaud.
VII. Art des jardins et architecture
vernaculaire.
- Essai liminaire,
par Monique Mosser.
VIII. Le Père-Lachaise.
- Essai liminaire,
par Patrick Bracco.
Chronologie d'Alexandre-Théodore
Brongniart (1739-1813), par Béatrice de Rochebouët.
25 euros (code de commande
: Archi008).
Bruxelles,
construire et reconstruire. Architecture
et aménagement urbain 1780-1914. Bruxelles,
Crédit Communal, 1979. In-4° broché, 304 p.,
illustrations, coupures de presse, très bon exemplaire,
peu courant.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée à la galerie
du Passage 44, à Bruxelles, du 12 septembre au 28 octobre
1979.
Table des matières :
- Un monument c'est pour la vie,
par André Monteyne.
- L'évolution de la physionomie
de Bruxelles au XIXe siècle, par Yvon Leblicq.
- Défense et illustration de
la façade du XIXe siècle, par J. Vandenbreeden
et A. Hoppenbrouwers.
- Bruxelles à travers l'archéologie
industrielle, par Georges Van den Abeelen.
- Problèmes de documentation
- inventorisation. Les dispositions légales concernant
la protection des monuments, par Michel de Waha.
- Les photographies et cartes postales
anciennes de Belgique en tant que sources d'iconographie,
par Gustave Abeels.
30 euros (code de commande
: 26460).
Cahiers
bruxellois. Revue d'histoire
urbaine. Tome XVIII - 1973.
Bruxelles, Cahiers Bruxellois, 1974. In-8° broché,
164 p., quelques illustrations hors texte.
Ce
volume contient :
- La Société Centrale
d'Architecture de Belgique depuis sa fondation (1872-1972) (suite),
par Victor Martiny.
- Claude Fisco, ingénieur et
architecte, 1736-1825, par Joan O'Donnell.
- Comptes-rendus.
10 euros (code de commande
: 28020).
Charleroi,
ville d'architectures. Du
temps des forteresses aux Années folles 1666-1940. Charleroi, Espace Environnement, 1992. In-4°
broché sous couverture rempliée, 103 p., nombreuses
illustrations en couleurs, très bon exemplaire auquel
on joint le feuillet d'annonce de parution, peu courant.
Présentation
de l'éditeur :
Ce
n'est un secret pour personne : en matière d'architecture,
Charleroi n'est ni Bruges, ni Bruxelles, ni Paris... et encore
moins Vienne ou Florence. Cependant, même si on a raison
de sourire de ces comparaisons douteuses, on aurait tort de croire
que dans notre ville il n'y a rien à voir, rien à
découvrir, rien à apprécier, rien à
protéger.
En une centaine de pages et quelque 120 photographies,
le livre publié aujourd'hui par Espace Environnement prouvera
à tous ceux qui en doutaient encore, que notre ville recèle
elle aussi quelques trésors. Des trésors à
découvrir ou à redécouvrir : ce livre
en étonnera certainement plus d'un. À commencer
par les Carolos eux-mêmes !
C'est donc avec une touche de provocation que
l'ouvrage est intitulé « Charleroi, ville d'architectures ».
Car il existe bel et bien, dans la métropole sambrienne,
des architectures dignes d'intérêt, qui portent
les traces de l'Histoire ; des architectures imprégnées
de l'atmosphère spécifique de chaque époque,
qui nous en apprennent un peu plus sur les hommes ayant vécu
au « Temps des Forteresses », à
la Belle Époque ou durant les « Années
Folles » ; des architectures qui, très
souvent, brillent tout simplement par leur beauté.
20 euros (code de commande
: 28428).
CHARPENTRAT
(Pierre) Baroque.
Italie et Europe centrale. Photos de Peter
Heman. Préface de Hans Scharoun. Fribourg,
Office du Livre, 1964. In-8° carré sous cartonnage
d'éditeur, 194 p., illustrations en noir, (collection
« Architecture Universelle »), couverture
griffée.
Table des matières
:
- Préface
: Message du baroque.
- Introduction.
Chapitre 1. Aperçu historique.
Chapitre 2. Architecture religieuse : élévations
et plans.
Chapitre 3. Les églises : espace intérieur
et problèmes techniques.
Chapitre 4. Architecture civile et urbaine.
- Tableau chronologique.
13 euros (code de commande
: 23569).
COLAS
(René) Le style roman en France dans l'architecture et la décoration
des monuments. Accompagné de 144 planches hors texte en
phototypie. Couverture en couleur dessinée par Jean-Charles
Contel. Paris, Colas, 1927.
Grand in-8° demi-veau blond à coins (reliure usagée :
manque à la queue et épidermures), couverture conservée,
59 p., illustrations, 144 planches hors texte.
Extrait :
En
France dans l'architecture et sa décoration on ne peut
parler d'art véritable qu'à partir du XIe siècle ;
ce qui reste des siècles antérieurs n'est que fragments
et documents insuffisants pour nous permettre de rétablir
la filiation qui unit l'art roman à ses origines latines.
De la chute de l'Empire romain jusqu'au Xe siècle il y
a comme une lacune documentaire qu'on ne peut combler qu'avec
des éléments incomplets et des suppositions. Après
la grande crise des invasions barbares suivit une lente restauration
de la civilisation abolie et dans l'art une réinvention
des procédés ; les fragments qui subsistent,
mérovingiens ou carolingiens, nous laissent soupçonner
que la rénovation artistique se lit avec le concours d'apports
étrangers et disparates, tels que les éléments
barbares, et surtout byzantins importés chez nous par
des objets d'échange comme les ivoires, les étoffes
et les manuscrits à miniatures. Tous ces influx étrangers
se sont amalgamés aux données de la tradition romaine
et ont produit sous l'influence autochtone la formule romane.
La période préromane n'est donc qu'une ère
d'incubation, une sorte de trait d'union entre la source latine
presque oubliée et un art appelé roman qui, dès
le XIe siècle a déjà les qualités,
l'originalité et la vigueur d'une création nationale.
20 euros (code de commande
: 22629).
[COUVEN (Johann Joseph)]. BAUER (Marcel) Johann
Joseph Couven. Mythos
und Erbe eines großen Meisters. eine Spurensuche im Dreiländereck.
Mit fotos von Gregor Collienne.
Eupen, Grenz-Eco Verlag, 2001. In-4° sous reliure et jaquette
d'éditeur, 271 p., nombreuses illustrations en couleurs.
Sur la jaquette :
300
Jahre nach seiner Geburt haben der Journalist Marcel Bauer und
der Fotograf Gregor Collienne im deutsch-belgisch-niederländischen
Dreiländereck nach den Spuren des Architekten Johann Joseph
Couven gesucht.
Couven durfte sich « Baumeister
der Freien Reichsstadt Aachen » und « Architecte
du Prince de Liège » nennen. Er hat wie kaum
ein anderer die Landschaft zwischen Maas und Rhein geprägt.
Dieser Prachtband zeigt das ganze Repertoire
Couvens und stellt die großartigen Relikte seiner Kunst
vor. Das Buch deckt historische Zusammenhange auf, zeigt verborgene
Schauplatze und präsentiert Originalplane von seiner Hand.
Es handelt auch von den Menschen, die mit dem
Mythos des Meisters leben und die eine gemeinsame Passion verbindet :
sein Erbe zu erhalten.
25 euros (code de commande
: Archi037).
DE
BRUNHOFF (Jacques) La place Dauphine et l'île
de la Cité. Paris, Délégation à l'Action
Artistique de la Ville de Paris - La Manufacture, 1987. In-4°
sous reliure et jaquette d'éditeur, 220 p., illustrations
en noir.
En quatrième
de couverture :
La place Dauphine, construite à l'instigation
de Henri IV sur la pointe ouest de l'île de la Cité,
est l'une des plus anciennes places royales de Paris.
La singularité de sa forme triangulaire
épousant les rives de la Seine, l'élégance
de son architecture et sa remarquable situation en ont fait au
XVIIe siècle l'un des lieux les plus fréquentés.
Les contemporains la considéraient alors comme l'une des
merveilles de la ville.
Mais au XVIIIe siècle, délaissée
par la cour au profit de lieux plus prestigieux, la place Dauphine
entre dans une période de disgrâce. Les autorités
ne veillent plus à son entretien, des travaux anarchiques
détruisent l'ordonnance de ses façades. Elle demeure,
néanmoins, toujours très fréquentée
par une foule hétéroclite, attirée par les
manifestations populaires qui s'y déroulent : démonstrations
de bateleurs et de comédiens, expositions de peintures
en plein air, fêtes politiques et religieuses.
Au XIXe siècle, les projets d'urbanisme
la condamnent, et son déclin s'accentue. Cette disgrâce
prend fin grâce aux travaux de restauration dont elle est
devenue l'objet depuis le début du siècle et qui
en ont fait un îlot protégé au cur
de la Cité.
15 euros (code de commande
: 12342).
DELEUZE
(Luc) et METZGER (Francis) Luc Deleuze, Francis Metzger :
la ville recyclée. Propos
recueillis par Laure Eggericx. Bruxelles, CFC, 1999. In-8°
carré broché, 115 p., illustrations en noir
et en couleurs, (collection « Les Carnets d'Architecture
Contemporaine », n° 3).
En quatrième
de couverture :
Sur
le ton de l'interview, la journaliste et historienne de l'art
Laure Eggericx recueille les propos de deux architectes :
Luc Deleuze et Francis Metzger. À travers certains de
leurs projets et réalisations, ils parlent de l'art de
bâtir. Un art dont l'essence est pour eux le dialogue.
Dialogue entre le passé et aujourd'hui, dialogue entre
le lieu, le contexte, la ville et l'homme, celui qui habite,
celui qui passe, à l'image du logo qu'ils ont choisi pour
leur atelier d'architecture.
15 euros (code de commande
: 16826).
DEMANGEON
(Alain) et FORTIER (Bruno) Les vaisseaux et les villes. L'Arsenal de Cherbourg.
Bruxelles-Liège, Mardaga, 1978. In-8° broché,
191 p., illustrations, (collection « Architecture
+ Archives »).
Dossier réalisé par
le Centre d'Études et de Recherches Architecturales (E.N.S.B.A.),
à Paris, avec la collaboration technique de Paulette Ambergny
et Jean Michel Thibault
En quatrième de couverture :
Bien avant les bouleversements du milieu
du XIXe siècle, bien avant Haussmann ou Cerda, l'urbanisme
moderne a eu d'autres laboratoires : les ports, les fondations
industrielles, les cités administratives, mais plus encore
sans doute les arsenaux imaginés entre la Révolution
et l'Empire sur tout le littoral européen ceux
de La Spezia et Venise, ceux de Cherbourg et de Calais ,
à la fois ports et lieux de production, villes militaires
et villes d'État...
Parmi tous ces projets, Cherbourg a sans conteste
été déterminant. Fondé en 1800 pour
produire de nouveaux vaisseaux de combat, il semble avoir été
le plus élaboré et l'un des seuls, avec Anvers
et Karlskrona, à voir finalement le jour.
À l'extrême pointe du Cotentin,
son histoire est d'abord celle d'un site entièrement artificiel,
celle du plus grand chantier d'Europe et d'une infrastructure
sur laquelle allait s'appuyer un extraordinaire système
de production. Annulant toute trace de l'espace antérieur,
jouant sur une division absolue des bâtiments et des phases
de travail, Cherbourg préfigure l'éclatement disciplinaire
et fonctionnel des formations urbaines du XIXe et plus encore
du XXe siècle.
13 euros (code de commande
: 27831).
DEVLIEGHER
(Luc) Les maisons à Bruges. Inventaire descriptif.
Liège - Tielt, Mardaga - Lannoo, 1975. Fort in-8°
sous reliure et jaquette d'éditeur, LV, 492 p., 1122 reproductions
photographiques, 1 plan volant à déplier.
En quatrième
de couverture :
L'inventaire
consacré aux maisons à Bruges et plus particulièrement
à leurs façades, décrit, rue par rue, toutes
les façades antérieures à 1800, les façades
datées de 1800 à 1860 par une autorisation de bâtir,
les façades remarquables postérieures à
1860 et enfin, des façades importantes mais qui ont disparu.
Des centaines de photos et de dessins complètent
les descriptions. Des plans terriers, des coupes, des dessins
de détails, des photos d'intérieurs ..., s'ajoutent
aux représentations des façades.
Plusieurs dates ont pu être précisées
grâce au dépouillement des « Ferieboecken »
tenus par les trésoriers de la ville et aux recherches
effectuées dans le fonds des autorisations de bâtir.
Bruges est particulièrement riche en
vieilles façades. J. Weale, Ch. Verschelde, A. Dulos...,
en ont déjà étudié les façades
gothiques, renaissantes et baroques. Par contre, les façades
élevées aux 18e et 19e s. n'ont suscité
que peu ou pas d'intérêt. L'inventaire accorde une
attention particulière aux maisons construites durant
ces deux siècles.
Après une première édition
(1968, en néerlandais et en deux volumes) l'inventaire
a été entièrement revu et complété.
25 euros (code de commande
: 26652).
[DEWEZ
(Laurent-Benoît)]. DE BRAEKELEER (Catherine) Laurent-Benoît
Dewez 1731-1812. Seneffe,
Les Amis du Château et du Domaine de Seneffe, 1992. In-8°
carré broché, 138 p., illustrations, peu courant.
Table des matières
:
Avant-propos.
Chapitre I. Le bouleversement des mentalités
au 18ème siècle.
Chapitre II. Approche biographique.
Chapitre III. La carrière professionnelle
de Dewez.
- La situation de l'enseignement
de l'architecture au 18ème s.
- La formation de Dewez.
- Le parcours professionnel
de Dewez.
- L'architecte indépendant
- Nature de ses interventions.
- Organisation du bureau
de l'architecte.
- Le haut fonctionnaire
de la Cour.
- Organisation du Bureau
des Bâtiments de la Cour.
- Nature de ses interventions.
Chapitre IV. L'art de Dewez.
- Démarche et
parti architectural.
- Principes - Systématisation.
- Intégration.
- Origine de sa démarche.
- L 'idéologie
de domination : fondement de sa démarche.
- Mentalité esthétique.
- Début de sa
carrière - Époque de transition.
- Époque de maturité.
- Radicalisation de
la mentalité esthétique de Dewez.
- Le
prostylos.
- L'architrave
sur colonnes.
- Le
pavement piranésien.
- Le
baroque gelé.
- Conclusion.
- Notes.
- Bibliographie.
25 euros (code de commande
: 29264).
DRAHOTOVA
(Olga) L'art du verre en Europe. Préface et légendes de Marielle
Ernould-Gandouet. Adaptation française de Jean et
Renée Karel. Paris, Gründ, 1983. In-4° sous reliure
et jaquette d'éditeur, 231 p., nombreuses illustrations
en noir et en couleurs, (collection « Beaux Objets
d'Autrefois »), exemplaire en bel état
Sur la jaquette :
De
nos jours, les amateurs préfèrent se consacrer
à une collection plutôt que d'accumuler une foule
d'objets hétéroclites comme le faisaient trop souvent
des collectionneurs, au XIXe siècle. Ceci permet à
un tel amateur de devenir de simple profane, spécialiste
accompli.
Parmi toutes les collections, le verre offre
une variété infinie de formes, de couleurs, de
matières. Objet utilitaire par excellence, l'objet de
verre est presque toujours remarquable en tant qu'uvre
d'art. En le contemplant, l'on mesure le raffinement d'une civilisation
et cela depuis l'Antiquité , l'on
plonge dans l'histoire des peuples, l'on découvre tous
les aspects esthétiques d'une époque, les goûts
et les besoins des différentes classes de la société.
La beauté du verre réside aussi dans sa fragilité
: objet façonné à partir de substances minérales
à l'origine, il conduit l'amateur dans un monde de rêve.
À travers les facettes d'un objet de verre, toute une
histoire peut se lire.
Le présent ouvrage est consacré
au verre creux : celui qui renferme le plus de pièces
parfaites propres à séduire le collectionneur véritable.
Vaste panorama du verre, de l'Antiquité au début
du XXe siècle, ce livre se veut aussi un guide historique
et pratique.
88 illustrations en couleurs et 64 en noir,
d'une grande fidélité, proposent des exemples particulièrement
caractéristiques du verre en Europe.
18 euros (code de commande
: 25260).
DUMONTHIER (Ernest) Le
Meuble-Toilette. Toilettes-poudreuses,
toilettes-coiffeuses portatives, miroirs, psychés. Styles Louis XV, Louis XVI, Premier et Second
Empire. Paris, Morancé, 1923. In-8° sous chemise à
liens d'éditeur, 12 p., 48 planches volantes, (collection
« Documents d'Art - Mobilier National de France »),
bel exemplaire.

Couverture et planche
39 (psyché de l'impératrice Marie-Louise).
25 euros (code de commande
: 18288).
EATON
(Ruth) Cités idéales. L'utopisme et l'environnement (non) bâti. Anvers, Fonds Mercator, 2001. In-4° sous
reliure toilée, jaquette et étui d'éditeur,
255 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs,
(collection « Bibliothèque des Ais du Fonds
Mercator », n° 10), exemplaire en très
bel état.
Sur la jaquette :
Cités
idéales survole en un vaste panorama plus de deux
millénaires de tentatives occidentales d'inventer la cité
parfaite, berceau de la société idéale.
Cet ouvrage englobe non seulement l'architecture et l'urbanisme,
mais aussi l'art, la littérature, la philosophie et la
politique. Il nous guide à travers les environnements
imaginaires d'une multitude de personnalités et de mouvements
fascinants et souvent controversée ,
tels Platon, Filarete, Léonard de Vinci, Thomas More,
Thomas Jefferson, Claude Nicolas Ledoux, Charles Fourier, Etienne
Cabet, Robert Oiven, William Morris, Ebenezer Hoivard, Bruno
Taut, Le Corbusier, Frank Lloyd Wright, les situationnistes européens,
les métabolistes japonais, Archigram, Superstudio, etc.
Dans ce livre richement illustré, l'auteur
explore la capacité des cités idéales à
susciter la réflexion et le changement, de même
qu'il définit dans quelles conditions l'environnement
urbain de Pauenir pourra continuer à bénéficier
de cette fonction vitale.
Les cités idéales présentées
par Ruth Eaton n'existent pour la plupart que dans le domaine
virtuel des idées, sur l'étroit sentier situé
entre rêve et cauchemar. Si certaines tentatives notoires
de franchir la frontière qui sépare l'idée
de la réalité ont fortement discrédité
l'utopisme, il faut toutefois se souvenir, comme le rappelait
le critique d'architecture américain Leivis Mumford, qu'« une
carte du monde qui n'inclut pas l'Utopie ne mérite même
pas un coup d'il ». Sans ces expériences,
certes dangereuses mais qui incitent à la réflexion,
le monde serait en effet bien moins fascinant...
60 euros (code de commande
: 25113).
Enseignes, images de pierre. XVIIe et XVIIIe
siècles. Par Karin
Depicker, Mikhaël de Thyse, Yves Hanosset
et Cristina Marchi. RHAUR - Éditions du Perron,
1991. Grand in-8° carré broché, 128 p.,
nombreuses illustrations en noir et quelques-unes en couleurs,
(collection « Héritages de Wallonie »),
bon exemplaire.
Table des matières
:
- Préface.
- Introduction.
- Perspective historique.
- L'enseigne.
I. Catalogue.
1. Astres.
2. Références
bibliques et personnages saints.
3. Personnages.
4. Têtes
et mains.
5. Architectures
et symboles.
6. Flore.
7. Faune.
8. Armes.
9. Outils.
10. Objets
divers.
11. Non
iconographique.
II. Commentaire.
III. Synthèse.
- En guise d'épilogue.
- Table - Sources.
20 euros (code de commande
: 24128).
Entretiens
sur l'architecture par André Jacqmain et l'atelier de
Genval avec la collaboration de Pierre Loze. Photographes :
Fabien de Cugnac, Gilles Ehrmann, Henry Kessels,
Michel van Bellinghen. Bruxelles, Eiffel Éditions,
1988. Grand in-4° sous reliure toilée d'éditeur,
258 p., illustrations en noir et en couleurs, la jaquette manque.
Table des matières
:
Introduction, par Pierre Loze.
Propos, par André Jacqmain.
- Le ciel, la terre
et le jeu de l'architecture.
- L'espace.
- Les signes dans l'espace.
- L'aspect mental.
- Le style.
- Les matériaux,
leur matière et leur couleur.
- Le dessin, la précision,
les proportions.
- Quelle mesure ?
- Les angles et les
courbes.
- Le détail.
- Le dialogue.
- L'atelier et la fabrication
des architectures.
Portraits, par André Jacqmain.
- Henry Lacoste,
architecte, professeur, maître aux nombreux disciples.
- Les Ardennes.
- Le clan Strebelle.
- Jules Wabbes.
- Grabà, et «
Language of Forms ».
- Calo d'en Real, Ibiza.
- La petite histoire
de mes ateliers.
Interviews, par Pierre Loze.
- Claude Strebelle,
Victor Mulpas, Jean Opdenberg, Michel Tilman, Yvan Nuthals, Paul
Hof, Nicole Beeckmans, Guy Lefèvre, Philippe Rotthier,
Paul Szternfeld, Nele Huisman, Ferdinand Joachim, Michel Ruelle,
Géza Ogonovszky, Eric Philippe, Chantal d'Udekem.
Biographie chronologique, bibliographie.
30 euros (code de commande
: Archi012).
Exposition
rétrospective d'architecture civile liégeoise.
[Liège], [Vaillant-Carmanne],
1916. In-8° broché, 79 p, quelques illustrations
hors texte.
Il s'agit du catalogue de l'exposition
éponyme présentée au Musée des Beaux-Arts
de la ville de Liège, du 8 octobre au 12 novembre 1916.
Table des matières :
- Relevés d'architecture.
- Architecture urbaine.
- Architecture rurale.
- Châteaux-Manoirs.
- Contribution à
l'histoire de la porte.
- Reconstitutions d'ensembles architecturaux
(rues, places publiques, carrefours, etc.).
- Vieux-Liége (Dessins, aquarelles,
croquis, photographies, etc.).
- Vues anciennes de Liége, Huy,
Spa, etc.
- Décoration intérieure.
- Menuiserie (portes, volets, escaliers,
etc.).
- Cheminées.
- Pavements, briques de fond de foyer,
vitraux.
- Boiseries, décoration intérieure
et mobilier.
- Ferronneries, cuivres, plomb.
- Divers.
- Photographies documentaires (collection
Paul Comblen).
- Table des exposants.
10 euros (code de commande
: 17418).
FOREL
(Alexis) Voyage au pays des sculpteurs romans. Croquis de route à travers la France. Illustrations de Emmeline Forel. Tomes
I et II (complet). Paris, Floury, 1934. Deux volumes in-4°
demi-basane à coins, dos à 4 nerfs, pièces
de titre et de tomaison rouges, couvertures conservées,
reliures frottées et défraîchies présentant
quelques épidermures, t. I : [8 (titre, introduction)],
236 p., t. : II : 245 p., illustrations in
et hors texte, exemplaire numéroté (n° 1225).
Table des matières
:
- Introduction.
Chapitre I. Le roman provençal.
I. Le Rhône.
II. Le cloître de Saint-Trophime.
III. Le portail de Saint-Trophime.
IV. Intérieurs provençaux
et cloîtres secondaires (Montmajour et Vaison).
V. Les portes de Saint-Gilles.
VI. Valence et Romans.
VII. Exode de la terre de
Provence. Les Cévennes et le pont d'Espalion.
Chapitre II. Les églises auvergnates.
I. La sculpture extérieure.
II. Les intérieurs.
III. Les absides.
Chapitre III. Uzerche.
I. La porte Barachaude.
II. Le clocher.
III. La ville.
Chapitre IV. Passage de l'Auvergne à
la Saintonge et au Poitou.
I. Saint-Savin.
II. Le Dorat.
Chapitre V. Les églises latines de l'ouest.
I. Considérations
générales.
II. Aubeterre et Chalais.
III. Châteauneuf-sur-Charente.
Saint-Amand-de-Boixe. Lichères. Ruffec.
IV. Civray (façade,
intérieur).
V. Aulnay de Saintonge.
VI. Saint-Eutrope de
Saintes (crypte, intérieur, absidioles).
VII. Echebrune. Rétaud.
Rioux.
VIII. Ecurat. Pont-l'Abbé.
Echillais.
IX. Digression sur le port
de La Rochelle.
X. Surgères.
Vouvant. Parthenay (Parthenay-le-Vieux, église Sainte-Croix,
Notre-Dame de la Couldre).
XI. Notre-Dame-la-Grande
(façade, intérieur, clocher).
Chapitre VI. Le roman bourguignon.
I. Cluny.
II. Le porche de Charlieu.
III. Paray-le-Monial.
IV. Beaune.
V. Saulieu.
VI. Autun. Dijon et Til-Châtel.
VII. Digression sur Dijon
au XVe siècle. À l'adresse des Suisses.
VIII. La Charité-sur-Loire
(le pont de la Charité, la ville et l'église Sainte-Croix).
IX. Saint-Benoît-sur-Loire
(narthex, intérieur, portail Nord).
X. Fontgombault. Saint-Genou.
Selles-sur-Cher.
XI. Avallon (intérieur,
portail.
XII. Vézelay
(ensemble de l'église, nefs, narthex, terrasse).
XIII. Vermenton.
XIV. Résumé
du Roman bourguignon.
Chapitre VII. Notre-Dame du Puy.
I. L'intérieur.
II. Le cloître.
III. Le clocher.
IV. La façade et la
montée à l'église.
V. Digression sur la Vierge
protectrice du Musée du Puy.
Chapitre VIII. Les porches et les cloîtres
du Languedoc.
I. Beaulieu sur la Dordogne
(considérations générales, la ville, le
porche, l'église de Beaulieu).
II. Carennac sur la
Dordogne.
III. Souillac sur la Dordogne.
Chapitre IX. Les églises à coupoles.
I. Notre-Dame de Souillac.
II. L'église de la
Cité (Saint-Ëtienne) à Périgueux.
III. Saint-Front de Périgueux.
IV. Saint-Pierre d'Angoulême
(intérieur, façade).
V. Saint-Michel d'Entraigues
et Trois-Palis.
VI. Cognac et Châtres.
VII. L'Abbaye des Dames à
Saintes.
VIII. Saint-Étienne
de Cahors.
Chapitre VIII (suite). Les porches et les cloîtres
du Languedoc.
IV. Le porche Nord de Saint-Étienne
de Cahors.
V. Digression. Le cloître
de Cahors. La chapelle du Saint Sépulcre à Rodez.
Le jubé d'Albi.
VI. Saint-Pierre de
Moissac (situation, porche, cloître).
VII. Hugues de Châtillon
et le cloître de Saint-Bertrand de Comminges.
VIII. Toulouse (caractère
toulousain, débris de portails et de cloîtres conservés
au musée de Toulouse, Saint-Sernin de Toulouse).
IX. Elne.
X. Conques et la Graulière
(Entraygues, Conques, Figeac, La Graulière).
Chapitre X. Digression sur la Loire.
I. Chenonceaux.
II. Blois.
III. Amboise.
IV. Langeais. Ussé.
Azay-le-Rideau.
V. Saumur.
Chapitre XI. Les routes de Chartres.
I. Bourges (considérations
générales, cathédrale, porches romans de
la cathédrale).
II. Loches (le château
et la ville, l'église Saint-Ours).
III. Angers (tapisseries
de la cathédrale, portail de Saint-Maurice, baies de l'Abbaye
de Saint-Aubin).
IV. Le Mans (cathédrale
de Saint-Julien, porche sud de la cathédrale).
V. Saint-Loup-de-Naud et
Provins.
VI. Étampes.
VII. Chartres (cathédrale,
portail royal, considérations techniques, résumé
des Routes de Chartres).
VIII. Conclusions morales.
- Termes techniques employés dans
cet ouvrage.
- Schémas d'une basilique et d'un
portail romans.
Les deux volumes : 90
euros (code de commande : 28404).
GAYLE
(Margot) & GILLON (Edmund V, jr.) Cast-Iron Architecture
in New York. A photographic survey. New
York, Dover Publications, 1974. In-8° carré broché,
190 p., illustrations en noir.
Le mot de l'éditeur
:
Today, hidden behind fire escapes, dingy paint
and suffering continually at the hands of urban renewal, they
may seem somewhat insignificant, but in their own time, with
gleaming panes of glass and freshly painted façades, they
were the pride of the city. Architecturally they represented
one of the most important building innovations of the nineteenth
century and were a giant step toward modem skyscraper construction.
Now their era has passed, having been sup-planted by bigger buildings
and better modes of construction, and the number of cast-iron
buildings still standing is relatively few.
New York City, where this mode of construction
originated, houses more cast-iron buildings than any other place
in the world, and this book collects together some of its best
examples. Well-known photographer Edmund V. Gillon, Jr., has
wandered the streets of lower Manhattan and photographed them
from numerous aspects and angles, in detail and from a distance.
Margot Gayle, chairman of the Friends of Cast-Iron Architecture,
has carefully researehed every plate, identifying architect,
foundry, date built, location, and delineating the history of
the building. Together these plates and commentaries provide
one of the most comprehensive statements on cast iron ever compiled.
Cast-iron allowed for not only greater economy
of building, but ambitious aesthetics as well, and Romanesque,
Neo Grec, Queen Anne, French Second Empire styles are incorporated
frequently into the building's arched doorways, columns, mansard
roofs, delicate pilasters and window surrounds. Along with the
many buildings photographed in this volume, Mr. Gillon has included
views of ironwork from fences, lampposts, bridges, and railings.
The variety and detail of many of these is no less than amazing.
This is a book to be enjoyed not only by the
growing number of people who have come to appreciate cast-iron
buildings, but by everyone who is interested in the city and
its development. As modernization continually uproots more and
more of the older city, it is enjoyable to reestablish sorne
connections with the past.
15 euros (code de commande
: 15691).
[GHION
(Christian)]. Design by Christian Ghion. Paris, Chauveau, 2010. In-4° sous cartonnage
illustré d'éditeur, 167 p., très nombreuses
illustrations en couleurs, exemplaire à l'état
de neuf.
En quatrième
de couverture :
Une
carrure impressionnante et un franc-parler qui lui est propre,
Christian Ghion est un personnage hors du commun. Il est aussi
un designer aux talents multiples.
Sa créativité, son inventivité
sans cesse renouvelées lui ont permis de multiplier ces
dernières années des collaborations avec de prestigieuses
maisons dédition (Néotu, Cappellini, Driade,
Salviati, XO, Sawaya & Moroni...) et de grands noms ou personnalités
internationales (Chantal Thomass, Pierre Gagnaire, Jean-Charles
de Castelbajac, Nicolas Feuillatte, etc.).
Rassembleur, il organise pendant sept ans les
expositions Tarkett Sommer auxquelles participent les grandes
stars du design et orchestre le « Design Lab »,
véritable laboratoire dinnovations où se
révèlent les signatures de demain.
Première monographie consacrée
au designer, ce livre vient illustrer la trajectoire originale
de Christian Ghion.
30 euros (code de commande
: 21691).
GIROUARD
(Mark) Des villes et des hommes. Architecture et société. [Titre original : Cities and Poeple.
A Social and Architecturel History.] Paris, Flammarion, 1987.
In-4° sous reliure et jaquette d'éditeur, VII, 397 p.,
nombreuses illustrations en noir et en couleurs, exemplaire en
bel état.
Sur la jaquette :
Dans
cet ouvrage, Mark Girouard nous propose une sorte de visite guidée
des grandes villes à travers le temps et l'espace.
L'auteur part de Constantinople, la ville la
plus grande, la plus opulente et la plus raffinée des
IXe et Xe siècles. Il évoque ses trésors,
ses églises, ses arcades et ses bazars fréquentés
par des femmes fardées. Puis il brosse un panorama des
cités marchandes du Moyen Âge, notamment Florence,
Sienne, Gand, Bruges et Venise, en analysant la trame de la vie
sous les angles des structures sociales, des pratiques religieuses,
de l'hygiène, des modes vestimentaires et des fêtes.
Mark Girouard nous fait pénétrer dans la Rome de
la Renaissance, première capitale moderne, inique pour
les uns et enchanteresse pour les autres. Il nous emmène
dans l'Amsterdam des années 1660, cette ville « tout
entière vouée au profit », puis sur
les boulevards et dans les jardins parisiens où l'on aimait
tant « voir et être vu ». Il nous
montre comment l'émergence d'une société
mondaine, l'expansion commerciale, la croissance démographique
et l'autorité grandissante de l'État ont marqué
de leur empreinte les grandes villes des XVIIe et XVIIIe siècles,
et comment la révolution industrielle s'est traduite par
une métamorphose des villes du XIXe. Après avoir
dépeint les cheminées de Manchester, les banlieues
londoniennes, les gratte-ciel de New York et de Chicago, il retrace
l'histoire de Los Angeles, archétype d'une nouvelle race
de métropoles où les maisons basses, les jardins
et les autoroutes s'étirent à l'infini, en abolissant
la notion de centre ville.
25 euros (code de commande
: 24231).
GIUSTI
(Annamaria) Le
Baptistère de Florence. Firenze, La Mandragora,
2000. In-8° broché, 127 p., illustrations en couleurs,
(collection « Guides Mandragora »), peu
courant.
En quatrième
de couverture :
Centre
de la vie spirituelle de Florence dès l'origine, le baptistère
constitue pour les touristes mais aussi pour les
spécialistes à la fois une surprise
et un défi. La décoration de ce chef-d'uvre
architectural extraordinaire sorti des siècles obscurs
du Moyen Âge a vu la participation de plusieurs générations
d'artistes, qui en ont fait le miroir des principales expériences
de la ville: du revêtement roman en marbre blanc et vert
au maniérisme des groupes sculptés, en passant
par l'art byzantin et médiéval de la mosaïque
et par l'aventure des grandes portes en bronze, où s'affirmèrent
la sensibilité gothique d'Andréa Pisano et le génie
protéiforme et raffiné de Lorenzo Ghiberti.
L'auteur retrace le parcours artistique de
cet édifice légendaire sans oublier les résultats
des fouilles archéologiques, tout en mettant en évidence
les liens profonds qui unissent depuis toujours le monument à
l'histoire de la ville. De nombreuses illustrations permettent
au lecteur d'apprécier des détails qui pourraient
passer inaperçus devant la puissante impression d'ensemble
suscitée par les éblouissants cycles narratifs
en mosaïque. Enfin une section est consacrée aux
trésors du baptistère (statues, orfèvrerie,
mobilier liturgique et vêtements sacerdotaux) conservés
dans les salles du musée de l'uvre de la cathédrale
rénové récemment.
13 euros (code de commande
: 25655).
GLASSTONE
(Victor) Victorian and Edwardian Theatres. An Architectural and Social Survey. London, Thames and Hudson, 1975. In-4°
broché, 136 p., illustrations en noir et en couleurs.
En quatrième
de couverture :
The theatres of Victorian and Edwardian Britain,
after many years of neglect and destruction, are now being recognized
as superb testaments to a golden age of theatre architecture.
Apart from their delightful appearance the remaining theatres,
opera houses and music halls bear witness to an age often considered
sombre and sententious, yet one which enjoyed a joyous gaiety
and voluptuous brilliance. Victor Glasstone, an architect who
has for many years been at the forefront of theatre research
and contemporary theatre design, describes the principal surviving
examples in London, Leeds, Edinburgh, Dublin and other cities,
and many that have been sadly lost. Apart from the buildings
themselves, he recalls their uses, the audiences that filled
them and their effect on the development of drama and music hall
entertainment.
The wealth of illustrations includes contemporary
engravings and photographs, very few of which have ever been
reproduced, as well as photographs in colour and black and white
specially taken by the author for this book.
10 euros (code de commande
: 15054).
[GLYPTOGRAPHIE].
Actes du XIe Colloque international de Glyptographie de Palma
de Majorque du 2 au 9 juillet 1998.
Braine-le-Château, Éditions de la Taille d'Aulme,
2000. In-8° broché, 423 p., illustrations, croquis,
tableaux, bel exemplaire.
Table des matières
:
- Les
carrières méditerranéennes : note historique
et technique sur un support glyptographique ignoré,
par J.C. Bessac.
- Panorama des graffiti maritimes en
Méditerranée. Panorama de los grafiti maritimes
en el Méditeraneo, par L. Bucherie et E.
Gonzalez.
- Les graffiti des prisonniers de guerre
espagnols à La Rochelle au XVIIe s., par L. Bucherie.
- Graffiti et signes lapidaires à
la tour de Crest (Drome - France), par L. Bucherie.
- Inventario de los signos de picapedrcro
existentes en cl interior de la iglesia del monasterio de Santés
Creus, par J. Capdevila.
- Les graffiti du Puy-Notre-Dame,
par F. Delmee.
- Le chantier de la reconstruction
de l'abbaye Notre-Dame à Villers-Devant-Orval (Belgique)
au XVIIIe siècle, par F. Doperé.
- Franc-Maçonnerie et signes
de maçons, par M. Driesen.
- Los grafitos medievales del Castillo
de Santueri (Felanitx, Mallorca), par E. Gonzalez Gozalo,
B. Oliver Font et Ma Duran Vadell.
- Marcas de cantero en la arquitectura
civil y religiosa de Aragon y Léon, par M. Guzman-Stein.
- Lapidaria funebre masonico-sefardi
en Costa Rica. El cementerio extranjero de San Jose, par
M. Guzman-Stein.
- Les marques de tailleur de pierre
dans l'architecture des chemins de fer en Slovénie au
XIXe siècle. Exemple : la gare de Divaca, par
B. Premil.
- Herméneutique du signe. Approche
épistémologique, conditions et limites d'une recherche,
par N. Reveyron.
- De Gliptografia omeya : signos
lapidarios en la mezquita Aljama de Cordoba. Situacion e indice,
par Ma Rodriguez et J.A. Souto.
- Marques romanes de l'église
Saint-Jacques à Liège, par F. Tourneur.
- Les fournitures de pierre bleue pour les
châteaux de Jacques Du Brucq (ancien comté
de Hainaut), XVIe siècle, par F. Tourneur.
- La « Gazette du Donjon »
ou les graffiti du château de Vincennes, par J.-L.
Van Belle.
25 euros (code de commande
: 29031).
GUIXÉ
(Marti) Open-end. Preface
by Françoise Foulon. Essay by Max Borka.
Oostkamp, Stichting Kunstboek, 2008. In-4° broché,
151 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs,
bel exemplaire bien complet du cahier supplémentaire (16 p.)
contenant la traduction française des textes.
Préface :
Marti
Guixé n'est pas un personnage confortable pour
les curateurs. Si les ouvrages qui lui sont consacrés
sont nombreux, ses produits sont relativement rares. À
ses yeux, leur fabrication n'est pas prioritaire : ce qui
compte, c'est l'idée, le contenu, bien plus que l'objet
physique. Formes et matières relèvent de l'anecdotique.
Aujourd'hui le monde connaît une énorme
indigestion d'objets, la plupart du temps inutiles. Marti Guixé
a une conscience aiguë de cet envahissement insensé,
qu'il dénonce de façon originale et radicale.
Sa démarche n'est ni écologiste,
ni moralisatrice ; simplement, elle convoque notre réflexion
sur les mécanismes consuméristes, parfois en les
détournant. Il fallait oser, par exemple, imprimer cet
avertissement sur les sacs d'emballage des chaussures Camper :
« If you don't need it, don't buy it ! »
Avec lui, le rôle du designer, qui est d'aider les gens
à survivre à la banalité du quotidien, acquiert
une dimension supplémentaire : la responsabilité.
Martî Guixé, obstinément
et de façon non violente, bouscule les habitudes et les
idées reçues. Ses interventions proposent toujours
plus ou autre chose que ce qu'on attend d'elles, que ce qu'elles
donnent à voir. Elles délivrent une information,
un message que chacun est libre d'interpréter et même
d'accepter.
L'« Ex-Designer » n'a
pas renoncé au design ; il en a simplement fait éclater
les frontières. Au point qu'il en est devenu inclassable,
atypique ; tout à la fois designer, artiste, performeur,
expérimentateur, explorateur... Son attitude est souvent
critique, parfois rebelle et si ses propositions font parfois
sourire, il n'apprécie pas qu'on n'y voie que de l'humour.
On l'a qualifié de « brillamment simple et
curieusement sérieux ». C'est un drôle
de bricoleur qui s'amuse à manipuler les idées
et mélanger les concepts tout en innovant et en titillant
nos neurones.
Bricoleur, il l'est encore dans son inclination
naturelle à l'imperfection et son indulgence pour l'erreur :
« Les erreurs sont belles, elles incarnent le réel. »
Quant à l'imperfection, elle sublime la création ;
elle l'humanise. Elle se retrouve dans ses nombreux gribouillis,
reconnaissables entre mille et sur lesquels on ne s'est pas encore
assez penché. Entre B.D. et mode d'emploi, le graphisme
en est étonnamment sincère, authentique, primitif,
dépourvu d'affectation... et profondément original.
Au Grand-Hornu, Marti Guixé a semblé
poursuivre la réflexion entamée pour la série
« Park Life » inaugurée au MUDAC
(Musée de Design et d'Art Contemporain) à Lausanne.
Mais « Open-end » marque le départ
d'une nouvelle exploration de son univers créatif. L'un
des éléments du dispositif général
qui évoque le feu, la célébration, l'espace
public (ouvert) suscite particulièrement l'émotion :
les « burn me pieces ». L'invitation à
les détruire est gravée en toutes lettres, tel
un tatouage, sur leur surface. Comme une prière. Si vous
l'exaucez, l'objet se consume et disparaît au premier coup
de vent, lorsque ses cendres se dispersent... et vous en prenez
possession pour l'éternité : leur fin est
ouverte et le monde entier en est propriétaire.
35 euros (code de commande
: 21470).
[HANKAR
(Paul)]. LOYER (François) Paul Hankar. La naissance de l'Art Nouveau. Bruxelles, Archives d'Architecture Moderne,
1986. In-4° sous reliure toilée et jaquette d'éditeur,
542 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs,
exemplaire en bon état.
Sur la jaquette :
La
brève carrière de Paul Hankar (1859-1901) est d'une
importance décisive dans l'histoire de l'Art Nouveau belge,
dont il a été, avec Victor Horta et Henry van de
Velde, l'un des plus brillants créateurs. La critique
contemporaine voyait même en lui et en Victor Horta les
deux « inventeurs » de l'Art Nouveau, en
cette année 1893 qui est aussi celle de sa première
uvre personnelle. Durant près de dix ans, les deux
artistes, que des liens d'amitié comme de conviction associaient
intimement, mèneront deux carrières parallèles
aussi proches dans l'espace les alentours de l'avenue
Louise à Bruxelles que contradictoires dans
les formes. Autant l'uvre de Horta s'affirme comme celle
d'un sculpteur, passionné par le relief et la modénature,
autant celle de Hankar valorise, dans la nudité de ses
façades planes, le rôle du graphisme, du matériau
et de la couleur. Ce japonisant raffiné, admirateur de
Viollet-le-Duc et ami de tous les symbolistes belges Khnopff,
Wolfers... va peu à peu (au terme d'une longue
ascèse qui passe par l'architecture chinoise ou le gothique
toscan...) découvrir une forme de modernité faite
de retenue plastique et d'exigence structurelle. Les premiers
sécessionnistes sauront s'en souvenir : n'est-ce
pas au retour du voyage à Bruxelles, après sa rencontre
avec l'uvre de Hankar à Tervueren, que Wagner construit
la Majolika Haus de Vienne ? Fondateur de l'Art Nouveau,
Paul Hankar l'est aussi pour une part de la modernité
dont ses successeurs se réclameront.
Longtemps, la réputation de Paul Hankar
avait souffert de la faiblesse des informations dont on pouvait
disposer à son sujet : la découverte d'un
fonds considérable (plus de 3.000 pièces, couvrant
la totalité de sa production) est à l'origine de
cet ouvrage monumental qui, partant de la biographie,
s'essaie à restituer le climat d'une époque et
la densité du débat artistique dont elle a été
le témoin. Acteur privilégié de la révolution
esthétique de l'Art Nouveau, Paul Hankar a bénéficié
d'un environnement culturel exceptionnellement favorable faisant
de Bruxelles dans les années quatre-vingt l'une des capitales
artistiques les plus vivantes d'Europe. Certes l'architecture,
enfermée dans le conflit suranné des gothiques
et des classiques, paraît bien loin de cette révolution
qui touchait surtout la littérature ou la peinture. Pourtant,
la ligne de clivage entre Henri Beyaert et Alphonse Balat, les
maîtres respectifs de Hankar et de Horta, prend à
l'analyse une portée majeure : elle montre, dans
l'Art Nouveau, une faille profonde dont les carrières
antinomiques de leurs élèves vont être la
démonstration. Cette longue préparation de l'Art
Nouveau, dans les écoles rivales de l'académisme
classique ou de l'historicisme national, aboutit brusquement
à la révélation que furent en 1893 les hôtels
voisins des deux jeunes architectes, aux franges de l'avenue
Louise.
L'ouvrage met en évidence le milieu
architectural bruxellois de la seconde moitié du XIXe
siècle, puis la formation du jeune praticien dans la mouvance
de Beyaert (et sous l'influence déterminante de Viollet-le-Duc)
avant de tracer un tableau plus général des tendances
de l'avant-garde en Belgique. C'est l'occasion de rappeler les
liens étroits de Hankar avec japonistes et symbolistes
tout en soulignant le rôle qui fut le sien comme intellectuel :
journaliste, professeur, archéologue, Paul Hankar était
avant tout un militant de l'art de son époque. L'analyse
de son uvre permet d'ailleurs de suivre cette évolution,
produit d'une exceptionnelle exigence esthétique :
il lui doit d'être devenu, en même temps qu'un des
artistes à la mode, l'un des créateurs de la pensée
moderne à ce surprenant point de jonction
entre rationalisme et japonisme, qui fait de l'Art Nouveau autre
chose qu'un style floral !
50 euros (code de commande
: 30560).
Jardins
des provinces. N° 143 de la revue Monuments historiques,
1986. In-4° broché, 125 p., illustrations en noir,
pli au coin supérieur de la couverture.
Table des matières
:
Éditorial,
par Huguette Bouchardeau.
Du parc paysager...
- Pour une archéologie
des jardins médiévaux, par Elizabeth Zadora-Rio.
- L'univers de Le
Nôtre, par Thierry Mariage.
- Dijon en ses jardins,
par Jean-François Bazin et Marie-Claude Pascal.
- Le parc de la Tête
d'Or, par Dominique Bénin.
- Le parc du Thabor,
par Muriel Lapone.
- Le jardin au bois
dormant, par Anne Kriegel.
- Fontana-Rosa :
le jardin des Romanciers, par Ernest Boursier-Mougenot.
- Une pièce
rare, par Cécile Briolle et Jacques Repiquet.
- Aux jardins des
références, par Christian Debize.
- Jardins et monuments
à Marseille, par Jean-Pierre Dufoix.
- Le parcours du
roi, par Jean Cabanel.
- Le modèle
britannique, par Peter Goodchild.
... À l'aménagement urbain.
- Le jardin de l'Hétérodite,
par Bernard Lassus.
- Le Mail de Washington,
par Françoise Damas et Didier Repellin.
- Les parcs d'attraction,
par Bernard Ousset.
- Le futur au vert...,
par Anne-Marie Châtelet.
- Le square Scipion,
par Bruno Donzet.
- Le mobilier urbain
des squares et des jardins, par Florence Michel.
- La courbe et l'aigu,
par Arnaud Sompairac.
- À la recherche
des jardins urbains de demain, par Danièle Voldman.
- Inventaire des
jardins publics, par Violaine Lamelle.
12 euros (code de commande
: 15518).
JARRASSÉ
(Dominique) Synagogues. Une
architecture de l'identité juive.
Paris, Adam Biro, 2001. In-4° sous reliure et jaquette d'éditeur,
285 p., nombreuses illustrations, la plupart en couleurs,
exemplaire en très bel état, peu courant.
Sur la jaquette :
Refusant
le parcours strictement géographique ou chronologique,
Dominiquc Jarrassé aborde ici de façon extrêmement
séduisante l'architecture des synagogues à travers
le monde et au travers des siècles.
L'accent est en effet mis sur la relation architecture-histoire,
sur le lien entre l'architecture et la condition des Juifs.
Ainsi la synagogue apparaît-elle comme
un véritable symbole de l'identité juive, comme
le miroir aux multiples facettes des craintes, des aspirations,
des orientations d'un peuple face aux persécutions, à
l'exil et à la dispersion, à l'intégration
dans des pays d'accueil, voire à sa renaissance nationale
en Israël...
Un ouvrage de référence passionnant
et une clef de lecture probante pour comprendre, par exemple,
pourquoi les synagogues ont puisé dans tous les styles,
pourquoi le peuple juif n'a jamais élaboré un art
qui lui soit propre et comment, en matière de synagogues,
il n'existe pas un style mais une infinité de styles architecturaux,
reflet de la multitude d'événements qui touche
le peuple juif depuis des siècles.
80 euros (code de commande
: 29439).
LARRIEU
(J.-F.) Paradoxes archéologiques sur l'évolution
de l'architecture religieuse du Moyen Âge au XVIIIe siècle.
Picard - Schemit, 1938.
In-8° broché, 185 p., 33 figures hors texte (dont
certaines à déplier)..
Table des matières
:
Avant-propos.
I. Origine des erreurs des archéologues.
II. Une cause insoupçonnée des
erreurs de l'archéologie moderne.
III. Causes de la grandeur des églises.
IV. Source principale des erreurs des archéologues.
V. Calamités qui ont sévi en
France à différentes reprises, et leur influence
sur l'architecture religieuse.
VI. Faits d'ordre secondaire permettant de
dater approximativement un édifice religieux ; Une
cause de destruction précoce des églises au Moyen
Âge ; Nécessité de recourir aux Archives
du Vatican pour quiconque veut faire de l'archéologie
des monuments religieux.
VII. Période romane et période
de transition. Art roman directement issu de l'art romain, comme
ornementation du moins, mais à une époque beaucoup
plus tardive qu'on ne l'admet en général :
Exemples, Saint-Michel de Pavie, Saint-Ambroise de Milan, Saint-Germain-des-Prés,
Saint-Julien-le-Pauvre, Saint-Martin-des-Champs, Morienval, Vézelay,
Saint-Savin (Poitou), Tournus, Spire, Saint-Etienne-de-Caen,
Saint-Gilles-du-Gard, Noyon, Sens.
VIII. Architecture byzantine : Sainte-Sophie
(Constantinople), Saint-Marc (Venise), Saint-Jean-des-Ermites
et Saint-Cataldo (Palerme), Saint-Front (Périgueux), Angoulême,
Aix-la-Chapelle.
IX. Architecture gothique ou ogivale : Saint-Denis
en France, Notre-Dame de Paris, Upsala, Lisieux, Bourges, Angers,
Saint-Michel au péril de la Mer, Cologne, Tournai, Bruxelles,
Melrose (Angleterre), Léon (Espagne), Trinité de
Vendôme.
X. Appendices.
1. Panthéon.
2. Templum Pacis. Basilica
Constantini seu Massentii.
3. La « Forma
Urbis » ou comment on crée de toutes pièces
une erreur historique.
XI. Pièces justificatives.
18 euros (code de commande
: 22104).
LE
HALLE (Guy) Les fortifications de Paris. Le Coteau, Horvath, 1986. In-8° broché
sous couverture rempliée, 271 p., nombreuses illustrations
en noir, exemplaire en bel état.
En quatrième
de couverture :
Depuis
1852, l'Histoire des Fortifications de Paris était en
quête d'auteur.
Il était donc normal qu'un spécialiste
chevronné de cet art, comme Guy Le Halle, vienne combler
cette lacune.
Parisien de cur, et d'adoption depuis
1957, ce Verdunois, né en 1932 (son père natif
de Douaumont, a vu édifier le célèbre fort,
aux travaux duquel participa son grand-père) s'est toujours
passionné pour les vieux quartiers de Paris, persuadé
que leur histoire commence à leurs fortifications. Pour
bien les connaître, il en chercha des exemples, de toutes
les époques, tant en France qu'à l'étranger.
Il consigna le résultat de ses observations dans un ouvrage
général « Le Précis de la Fortification ».
Ce guide, sans précédent, reçu
l'année de sa parution, 1983, le Grand prix du Syndicat
des Journalistes et Écrivains.
Aujourd'hui, il rend hommage à la capitale
en lui donnant une Histoire de plus. Mais celle-là est
bien différente.
Nous vous proposons cet extraordinaire voyage
à travers... 2200 ans de fortifications Parisiennes...
20 euros (code de commande
: 27327).
Limited
Editions. Design Art. Oostkamp,
Stichting Kunstboek, 2008. In-4° sous cartonnage d'éditeur,
236 p., très nombreuses illustrations en couleurs,
exemplaire numéroté et en parfait état.
En quatrième
de couverture :
Limited
edition design is hot. But can we really talk about design here ?
Or have we reached or overstepped the
limit with art ? Some critics adopt a middle course in calling
it « design-art ». Design/Art, Limited
Editions deals with this phenomenon, as it presents itself today.
In cooperation with international, specialised galleries we composed
an overview of creations of more than 70 international designers.
Opening with the conclusions of a vivid discussion between several
curators and design critics who obviously couldn't
arrive at a uniform opinion on the subject this publication
aims at enriching your personal insight into the subject. Each
copy of the book contains a serial number, perfectly reflecting
the concept of limited edition design.
50 euros (code de commande
: 20764).
LUST
(Xavier) (de)formations. Oostkamp,
Stichting Kunstboek, 2007. In-4° sous cartonnage illustré
d'éditeur, 159 p., très nombreuses illustrations
en couleurs, exemplaire en parfait état.
En quatrième
de couverture :
Famous
in Belgium since the 1990s for his metal furniture and the interior
design of commercial and private spaces, Xavier Lust quickly
enters the inner sanctum of international design. Since « Le
Banc » has been marketed by MDF Italia he has worked
with this manufacturer as well as with several other world-famous
brands such as De Padova, Driade, Extremis and Modular. Xavier
Lust's furniture is identifiable thanks to a tension in the design
that is his trademark. His work of (de)formation of metallic
surfaces opens new fields of applications in furniture, tableware,
lighting, street furniture and industrial design.
With contributions by Elisa Astori, Olga Bozhko,
Lise Coirier, Luca De Padova, Bruno Fattorini, Cristina Morozzi,
Nick Vinson and Dirk Wynants.
40 euros (code de commande
: 21694).
MACAULAY
(David) Naissance d'un château fort. Paris, Éditions des Deux Coqs d'Or, 1978.
In-4° sous cartonnage illustré d'éditeur, [80] p.,
très nombreuses illustrations, (collection "Adieu
au passé")
En quatrième
de couverture :
Remparts
massifs et formidables dressés à même le
roc, gardiens redoutables dun confluent ou sentinelles
avancées d'un prince conquérant, les châteaux
forts du Moyen Âge témoignent aujourdhui encore
dun fabuleux passé de mystère, d'aventure
et de combats. Cest lhistoire de leur construction,
pierre par pierre, mais aussi celle des hommes qui les ont édifiés,
que David Macaulay fait revivre pour nous, avec toute la puissance
dune civilisation dont nous sommes les héritiers
directs.
Le château de Lord Kevin est imaginaire
mais sa conception, les phases de sa construction, son aspect
matériel sont inspirés par plusieurs châteaux
bâtis lors de la conquête du Pays de Galles entre
1277 et 1305. Leur construction est laboutissement de plus
de deux siècles darchitecture militaire en Europe
et en Terre sainte.
La ville dAberwyvern est aussi imaginaire
mais sa conception et son aspect matériel sont inspirés
par les villes qui furent fondées en liaison avec ces
châteaux pendant la même période de 28 ans.
Dans ce programme militaire combinant ville et château
fort se manifestent bien la supériorité stratégique
et lintelligence indispensables pour la réussite
de la conquête.
13 euros (code de commande
: 28856).
[MAURER
(Ingo)]. Ingo Maurer - Light - Reaching for the Moon. [Weil am Rhein], Vitra Design Museum, 2004.
In-4° broché sous couverture rempliée, 193,
[14] p., très nombreuses illustrations en couleurs,
édition bilignue (anglais - français), exemplaire
à l'état de neuf.
Ouvrage
publié pour accompagner l'exposition itinérante
produite par le Vitra Design Museum.
Table des matières :
- Stripped to the Bone : réduction
jusqu'à la lumière - Stripped to the Bone :
Reduction to the light, par Jochen Eisenbrand.
- Outside in, par Claudia Clemente.
- L'autre visage du design allemand
- The other face of German design, par Deyan Sudjic.
- Hommages - Tributes.
- Biographie - Biography.
- Index.
30 euros (code de commande
: 28888).
Merveilles
des châteaux d'Auvergne et du Limousin. Préface de Georges Conchon. Paris,
Hachette, 1971. In-4° sous reliure et jaquette d'éditeur,
299 p., nombreuses héliogravures et autres illustrations
en couleurs, (collection « Merveilles de Châteaux »),
exemplaire en bel état.
Table des matières
:
- Préface.
- Auvergne.
- Limousin et Marche.
- Berry.
- Bourbonnais, Velay, Forez, Gévaudan.
- Index.
- Liste des propriétaires.
- Carte.
Liste des châteaux :
- Aigues-Mortes - Ailly - Ainay-le-Vieil
- Allègre - Alleuze - Anjony - Arfeuille - Argy - L'Aubépin
- Aubigny-sur-Nère - Aulteribe - Aurec - Auzers - Ayre.
- Bannegon - La Barge - La Bastie d'Urfé
- La Bâtisse - La Baume - Beaujeu - Beauregard - Beauvoir
- Beauvoir-sur-Besbre - Béthune - Bity - Blancafort -
Blanchefort - Bois-Bouzon - Boisiramé - Bonnebaud - Bonneval
- Bonnu - La Borie - Bornette - Bost - Boucard - Le Bouchât
- Le Bouchet-en-Brenne - Boussac - Bouzols - Le Boy - La Boyle
- Branzac - Le Breuil-Yvain - Brie - Buranlure - Burlande - Busséol
- Busset - Bussy.
- Castanet - Castelnau - Castel Novel - La
Caze - Ceré - Château Chabert - Chalain d'Uzore
- Chalençon - Chalmazel - Chalus - Chamblas - Le Champ
- Chantelle - Chantemille - Chanterelle - Chapeau - Chareil -
La Chassagne - Le Chassan - Châteaubrun - Châteaugay
- Château-Guillaume - Châteauneuf - Château
Raoul - Château-Rocher - Châtel - Châteldon
- Chavaniac-Lafayette - Chazeron - Chevenon - Chevrières
- La Chézotte - La Clauze - Cluis - Le Cluzel - Colombier
- Comblat - La Condemine - Cordès - Cors - Cosnac - La
Cosse - La Caste - Courbières - Le Creux - Cropières
- Culan - Curzac.
- Davayat - Denone - Domeyrat - Le Donjon
- Dornes - Douzon.
- Effial - Estansannes.
- Fabrèges - Farsac - La Férié
- Feugerolles - Fiougoux - Forges - Fourchaux - Fournek - Le
Fraisse - Fromental.
- La Ganne - Gatellier - Gayette - Gendriac
- Le Gibanel - Giry - Goutelas - Les Granges - Grimont - Grossouvre.
- Jaligny - Jenzat - Jouillat - Jouy -
Jozerand - Jussy.
- Lagrange-Montalivet - La Lande - Lamothe
- La Palisse - Lauroy - Lavaud-Bousquet - Lavée - Lavergne
- Lespinasse - Lévis - Le Lieuteret - Lignières
- Lys-Saint-Georges.
- Mainsat - La Maisonfort - Mansat - Le
Marais - Maumont - Mauzun - Mazières - Mehun-sur- Yèvre
- Meillant - Menetou-Salon - Messilhac - Hôtel des Moneyroux
- Monistrol - Montbrun - Montfleury - Montjézieu - Montmorin
- Montrenard - Montrouge - Mortessagne - La Motte-Josserand -
La Moustière - Murol.
- Nexon - Nohant.
- Opme.
- Palluau - Palmont - Parentignat - Paulhac
- Le Peseau - Pesteils - Pierrefitte - Pionsat - Le Plessis -
Poinsac - Polignac - Pomay - Pompadour - Pompignac - Pontanon
- Pontgibaud - Le Préau - Prunget - Puy de Val - Puymaret.
- Ravel - Ressouches - Le Riau - Le Rieu
- Rilhac-Xaintrie - Roanne - La Roche - Rochechouart - Rochefort
- La Rochelambert - Roche-la-Mohère - La Rochelle - Romenay
- Roquedols.
- Sagonne - Saint-Alban - Saint-Augustin
- Saint-Chamant - Saint-Chartier - Sainte-Feyre - Saint-Florent
- Saint-F'loret - Saint-Germain-Beaupré - Saint-Haon-le-Châtel
- Saint-Maixant - Saint-Marcel-de-Félines - Saint-Priest
- Saint-Romain - Saint-Saturnin - Saint-Vidal - Saligny - Sancerre
- Saragosse - Sarzay - Sédières - Ségur
- Sénezergues - Souys - Sury-le-Comtal.
- Les Ternes - La Terrasse - Le Théret
- Le Thiolent - Thouron - La Tour-Daniel - Tournoël - Trâlage
- Turenne.
- Vachères - Val - La Vallée
- Valprivas - Vaugirard - Vaux - Veauce - Ventadour - La Verrerie
- Vésigneux - Veuil - Veyrières - Le Vieux Chambord
- La Vigne - Villefori - Villemonteix - Villeneuve-Lembron -
Villentrois - Viverols - Vixouze - Volhac - La Voûte-Polignac.
40 euros (code de commande
: 25564).
MILLER
(Naomi) Heavenly Caves. Reflections on the Garden Grotto.
London, George Allen & Unwin,
1982. Grand in-8° sous reliure et jaquette d'éditeur,
141 p., illustrations en noir.
Sur la jaquette :
« And after having remained at the
entry some time, two contrary emotions arose in me, fear and
desire fear of the threatening dark grotto, desire
to see whether there were any marvelous thing within it. »
(Leonardo da Vinci)
This is the only single work devoted exclusively
to the history of the garden grotto the caves in
landscape gardens that were artificially enhanced by waterfalls
and ornamental delights to imitate, control and even surpass
the effects of nature. Praised by writers from Pliny to Pope,
the grotto has a rich and varied tradition : it originated
as a motif in the classical world, where it was a ubiquitous
feature imbued with mythological and oracular symbolism. Its
popularity was renewed in the Renaissance gardens of the humanists,
while its expressive effects achieved new heights with theatrical
displays in the baroque nympheae of France and Italy, fanciful
mazes in picturesque English landscapes, and melodramatic extravaganzas
in the gardens of Wagnerian Germany.
This miniature world was filled with fancy
and mystery. Underground, the grotto was a source of nature's
secrets, as well as those of the muses and nymphs. But it was
also a sanctuary for men that inspired inner reflections as well
as poetical communions with nature. Above all, the grotto was
a museum in which men expressed their artistic understanding
of nature and the cosmos.
13 euros (code de commande
: 15631).
[MONS]. Les Cours de justice de Mons. Photographies de Pierre Peeters. Bruxelles,
Luc Pire, 2008. In-4° carré cous cartonnage et jaquette
d'éditeur, 132 p., très bon exemplaire, peu courant.
Sur la jaquette :
Le
2 mai 2007, en présence de Son altesse royale le Prince
Phillipe, les Cours de Justice de Mons furent inaugurées.
Elles font partie d'un vaste programme visant à doter
la « Justice » de nouvelles infrastructures
et sans doute les « affaires » qui ont
secouées [sic !] la Belgique dans les années
nonante ont été le déclencheur pour une
nouvelle image de la Justice.
Jacques Van Belle précise dans son texte
que « l'Institution judiciaire doit s'exercer, à
l'instar de l'Institution civile ou religieuse, au cur
de la Cité « Polis »
au sens grec , au milieu de l'activité urbaine.
Les édifices publics comme l'Hôtel de Ville, le
théâtre, le musée, l'église ou le
Palais de Justice sont des lieux majeurs de la ville : ils
représentent des signes, des points de repère et
d'identification, liés à ses activités institutionnelles.
Nier cela, c'est nier le sens de la ville. » Le site
en friche de l'ancien abattoir de la Cité du Doudou fut
choisi, et la rue du Marché au Bétail fut heureusement
rebaptisée « rue des Droits de l'Homme ».
Il fallait donc construire un complexe aux
dimensions importantes dans l'intra-muros montois, défier
le format triangulaire du terrain, intégrer la Tour valenciennoise
l'unique vestige hors sol de la deuxième enceinte
médiévale , offrir aux magistrats et
autres gens de Justice un bâtiment à l'image de
leur Institution, à la fois imposante et majestueuse mais
avant tout accueillante. Tel fut l'énorme défi
à relever pour les architectes.
Le chantier a été dirigé
par la Régie des Bâtiments, sous la responsabilité
du directeur de la Province de Hainaut, l'architecte Jacques
Van Belle, assisté de Jacqueline Fionville, ingénieur
architecte de la Faculté polytechnique de Mons. Quant
à l'auteur de projet, il s'agit du groupe A.U.R.A. (Atelier
d'Urbanisme, de Réhabilitation et d'Architecture) constitué
de trois architectes associés : Jean Barthélémy,
professeur émérite d'architecture à la Faculté
polytechnique de Mons et deux de ses anciens élèves
Benoît Jonet et Michel Poulain. Dans cette équipe,
c'est ce dernier qui, dès les premières esquisses
du projet jusqu'à la réception provisoire, a joué
le rôle d'associé principal, en parfaite symbiose
avec le premier nommé, en véritable « cheville
ouvrière » de ces Cours de Justice. Quant aux
entreprises, elles étaient constituées autour d'un
triumvirat formé des entreprises Galère, Dherte
et Blaton.
À travers le point de vue du Premier
Président de la Cour d'Appel, d'une historienne de l'art,
de l'architecte-concepteur, d'un sociologue et de l'architecte-directeur
de la Régie des Bâtiment, ce bâtiment vous
dévoilera une partie de ces secrets et de ces trésors
architecturaux.
Le photographe Pierre Peeters n'a pas voulu
faire un livre conventionnel d'architecture, il nous entraîne
avec ses images à regarder ce bâtiment où
la lumière naturelle omniprésente fait vivre le
bâtiment avec des jeux d'ombre et de lumière renforçant
les lignes courbes exploitées à l'extrême
par les architectes.
Au visiteur, obligé ou non, des Cours
de Justice de laisser courir son propre regard sur les murs noirs
de la salle des pas perdus et de le laisser poursuivre son chemin
au gré des lignes à la recherche des détails.
Ce livre offre une clef de lecture. Les Cours de Justice de Mons
resteront dans l'histoire de l'architecture moderne du 21e siècle
un exemple des plus remarquables et qui répondent à
la conception de la Justice d'aujourd'hui.
Table des matières :
- Préface, par Hervé
Hasquin.
- Une cathédrale-spatiale,
par André Stevens.
- En guise d'introduction, par Jean
Barthélemy.
- Inauguration des Cours de Justice,
par Jean Barthélemy.
- Rêveries d'un juge solitaire,
par Jean-Louis Franeau.
- Un autre regard, par Colette
Pierard.
- Au commencement était...,
par Colette Piérard.
- À propos de l'atmosphère
intérieure, par Jean Barthélemy.
- Le parti pris architectural,
par Colette Piérard.
- Mons : des nouvelles infrastructures
judiciaires à l'aube du 21e siècle, par Jacques
Van Belle.
- Deux réflexions complémentaires
à propos des Cours de Justice, par Francis Hambye.
- Bibliographie.
30 euros (code de commande
: 28442).
[MONS]. Mons & Cur du Hainaut.
Sous la direction de Lamya
Ben Djaffar et Isabelle De Smet Photographies d'Olivier
Cornil. Liège, Mardaga, 2015. In-8° broché,
355 p., très nombreuses illustrations en noir et
en couleurs, (collection « Guide d'Architecture Moderne
et Contemporaine »).
Présentation
par l'éditeur :
Un
regard inédit sur larchitecture en Cur du
Hainaut.
À Mons et en Cur du Hainaut, le
Guide darchitecture moderne et contemporaine invite à
regarder larchitecture autrement, et ce au travers dune
sélection de 300 projets, illustrés de plans et
situés sur cartes, commentés par plus de 40 auteurs
et photographiés par Olivier Cornil. Ces projets répartis
sur un territoire de 25 communes sont le fruit de
la modernité revisitée à chaque époque
par les architectes, de lArt nouveau à aujourdhui :
programmes modestes ou réalisations denvergure,
commandes privées et bâtiments publics.
Le Guide darchitecture moderne et contemporaine
Mons & Cur du Hainaut est dirigé par
Lamya Ben Djaffar, historienne, chargée de la politique
dintégration duvres dart et de
la diffusion et promotion culturelles à la Cellule architecture
de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et Isabelle
De Smet, architecte, doctorante en art de bâtir et urbanisme
à la Faculté darchitecture et durbanisme
de lUniversité de Mons.
Le territoire Mons & Cur du Hainaut
comprend les communes dAnderlues, Binche, Boussu, Braine-le-Comte,
Chapelle-lez-Herlaimont, Colfontaine, Dour, Écaussines,
Estinnes, Frameries, Hensies, Honnelles, Jurbise, La Louvière,
Lens, Le Roeulx, Manage, Mons, Morlanwelz, Quaregnon, Quévy,
Quiévrain, Saint-Ghislain, Seneffe, Soignies.
Sommaire :
- Avant-propos.
Comment définir la modernité
en architecture ? Quels critères de choix pour opérer
une sélection ? Quels enseignements tirer autour de cette
sélection ? Un état de la recherche en histoire
de larchitecture moderne et contemporaine sur le territoire
du Cur du Hainaut.
- Histoire et Paysage.
Une lecture historique et
paysagère du Cur du Hainaut qui se définit
par létude de linteraction de lhomme
avec le paysage. Un chapitre structuré autour des différentes
aires paysagères qui compose ce territoire, agrémenté
de cartes.
- Regards 1885-2015.
Les principaux événements
culturels de lArt nouveau à aujourdhui, avec
introductions contextualisées par époque.
- Cartes et notices.
A) Mons : Grand Place - Léopold
- Gouvernement Provincial - Fariaux.
B) Mons : Rachot - Abattoirs
- Marché aux herbes - Machine à eau.
C) Mons : Casemates - La
Trouille - Sainte-Waudru - Gare - Grand Prés.
D) Mons : Parc - Plaine de
Nimy.
E) Route de Maubeuge.
F) Le Borinage.
G) Le Centre :
- Branche
1 : Route de Binche.
- Branche
2 : La Louvière - Le Rulx - Morlanwelz - Manage
- Seneffe.
H) Entre-Senne-et-Dendre.
- Biographies.
Une vingtaine de notices
biographiques inédites darchitectes qui ont réalisé
les uvres les plus significatives ou représentatives
des courants architecturaux à Mons et en Cur du
Hainaut.
- Orientation bibliographique.
- Index.
Des noms darchitectes
(et associés : ingénieurs, paysagistes, urbanistes)
et artistes, des typologies de bâtiments (public/privé,
logement, écoles, culturel, etc.).
35 euros (code de commande
: 22738).
MURRAY
(Peter) L'architecture de la Renaissance italienne.
Traduit de l'anglais par
Fabienne Poloni et Paul Rozenberg. Paris, Thames & Hudson,
1990. In-8° collé, 251 p., nombreuses illustrations,
(collection « L'Univers de l'Art », n° 7),
exemplaire en parfait état.
En quatrième
de couverture :
« Le célèbre dôme
ocre-rose de la cathédrale de Florence semble désormais
indissociable du paysage toscan, faisant écho aux courbes
des collines environnantes et à la couleur même
du paysage. Il est l'uvre de Filippo Brunelleschi, auquel
revient d'avoir jeté les bases de ce qui allait être
le langage de l'architecture jusqu'à nos jours. « Le
temps des géants », « le grand atelier »,
« l'éclosion de la Renaissance » :
la période qui va de 1450 à 1600 est surtout connue
du grand public par ses peintres et ses sculpteurs de
Léonard de Vinci à Michel-Ange et Raphaël.
Mais l'on attire rarement l'attention sur le fait que ces démiurges
pratiquèrent toutes les formes d'art et qu'ils furent
aussi des architectes et des maîtres d'uvre admirables,
possédant aussi bien les techniques de la construction
que celles de la peinture. D'Alberti à Bramante, de Brunelleschi
à Vignole et Sansovino, l'architecture de la Renaissance
italienne offre une analyse attentive et détaillée
de la production de ces génies, des innovations qu'ils
apportèrent, du contexte historique et culturel dans lequel
ils s'inscrivirent, des mouvements qui s'ensuivirent. Et l'étude
de Peter Murray se clôt sur ce qui devait être en
fait un nouveau commencement : l'uvre, magistrale,
dans la campagne vénitienne, de Palladio, destinée
à influencer toute la culture européenne des siècles
suivants. »
10 euros (code de commande
: 12855).
PALLADIO (Andrea) The Four Books of
Architecture. With a new
introduction by Adolf K. Placzek. New York, Dover Publications,
1965. Grand in-4° broché, VII, 110 p., XCIX planches.
Réimpression anastatique de
l'édition de Londres, 1738.
En quatrième de couverture :
Andrea Palladio (1508-1580) was one of the
most celebrated architects of the Renaissance, so important that
the term Palladian has been applied to a particular style of
architecture which adheres to classical concepts. The wide spread
of Palladianism was due partly to the private and public buildings
he constructed in Italy, the. designs of which were copied throughout
Europe. But of even greater consequence was his remarkable magnum
opus, I Quattro Libri dell'Architettura ; translated
into every major Western European language in the two centuries
following its publication in 1570, it has been one of the most
influential books in the history of architecture.
The Four Books of Architecture offers
a compendium of Pallaclio's art and of the ancient Roman structures
which inspired him. The First Book is devoted to building materials
and techniques and the five orders of architecture : Tuscan,
Doric, Ionic, Corinthian, and Composite. Palladio indi-ca.tes
the characteristic features of each order and supplies illustrations
of various architectural details. The Second Book deals with
private houses and mansions, almost all of Palladio's own design.
Shown and described are many of his villas in and near Venice
and Vicenza (including the famous Villa Capra, or « The
Rotunda », the Thiene Palace, and the Valmarana Palace).
Each plate gives a front view drawing of the building and the
general floor plan. The Third Book is concerned with streets,
bridges, piazzas, and basilicas, most of which are of ancient
Roman origin. In the Fourth Book, Palladio reproduces the designs
of a number of ancient Roman temples. Plates 51-60 are plans
and architectural sketches of the Pantheon.
In all, the text is illustrated by over 200
magnificently engraved plates, showing edifices, either of Palladio's
own design or reconstructed (in these drawings) by him from classical
ruins and contemporary accounts. All the original plates are
reproduced in this new one-volume edition in full size and in
clear, sharp detail.
This is a republication of the Isaac Ware English
edition of 1738. Faithful and accurate in the translation and
in its reproduction of the exquisite original engravings, it
has long been a rare, sought-after work. This edition makes The
Four Books available for the first time in more than 200
years to the English-speaking public.
20 euros (code de commande
: Archi021).
Le
patrimoine industriel et sa reconversion. Wallonie - Bruxelles. Bruxelles, Crédit
Communal, 1986. In-4° broché, 247 p., nombreuses illustrations
en noir et quelques-unes en couleurs, exemplaire en très
bel état.
Il s'agit
de la publication éditée à l'occasion de
l'exposition éponyme organisée à l'ancienne
église Saint-André, à Liège, du 17
janvier au 15 mars 1987.
Table des matières :
- Préface, par François
Narmon.
- Avant-propos, par Gauthier Jacob
et Pierre Frankignoulle.
- La protection du patrimoine industriel :
cadre légal et action des pouvoirs publics et des associations
volontaires, par Jacques Barlet.
- L'archéologie industrielle
et l'assainissement des sites charbonniers, par René
Leboutte et Henri Delree.
- Approche urbanistique de la reconversion
des sites industriels désaffectés, par Jean
Barthelemy.
- La réaffectation des anciens
sites industriels à des fins économiques :
bilan et propositions, par Bernadette Merenne-Schoumaker.
- Une croissance industrielle et urbaine :
Seraing, par Luc Lejeune.
- Architectures d'industries, par
Marina Frisenna.
25 euros (code de commande
: 27599).
Le
patrimoine majeur de Wallonie. Liste
du « patrimoine exceptionnel » arrêtée
par le Gouvernement wallon le 8 juin 1993 sur la proposition
de la Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles.
Ouvrage réalisé
sous la coordination de Freddy Joris, Nathalie Archambeau
et Pierre Paquet. Liège, Région Wallonne,
1993. Fort in-4° sous reliure et jaquette d'éditeur,
495 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs, exemplaire
en très bon état.
L'inventaire
est réalisé par province et le sous-classement
par ordre alphabétique des lieux.
Sur la jaquette :
Il existe en Wallonie plus de 3.500 biens
protégés par une mesure de classement : monuments,
ensembles architecturaux, sites ou sites archéologiques.
Sur proposition du Ministre Robert Collignon, le Gouvernement
wallon a récemment fait établir pour la Wallonie
une liste du « patrimoine exceptionnel »
par la Commission royale des Monuments, Sites et Fouilles de
la Région wallonne, en collaboration avec son Administration.
Cette liste regroupe les biens classés jugés remarquables,
dans l'esprit des recommandations faites par l'UNESCO à
ce sujet : les 122 biens ainsi sélectionnés
pourront faire l'objet de subsides plus importants, pouvant aller
jusqu'à 95 % du montant des travaux et quelquefois
« d'accords-cadres » qui permettront d'étaler
les travaux sur plusieurs années, sans menaces d'interruption
au gré des circonstances.
Les 122 biens de ce patrimoine majeur font
l'objet de cet ouvrage pour lequel les meilleurs spécialistes
ont collaboré à la rédaction des notices.
Ces dernières contiennent un aperçu historique,
une description du bien et son affectation. Elles proposent parfois
une présentation de ceux qui prennent en charge le bien
classé pour son entretien ou sa mise en valeur. La plupart
sont illustrées par un cliché original en couleur
et par plusieurs clichés en noir en blanc.
Tous les amoureux de notre patrimoine trouveront
dans cette remarquable publication un panorama détaillé,
rigoureux et richement illustré des plus intéressants
joyaux du patrimoine wallon. Cet ouvrage, à la portée
de tous, permettra de découvrir ou de redécouvrir
agréablement les trésors de notre héritage
commun et complétera utilement la bibliothèque
du passionné.
40 euros (code de commande
: 24297).
PALUSTRE
(Léon) La Renaissance en France par Léon
Palustre. Illustrations
sous la direction de Eugène Sadoux. Tome I. Flandre - Artois - Picardie.
Exemplaire sur papier de Hollande. Paris, Quantin,
1879. [Paris, A. Quantin,
Imprimeur-Éditeur, 7, rue Saint-Benoît. M DCCC LXXXIII.] In-f° (330 x 460 mm.) broché, [2
bl.], [3 (faux-titre, justification du tirage, titre en rouge
et noir)], 48, [2 bl.] p., 26 illustrations (5 figures,
10 vignettes gravées dans le texte, 3 bandeaux de tête
de chapitre, 3 lettrines en rouge et noir, 5 grandes gravures
hors texte à pleine page, ces dernières sont doublées
par un tirage sur papier Japon), un des 60 exemplaires numérotés
sur papier de Hollande (n° 61), dos cassé, couverture
défraîchie.
La direction
littéraire et scientifique du grand ouvrage dont nous
annonçons la première livraison est confiée
à M. Léon Palustre. Un artiste de mérite,
M. Eug. Sadoux, à qui on doit une grande publication sur
les châteaux historiques de France, surveille l'exécution
des planches et en grave lui-même une partie. Enfin, l'habile
successeur de M. Claye n'a rien négligé pour que
l'impression fît honneur à sa maison. Depuis les
Voyages pittoresques de la France, on n'avait point entrepris
d'ouvrage aussi important sur les monuments de notre pays. Les
auteurs de celui-ci ont volontairement restreint le champ de
leurs études à une période assez courte
de notre art national, ce qui leur permettra de mettre sous les
yeux du public bien des monuments de grand mérite qui
n'avaient pas été gravés jusqu'à
ce jour.
L'éditeur annonce trente livraisons
embrassant toutes les provinces de France [...].
Les planches du fascicule publié donnent
l'idée la plus avantageuse de l'illustration de l'ouvrage.
Ici l'exactitude n'est pas sacrifiée au pittoresque, car
si la Renaissance en France est destinée à
compléter l'éducation artistique et archéologique
des dilettantes et des gens du monde, elle a en même temps
la prétention de fournir des éléments d'étude
aux érudits et aux architectes, prétention assurément
bien justifiée par le soin apporté à la
reproduction des monuments de la Flandre, de l'Artois et de la
Picardie.
La plupart des planches sont gravées
à l'eau-forte, les unes hors texte, les autres, plus petites,
intercalées dans le texte. Notre fascicule compte cinq
gravures hors texte : la Bourse de Lille, - le clocher
de Saint-Amand, - le tombeau de Charles de Lalaing, un chef-d'uvre
qui nous avait causé une profonde impression lors d'une
courte visite au musée de Douai, - le tombeau de Sidrach
de Lalaing, - l'église de Tilloloy, édifice d'une
originalité étrange, qui ne ressemble à
aucun autre monument de la France.
Parmi les douze gravures et les cinq bois intercalés
dans le texte, nous signalerons certains dessins d'une finesse
extrême et d'une exécution exquise : l'intérieur
de la Bourse à Lille, le bailliage d'Aire, les vantaux
sculptés de l'église Saint-Wulfran à Abbeville,
la porte Montre-Écu à Amiens, l'ensemble du tombeau
de Raoul de Lannoy à Folleville et l'admirable bas-relief
du plus pur style italien qui décore la partie antérieure
de ce même tombeau, une des uvres les plus merveilleuses
de la Renaissance. Rendons justice à chacun en citant
les noms des auteurs de ces excellentes gravures. Elles sont
signées : D. Lancelot, E. Sadoux, Gaujean, Boulard fils.
[...]
Ajoutons enfin un détail qui ne laisse
pas d'offrir son importance. Les planches à l'eau-forte,
au lieu d'être tirées sur du papier de Chine collé
après coup sur les pages du volume, sont imprimées
directement sur le papier soumis ensuite à la presse typographique.
On sait que la difficulté d'un pareil procédé,
fort usité au XVIIe et au XVIIIe siècle, l'avait
fait abandonner depuis longtemps ; aussi les illustrations
à l'eau- forte, rapportées après le tirage
sur le papier de l'ouvrage, étaient-elles exposées
à se décoller et à se perdre. Le système
adopté ici pour le tirage des illustrations dans le texte
obvie à cet inconvénient, en compliquant singulièrement
toutefois les difficultés de l'impression. Rien n'a été
négligé, on le voit, pour rendre plus parfaite
l'exécution de cet ouvrage de luxe, et il ne fera pas
moins d'honneur à l'habile imprimeur qu'à ses savants
collaborateurs.
Venons maintenant à l'examen du texte.
Il est dû à la plume exercée et compétente
de M. Léon Palustre, qui n'a plus à faire ses preuves.
[...]
M. Palustre a choisi pour le début,
ou peut-être le hasard seul en a-t-il décidé
ainsi, une des régions de la France les moins riches en
monuments de l'époque à laquelle l'ouvrage tout
entier est consacré. Et cependant, dans ces villes si
longtemps fidèles au vieux style flamand, aux pignons
aigus, aux arcs brisés de l'époque gothique, il
s'est rencontré des uvres du goût italien
le plus pur; nous avons déjà cité, 1e tombeau
de Raoul de Lannoy à Folleville, auquel cette publication
va rendre la réputation qu'il mérite, et celui
de Charles de Lalaing au musée de Douai, qui montre plus
d'unité et rentre bien plus dans les traditions françaises
que le précédent. En effet, le tombeau de Raoul
de Lannoy présente une particularité remarquable,
dont on connaît d'ailleurs d'autres exemples : l'alliance
du goût italien le plus sobre avec le style gothique le
plus pur. Les figures de gisants, les bas-reliefs représentant
des enfants en pleurs rappellent les plus fines sculptures de
l'école florentine au XVe siècle, tandis que l'arcature
gothique formant dais au-dessus du monument est enrichie des
inventions les plus délicates et les plus capricieuses
qu'ait pu inspirer l'étude approfondie du style flamboyant.
Ce rapprochement, au lieu de choquer, de faire disparate, produit
un ensemble irréprochable, d'une originalité charmante.
Le tombeau de Raoul de Lannoy est un des exemples les plus remarquables
de l'alliance du vieux style national, des traditions gothiques
avec le goût étranger récemment importé
de l'Italie.
Quand M. Palustre constate que la Flandre résista
fort longtemps à l'adoption des nouveaux principes architectoniques
et ne se rendit guère qu'à la fin du XVIIe siècle,
après la seconde conquête de Louis XIV, il
avance un fait beaucoup plus général qu'il ne paraît
le supposer. Même après l'invasion des maîtres
italiens, même après les règles nouvelles
imposées aux artistes français par la colonie de
Fontainebleau, beaucoup d'architectes continuèrent à
suivre les anciennes traditions gothiques et employèrent,
jusque vers la fin du XVIe siècle, l'arc brisé,
l'accolade et la voûte à ogive, à côté
des pilastres ou colonnes empruntés par la renaissance
à l'antiquité. Ce n'est guère qu'avec la
construction en brique et en pierre du temps de Henri IV,
pour les bâtiments civils, et lors de l'invasion du style
jésuite pour les édifices religieux, que disparaissent
les derniers procédés et les derniers vestiges
de l'architecture du Moyen Âge. Même dans ces nombreux
châteaux dont se couvrit la France sous les règnes
de François Ier et de Henri II, dans ces superbes
monuments dont Ducerceau nous a conservé le plan et le
dessin, apparaissent çà et là des éléments
de construction, des motifs de décoration qui ne doivent
rien aux étrangers et procèdent directement des
vieilles traditions de l'art national. Cette persistance de l'art
gothique est sensible jusqu'au commencement du XVIIe siècle,
au moins dans le nord de la France ; elle se montre parallèlement
avec l'introduction des doctrines nouvelles, et constitue à
la renaissance française un caractère tout particulier,
sur lequel M. Palustre devra insister quand il arrivera aux monuments
typiques de la renaissance française, je veux dire aux
châteaux des bords de la Loire, au Louvre, à Ecouen,
à Fontainebleau. Si la suite de l'ouvrage répond,
comme le nom des auteurs et éditeur en est une sûre
garantie, aux promesses de la première livraison, nous
posséderons bientôt sur une des époques les
plus fécondes et les plus brillantes de notre art national
un ouvrage magnifique, aussi indispensable à l'amateur
et à l'artiste qu'à l'architecte ou à l'archéologue.
Jules Guiffrey, La Renaissance en France,
fin du tome III : Anjou, Poitou, Saintonge, Aunis et Angoumois,
par Léon Palustre, dans Bibliothèque de
l'École des chartes, vol. 40, 1879, pp. 483-487.

La Bourse de Lille (gravure à pleine page en regard de
la p. 4).
60 euros (code de commande
: 19852).
PALUSTRE
(Léon) La Renaissance en France par Léon
Palustre. Deuxième
livraison. Île-de-France (Oise). Exemplaire sur
papier de Hollande. Paris,
Quantin, 1879. [Paris
/ A. Quantin, Imprimeur-Éditeur / 7, rue Saint-Benoît
/ M DCCC LXXXIX.] In-f° (330
x 460 mm.) broché, [42 (pp. 51-93)] p., 16 planches
à l'eau-forte, exemplaire en bel état malgré
deux manques au premier feuillet de la couverture.
Extrait du texte de
Jules Guiffrey :
Afin
de donner une idée du contenu du fascicule que nous avons
sous les yeux, nous présenterons une liste des monuments
qui s'y trouvent décrits et dont les gravures reproduisent
l'aspect général ou les parties les plus remarquables.
[...]
L'auteur s'occupe successivement de la cathédrale
de Beauvais ou, pour parler plus exactement, des parties de la
célèbre église qui appartiennent au seizième
siècle, c'est-à-dire les deux bras du transept,
la lanterne, dont le sommet atteignait une hauteur de cent cinquante-quatre
mètres et qui dura quelques années à peine,
les sculptures des deux portes septentrionale et méridionale,
enfin, certains vitraux dont l'origine est attribuée avec
toute vraisemblance à Nicolas le Prince, fils du célèbre
peintre verrier de Beauvais, Engrand le Prince.
De la cathédrale, nous passons, sans
quitter la ville, à l'église Saint- Étienne
et aux superbes verrières que la famille des Le Prince
a laissées dans ce monument. Les plus remarquables représentent
la légende de saint Eustache, un arbre de Jessé
et la légende de Notre-Dame-de- Lorette.
Dans la ville de Beauvais, M. Palustre nous
conduit encore devant une maison de la rue Saint-Thomas, décorée
de carreaux émaillés, exemple de décoration
où il ne voit qu'une fantaisie isolée, et non un
« type d'art normal » ; puis à
la maison à pans de bois, dite de l'Image Saint-Jean,
enfin à une autre habitation particulière, sise
rue de la Frette, bâtie en 1562.
L'église de Meignelay se recommande
à l'attention des archéologues par ses voûtes
« qui n'ont peut-être pas leurs semblables dans
la France entière », et aussi par un petit
monument funéraire, rappelant par l'ensemble de la conception
le monument de Sidrach de Lalaing à Saint- Omer [...].
Un rétable en pierre, daté de
1549, et un calvaire, conservés à Ravenel, une
décoration de porte à Saint- Martin-aux-Bois, ne
retiennent notre guide que peu d'instants. Les ornements de la
porte-chapelle, les riches vantaux des deux églises de
Saint- Antoine et de Saint-Jacques, le banc-d'uvre daté
de 1587, dans l'église de Saint-Germain, sont les seules
traces que l'architecture de la renaissance ait laissées
dans la ville de Compiègne ; c'est bien peu sans
doute, mais il n'y a pas autre chose à signaler. L'hôtel
de ville, l'évêché et quelques pierres tombales
du cloître de la cathédrale, à Noyon, n'offrent
qu'un intérêt secondaire au point de vue qui fait
l'objet des recherches de notre auteur.
Le portail de l'église de Montjavoult,
uvre de l'architecte Jean Graffin, offre matière
à un curieux rapprochement. M. Palustre retrouve les principales
dispositions de ce portail à la grosse tour de Gisors,
et il en conclut que le même architecte a dirigé
les deux constructions.
Quelques fragments du château de Sarcus,
sauvé sous la Révolution pour être condamné
à la destruction par le dernier de ses propriétaires,
fournissent la matière d'une notice fort intéressante.
L'auteur examine l'opinion qui attribuait le plan de cet édifice
à l'architecte ou ingénieur italien trop vanté,
fra Giocondo, et après en avoir démontré
l'inanité, il rend à un maître français
l'exécution de ce monument dont malheureusement il n'existe
plus que des débris épars.
Le petit château de Chantilly soulève
une question bien délicate et que M. Palustre croit pouvoir
résoudre. Selon lui, la comparaison d'Écouen et
du château de Chantilly prouverait que les deux édifices
appartiennent au même architecte, c'est-à-dire à
Jean Bullant. L'architecte du connétable de Montmorency
aurait été occupé à la construction
de Chantilly de 1559 à 1570, période durant laquelle
on perd complètement sa trace, tandis que le connétable
aurait utilisé les loisirs forcés que lui faisait
une seconde disgrâce en employant à cette fantaisie
son architecte ordinaire. Si séduisantes que soient de
pareilles conjectures, quelque plausibles que paraissent les
arguments rassemblés à l'appui de cette thèse,
il serait prudent d'attendre la découverte d'un document
positif pour faire passer cette ingénieuse hypothèse
dans le domaine des faits historiques. Jusqu'à cette heureuse
rencontre, que ne nous permettent guère d'espérer
les archives du château de Chantilly, nous demandons la
permission de rester dans le doute.
Le château de Verneuil, dont il ne reste
plus qu'un souvenir et les planches de Ducerceau, inspire à
M. Palustre une observation d'un grand intérêt.
Salomon de Brosse est né à Verneuil ; or,
on a constaté l'existence à Verneuil, en 1568,
d'un certain maître architecteur, nommé Jean Brosse;
enfin, le château du Luxembourg présente des analogies
incontestables, dans le plan comme dans la décoration,
avec celui de Verneuil ; les conclusions sont faciles à
tirer : Salomon de Brosse serait fils de Jean Brosse, qui
aurait dirigé la construction du château de Verneuil ;
Salomon de plus se serait inspiré pour le palais du Luxembourg
de l'uvre paternelle traitée avec une prédilection
toute particulière par l'auteur des Plus excellents bastimens
de France. Tout cela mérite confirmation ; mais l'hypothèse
n'a rien que de très plausible. Elle s'appuie sur un ensemble
de petits faits et d'observations qui nous convaincraient entièrement,
si nous n'avions fait, et plus d'une fois, l'expérience
qu'en pareille matière il faut exagérer la défiance.
La monographie
du département de l'Oise se termine par la description
d'une petite habitation rurale, le manoir de Huleux, dans la
commune de Néry, remarquable par ses décorations
extérieures et deux cheminées monumentales, dont
l'une, portant la date de 1551, a perdu ses jambages ; M.
Palustre signale enfin un joli encadrement de porte du temps
de François Ier, à Crépy-en- Valois,
et clôt son travail par une note sur fra Giocondo. Voici
maintenant la liste des planches à l'eau- forte consacrées
aux monuments décrits dans cette livraison :
1°
Vantaux de la porte méridionale de Beauvais, par E. Sadoux.
2°
Détails des vantaux de Beauvais, par E. Sadoux.
3°
La légende de saint Eustache, vitrail exécuté
par Jean le Prince en 1554, à l'église Saint-Étienne
de Beauvais.
4°
L'arbre de Jessé, vitrail exécuté par Engrand
Le Prince, vers 1518, à l'église Saint-Étienne
de Beauvais.
5°
Monument funéraire de Maignelay.
6°
Débris du château de Sarcus, par E. Sadoux.
7°
Portail de l'église de Monjavoult.
8°
Détail du portail de Monjavoult.
9°
Fenêtre du château de Sarcus.
10°
Petit château de Chantilly, par E. Sadoux.
11°
Le petit château de Chantilly, vue prise du côté
du jardin.
12°
Manoir de Huleux.
13°
Cheminée du manoir de Huleux.
14°
Porte de 1537, à Crépy-en- Valois.
15°
Mufle de lion, sculpté par Jean le Pot aux vantaux de
la cathédrale de Beauvais.
16°
Rinceaux et enfants servant de tête de page.
Bibliographie :
- Jules Guiffrey, La Renaissance en
France, par Léon Palustre. Deuxième livraison.
Ile-de-France (Oise), dans Bibliothèque de l'École
des chartes, vol. 41, 1880, pp. 260-266.

Petit château de Chantilly (gravure à pleine page
en regard de la p. 80).
40 euros (code de commande
: 23615).
PALUSTRE
(Léon) La Renaissance en France par Léon
Palustre. Illustrations
sous la direction de Eugène Sadoux. Dixième
livraison. Normandie (Seine-Inférieure, Eure, Orne,
Calvados et Manche) (deuxième partie). Exemplaire
sur papier de Hollande. Paris,
Quantin, 1883. [Paris,
A. Quantin, Imprimeur-Éditeur, 7, rue Saint-Benoît.
M DCCC LXXXIII.] In-f° (330
x 460 mm.) broché, [2 bl.], VIII, (pp. 229-324), [1 (table)],
[1 bl.], [1 (marque typographique)], [3 bl.] p., 30 illustrations
(3 croquis et plans, 21 vignettes gravées dans le texte,
2 lettrines en rouge et noir, 4 grandes gravures hors texte dont
1 sur 2 pages et 3 à pleine page, ces gravures sont doublées
par un tirage sur papier Japon), exemplaire en bel état
malgré quelques petites déchirures aux marges de
la couverture.
Cette
dixième livraison débute par une étude générale
sur les vitraux du XVIe siècle existant encore dans les
églises normandes. Ces vitraux sont nombreux. On en rencontre
dans près de cent églises différentes. Ceux
de Saint-Patrice et de Saint-Vincent de Rouen méritent
particulièrement l'attention. M. Palustre a retrouvé
sur ces verrières les initiales d'Engrand et de Jean le
Prince, les grands artistes de Beauvais. Les verres peints qui
se voient à Gisors, au Grand-Andely, à Alençon,
à Argentan, enfin dans l'abside de Conches indiquent l'existence
d'une nombreuse école de peintres verriers normands. M.
Palustre aurait trouvé dans l'ouvrage de M. Le Vaillant
de la Fieffé, publié en 1873, sur les Verreries
de la Normandie, les gentilshommes et artistes verriers normands,
des renseignements précis sur ces vitraux du XVIe siècle.
Après ce chapitre sur la verrerie, l'auteur revient aux
uvres monumentales de la Renaissance ; il passe en
revue les délicates clôtures des chapelles de l'abbaye
de Fécamp, le somptueux tombeau de Georges d'Amboise,
celui de Louis de Brézé, les fameuses portes en
bois de Saint-Maclou, une des uvres authentiques de Jean
Goujon, les Évangélistes d'Alençon, les
boiseries de l'église Saint-Vincent de Rouen et de la
cathédrale de Bayeux.
Le château de Gaillon fait l'objet d'un
chapitre spécial. Grâce aux comptes publiés
par M. Deville, on connaît exactement les architectes qui
l'ont construit, les artistes qui l'ont décoré.
L'École des Beaux-Arts a reçu une partie des débris
de la somptueuse habitation du cardinal d'Amboise, tandis que
le Louvre recueillait un certain nombre de sculptures venant
de cette habitation princière, notamment le Saint-Georges
combattant le dragon, de Michel Colombe. Après le château
de Gaillon, M. Palustre étudie un certain nombre de demeures
seigneuriales sur lesquelles la Renaissance a laissé son
empreinte : le château d'O, près de Séez,
en partie détruit en 1770, celui de Bainvilliers, près
d'Harfleur, ceux d'Auffray, entre Yvetot et Veulettes, de Mesnières,
aux environs de Neufchâtel, d'Angerville-Bailleul, dans
le canton de Goderville, de Fontaine-Henri, non loin de Saint-Aubin-sur-Mer
et de Langrune, de Tourlaville, près Cherbourg, enfin
de Charleval, qui n'est connu que par les planches de Ducerceau.
Certains de ces édifices mériteraient
de faire l'objet d'une monographie détaillée ;
c'est à peine si M. Palustre peut en donner une description
concise. Pour bien d'autres, il est réduit à une
sèche enumeration. Il n'a pas été question
jusqu'ici des vieilles maisons de bois et des constructions du
XVIe siècle, encore si nombreuses à Rouen. Elles
sont groupées dans un chapitre particulier, où
l'hôtel du Bourgtheroulde tient une large place. Au sujet
de ce fameux édifice, M. Palustre constate l'identité
que présentent les sujets des bas-reliefs surmontant les
fenêtres du premier étage avec les tapisseries représentant
les Triomphes de Pétrarque. La remarque est nouvelle ;
elle a son prix, car elle montre l'influence exercée par
les tapissiers et leurs uvres sur les artistes qui les
entouraient.
Le manoir d'Ango, près de Dieppe, sa
galerie couverte, son élégant colombier, l'hôtel
d'Écoville, à Caen, un des chefs-d'uvre de
l'architecture française, celui de Than, enfin quelques
constructions moins importantes font l'objet du dernier chapitre
consacré à la Normandie.
Les planches à l'eau-forte, dues pour
la plupart à M. Sadoux, qui a emprunté quelquefois
le concours de MM. Gaujean et Boulard, sont exécutées
avec le plus grand soin. Nous signalerons les plus remarquables
de ces illustrations : le tombeau du cardinal d'Amboise,
grande planche double ; la porte de Saint-Maclou ;
l'hôtel du Bourgtheroulde ; l'hôtel d'Écoville.
Ce dernier fascicule contient aussi la préface de l'ouvrage,
les titres et tables des tomes I et II, enfin une table analytique
de tous les noms d'artistes cités dans les deux premiers
volumes. Cette table était un instrument de recherche
indispensable. En effet, le livre de M. Palustre sera souvent
consulté, car il fait désormais autorité
dans la matière. Il est juste de louer le luxe typographique
de cette publication, qui comptera parmi les plus soignées
et les plus somptueuses de notre temps ; elle fait le plus
grand honneur à la maison Quantin.
Jules Guiffrey, La Renaissance en France,
9e et 10e livraisons, par Léon Palustre, dans Bibliothèque
de l'École des chartes, vol 45, 1884, pp. 91-94.
90 euros (code de commande
: 18825).
PALUSTRE (Léon) La
Renaissance en France par Léon Palustre. Illustrations sous la direction de Eugène
Sadoux. Onzième livraison. Bretagne (Ille-et-Vilaine,
Côtes-du-Nord, Finistère, Morbihan, Loire-Inférieure).
Exemplaire sur papier de Hollande. Paris,
Quantin, 1885. [Paris,
A. Quantin, Imprimeur-Éditeur, 7, rue Saint-Benoît.
M DCCC LXXXV.] In-f° (330 x
460 mm.) broché, [2 bl.], [1 (faux-titre)], [1 bl.], [1
(titre en rouge et noir)], [1 bl.], 52 p., [1 (titre le
partie de la livraison suivante)], [3 bl.] p., 22 illustrations
(7 croquis et plans, 10 vignettes gravées dans le texte,
1 lettrines en rouge et noir, 4 grandes gravures hors texte,
ces gravures sont doublées par un tirage sur papier Japon),
exemplaire en bel état malgré quelques rousseurs.
On joint :
PALUSTRE (Léon) La Renaissance en France
par Léon Palustre. Illustrations sous la direction
de Eugène Sadoux. Douzième livraison. Bretagne
(Ille-et-Vilaine, Côtes-du-Nord, Finistère, Morbihan,
Loire-Inférieure) (deuxième partie). Exemplaire
sur papier de Hollande. Paris, Quantin, 1885. [Paris, A. Quantin, Imprimeur-Éditeur,
7, rue Saint-Benoît. M DCCC LXXXV.]
In-f° (330 x 460 mm.) broché, [2 bl.], (pp. 53-110),
[1 (titre le partie de la livraison suivante)], [3 bl.] p.,
23 illustrations (9 croquis et plans, 8 vignettes gravées
dans le texte, 1 lettrines en rouge et noir, 5 grandes gravures
hors texte, ces gravures sont doublées par un tirage sur
papier Japon), exemplaire en bel état malgré des
rousseurs aux pp. 97-100.
M. Léon
Palustre vient de reprendre la publication dont nous avons annoncé
ici les premiers fascicules. Deux livraisons ont paru dans le
courant de l'année 1885 ; elles embrassent tous les
monuments de la Renaissance compris dans les départements
formés de l'ancienne province de Bretagne.
L'étude de ce pays, qui a toujours conservé
une si frappante originalité, inspire à M, Palustre
des observations intéressantes. Ainsi, les monuments de
la Renaissance présentent ici un caractère singulier.
L'accessoire prend bien plus d'importance que le monument lui-même.
Tandis que l'église et le sanctuaire conservent des proportions
modestes, les constructions secondaires, le clocher, le porche,
la sacristie, l'ossuaire atteignent parfois des dimensions démesurées.
La Bretagne n'a guère connu le style gothique avant la
fin du XVe siècle ; la nature des matériaux
qu'elle tire de son sol a toujours imposé à ses
architectes une grande sobriété dans la décoration
des édifices. La cathédrale de Quimper est le type
de l'église de style flamboyant. Là, comme partout
ailleurs, la construction principale est négligée ;
aucune église de Bretagne ne possède de déambulatoire
autour du chur. Tout le soin de l'architecte se porte sur
les détails et les accessoires. Tels sont les caractères
essentiels de l'architecture religieuse bretonne d'après
M. Palustre.
Le tombeau de Guillaume Guégen serait
le premier monument breton inspiré par les modèles
de la Renaissance. M. Palustre a eu la bonne fortune de le découvrir
derrière une boiserie de la cathédrale de Nantes ;
dans la même église, se trouve une chapelle, dite
de Thomas le Roy, datant à peu près de la même
époque. La chapelle du Saint-Sacrement, dans la cathédrale
de Vannes, érigée pour servir de monument funéraire,
fut élevée en 1537. Elle offre de frappantes analogies
avec la décoration du prieuré de Piaule, construit
vers 1532 par un artiste qui a signé son uvre. C'est
un Italien nommé Jean Danielo, dont la biographie est
esquissée par M. Palustre à grands traits.
Puis, l'auteur passe successivement en revue l'église
Notre-Dame, de Guingamp, construite de 1535 à 1581, le
clocher de l'église Saint- Matthieu, à Morlaix,
érigé par Yves Groazec en 1548, l'église
de Bulat, bâtie en 1552 par Fouquet Jehanou, la table à
offrandes de cette même église, monument unique
en son genre, l'absidiole de la chapelle du château, à
Vitïé, la cathédrale de Rennes, dont le chur
fut commencé par Thomas Pihourt en 1527, enfin, la chapelle
de Kerfons, près Lannion, datée de 1559.
La Bretagne est le pays par excellence des
clochers à flèche aiguë. L'architecte de Saint-PoL
de Léon, nommé Greizker, a donné l'exemple.
Ce modèle a eu beaucoup d'imitateurs. M. Palustre cite
et décrit les clochers de Landivisiau (fin du XVIe siècle),
de Pontcroix, de la Roche- Maurice, de Berven (1575), de Pleyben.
Il passe ensuite aux porches des églises
(p. 39). Ils prennent, au XVIe siècle, une importance
excessive, dont le moyen âge offre peu de spécimens.
La Bretagne en possède un certain nombre. Les plus remarquables
ayant date certaine se voient à Bulat (1520), à
Daoulas (1566), à Landerneau (1616), à Bodilis
(1601), enfin à Pleyben, Saint-Thégon- nec, Ploudiry,
Guimiliau.
Certains bénitiers, ceux de Landerneau
et de La Martyre (1601) notamment, constituent de petits monuments
complets, qui méritent d'attirer un instant l'attention.
Nulle province n'a donné à la
décoration des ossuaires et des chapelles des cimetières
une importance égale à celle que ces différents
monuments ont reçue en Bretagne. Le plus vaste de ces
ossuaires, qui rappellent la forme consacrée des châsses,
se trouve à Saint-Thégonnec. Après celui-là,
M. Palustre cite ceux de la Roche-Maurice et de Ploudiry (1635),
ornés l'un et l'autre d'une curieuse Danse macabre, puis
ceux de Sizun (1588), de Pencran (1594), de La Martyre (1619),
enfin celui de Roscoff, percé de nombreuses fenêtres,
mais sans porte.
Les petites chapelles du cimetière de
Saint-Jean-du-Doigt et de Plougasnon, cette dernière d'une
si bizarre originalité, appartiennent aussi à la
catégorie des monuments funéraires. L'entrée
monumentale du cimetière de Saint-Thégonnec est
encore un exemple remarquable du culte pieux des Bretons pour
les morts.
Avec l'arc de triomphe de Sizun (1588), l'auteur
arrive à une série de monuments bien particuliers
à la Bretagne. Nulle part un aussi grand développement
n'a été donné à ces calvaires, qu'il
était d'usage d'édifier jadis à l'entrée
des villages. Les plus connus et les plus remarquables sont les
calvaires de Plougouven, près Morlaix (1554), de Guimiliau
(1581-1588), de Plougastel-Daoulas (1602-1604), de Saint-Thégonnec
(1610), de Pleyben (1650). Ce dernier, construit par Yves Ozanne,
bien que d'une date assez rapprochée, a conservé
les traditions archaïques du siècle précédent.
Les fontaines sacrées, rendues nécessaires par
la multiplicité et l'affluence des pèlerinages,
affectent quelquefois un caractère architectonique remarquable,
comme à Guingamp et à Saint-Jean-du-Doigt.
Les vitraux encore existants dans les églises
de Bretagne offriraient à eux seuls un vaste sujet d'études.
M. Palustre les rattache à trois centres différents
de fabrication, qu'il place à Rennes, à Tréguier
et à Quimper. On connaît les noms de nombreux verriers
bretons du XVIe s., mais il a été impossible jusqu'ici
de déterminer l'uvre de ces habiles maîtres.
Les plus beaux vitraux de Bretagne, ceux de l'église des
Iffs, portent la date de 1587.
À part celui de Folgoat, qui est en
pierre de Kersanton, presque tous les jubés de Bretagne,
notamment ceux de Roche-Maurice, de Saint- Fiacre, de Lambader,
de Kerfons, de Saint-Herbot et de Sainte-Avoye, sont en bois.
Le jubé de Sainte-Croix de Quimperlé, dont il ne
reste que des fragments, mais dont on connaît la date (1540),
fut construit par -exception en pierre.
L'auteur arrive ensuite (p. 76) à un
des monuments les plus célèbres de la province,
le tombeau du dernier duc de Bretagne, François II,
érigé par les soins de la reine Anne dans l'église
des Carmes, et rétabli, en 1817, dans la cathédrale
de Nantes. Grâce aux travaux de ceux qui l'ont précédé,
M. Palustre a pu reconstituer la biographie du grand artiste
tourangeau, qui a attaché son nom à l'exécution
de ce chef- d'uvre. D'après lui, Michel Colomb serait
l'auteur des principales figures, des gisants et des statues
allégoriques des angles.
M. Palustre arrive ensuite à la description
de ce tombeau de Michel Guégen, conservé dans la
cathédrale de Nantes, dont on lui doit la découverte.
Il s'occupe ensuite du remarquable monument élevé,
après 1504, à la mémoire de Thomas James
dans la cathédrale de Dol. Ce tombeau est l'uvre
des deux frères Antoine et Jean Juste. M. Palustre conteste
la participation du troisième frère André
Juste, dont il ignore l'âge et la véritable qualité.
Or, d'une pièce contemporaine, publiée naguère
dans les Nouvelles Archives de l'Art français (1879, p.
8-10), il résulte qu'André était sculpteur
ou imagier comme ses frères, et qu'âgé de
vingt-six ans en 1513, lors de sa naturalisation, il était
né en 1587.
Le tombeau de Guy d'Espinay, à Ghampeaux,
exécuté de 1551 à 1553 par un auteur inconnu,
offre de très curieux essais de polychromie.
Pour terminer la revue des édifices
que le XVIe siècle a laissés en Bretagne, M. Palustre
décrit sommairement les châteaux de Châteaubriant,
de Nantes, de la Motte-Glain, de Josselin, de Haute-Goulaine,
de Blain, de Kerjean ; le dernier, surnommé le Versailles
de la Bretagne, avec ses allures de forteresse, a été
édifié par un architecte inconnu, sur un plan gigantesque.
Les curieuses maisons de Morlaix, dites à lanterne, et
celles de Saint-Brieuc, qui portent la date de 1572, terminent
cette étude.
L'infatigable et consciencieux collaborateur
de M. Palustre, M. Eugène Sadoux, a exécuté
presque seul toutes les illustrations de ces deux livraisons,
dessins et eaux-fortes. Notons, à ce sujet, une innovation
imposée probablement par des mesures d'économie.
Tandis qu'auparavant toutes les vues d'ensemble ou de détail
étaient gravées à l'eau- forte, un certain
nombre de dessins sont reproduits cette fois par les procédés
nouveaux, qui permettent de les tirer avec le texte. Le lecteur
n'y perd rien, car cette modification a permis d'augmenter le
nombre des gravures.
Voici la liste des monuments reproduits dans
ces deux livraisons :
- 11e livr. : François II, duc
de Bretagne, par Michel Colomb - Sacristie de l'église
de Bulat (pl. hors texte) - Abside de Sizun - Tombeau de Guillaume
Guegen - Chapelle de la collégiale Notre-Dame, à
Nantes - Chapelle du Saint-Sacrement, à Vannes - Porte
occidentale de l'église de Guingamp - Clocher de l'église
Saint-Matthieu, à Morlaix - Table à offrandes de
l'église de Bulat - Absidiole de la chapelle du château,
à Vitré - Chapelle de Kerfons - Clocher de Pleyben
(pl. hors texte) - Clocher de la Roche-Maurice - Clocher de Berven
- Sacristie de l'église de Bulat (pl. hors texte) - Porche
de l'église de Ploudiry - Intérieur du porche de
Guimiliau - Bénitier de Landerneau - Bénitier de
La Martyre - Ossuaire de Saint-Thégonnec (pl. hors texte)
- Ossuaire de Roscoff - La chapelle de Saint-Jean-du-Doigt. -
Chapelle de Plougasnou.
- 12e livr. : Les neveux de Thomas James
à la cathédrale de Bol - Entrée du cimetière
de Saint-Thégonnec - Arc de Sizun - Fontaine de Saint-
Jean-du- Doigt (pl. hors texte, gravée par L. Gautier)
- Jubé de la Roche-Maurice - Fragment du jubé de
Quimperlé - Tombeau de François II (pl. hors
texte, gravée par Gaujean) - Visage extérieur de
la Prudence, par Michel Colombe - Statue de François Hamon,
évêque de Nantes - Tombeau de Bol (pl. hors texte)
- Tombeau de Guy d'Espinay, à Champeaux - Machicoulis
du château de Nantes - Château de Châteaubriant
(pl. hors texte) - Grand escalier de Châteaubriant - Porte
à Dinant - Château de Kerjean (pl. hors texte) -
Chapelle de Kerjean - Entrée du château de Kerjean
- Puits de Kerjean - Château de Carheil - Maison de 1572,
à Saint-Brieuc - Détail du jubé de Quimperlé.
Jules Guiffrey, La Renaissance en France,
11e et 12e livraisons, par Léon Palustre, dans Bibliothèque
de l'École des chartes, vol 47, 1886, pp. 125-129.
Les deux livraisons :
100 euros (code de commande : 20400).
PALUSTRE
(Léon) La Renaissance en France par Léon
Palustre. Illustrations
sous la direction de Eugène Sadoux. Quinzième
livraison. Poitou (2me partie), Saintonge, Aunis et Angoumois.
Exemplaire sur papier de Hollande. Paris,
Quantin, 1889. [Paris,
A. Quantin, Imprimeur-Éditeur, 7, rue Saint-Benoît.
M DCCC LXXXIII.] In-f° (330
x 460 mm.) broché, [88 (pp. 229-316)] p., 100 illustrations
(66 lettres, écussons et figures, 16 croquis, 9 vignettes
gravées dans le texte, 2 bandeaux de tête de chapitre,
2 lettrines en rouge et noir, 5 grandes gravures hors texte à
pleine page, ces dernières sont doublées par un
tirage sur papier Japon), exemplaire en bel état malgré
quelques petites déchirures aux marges de la couverture
et traces de plis.
Nous
avons suivi avec un vif intérêt, depuis son début,
la grande publication consacrée par M. Léon Palustre
aux uvres de la Renaissance française et poursuivie
depuis tantôt dix ans avec un courage et une persévérance
infatigables. [...] Beaucoup d'écrivains s'occupent, depuis
un certain nombre d'années, d'explorer cette partie de
l'histoire nationale. Nul n'y a mis la méthode et l'érudition
dont a fait preuve M. Palustre. Le sujet a été
complètement renouvelé par lui et ceux qui le traiteront
dorénavant seront contraints de le suivre ou de le copier.
Un autre mérite de l'auteur, c'est d'avoir
mis toute sa vie, toute son intelligence dans une uvre
de longue haleine, sans se préoccuper du succès,
ni des récompenses. Avec les matériaux qu'il a
amassés, avec les notes et les croquis rapportés
de ses incessantes pérégrinations dans toutes les
localités dont il avait à s'occuper, M. Palustre
aurait pu écrire dix volumes, rédiger cent mémoires,
s'il avait possédé l'art, trop commun aujourd'hui,
de retourner un sujet sous toutes ses faces et de tirer, qu'on
me passe l'expression, trois ou quatre moutures du même
sac. Encore M. Palustre aurait-il eu une excuse s'il avait agi
comme tant d'autres ; mais il n'a regardé ni aux
frais, ni aux fatigues et au temps. Il ne se laisse détourner
de son but par aucun intérêt étranger à
son entreprise même. N'avons-nous pas raison de le louer
d'un courage et d'une application si rare ? [...]
[La livraison présentée ici]
passe en revue les uvres de la Renaissance dans les départements
formés par les anciennes provinces de Poitou [2e partie],
d'Angoumois, d'Aunis et de Saintonge. Suivant une règle
adoptée depuis l'origine, l'auteur s'occupe successivement
des édifices religieux, des châteaux, des maisons
particulières, enfin des détails d'architecture,
tels que cheminées, fontaines, etc.
Dans la région qu'il parcourt aujourd'hui,
un certain nombre d'édifices célèbres [...]
ont disparu. Mais les châteaux d'Oiron [...] de la Rochefoucauld,
de Dampierre-sur-Routonne, d'Usson, [...] offrent les types caractéristiques
d'une architecture qui rappelle bien souvent les édifices
les plus fameux des bords de la Loire. La plupart de ces grandes
constructions sont attribuées par M. Palustre à
deux architectes dont l'influence aurait été prépondérante
en Anjou et en Poitou, Jean de Lespine et François Charpentier.
À ce dernier seraient dus notamment les plans et la décoration
de Thouars, d'Oiron et de Ronnivet. [...]
Le texte de M. Palustre est accompagné,
comme par le passé, de ces magistrales gravures de M.
Sadoux qui font de la Renaissance en France un ouvrage sans rival.
Une liste sommaire de ces planches permettra de juger de l'intérêt
de [cette dernière livraison], terminée par les
tables, contient cinq grandes eaux-fortes : le tombeau d'Arthus
Gouffier à Oiron, deux vues du château de la Rochefoucauld,
le château d'Usson et une maison de la Rochelle. Les planches
intercalées dans le texte représentent le château
de la Roche-du- Maine, une sculpture symbolique, du château
de Bonnivet, la galerie extérieure du château de
la Rochefoucauld, deux vues de la chapelle du même château,
la maison Saint-Simon à Angoulême, deux vues de
l'église de Lonzac, la tour d'Usson, le puits de Saint-Jean-d'Angely,
l'hosannaire de Moëze ; enfin les dessins à
la plume reproduisent [...] l'escalier du. château de la
Rochefoucauld, une fontaine près Ruelle, un pendentif
de Pranzac, le château d'Usson et une gargouille du même
château, le château de Dampierre et plusieurs des
caissons qui décorent le même édifice.
Jules Guiffrey, La Renaissance en France,
fin du tome III : Anjou, Poitou, Saintonge, Aunis et Angoumois,
par Léon Palustre, dans Bibliothèque de
l'École des chartes, vol. 50, 1889, pp. 455-458.

Le château de La Rochefoucauld (gravure à pleine
page en regard de la p. 270).
60 euros (code de commande
: 19804).
[PATIO
DE L'INFANTE]. Vente aux enchères publiques du Patio
de l'Infante époque de la Renaissance. À Paris, 25, quai Voltaire. Le jeudi
30 juin 1938, à onze heures. Commissaire-Priseur Me Maurice
Michaud. Assisté de M. Édouard Pape. Paris, 1938. In-4° agrafé, 14 p.,
6 planches hors texte, exemplaire en bel état de ce rare
catalogue auquel on joint la carte d'invitation à l'exposition.
Introduction :
Une
des merveilles « secrètement illustres »
de Paris !
Le passant qui longe le quai Voltaire n'en
peut soupçonner la présence. Il s'éloigne
du numéro 25 sans savoir qu'il vient de frôler un
des plus somptueux joyaux de la Renaissance Espagnole. Mais l'érudit,
le Conservateur de Musée, l'antiquaire averti et certains
amateurs d'outre-Atlantique, à qui nos pierres et nos
marbres séculaires parlent avec tant d'éloquence
le connaissent bien.
Le « Patio de l'Infante » !
Il semble qu'un écho affaibli murmure
le titre d'un autre recueil d'Albert Samain. C'est là,
dans ce « patio » miraculeux et non au
« jardin » irréel, que le poète
eût plus justement soupiré son vers nostalgique :
Mon âme est une
infante en robe de velours...
Ces galeries, ces médaillons, ces cariatides,
ont vu passer les brocarts les plus éblouissants, des
perles et des diamants incomparables, toutes les richesses de
l'Ancien et du Nouveau Monde. La Cour la plus fastueuse qui ait
jamais existé, celle de Charles-Quint, a promené
sous les légères arcades ses jeux ardents où
l'ambition, l'intrigue, la poursuite de la volupté, alternaient
avec les exigences de l'étiquette et d'une impérieuse
dévotion.
L'édifice fut en effet élevé
à Saragosse, Calle San Jorge, en 1550, par Don Gabriel
Zaporta, banquier de l'Empereur. Le financier appela à
son aide des sculpteurs italiens ou français, mais il
confia la plus grande partie des travaux à Tudelilla.
La date précitée, est, au demeurant, par deux fois
gravée dans la pierre.
Dès le XVe siècle, un style dénommé
« plateresque », à cause de sa ressemblance
avec des motifs d'orfèvrerie, apparaissait. Il prenait
ses racines dans la tradition antique, sans renoncer tout à
fait à l'apport gothique ou aux éléments
arabes.
Toutefois, le « Patio de l'Infante »
se place entre l'influence de A. Berruguete et celle de F. Ruiz.
Son histoire est désormais élucidée.
Il passe presque directement de Don Zaporta
à l'Infant Don Louis, fils de Charles-Quint, qui vient
y abriter ses amours avec la belle Dame de Villabrija, pour laquelle
il renonce à l'Évéché de Tolède.
Le chef-d'uvre devient le bien de la
Chartreuse de la Conception. Il est possédé ensuite
et successivement par Don Miguel Leonardi de Albrun, puis par
les familles de Franco et de Segovia y Armigo.
Comment l'incomparable uvre d'art a-t-elle
quitté les rives de l'Ebre pour celles de la Seine ?
Tout simplement parce qu'un antiquaire célèbre,
Monsieur F. Schutz, de passage à Saragosse, le vit, s'enthousiasma,
et, après des luttes mémorables avec les autorités
espagnoles, le réédifia quai Voltaire, pour la
plus grande joie de ses contemporains.
Sans doute, ne songea-t-il jamais sérieusement
à le vendre. Il aimait sa conquête et n'acceptait
pas de s'en séparer. D'autre part, ses collections sans
rivales trouvaient là un cadre digne d'elles.
Aujourd'hui, le « Patio de l'Infante »
est devenu la propriété de la fille adoptive de
M. Schutz, Madame Bodard Darboy, dont le goût délicat
veille sur le chef-d'uvre avec la même ferveur que
par le passé.
Quel sera son nouveau destin ? L'incomparable
« Patio » de Saragosse, plus accompli,
dit-on, que celui de la Casa Dalmases, à Barcelone, plus
original que ceux de Valladolid, Salamanque ou Burgos, va-t-ïl
enfin trouver l'ultime repos ?

Page de titre et vue du « patio ».
25 euros (code de commande
: 22663).
Photographier
l'Architecture 1851-1920. Collection du Musée des Monuments
Français. Paris,
Réunion des Musées Nationaux, 1994. In-4° carré
broché, 247 p., nombreuses reproductions en noir.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée aux Musée
national des Monuments français, à Paris, du 18
mars au 20 juin 1994, puis au Musée des Beaux-Arts de
Marseille, Palais Longchamp, du 1er juillet au 1er septembre
1994.
Sommaire :
- Les infortunes de l'objectivité,
par Guy Cogeval.
- Photographie, photographes, architecture,
le point de vue d'un photographe, par Gilles Walusinski.
- Des documents d'une apparente objectivité,
par Anne de Mondenard.
- Album.
- Catalogue des uvres exposées,
par Anne de Mondenard.
- Biographies.
- Glossaire technique.
- Bibliographie sélective.
- Index des noms cités.
25 euros (code de commande
: 27771).
[PIERRE].
Pierre éternelle.
Du Nil au Rhin. Carrières et préfabrication. Coordination scientifique : Marc Waelkens.
Bruxelles, Crédit Communal, 1990. In-4° broché
sous couverture à rabats, 246 p., nombreuses illustrations
en noir et en couleurs.
Ouvrage
publié à l'occasion de l'exposition éponyme
organisée au Passage 44, à Bruxelles, du 12 octobre
au 2 décembre 1990.
Table des matières :
- Avant-propos, par François
Narmon.
- Introduction, par Marc Waelkens.
1. Extraction de matériaux lithiques
et préfabrication dans la préhistoire, par
Pierre M. Vermeersch et Philippe Van Peer.
2. Roches et exploitation de la pierre
dans lÉgypte ancienne, par Rosemarie
et Dietrich Klemm.
3. Extraction et prémanufacture
dans le monde hittite, par Marc Waelkens.
4. Carrières et préfabrication
dans le monde néo-assyrien, par Julian Reade.
5. Technique de carrière, préfaçonnage
et ateliers dans les civilisations classiques (mondes grec et
romain), par Marc Waelkens.
6. Considérations sur le travail
de la pierre dans la culture perse, par Cari Nylander.
7. Considérations sur les carrières
de Palmyre en Syrie, par Andréas Schmidt-Colinet.
8. Carrières des empereurs romains,
par Clayton Fant.
9. Objets de marbre finis, semi-finis
et inachevés du Proconnèse, par Nusin Asgari.
10. Les méthodes de travail
des sculptures antiques et leur signification dans lhistoire
de la culture, par Dietrich Boschung et Michael
Pfanner.
11. Bronze grec original, moulage en
plâtre et copie romaine en marbre, par Christa Landwehr.
12. Le marbre de la tête dAlexandre
à Genève, par Luc Moens et Paul De
Paepe, Danielle Decrouez, Karl Ramseyer, Vincent
Barbin, Jean-Louis Maier et Jacques Chamay.
- Catalogue.
30
euros (code de commande : 30088).
PIRAZZOLI-t'SERSTEVENS
(Michèle) Chine. Documentation
par Nicolas Bouvier, assisté par Denise Blum.
Fribourg, Office du Livre, 1970. Petit in-4° carré
sous cartonnage illustré d'éditeur, 192 p.,
nombreuses illustrations, (collection « Architecture
Universelle »).
Table des matières
:
- Préface.
Chapitre 1. Contexte culturel.
Chapitre 2. Urbanisme.
Chapitre 3. Palais et temples impériaux.
Chapitre 4. Architecture religieuse - Architecture
funéraire.
Chapitre 5. Habitations et jardins.
- Tableau chronologique.
- Bibliographie.
15 euros (code de commande
: 25562)..
PLISSART (Marie-Françoise) et PEETERS
(Benoit) Bruxelles horizon vertical. Verticale Horizonten.
Vertical Horizon. Bruxelles,
Prisme éditions, 1998. In-4° sous reliure et jaquette
d'éditeur, [114] p., très nombreuses reproductions
photographiques en couleurs, éditions trilingue français-néerlandais-anglais.
Sur la jaquette :
Je croyais connaître Bruxelles. Mais
en prenant de la hauteur, la photographie en fait un espace neuf,
intrigant.
Dans le chaos, elle trace des lignes, dessine
des figures, révèle des structures inattendues.
Au premier coup d'il, souvent, je ne m'y retrouve pas.
Les lieux les plus familiers me déconcertent.
Où sommes-nous ? D'où cette vue a-t-elle été
prise ? Quelle est donc cette avenue, ce parc immense ?
La ville, d'abord, redevient étrangère.
25 euros (code de commande
: Archi023).
[POELAERT
(Joseph)]. Poelaert et son temps. Bruxelles,
Crédit Communal de Belgique, 1980. In-4° broché,
319 p., nombreuses illustrations en noir et quelques-unes
en couleurs, cachet de bibliothèque à la page de
titre, petit accroc au coin supérieur gauche du premier
feuillet de couverture, peu courant.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée au Palais de
Justice de Bruxelles, du 29 novembre au 27 décembre 1980.
Table des matières :
- Préface, par E.C. Klein.
- Poelaert et son temps, par V.G.
Martiny.
- L'urbanisme à Bruxelles à
l'époque de Poelaert, par Y. Leblicq.
- Le métal dans l'architecture
au XIXe siècle, par R. Vandendaele.
- Les formes et l'espace dans l'architecture
de l'historicisme, par P. Philipot.
- Historicisme et architecture monumentale,
par P. Loze.
- Poelaert, ses professeurs, ses contemporains
et ses émules (Verly François - Suys Tilman François
- Partoes Henri Louis François - Coppens François
- Payen Auguste - Peeters J.P.J. - Spaak Louis - Dumont Joseph
Jonas - Cluysenaar Jean-Pierre - Poelaert Joseph - De Curte Louis
- Van Overstraeten Henri Désiré Louis - Balat Alphonse
- Suys Léon Pierre - Beyaert Henri - Jamaer Pierre Victor
- Bordiau Gédéon - Janssens Wynand - Janlet Charles-Émile
- Baes Jean - Horta Victor), par M. Baugnée,
M. Festre, V. Goblet, F. Leuxe, G. Paulus,
M. Populaire, E. Riccardi, K. Sobieski,
D. Vautier, sous la direction scientifique de P. Loze.
- Les deux Palais de Justice de Bruxelles
au XIXe siècle, par Y. Leblicq.
- La décoration du Palais de
Justice de Bruxelles, par M.-A. Geerinck.
- Images de l'architecture en Belgique
dans les lettres de langue française de 1830 à
1914, par R. Massant.
- Les sources relatives à l'architecture
et l'urbanisme bruxellois du XIXe au début du XXe siècle,
par A. Smolar-Meynart.
40 euros (code de commande
: 24562).
POUILLON
(Fernand) Mémoires d'un architecte.
Paris, Seuil, 1968. In-8° broché, 480 p., illustrations
hors texte, une tache sur la couverture.
En quatrième
de couverture :
Dans une chambre oü il s'est réfugié a Fiesole,
un évadé parle. Il est recherche par toutes les
polices du monde. Il s'appelle Fernand Pouillon.
Sa réussite a été sensationnelle ;
il a couvert de ses chantiers la France, l'Algérie, l'Iran.
Et finalement, le C.N.L. sombre « affaire »
l'a plaqué au sol.
Livré par la Presse en pâture
a l'opinion publique, il veut à son tour, sans contrainte,
dire sa vérité, dire tout : ses débuts
à Marseille, les étapes d'une carrière fulgurante,
les hommes qu'il a affrontés, les succès qui lui
ont révèlé sa solitude intérieure,
les avanies qui l'ont forcé jusqu'en son recreux.
Le récit continue en prison : c'est
Ie journal d'un « grand proces » où
l'on découvre l'envers du décor...
Depuis lors, le bâtisseur a repris son
uvre ; il a fait sortir de terre des dizaines de chantiers.
Mais ceci est une autre histoire : celle que Fernand Pouillon
continue de vivre, celle qu'un jour il écrira sans doute.
15 euros (code de commande
: Archi024).
PRACHE
(Anne) Cathédrales d'Europe. [Anvers],
Bibliothèque des Amis du Fonds Mercator, 1999. In-4°
sous reliure toilée et jaquette d'éditeur, 278 p.,
riche iconographie en couleurs, bel exemplaire.
Table des matières
:
Introduction.
1. De l'église antique à la cathédrale
médiévale.
- L'église. Une
création du IVe siècle.
- La cathédrale
du haut Moyen Âge.
- Les
circonstances historiques.
- L'art
des cathédrales.
- La cathédrale
carolingienne.
- Les
circonstances historiques.
- L'art
des cathédrales.
- Le
décor, le mobilier et les trésors.
2. Les cathédrales ottoniennes et romanes.
- Les circonstances
historiques.
- Les cathédrales
ottoniennes.
- L'architecture
des cathédrales.
- La
sculpture mobilière.
- Les
trésors et les manuscrits enluminés.
- La
peinture de manuscrits hors de l'Empire.
- Les cathédrales
romanes.
- Les
structures architecturales.
- Les
cathédrales d'Europe centrale et de Scandinavie.
- Les
cathédrales d'Italie et de Sicile.
- Les
cathédrales de la péninsule Ibérique.
- Les
cathédrales de France et de Belgique.
- Les
cathédrales britanniques.
- Le
décor, le mobilier et les trésors.
3. Les cathédrales gothiques.
- Les circonstances
historiques.
- De
la fin du XIIe à l'achèvement du XIIIe siècle.
- La
crise du XIVe siècle.
- La
fin du Moyen Âge.
- Les premières
cathédrales gothiques.
- L'art
de bâtir.
- Les
cathédrales gothiques du XIIe siècle.
- La
cathédrale française du XIIIe siècle.
- La
diffusion des cathédrales gothiques.
- Les cathédrales
de la fin du Moyen Âge.
- Les
cathédrales britanniques.
- Les
cathédrales d'Europe centrale.
- Les
cathédrales d'Italie.
- Les
cathédrales de France.
- Les
cathédrales d'Espagne.
- Le
décor, le mobilier et les trésors.
- Conclusion.
- Notes.
- Bibliographie.
- Index analytique.
- Les manuscrits liturgiques enluminés.
- La polychromie des sols et des intérieurs.
- La quiétude des cloîtres
cathédraux.
- Les portails sculptés des façades.
- La lumière colorée des
vitraux.
35 euros (code de commande
: 24398).
Pskov. Art treasures and architectural monuments
12th - 17th centuries. Architectural
Monuments - Ancient Fortresses : Izborsk and Pechory - Frescoes
- Icons of the Pskovian School - Minor arts - Illuminates Mss.
Leningrad, Aurora Art Publishers, 1978. Grand in-4° sous
reliure et jaquette d'éditeur, 197 p., nombreuses illustrations
en couleurs.
Extrait :
Old Russian cities have a special charm. In
many cases, much of the original city has been preserved, and
the cities themselves have thus remained living symbols of the
great epochs in Russian history.
Even the casual visitor is not likely to forget
these old cities, each of which has its own particular fascination.
The city of Suzdal, for example, is noted for its peace and serenity ;
its quiet streets naturally dispose one towards contemplation
and reflection. On the island of Kizhi, the silver cupolas of
the Church of the Transfiguration take one's breath away, no
matter how many times one has seen them. The churches of Novgorod
(some miraculously survived the War of 1941-45, others were restored
or renovated), especially the gold-domed Cathedral of Hagia Sophia,
cannot but evoke admiration for the medieval architects that
built them. It is no exaggeration to compare the entire city
of Novgorod to a museum. The monastery town of Kirillov similarly
has a fairy-tale quality; and the churches and palaces of the
Rostov Kremlin and the frescoes of Dionysius at Ferapontovo are
simply unforgettable. Of course, one of the most profound impressions
is left by Pskov, an exceptionally beautiful city in north-west
Russia.
Pskov, like many old Russian cities, has not
remained unchanged over the centuries, so there is little harmony
between its mediaeval buildings and its modern housing complexes
and factories. But old Pskov that is, its architecture
and its general layout is still an essential part
of the city ; it influences its overall aspect and helps
to preserve the unique charm of the small corners of old Russia
that have survived to this day.
During the War of 1941-45, the Nazis did not
destroy Pskov in the systematic way they devastated Novgorod.
Nevertheless, many houses, factories and bridges were demolished.
Unfortunately Pskov's architectural monuments did not escape
untouched. The gilding was removed from all five domes of the
Cathedral of the Trinity ; and the renowned Pogankin Palace,
the fortified walls of the old Kremlin, and the fortifications
of the Okolny Gorod (« surrounding wall »)
were blown up by the Nazis.
The rebuilding of Pskov began immediately after
the war. On November 1, 1945, a decree of the Soviet Government
included Pskov among the fifteen old Russian cities given top
priority in reconstruction.
As the vital work of reconstruction was carried
out, efforts were also made to save the priceless relics of old
Pskov. The restoration emphasized that each architectural monument
be approached on its own terms and that the city's specific outlines
be taken into account. Thanks to the success of the work of reconstruction,
Pskov has now become a place of pilgrimage for all those who
cherish their country's cultural heritage.
The history of old Pskov was a constant struggle
for independence, a struggle against foreign invasions, and against
pretentions of neighbouring principalities to the lands that
by law belonged to Pskov. Epochs of prosperity in the Pskov republic
alternated with periods of decline.
20 euros (code de commande
: Archi025).
Resurgam.
La reconstruction en Belgique après 1914. Direction scientifique : Marcel Smets.
Bruxelles, Crédit Communal, 1985. In-4° broché,
247 p., nombreuses illustrations, bel exemplaire.
Cet
ouvrage a été publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée par le Centre
d'Histoire Urbaine - Leuven, au Passage 44, à Bruxelles,
du 27 mars au 30 juin 1985.
Table des matières :
- Avant-propos, par François
Narmon.
- Introduction : La reconstruction
: un sujet de recherche, par Marcel Smets.
- La reconstruction ou l'heure de vérité,
par Geert Bekaert.
- Les efforts internationaux pour une
Belgique moderne, par Pieter Uyttenhove.
- La reconstruction belge ou le passage
de l'art urbain à l'urbanisme, par Marcel Smets.
- Le rôle des institutions,
par Herman Stynen.
- L'architecture de la reconstruction
entre le fond et la forme, par Jo Celis.
- L'architecte entre l'image et la
réalité, par Ronny De Meyer.
- La crise du logement et le problème
du logement provisoire en Belgique après la Première
Guerre mondiale, par Ronny Gobyn.
- L'expérience des cités-jardins
dans le contexte de la reconstruction de la Belgique après
1918, par Jan Maes.
- Notices biographiques, bibliographie.
25 euros (code de commande
: 27598).
[RUDOLPH (Paul)]. Paul Rudolph. Introduction and notes by Rupert Spade
with photographs by Yukio Futagawa. London, Thames and
Hudson, 1971. In-8° sous reliure d'éditeur, 134 p.,
nombreuses reproductions en noir et en couleurs, (collection
« Masters of Modern Architecture »), dos passé.

Crawford Manor (housing
of the elderly), New Haven,
pp. 58-59.
10 euros (code de commande
: Archi027).
SAINT
GIRONS (Baldine) Esthétiques
du XVIIIe siècle. Le modèle français.
Paris, Philippe Sers, 1990. Fort in-4° broché sous
couverture rempliée, 724, [16] p, index, illustrations
en noir, (collection « Dictionnaires des Sources »),
bon exemplaire, peu courant.
Sur le rabat de la
couverture :
Destiné
aux étudiants d'abord, mais également à
tous les amateurs d'art, cet ouvrage présente une remarquable
et très complète anthologie de textes sur l'art
et la façon dont l'on ressentait la nature en France,
au siècle des Lumières.
Le XVIIIe siècle n'a-t-il pas inventé
tout à la fois l'esthétique, la critique et l'histoire
de l'art ? Si l'Italie est, au XVIIIe siècle, foyer
incomparable de toute réflexion de nature esthétique,
l'impulsion donnée par la philosophie anglaise empiriste
et expérimentale pose la question des rapports du beau
avec l'impression du sensible et le sentiment, tandis qu'à
la fin du siècle l'influence de l'Allemagne grandit. Paris
reste pendant tout le siècle « la boussole
des nations » et, selon Hume, « le paradigme
du bon goût ».
Les beaux-arts évoluent, entre la première
et la seconde moitié du XVIIIe siècle, du baroque
vers le néo-classicisme. Le siècle commence dans
l'exubérance et la variété pour s'assujettir
ensuite à des normes contraignantes. Des catégories
d'hommes fort différentes s'intéressent à
l'art : les philosophes, les artistes et ceux qu'on appelle
« les antiquaires », c'est-à-dire
les archéologues, les amateurs et les collectionneurs
d'art.
Baldine Saint Girons nous réintroduit
au cur de tous ces débats en les recentrant par
la restitution de textes introuvables et de voix oubliées.
60 euros (code de commande
: 26701).
SARAZIN
(A.) et JEANSON (D.) Maisons rurales du val de Loire.
Touraine, Blésois, Orléanais,
Sologne. S.l., Serg, 1976. In-4° sous reliure et jaquette
d'éditeur, 115 p., nombreuses illustrations en noir.
Table des matières
:
Le Val de Loire.
Le Val (données géologiques -
les matériaux de construction - données économiques
- la maison
paysanne
- logis seigneuriaux et maisons de maîtres - la maison
de bourg).
La Sologne (coutumes rituelles - le village
solognot - les structures traditionnelles de la construction
-
le
colombage - le hourdis - les ouvertures - les lucarnes - la toiture
- la cheminée - les puits - les
dépendances
- la bergerie).
La Touraine (fermes et closeries - les bâtiments
d'exploitation - la maison de bourg - la cave demeurante -
logis
seigneuriaux et maisons de maîtres - la grotte ou loge
de vigneron - la loge de bûcheron).
Le Blésois et l'Orléanais (la
maison du Perche - la maison beauceronne - le Val de Loire blésois
- le
Val
de Loire orléanais (la maison de vigneron, la maison de
marinier, la maison de maraîcher, les
vendangeoires)
- Gâtinais, Puisaye et forêt d'Orléans - la
halle, la tuilerie - le moulin.
15 euros (code de commande
: 28346).
SCHÖNING
(Stefan) Release.01. Preface
by Françoise Foulon. Essay by Max Borka.
Oostkamp, Stichting Kunstboek, 2008. In-4° broché,
190 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs,
édition trilingue (anglais, français, néerlandais),
envoi de l'artiste, bel exemplaire.
Texte de Roberta Mutti
sur la couverture :
If
Stefan has a characteristic style at ail, perhaps it is in his
Folder chair that we can find it, one of his first important
projects : his ability to merge different cultures and bring
materials that are readily available into contact with manual
skills from far-off lands. Although today, his skill at responding
to the practical demands of his clients makes him appear almost
chameleon-like, his ironie spirit remains intact. That may be
one of the most attractive features any designer could offer :
the ability to give his client a product that works and does
not merely satisfy the designer's own vanity. Yet always with
a playful soul and an active, investigative spirit, partly thanks
to Stefan's background in the city of Antwerp, Europe's second
most important seaport with a deep, broad-minded international
culture that offers a thousand different stimuli but also has
a pragmatic spirit.
25 euros (code de commande
: 21471).
SILVA
PASSOS (José Manuel da) O bilhete postal illustrado
e a história urbana de Lisboa. The illustrated Postcard
and the Urban history of Lisbon.
Prefació do António Vasco Massapina.
Lisboa, Caminho, 1990. In-4° sous reliure et jaquette
d'éditeur, 365 p., plus de 365 reproductions de cartes
postales en noir et en couleurs, un grand plan en couleurs à
déplier, édition bilingue portugais-anglais, exemplaire
numéroté (n° 2176), en très bon
état.
Sur la jaquette :
The
Illustrated Postcard is one of the most interesting and valuable
sources to assert the Urban History of our urban settlements.
In them is described not only every activity
of a people, but also the urban area as outlined by streets,
squares, gardens, where the solid and the animale pertaining
to a town are striking elements.
Studying the Topographical Illustrated Postcard
we follow the development of the urban settlement, the changes
brought about by the historical unfolding in its overall humanity,
within the frame of a time-space dynamics, giving shape to thé
dialectics between the settlement and whoever inhabits it.
35 euros (code de commande
: 18080).
SOIL DE MORIAMÉ (Eugène Justin)
Inventaire des objets dart et dantiquité
existant dans les édifices publics des communes de larrondissement
judiciaire de Mons. Tome
troisième (tome VIII de la Collection des Inventaires
du Hainaut). Arrondissement administratif de Mons. Canton
de Mons. Charleroi, Province
de Hainaut - Imprimerie Provinciale, 1929. In-8° broché,
194 p., illustrations, exemplaire en parfait état.
Outre
la ville de Mons, ce volume contient aussi les communes du canton
de Mons : Ciply, Cuesmes, Flénu, Ghlin, Havré,
Hyon, Jemappes, Maisières, Mesvin, Nimy, Nouvelles, Obourg,
Saint-Symphorien et Spiennes.
25 euros (code de commande
: 30315).
SPARKE (Penny) Un siècle de
design automobile. Paris,
Flammarion, 2003. In-4° sous reliure et jaquette d'éditeur,
255 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs.
Avant-propos :
« Les ouvrages consacrés à l'automobile ne
manquent pas, mais rares sont ceux qui nous parlent de design
automobile. Tout le monde a entendu parler de Pininfarina ou
d'Alec Issigonis, mais qui est John Tjaarda ou Ercole Spada ?
Les passionnés de voitures connaissent sans doute ces
personnalités inspirées qui ont façonné
l'image de l'automobile moderne, mais le commun des mortels n'a
jamais entendu leur nom. Paradoxalement, le travail des architectes,
décorateurs d'intérieur, designers de produits
domestiques et autres créateurs nous est assez familier,
mais on ignore presque tout des dessinateurs qui ont créé
ces engins rutilants qui sillonnent nos autoroutes et qui font
aujourd'hui partie intégrante de notre paysage, à
la ville comme à la campagne.
La raison de ce paradoxe, c'est sans doute que la voiture nous
apparaît d'abord et avant tout comme une création
technologique, dont on admire les performances, et beaucoup moins
comme un objet sculptural, source de plaisir esthétique.
En fait, elle réunit ces deux dimensions grâce au
travail en tandem de l'ingénieur et du designer. La plupart
des livres sur l'automobile traitent de modèles bien précis,
devenus souvent des objets de culte ; ils abordent les aspects
techniques et s'adressent en général à des
enthousiastes de sexe masculin. Il est rare que la voiture soit
envisagée dans son contexte social et culturel ; il est
encore plus rare que l'on présente les créateurs
de ces machines devenus mythiques. Pourtant, l'idée de
design automobile fait son chemin. La publicité y fait
référence et nous montre que l'automobile, plus
que tout autre objet peut-être, contribue à définir
un style de vie ; ce n'est pas seulement un moyen commode de
se déplacer. De même que nous nous exprimons dans
notre coiffure ou dans la décoration de notre salon, nous
livrons notre personnalité dans le choix de notre voiture.
L'automobile est, dans notre paysage quotidien, une présence
subliminale à laquelle il est de plus en plus difficile
d'échapper, sauf à se rendre à Venise. Consciemment
ou non, son omniprésence nous conditionne, et, dans ce
conditionnement, la dimension esthétique n'est jamais
totalement absente.
L'automobile est partout. Malgré les défenseurs
de l'environnement, malgré les tentatives pour la remplacer
par des formes plus efficaces de transport en commun, l'automobile
est solidement ancrée dans notre conscience et dans notre
inconscient, individuel et collectif. Les conducteurs se plaignent
de passer des heures dans leur voiture, mais ils ne souhaitent
pas la délaisser pour autant. Certains y trouvent un refuge,
une manière de s'isoler ; d'autres y suivent leurs, émissions
de radio préférées ; la plupart passent
une partie de leur temps à regarder les autres voitures.
Ce livre est justement un regard porté sur la voiture.
Il montrera que, contrairement à ce que l'on entend parfois,
toutes les voitures ne se ressemblent pas. Dans le design automobile,
comme dans n'importe quelle autre sphère de notre environnement
visuel, il y a des écoles, des tendances et des philosophies.
Plus on étudie l'uvre des différents designers,
plus on découvre leur mode d'expression personnel
affectif ou esthétique et moins il est possible
de confondre la voiture de tel créateur avec celle de
tel autre. Pensons d'un côté à Raymond Loewy
et à sa Studebaker, et, de l'autre, à l'exubérance
qui caractérise les dessins de Harley Earl ou à
la subtilité d'Ercole Spada. Les différences sont
intéressantes observer, autant que celles qui distinguent
les grands maîtres de la Renaissance, ou encore les constructions
de Le Corbusier de celles de Frank Lloyd Wright. Se plaint-on
que toutes les maisons se ressemblent ?
L'autre grand fil conducteur de ce livre est l'évolution
spectaculaire qui s'opère entre le début et la
fin du XXe siècle. Le lien est bien ténu entre
les « voitures sans chevaux » du début du
siècle et les machines sophistiquées de la fin.
L'évolution de la technologie, des matériaux et
des techniques de production a radicalement transformé
l'automobile, dans sa nature comme dans son apparence. Or, c'est
l'esthétique industrielle qui a orienté cette transformation
et l'a traduite dans des formes culturellement et socialement
acceptables. Le milieu du siècle a été un
âge d'or dans l'histoire du design automobile, parce que
toutes les contraintes avaient disparu et que chaque pays interprétait
cette liberté à sa façon. Les designers
américains, et les consommateurs avec eux, poussent à
son paroxysme une esthétique baroque et exubérante
les Italiens gardent un certain sens de la tradition, de la mesure
et de la beauté. Leur esthétique est plus classique.
Ce livre nous parle donc de la diversité et de la richesse
de la création automobile au XXe siècle. Mais parmi
les millions de modèles qui, ont été créés,
Penny Sparke en a choisi moins de mille, qui illustrent néanmoins
les multiples variations et permutations possibles, et, parmi
les centaines de designers qui ont dessiné des voitures
tout au long du siècle, elle en a retenu une cinquantaine,
qui donne un éventail représentatif des «
visions » qui ont façonné la voiture moderne.
C'est un livre riche en informations, mais aussi en surprises.
»
25 euros (code de commande
: 11274).
STIERLIN
(Henri) Angkor. Fribourg,
Office du Livre, 1970. In-8° carré sous cartonnage
illustré d''éditeur, 192 p., nombreuses reproductions
en héliogravure, (collection « Architecture
Universelle »), plats un peu jaunis sinon très
bon exemplaire.
Table des matières
:
- Introduction.
Chapitre 1. Fondements de la civilisation khmère.
Chapitre 2. De l'usine à riz à
l'urbanisme khmer.
- Les étapes
de l'équipement angkorien.
- Deux exemples :
Yasodharapura et Angkor Thom.
Chapitre 3. Sources et principes de l'architecture
khmère.
- Le langage plastique
de l'architecture khmère.
- Les techniques de
construction.
- Principales lois régissant
la composition des édifices.
Chapitre 4. Les monuments khmers et l'évolution
des formes architecturales.
- Les monuments pré-angkoriens.
- Les premières
créations angkoriennes.
- La révolution
de Koh Ker.
- Le Banteay srei :
l'éclosion du décor classique.
- Deux grands temples
à plan axé : Preah Vihear et Vat Phu.
- Angkor Vat :
l'apothéose classique.
Chapitre 5. L'efflorescence baroque des monuments
fondés par Jayavarman VII.
- Tableau chronologique.
- Glossaire.
- Bibliographie.
15 euros (code de commande
: 28489).
STIERLIN
(Henri) Maya.
Guatemala, Honduras et Yucatan. Préface par Pedro
Ramirez Vazquez. Fribourg, Office du Livre, 1964. In-8°
carré sous cartonnage illustré d'éditeur,
191 p., nombreuses illustrations en noir, (collection «
Architecture Universelle »), exemplaire en très
bel état.
Table des matières
:
- Préface. L'héritage maya
dans l'architecture du Mexique actuel, par Pedro Ramirez Vazquez
(Mexico).
- Introduction. Premier contact avec le
monde maya.
Chapitre 1. Le cadre et les fondements culturels.
Chapitre 2. Formes et fonctions des édifices.
Chapitre 3. Les techniques constructives et
le décor.
Chapitre 4. Les espaces architecturaux et urbains.
- Tableau chronologique.
15 euros (code de commande
: 25485).
VANDENBREEDEN
(Jos) et DE PUYDT (Raoul Maria)
Basiliek / Basilique Koekelberg, art-decomonument
/ monument art déc. Tielt-Bruxelles, Lannoo-Racine,
2005. In-4° sous cartonnage et jaquette d'éditeur,
175 p., nombreuses reproductions en couleurs, plans, édition
bilingue (français-néerlandais), bel exemplaire.
Il s'agit de la première importante
monographie sur cet édifice.
Sommaire :
- Préface,
par Godfried Danneels.
- Historique de la construction,
par Raoul Maria de Puydt.
- L'architecture, par Jos Vandenbreeden.
- La sculpture du bâtiment,
par Raoul Maria de Puydt.
- Les vitraux, par Raoul Maria
de Puydt.
- Mobilier liturgique, par Norbert
Poulain.
- Les vases sacrés, par
Raf Steel.
- La vie musicale, par Jacques
Dehan et Françoise Houtart.
- Le patrimoine artistique, par
Raoul Maria de Puydt.
30 euros (code de commande
: 25991).
[VANDENHOVE
(Charles)]. Charles Vandenhove (1927-2019). Liège, Commission Royale des Monuments,
Sites et Fouilles, 2019. Grand in-8° collé, 176 p.,
nombreuses illustrations en noir et en couleurs, exemplaire en
parfait état, épuisé.
Ce volume
est le tome 32 - 2019 du Bulletin de la Commission royale
des Monuments, Sites et Fouilles.
Ttable des matières :
- Préface, par Pierre Gilissen
et Robert Tollet.
- L'approche architecturale de Charles
Vandenhove (1927-2019), par Bart Verschaffel.
- Charles Vandenhove, l'uvre,
par Jacques Barlet et Alain Philémon Dirix.
- Charles Vandenhove, maître
d'uvres, par Pierre Chabard.
- Un nouvel ordre classique... et [post-]moderne :
rhétorique de la colonne dans l'uvre de Charles
Vandenhove, par Maxime Coq.
25 euros (code de commande
: 30578).
VAN LIER (Henri) Les arts de l'espace. Peinture - Sculpture - Architecture - Arts
décoratifs. Troisième
édition. 10e mille. [Tournai], Casterman, 1963. In-8°
broché, 400 p., illustrations, (collection « Synthèses
Contemporaines »), couverture frottée.
Table des matières
:
Introduction.
I. La peinture.
Chapitre I : L'attitude
spectatrice et le sujet scénique.
Chapitre II : La
jouissance artistique et la beauté d'agrément.
Chapitre III : L'expérience
artistique et l'absolu formel.
Chapitre IV : La rencontre
humaine et le sujet pictural.
Chapitre V : Les raports
du sujet scénique au sujet pictural.
Chapitre VI : Prédominance
de l'absolu formel ou du sujet pictural.
Chapitre VII : Les moyens
d'expression du sujet pictural.
Chapitre VIII : L'esprit
des techniques.
II. La sculpture.
Chapitre IX : Les moyens
d'expression propres au monde sculptural.
Chapitre X : Les grands
types de sculpture.i
III. L'architecture.
Chapitre XI : La forme
englobante.
Chapitre XII : La destination
manifeste.
Chapitre XIII : La construction
manifeste.
IV. Les arts décoratifs.
Chapitre XIV : Caractères
généraux des arts décoratifs.
Chapitre XV : Accès
des arts décoratifs à l'art majeur.
V. Perspective philosophique.
10 euros (code de commande
: Archi031).
[VENLET
(Danny)]. BORKA (Max) Danny Venlet. Interior architect & designer. Oostkamp, Stichting Kunstboek, 2008. In-4°
sous cartonnage d'éditeur, 158 p., nombreuses illustrations
en couleurs, exemplaire à l'état de neuf.
En quatrième
de couverture :
The
work of Danny Venlet (1958, Victoria, Australia) is probably
one of the best kept secrets in the world of design. While this
may partly have its reason in the fact that Venlet has been living
and working in two opposed parts of the world, Australia and
Belgium, it may also be explained by what largely defines the
essence of his personality and work humble, thriving
on understatement, laidback and relaxed. Finally, there is the
fact that Venlet while being credited as the inventor
of a curvy, more organic and humanising minimalism
does not cultivate one single style as a designer or interior
architect. People are his main material as each time they bring
him to a different solution by teasing or pleasing, in order
to make them change their attitudes or to interact. This book
gives the first comprehensive overview of a career spanning over
two decades. During this period Venlet not only revolutionized
the world of office, outdoor and residential furniture, with
award winning designs such as the Easy Rider and the Viteo Shower,
but also introduced a totally new concept of interior architecture,
in which users and objects dominate space rather than being dominated
by it.
30 euros (code de commande
: 21366).
La
ville, art et architecture en Europe, 1870-1993. Sous la direction de Jean Dethier et
Alain Guiheux. Paris, Centre Georges Pompidou, 1994. Fort
in-4° broché, 467 p., nombreuses illustrations en
noir et en couleurs, papier un peu jauni sinon bon exemplaire.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée au Centre Georges
Pompidou, à Paris, du 10 février au 9 mai 1994.
Table des matières :
- Préface, par François
Barré.
- Qu'est-ce que la ville ?,
par Josep Ramoneda.
- Pour un musée imaginaire de
la ville, par Jean Dethier.
- Tract pour une ville contemporaine
somptueuse, par Alain Guiheux.
- Fenêtre sur rue, par Hubert
Damisch.
- Le règne de l'urbain et la
mort de la ville, par Françoise Choay.
- 1870 - 1918.
- La ville des artistes.
- La
ville selon les artistes, 1870-1918, par Anna D'Elia.
- Le
déferlement des foules urbaines, par Frédéric
Chappey.
- Transfigurations
nocturnes de la ville, par Marcel Roncayolo.
- Mutations
de l'espace urbain, par Marcel Roncayolo.
- La
nature urbanisée, par Françoise Choay.
- Usines,
faubourgs et prise de conscience ouvrière, par Laurent
Gervereau.
- Le
culte de la frénésie urbaine, par Giovanni
Lista.
- Dé-compositions
du paysage urbain, par Laurence Bertrand Dorléac.
- L'émergence
d'un nouveau regard sur la ville, par Anne de Mondenard.
- La
ville comme objet trouvé, par Albert Garcia Espuche.
- La
première apocalypse urbaine, 1913-1918, par Carol
S. Eliel.
- La ville des architectes.
- Naissance
d'une discipline, par Anthony Sutcliffe.
- La
trilogie viennoise, Wagner, Sitte, Loos, par Peter Haiko.
- Joseph
Stübben, héritier ou fondateur ?, par Guy
Ballangé.
- Carl
Henrici, pour un urbanisme allemand, par Gerhard Fehl.
- Theodor
Fischer, le plan d'occupation des sols, Munich, par Winfried
Nerdinger.
- Le
concours du Grand Berlin, 1910 : Jansen, Brix/Genzmer, Möhring/Eberstadt/Petersen,
Schmitz/Blum, par Dieter Frick.
- Fritz
Schumacher, Hambourg et Cologne, par Hartmut Frank.
- Eliel
Saarinen, le plan de la ville de Munkkiniemi-Haaga, 1915,
par Riitta Nikula.
- H.
P. Berlage, J. C. van Epen, M. de Klerk, H. Th. Wijdeveld,
par Vincent van Rossem.
- Le
Grand Prague idéal de Max Urban, 1915-1918, par Petr
Krajci.
- Eugène
Hénard et Tony Garnier, le règne de la circulation,
par Alain Guiheux.
- Louis
Bonnier, Donat-Alfred Agache, Marcel Auburtin, par Catherine
Bruant.
- Jacques
Gréber, les plans pour Philadelphie, 1917, et Marseille,
1933, par André Lortie.
- Arturo
Soria y Mata, la Cité linéaire, par Carlos
Sambricio.
- La
Cité mondiale, 1913, par Giuliano Gresleri.
- Les
projets lauréats du concours pour la création de
la nouvelle capitale fédérale, Canberra, Australie,
1912, par John W. Reps.
- Léon
Jaussely, les débuts de l'urbanisme scientifique en France,
par Nicole Toutcheff.
- Henri
Prost, Anvers, Casablanca, Paris, par Nicole Toutcheff.
- Daniel
H. Burnham et l'École des beaux-arts, par John
Zukowsky.
- Armando
Brasini, Emilie Belloni, par Isabella Balestreri.
- L'évolution
de la cité-jardin en Angleterre, de Port Sunlight à
la cité-jardin de Welwyn, par Mervyn Miller.
- Bruno
Taut, la cité-jardin Falkenberg à Berlin-Grünau,
1913, par Kristiana Hartmann.
- La
cité-jardin de Hellerau, 1910-1913, par Kristiana
Hartmann.
- Paul
Schmitthenner, la cité-jardin de Staaken, par Hartmut
Frank.
- La
cité-jardin de Margarethenhöhe dans les faubourgs
d'Essen, 1909-1934, par Rainer Metzendorf.
- Louis
van der Swaolmen, le Logis-Floréal 1921-1929, par
Marcel Smets.
- La
Cité moderne, Berchem-Sainte-Agathe, 1922-1925, et la
cité-jardin de Kapelleveld, 1922-1926, par Marcel
Smets.
- Cité-banlieue,
par Bruno Vayssière.
- Sant'Elia
et l'Europe, par Marco De Michelis.
- Virgilio
Marchi, par Enrico Crispolti.
- Mario
Chiattone, par Enrico Crispolti.
- Henri
Sauvage, par Jean-Baptiste Minaert.
- 1919-1945.
- La ville des artistes.
- La
ville selon les artistes, 1919-1945, par Anna D'Elia.
- Visions
aéropicturales, par Giovanni Lista.
- Nouvelles
dynamiques sociales de la métropole, par Michel
Baudson.
- Puissance
et urbanité de la métropole, par René
Schoonbrodt.
- La
ville comme réseau de communications, par Marcel
Roncayolo.
- La
ville inquiète, par Giovanni Lista.
- L'éloge
des nouvelles banlieues, par Claudia Gian Ferrari.
- Les
acteurs de la théâtralité urbaine, par
Günter Metken.
- Images
de la ville sur la scène, par Élie Konigson.
- La
ville investit le 7e art, par François Niney.
- Le
photomontage, construction habitée, par Michel
Frizot.
- Mutations
des regards photographiques sur la ville, 1919-1945, par
François Niney.
- La
deuxième apocalypse urbaine, 1937-1945, par Didier
Schulmann.
- La ville des architectes.
- L'ordre
moderne, par Cesare de Seta.
- L'architecte
de l'Univers, par Alain Guiheux.
- Tapis
d'Orient et signes modestes. Le Corbusier et les CIAM, par
Yannis Tsiomis.
- Le
plan Macià pour Barcelone, Sert, le GATE PAC et Le Corbusier,
par Jordi Oliveras.
- Ludwig
Hilberseimer, naissance d'un architecte, 1885-1919, par Vittorio
Magnago Lampugnani.
- La
rénovation de Berlin de 1871 à 1929, par Dieter
Radicke.
- Otto
Kohtz, La Maison du Reich de la place Royale, Berlin, 1920,
par Sylvia Mack.
- La
circulation à Berlin dans les années vingt,
par Matthias Schirren.
- Martin
Wagner, « Manager » de la construction
de la grande ville, par Ludovica Scarpa.
- Les
grandes cités berlinoises des années vingt,
par Matthias Schirren.
- Les
projets d'urbanisme sous la République de Weimar,
par Günther Uhlig.
- La
cité de Römerstadt dans le cadre du « nouveau
Francfort », par Andrea Gleiniger.
- Les
brigades étrangères en URSS, par Irina Kokinakki.
- « Rush
City, Reformed », par Thomas S. Hines.
- Le
Karl-Marx-Hof, promesse ou lapsus ?, par Gottfried
Pirhofer.
- Auguste
Perret et la ville, par Joseph Abram.
- Mallet-Stevens,
un projet pour la Porte Maillot, par Gérard Monnier.
- La
cité de la Muette à Drancy, par Pieter Uyttenhove.
- Jacobus
Johannes Pieter Oud, « L'architecture complète »,
par Ed Taverne.
- Cornelis
van Eesteren, par Vincent van Rossem.
- Johannes
Duiker, les projets pour la construction en hauteur, par
Maristella Casciato.
- Piero
Portaluppi, par Enrico Crispolti.
- Tullio
Crali, par Marc Bédarida.
- BBPR
: Banfi, Belgiojoso, Peressutti, Rogers, par Cesare de
Seta.
- Franco
Albini, Ignazio Gardella, par Isabella Balestreri.
- Alberto
Sartoris, par Christian Leprette.
- Adalberto
Libéra, par Rossano Astarita.
- Bruno
Taut, Alpine Architektur, Die Stadtkrone, Die Auflösung
der Städte, par Iain Boyd Whyte.
- El
Lissitzky, un urbaniste « de papier »,
par Anatoli Strigalev.
- Kazimir
Malevitch et la ville, par Anatoli Strigalev.
- Iakov
Tchernikhov, par Jana Claverie.
- Le
nouveau Moscou, 1918-1935, par Galina Iakovleva.
- La
ville du futur en URSS, par Youri Voltchok.
- Les
concours pour le palais des Soviets et le Narkomprojekt,
par Jana Claverie.
- Le
classicisme prolétarien, par Irina Tchepkunova.
- Giuseppe
De Finetti, par Isabella Balestreri.
- Pietro
Aschieri, par Isabella Balestreri.
- Marcello
Piacentini, par Rossano Astarita.
- EUR,
Exposition universelle de Rome, par Rossano Astarita.
- Le
plan d'urbanisme d'Albert Speer pour la capitale du Reich,
par Wolfgang Schäche.
- La
Stalinallee, Berlin, par Simone Hain.
- 1946-1993.
- La ville des artistes.
- La
ville selon les artistes, 1946-1993, par Michel Baudson.
- Métamorphoses
des regards photographiques sur la ville, par Jean-Claude
Lemagny.
- La
ville réduite à ses peaux et déchets ?,
textes choisis par Sophie Duplaix.
- Topes
et tropes, le plan de ville et la référence,
par Daniel Soutif.
- La ville des architectes.
- La
réparation des villes, par Ignacio de Solà-Moràles.
- La
reconstruction en Grande-Bretagne, par Anthony Sutcliffe.
- La
reconstruction en France, par Bruno Vayssière.
- La
reconstruction en Allemagne, par Hartmut Frank.
- Alison
et Peter Smithson, Golden Lane Housing, Berlin Haupstadt,
par Jacqueline Boyer-Stanic.
- Georges
Candilis, Alexis Josic, Shadrach Woods, par Bruno Vayssière.
- Giancarlo
De Carlo, par Bruno Vayssière.
- Jaap
Bakema, au-delà du polder néo-plastique, par
Wouter Vanstiphout.
- Van
Eyck et la ville, par Francis Strauven.
- Ralph
Erskine, le Brittgärden à Tibro et le quartier de
Byker à Newcastle, par Karin Winter.
- Friedrich
Kiesler, La Cité dans l'Espace, par Dieter Bogner.
- Mégastructures,
par Bruno Vayssière.
- Les
mégastructures italiennes, par Rossano Astarita.
- À
propos d'urbanisme unitaire, par Paul-Hervé Parsy.
- Archigram,
par Dominique Rouillard.
- Hans
Hollein, Walter Pichler, Raimund Abraham, Friedrich Saint-Florian,
par Dominique Rouillard.
- Archizoom,
par Dominique Rouillard.
- Superstudio,
par Dominique Rouillard.
- Rem
Koolhaas, Elia Zenghelis : Exodus, ou les prisonniers volontaires
de l'architecture, 1972, par Dominique Rouillard.
- Haus-Rucker-Co,
Architecture provisoire, instrument de la perception, par
Dieter Bogner.
- Carlo
Aymonino (avec M. Aymonino, A. Rossi, S. Messaré), quartier
Gallaratese, 1967-1972, par Alberto Ferlanga.
- Aldo
Rossi (avec Eraldo Consolascio, Bruno Reichlin et Fabio Reinhart),
Arduino Cantafora, La Città analoga, par Alberto
Ferlanga.
- Aldo
Rossi (avec C. Braghieri, R. Freno), Petit Théâtre
scientifique, 1978, par Alberto Ferlanga.
- Antoine
Grumbach, La Roche-sur-Yon, 1975, par Alberto Ferlanga.
- Concours
de la Villette, 1976, Léon Krier, Bernard Huet, par
Alberto Ferlanga.
- Roma
Interrotta, par Antoine Grumbach.
- Bernard
Huet, Antoine Grumbach, Autoportraits, par Alberto Ferlanga.
- Consultation
internationale pour l'aménagement des Halles, 1980, Charles
W. Moore, Aldo Rossi, par Patrice Mugnier.
- Rob
Krier, Pragerplatz, Berlin, 1978, Amiens, 1984, par Alberto
Ferlanga.
- IBA
: Exposition internationale d'architecture, Berlin, 1984-1987,
par Günther Uhlig.
- Giorgio
Grassi (avec Nunzio Dego, Elena Grassi, Enrico Pelloni), Berlin,
1990, par Alberto Ferlanga.
- Navarro,
Barcelone, par Manuel Gausa.
- Domaine
de Malagueira, Evora, par Alvaro Siza Viera.
- Euralille,
le saut quantique, par Rem Koolhaas.
- Mo/urrning,
par Daniel Libeskind.
- Melun-Sénart,
par Rem Koolhaas.
- Die
Himmelblaue Stadt, par Arnaud Sompairac.
- Berlin,
The Meeting Line, par Jean Nouvel.
30 euros (code de commande
: 26917).
World
Architecture. An illustrated history. Introduction
by H. R. Hitchcock. Seton Lloy, David Talbot
Rice, Norbert Lynton, Andrew Boyd, Andrew
Carden, Philip Rawson, John Jacobus. General
Editor : Trewin Copplestone. London - Sydney - New
York - Toronto, Hamlyn, 1979. In-4° sous reliure et jaquette
d'éditeur, 348 p., nombreuses illustrations en noir
et en couleurs, jaquette un peu défraîchie.
Sur la jaquette :
- The history of architecture is the history
of mankind. Each culture produces its own versions of the house
of God, the house of man, and the house of the dead.
In their outward form, these structures express
and project the deepest feelings and highest aspirations of mankind.
Although architecture by itself lacks the explicit subject matter
of painting or sculpture, it is often able to tell us a great
deal about how people worshipped, lived, loved, and died what
they glorified, and what they feared.
From the forbidding shrine of an Egyptian temple
to the soaring vaults of a Gothic cathedral ; from the simple
circular hut of a neolithic settlement to the mechanised complexity
of a Le Corbusier housing project, the story of architecture
is here unfolded in its imaginative conception and its masterly
execution.
From many of the epochs of man's history nothing
has survived but a few fragments of his buildings ; yet
from these slender clues we can piece together the appearance
and purposes of some of the great cultural achievements of all
time.
World Architecture provides an authoritative text, divided
into nine sections.
The Introduction presents a succinct
account of the meaning of architecture, in relation to its continuous
worldwide tradition.
Ancient and Classical architecture
covers the period from the neolithic to the superb architecture
of Greece and Rome, which was to prove so influential to future
European styles.
Chinese styles and methods of
construction from the Great Wall to the fall of the Manchusare
explained, together with Chinese interest in relating the building
to the landscape, whether natural orartificial.
Japanese buildings, both religious
and domestic, are surveyed in relation to the turbulent history
of this culturally isolated country.
Indian architecture describes
the extraordinarily complex temples of the Hindu period, stressing
the importance of both theiroverall form and their detailed decoration.
Islamic architecture shows both
the unity and diversity of Moslem styles, from places as far
apart as Spain, Egypt and India during the Mogul period in mosques,
forts and mausolea.
Medieval architecture describes
the work of the early Christian builders in Rome and extends
through Byzantine and Russian work to the cathedrals of the high
Gothic period in Russia.
Renaissance architecture ranges
from fifteenth-century Italy, through the Baroque to the neoclassical
styles of the early nineteenth century.
Modern architecture provides
a full survey of the innovations of architects of the last two
hundred years, the effect of new materials and technology on
architecture, and the manner in which architects have drawn on
both an international modern style and their own past traditions
to produce the best work of the present day.
20 euros (code de commande
: Archi035).
[ZODIAQUE].
Zodiaque. Le monument livre. Sous
la direction de Cédric Lesec. Lyon, Stéphane
Bachès - ENS, 2012. In-4° sous reliure d'éditeur,
175 p., nombreuses illustrations en couleurs, bel exemplaire.
En quatrième
de couverture :
Zodiaque
est une grande chose maintenant... et que d'uvres il aura
révélées !
André Malraux saluait ainsi en 1973
les Éditions Zodiaque, qui depuis 1951 ont largement contribué
à la redécouverte de l'art roman, en France et
en Europe. Conçus dès l'origine pour aider à
la visite des églises et sites romans, ces ouvrages font
une très large place à la photographie. De l'exposition
lumineuse au choix des angles de vues, la scénographie
visuelle qui s'y déploie accentue la dimension spirituelle
de ces édifices contribuant ainsi à une définition
idéale de l'architecture romane.
Moine et artiste, Dom Angelico Surchamp en
est le véritable maître d'uvre. Dans cet ouvrage
collectif, des historiens de l'art analysent sous un angle inédit
la fabrique éditoriale de cette entreprise et son succès,
de la prise de vue au travail de recadrage et de retouche. Un
retour à la genèse du livre pour décrypter
l'impact de Zodiaque sur la perception de l'art roman aujourd'hui.
Sommaire :
- Avant-propos, par Cédric
Lesec.
- Introduction, par Roland Recht.
- Le double discours de l'ilage,
par Philippe Plagnieux.
- Le silence à la lettre,
par Olivier Deloignon.
- Révéler l'architecture
romane. Zodiaque et la photographie, par Cédric
Lesec.
- Entretien avec Angelico Surchamp,
par Cédric Lesec.
- Annexes, par Cédric Lesec.
- Index.
20 euros (code de commande
: 23087).
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