[AFFAIRE CRIMINELLE - LAROCH (François)].
Notice historique sur la vie de François Laroch. S.l., [ca 1825]. In-12 en ff., 12 p., exemplaire
à toutes marges, quelques rousseurs, très
rare.
Extrait du jugement
:
Rendu
par la cour spéciale de la province de Namur, séant
à Namur, qui condamne à la peine de mort le nommé
Fr[a]nçois Laroch, âgé de 31 ans natif de
Vieu Sarre près Wavre, sans profession ni domicile, atteint
et convaincu d'avoir le 20 du mois dernier volontairement et
avec préméditation en état de vagabondage
dans un chemin public de la commune de St. Servais assassiné
à coups de bâton et de pierre Marie Thérèse
Debouge, épouse Legrain, et Victoire Martin, sa belle
fille âgée de 22 ans toutes deux de Bellegarde communes
de Flavines près Namur et d'avoir ensuite volé
tous les bijous 18 florins et effets d'habillements que portaient
les dites Legrain et Martin.
Vu par la cour spéciale de Namur, l'arrêt
de la Cour supérieure de Justice séant à
Liége, en date du 17 du mois dernier, vu l'arrêt
de la Cour de cassation en date du 5 du mois dernier qui confirme,
l'arrêt de l'envoi à lui mentionné, vû
l'acte d'accusation sui les témoins produits par Mr. le
procureur criminel, ouï Mr. le procureur criminel pour l'application,
de la peine la cour a condamné François Laroch,
à la peine de mort et aux remboursement des frais envers
l'état, que les objets volés servant de conviction
seront restitués aux propriétaires, que l'exécution
en sera faite sur la grende place à Namur, fait et prononcé
en séance publique de la cour spéciale de Namur,
le 28 du mois dernier.
Signé Plunus procureur
criminel.
Il a été exécuté
le 24 du mois dernier à midi 1/4.
50 euros (code de commande
: 25898).
L'Almanach
des vieux Ardennais. Traditions et saints du printemps. Bruxelles, Crédit Communal, 1992. In-4°
broché, 174 p., nombreuses illustrations en noir et en
couleurs, (publication du Musée en Piconrue (Bastogne),
« Art religieux et croyances populaires en Ardenne et Luxembourg
», n° 7), bel exemplaire.
Table des matières
:
1. Le calendrier.
- Au rythme du temps.
Le calendrier des origines au XIXe siècle, par Benoît-Michel
Tock.
- Les saints du calendrier,
hier et aujourd'hui, par André Haquin.
- Un vénérable
« Légendier des Saints » à l'abbaye
de Saint-Hubert, par Jacques Charneux.
- L'almanach des
vieux Ardennais, par Jean-Marie Doucet.
2. Travaux et dictons du printemps.
- Les travaux et
les jours, par Jacques Charneux.
- Quand faut-il planter
?, par Yves Bastin.
- Les fêtes
du Seigneur et de ses saints dans la météorologie
printanière, par Raymond Mouzon.
3. Saints et coutumes du printemps.
- Mars, avril, mai,
juin, par Thierry Scholtes, Yves Bastin, Colette
Muraille, Roger Kauffmann, André Choque,
Jean-Luc Duvivier de Fortemps, Julie Evrard, Nelly
Legrand-Istace, Jules Borre.
4. Catalogue.
- La statuaire des
saints de printemps du Luxembourg : évolution stylistique,
par Jean-Jacques Bolly et Jean-Marie Lequeux.
- Le retable de saint
Quirin, par Livia Depuydt-Elbaum.
Index.
25 euros (code de commande
: 25400).
L'Almanach
des vieux Ardennais. Traditions et saints de l'été.
Bruxelles, Crédit
Communal, 1994. In-4° broché, 263 p., nombreuses illustrations
en noir et en couleurs, (publication du Musée en Piconrue
(Bastogne), « Art religieux et croyances populaires en
Ardenne et Luxembourg », n° 9), bel exemplaire.
@ Cet
ouvrage a été publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée au Musée
en Piconrue, à Bastogne, en 1994.
Table des matières
:
- Introduction, par André Neuberg.
1. L'Almanach.
- L'Almanach de Luxembourg
entre cultures traditionnelles et réalités modernes,
par Daniel Droixhe et Nadine Vanwelkenhuysen.
- Le calendrier des
saints et saintes dans les almanachs de Liège et Luxembourg
(de la fin du XVIII e à 1830), par Paul Lafontaine.
2. L'été ardennais.
- Les travaux et
les jours d'été. Le Luxembourg rural de 1850 à
1950, par Jacques Charneux.
- Les fêtes
du Seigneur et de ses saints dans la météorologie
estivale, par Raymond Mouzon.
- Des Saints et des
plantes, par Anicet Fraselle.
3. Saints et coutumes de l'été.
- Juin, juillet,
août, septembre par Thierry Scholtes, Paul
Bertrand, Louis Demoulin, Mieke De Jonghe,
François De Vriendt, Albert Doppagne, Louis
Lejeune, Léon Marquet, Antoinette Reuter,
Isabelle Gillet.
4. Catalogue.
- Visage de la sainteté.
Les saints dans l'imagerie religieuse, par Michel Boisdequin.
Index des saints de l'été honorés
dans la province de Luxembourg.
Index des localités.
30 euros (code de commande
: 25446).
Annales
de la Société archéologique de Namur.
Tome onzième. Namur,
Wesmael-Charlier, 1870-1871. In-8° demi-basane, dos à
4 nerfs frottés, [12], 539 p., bien complet de ses
4 planches hors texte, dont une en couleur des armoiries des
Namur, une vue dépliante de Couvin et son château,
découpe au bas des frontispice et page de titre, sinon
bon exemplaire.
Table
des matières :
- Les
Namur, vicomtes d'Elzée et de Dhuy, par A. R. S
- Institutions namuroises. Institutions
judiciaires au comté de Namur, par X. Lelièvre.
- L'homme pendant les âges de
la pierre, dans les environs de Dinant. 2e partie, par Ed.
Dupont.
- Institutions namuroises. Fabriques
d'églises, cimetières, par X. Lelièvre.
- Lieux-dits, par A. Le Catte.
- Essai historique sur Couvin et sa
châtellenie, par le comte de Villermont.
- Cour du Feix, par J. Grandgagnage.
- Fragment d'une histoire ecclésiastique
du comté et du diocèse de Namur, par Ch.
Wilmet.
- Cimetière belgo-romain, à
Bioulx, par Eug. del Marmol.
- Institutions namuroises. Droit de
chasse au comté de Namur, par X. Lelièvre.
- Origine de l'Institut des sourds-muets
à Namur, par A. Le Calte.
- Un procès de sorcellerie en
1652, par N. E.
- Les tablettes de Flavion, les rouelles
de Spontin, etc., par H. Schuermans.
- Situation du lieu dit Manneres, cité
dans d'anciennes chartes, par E. D. M.
- Fragment d'une histoire ecclésiastique
du comté et du diocèse de Namur (suite), par
Ch. Wilmet.
- Essai historique sur Couvin et sa
châtellenie, II, par le comte de Villerrnont.
Mélanges historiques.
- Fontaine de l'ancien
hôtel du Gouvernement, à Namur.
- Invasion de Bouvignes
par les Français, en 1683.
- Mémoire sur
la reconstruction de Dînant, vers 1479.
- Attaque de Dinant
par le parti des La Marck, vers 1490.
- Un Holloway du XVIIe
siècle, à Dinant.
- Destruction des fortifications
de Dinant, en 1703.
- Lettre d'Ërard
de La Marck, 1516.
- Prise de Walcourt
par les Français, en 1645.
- La tour de l'église
Saint-Jean-Baptiste à Namur.
- Les Lorrains dans
l'Entre-Sambre-et-Meuse, en 1646.
- Grande mortalité
à Perwez, eu 1636.
- Inondation à
Jambes, 1726.
- Hiver de 1739-1740.
65 euros (code de commande
: 22029).
Annales
de la Société archéologique de Namur. Tome 74. Namur,
Société Archéologique de Namur, 2000. In-8°
broché sous jaquette, 334 p., illustrations en noir
et en couleurs, exemplaire en parfait état.
Table des matières
:
- Passées
les guerres du Pays de Liège (1430), témoignages
de tentatives de remise en valeur du domaine de Golzinnes,
par J.-Fr. Van Caulaert.
- La collection de frottis de tombes
plates de la Société archéologique de Namur,
par H. Kockerols.
- Les épitaphes de la famille
d'Eve à Sclayn, par H. Kockerols.
- Le trésor des reliques de
l'Abbaye du Val Saint-Georges à Salzinnes, par Ph.
George.
- Aperçu sur les fortifications
de Jambes (XIIIe-XVIIIe siècles), par Ph. Bragard.
- L'église Notre-Dame à
Namur, par A. Furnémont.
- La nef de l'église abbatiale
de Floreffe, étude archéologique, par M.
Piavaux.
- Les Jardins d'Annevoie à la fin
du XVIIIe et au début du XIXe siècle. Historique
et implantation de la décoration sculptée, par
J.-Ch. Hubert.
- Inventaire de la collection de presse
de la Société archéologique de Namur déposée
au Centre des Archives de la Région Wallonne, par
Pierre De Spiegeler.
18 euros (code de commande
: 18969).
Annales
de la Société archéologique de Namur. Tome
77. Namur, Société
Archéologique de Namur, 2003. In-8° broché
sous jaquette, 256 p., illustrations en noir et couleurs,
exemplaire en bel état.
Table des matières
:
- Le
plus ancien registre de confrérie mariale à Bouvignes,
par François Jacques et Fernand Briquemont.
- La chouette est-elle la signature
emblématique de Henri Blés ?, par Claude
Gillet.
- Un incunable de l'archevêque
François de Buisseret (1549-1615) : Réserve précieuse
de la Bibliothèque royale à Bruxelles, Inc B 1277,
par Renaud Adam.
- Philippe de Ruelle... un érudit
de Florennes, par Fernand Briquemont.
- Les intérêts de la famille
de Ville à Biesmerée avant 1681, par Isabelle
London.
- La seigneurie de Biesmerée,
de 1681 à 1772. Histoire rurale, régionale et domaniale,
par Isabelle London.
- Monseigneur Pisani de la Gaude :
une nomination forcée, par quoi ou par qui ?, par
Daniel Meynen.
- Le chanoine Lambert-François
de Hauregard, par Cécile Douxchamps-Lefèvre.
- Chronique. Deux nouvelles inscriptions
funéraires gallo-romaines découvertes à
la Citadelle de Namur, par Jean-Louis Antoine.
15 euros (code de commande
: 21736).
Annales
de la Société archéologique de Namur. Tome
78. Namur, Société
Archéologique de Namur, 2004. In-8° sous cartonnage
d'éditeur, 303 p., illustrations en noir et en couleurs,
exemplaire en parfait état.
Table des matières
:
- Le
cent cinquantième anniversaire de l'installation du Musée
archéologique de Namur à l'ancienne boucherie,
par Jean-Louis Antoine.
- Nouvelles inscriptions latines découvertes
au château des Comtes de Namur, par Marie-Thérèse
Raepsaet-Charlier.
- Villa romaine de Vezin-Namèche,
par Caroline Robinet.
- Trois coffrets du Bas-Empire
provenant de Spontin, par André Dasnoy.
- Les coffrets de Spontin. Rapport
de restauration, par Françoise Urban.
- Aux origines de la « Cense
del Tour », à Haillot (Ohey) : deux fosses
et leur matériel céramique, par Raphaël
Vanmechelen et Sylvie de Longuevlle.
- La première enceinte en pierre
de Namur sur la rive gauche de la Sambre (XIIe-XVIe siècles),
par Emmanuel Bodart.
- Les berges du Faubourg de Bouvignes-sur-Meuse
(Dinant). De l'urbanisation volontaire au XVIe siècle
à la construction du chemin de fer au XIXe siècle,
par Laetitia Cnockaert.
- Chroniques de la Société
en 2003 et 2004, par Maïté Pacco, Jacques
Jeanmart, Jacques Toussaint, Jean-Louis Antoine
et Josine de Fraipont.
15 euros (code de commande
: 21679).
Annales
de la Société archéologique de Namur. Tome 79. Namur,
Société Archéologique de Namur, 2005. In-8°
sous cartonnage d'éditeur, 303 p., illustrations
en noir et quelques-unes en couleurs, exemplaire en parfait état.
Table des matières
:
- Le
séjour à Namur fut une diversion. Deux visites
namuroises de Marguerite Yourcenar, par Bérengère
Deprez.
- À propos du comte Albert Ier
de Namur et de la Maison de Lorraine, par J.-N. Mathieu.
- D'où vient cette fameuse chouette
qui sera considérée comme la signature emblématique
d'Henri Blés ?, par Claude Gillet.
- Henri Blés était-il
atteint de piébaIdisme ?, par Claude Gillet.
- Philippe-Antoine Lamquet (1705-1769),
par Jacqueline Fosse.
- À la recherche d'un nouveau
Palais épiscopal à Namur (8 avril 1802 - 23 septembre
1806), par Daniel Meynen.
- Chronique de la Société
en 2005, par Maïté Pacco, Jacques Jeanmart,
Jean-Louis Antoine, Jacques Toussaint, Josine
De Fraipont et Jean De Wasseige.
18 euros (code de commande
: 18970).
Annales
de la Société archéologique de Namur. Tome 80. Namur,
Société Archéologique de Namur, 2006. In-8°
sous cartonnage d'éditeur, 359 p., illustrations
en noir et quelques-unes en couleurs, exemplaire en parfait état.
Table des matières
:
- Préface,
par Maïté Pacco.
- Avant-propos, par le baron de Montpellier
de Vedrin.
- Isabelle Brunelle et son époque,
par Cécile Douxchamps-Lefèvre.
- Les Collateurs de la Fondation :
une famille au sens large, par Henry d'Otreppe de Bouvette.
- Du testament d'Isabelle Brunelle
(20 janvier 1805) à l'ouverture de l'hospice d'Harscamp
(1er octobre 1812), par Alex Furnémont.
- La Fondation d'Harscamp. Son patrimoine
et l'hospice d'Harscamp entre 1812 à 2006, par Alex
Furnémont.
- Contribution à l'histoire
du patrimoine de la Fondation d'Harscamp - Deux cents ans de
rapporte de l'institution sociale namuroise à l'assemblée
de messieurs les parents de feu Monsieur le Comte d'Harscamp,
par P. Brandebourger.
- Le clergé d'Harscamp,
par Daniel Meynen.
- Les premiers bénéficiaires
de la Fondation d'Harscamp, par Cécile Douxchamps-Lefèvre.
- Le monument à Isabelle Brunelle,
comtesse d'Harscamps, par Guillaume Geefs (1872), par Jacques
Toussaint.
30 euros (code de commande
: 18971).
Annales
de l'Institut archéologique du Luxembourg - Arlon. Tome CXXXV - Année 2004. Arlon, Institut Archéologique du Luxembourg,
2005. In-8° broché, 320 p., illustrations en
noir et en couleurs.
Table des matières
:
- L'Apocalypse
de Bourcy. Un cycle pictural du XVIe siècle, par Stéphanie
Moris.
- Les monuments funéraires de
Bernard d'Enscherange et d'Anne de Hondelange identifiés
à Ell, par Jean-Claude Muller.
- L'Hôpital de Bouillon de 1768
par l'architecte Dewez, par Xavier Duquenne.
- Le registre d'observations cliniques
du frère pharmacien d'Orval (1764-1781), par Jean
Kelecom.
- La bienfaisance exercée par
l'abbaye d'Orval dans la seconde moitié du XVIIIe siècle,
par Marjorie Gobin.
- Le Livre de raison de Gustave Déome
(1826-1904), de Nivelet, par Pierre Hannick et Louis
Lejeune.
- Le combat franco-allemand du 20 août
1914 à Longlier. Son incidence sur la bataille des frontières,
par Jean-Claude Delhez.
15 euros (code de commande
: 19277).
Annales
de l'Institut archéologique du Luxembourg - Arlon. Tome CXXXVI
- Année 2005. Arlon,
Institut Archéologique du Luxembourg, 2006. In-8°
broché, 336 p., nombreuses illustrations en couleurs,
exemplaire en très bel état.
Table des matières
:
- Le
« Carré Juif » du cimetière
communal d'Arlon. Première partie : 1856-1900, par Philippe
Pierret.
- Les mappoth de la communauté
juive d'Arlon. Inventaire d'un patrimoine textile exceptionnel,
par Philippe Pierret.
- Juifs de passage dans les duchés
de Luxembourg et de Bouillon, avant leur émancipation
en 1808, par Pierre Hannick et Jean-Claude Muller.
- Le registre des prises de noms des Juifs
de Luxembourg (1808). Édition en fac-similé et
commentaire, par Jean-Claude Muller.
- L'ancien cimetière de Guerlange,
par Paul Mathieu.
20 euros (code de commande
: 18844).
[ARCHITECTURE
- ARDENNE]. Patrimoine architectural et territoires de Wallonie.
La Roche-en-Ardenne, Rendeux et Tenneville. Sprimont, Mardaga, 2004. In-4° broché,
335 p., nombreuses illustrations en couleurs, exemplaire
en très bel état.
Table des matières
:
- Introduction.
- Commune de La Roche-en-Ardenne.
- L'ensemble du territoire.
- Beausaint, Bérisménil,
Borzée, Buisson.
- Cielle.
- Halleux, Herlinval,
Hives, Hubermont.
- La Roche-en-Ardenne,
Lavaux.
- Maboge, Mierchamps,
Mousny.
- Nisramont.
- Ortho.
- Petit-Halleux.
- Ronchampay, Ronchamps,
Roupage.
- Samrée.
- Thimont.
- Vecmont, Villez.
- Warempage.
- Annexes.
- Commune de Rendeux.
- L'ensemble du territoire.
- Bette.
- Chéoux.
- Devantave.
- Gênes.
- Hodister.
- Jupille.
- Magoster, Marcouray,
Marcourt.
- Nohaipré.
- Rendeux-Bas, Rendeux-Haut,
Ronzon.
- Trinal.
- Waharday, Warizy.
- Annexes.
- Commune de Tenneville.
- L'ensemble du territoire.
- Baconfoy, Beaulieu,
Bergueme.
- Cens, Champion.
- Erneuville.
- Grainchamps.
- Journal.
- Laneuville-au-Bois.
- Mochamps.
- Ortheuville.
- Prelle.
- Ramont.
- Tenneville, Tresfontaine.
- Wembay, Wyompont.
- Annexes.
25 euros (code de commande
: 31320).
[ART POPULAIRE]. Imagiers de paradis. Images
de piété populaire du XVe au XXe siècle.
Bastogne, Crédit
communal, 1990. In-4° broché sous couverture à
rabats, 203 p., très nombreuses illustrations en
noir et en couleurs, (publication du Musée en Piconrue
(Bastogne), « Art religieux et croyances populaires en
Ardenne et Luxembourg », n° 5), petit cachet ex-libris
sur la page de faux-titre, très bon exemplaire.
Cet
ouvrage a été publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée au Musée
en Piconrue, à Bastogne, en 1990.
Table des matières
:
-
Avant-propos, par François Narmon.
- Introduction, par André Neuberg.
A. Historique :
- Les images
de dévotion du XVe siècle à nos jours. Introduction
à l'étude d'un « média »,
par Jean Pirotte.
- L'illustration
d'un livre d'heures à la fin du Moyen Âge, par
Jacques Jeanmart.
- L'imagerie
liégeoise sous l'Ancien Régime. Quelques aspects
contrastés, par Jacques Stiennon.
- Diffusion
en Belgique des lithographies et imageries de la France de l'Est.
Quelques réflexions, par Dominique Lerch.
- À
propos d'une image pieuse du XIXe siècle. Quelques bulles
de savon d'Épicure à Manet, par Michel Albaric.
- L'imagerie
wallonne du XXe siècle dans les collections du Musée,
par Michel Boisdequin.
- Hurtebise
en Ardenne ou la « Sylve Bénite »,
par Jacques Charneux.
- L'imagerie
à l'abbaye de Maredret. Une production monastique au XXe
siècle, par Michel Boisdequin.
- Images nouvelles
au diocèse de Namur. 1945-1965, par André
Lanotte.
B. Fonctions de l'image :
- Le fouet du
diable, une amulette populaire du XVIIIe siècle, par
Jean-Luc Mousset.
- Les souvenirs
mortuaires, par Michel Boisdequin.
C. L'imagerie de colportage, reflet d'une
culture populaire ?, par Jean-Marie Doucet.
D. Techniques spéciales.
Index.
25 euros (code de commande
: 31392).
Au Pays des
Rièzes et des Sarts.
N° 181. 46e année. 2006.
Pp 361-400. 5 euros (code de commande : 290/68).
N° 188. 47e année. 2007.
Pp 241-320. 5 euros (code de commande : 291/68).
N° 189. 48e année. 2008.
Pp 321-400. 5 euros (code de commande : 292/68).
BEAURAIN (chevalier de) Carte
des camps d'Emptine et de Cerfontaine Les 22. Juillet et 8 Aoust 1691. Avec celuy
des Ennemis à Tarcienne le 22. Juillet et a Ham sur Heure
le 8. Aoust.. Corrigée et augmentée par le Chevalier
de Beaurain Géogr. ord[inai]re du Roi. Planche XVII de Histoire militaire de Flandre,
Depuis l'année 1690. jusqu'en 1694. inclusivement. Paris,
Beaurain - Poirion - Jombert, 1755.
Dimensions :
- Illustration : 418 x 309 mm.
- Cuvette : 430 x 320 mm.
- Feuille : 467 x 373 mm.
Extrait de l'ouvrage du
chevalier de Beaurain (pp. 114-116) :
La
marche se fit fur six colonnes.
L'aîle gauche de cavalerie fit la colonne
de la droite ; le Mestre de Camp en eut la tête, &
fut suivi du reste de la premiere ligne de cette ci aile ainsi
qu'elle étoit campée, ensuite de la Brigade de
Maignac & du reste de la seconde ligne dans le même
ordre que la premiere. Cette colonne passa le ruisseau de Jamagne
à 300 pas au-dessous du village ; laissant le pont
qui en étoit le plus près pour l'autre colonne,
de là laissant Jamiolle à gauche, elle suivit un
chemin qui traverse celui de Philippeville à Slenrieu,
d'où elle entra dans la plaine de Soumois & passa
dans ce village pour se rendre dans celle de Cerffontaine.
La seconde colonne fut pour l'infanterie de
la premiere ligne, laquelle défila par sa gauche en commençant
par Champagne ; cette colonne alla passer aux haies de Jamagne,
les laissant à gauche ; de là rasant les haies
de Jamiolle, & le laissant à droite, elle suivit un
chemin qui mene au pont de pierre qui est entre Soumois &
Sainzée, d'où laissant Villers-deux-Eglises &
Sainzée à gauche, elle entra dans la plaine du
camp.
La troisiéme colonne fut pour l'infanterie
de la seconde ligne en commençant par le Maine ;
cette colonne passa dans Jamagne & laissa tous les bois qui
sont au-dessus de Jamagne à gauche, d'où côtoyant
les haies de Villers-deux-Eglises, & laissant ce village
à droite & celui de Sainzée à gauche,
elle entra dans la plaine du camp.
La quatrieme colonne fut pour l'aîle
droite de cavalerie, dont la Brigade de Quadt eut la tête,
suivie du reste de la premiere ligne ainsi qu'elle étoit
campée, ensuite de la Brigade de Bolheit & du reste
de la seconde ligne. Cette colonne prenant par derriere le camp
de l'infanterie, alla à la cense de la Valette, d'où
laissant l'artillerie & les vivres sur fa gauche & le
quartier général sur sa droite, elle alla à
travers champs passer le ruisseau de Jamagne sur un pont qui
étoit entre Jamagne & Philippeville ; de là
elle continua sa marche à travers champs, laissant la
colonne d'infanterie sur sa droite & l'artillerie sur sa
gauche ; & alla passer au travers de Sainzée
pour entrer dans la plaine du camp.
La cinquiéme colonne fut pour l'artillerie
& les Vivandiers de l'armée, lesquels eurent leur
rendez vous à l'artillerie ; cette colonne partant
de son parc prit le chemin de Sainzée, qu'elle laissa
à droite pour parquer derriere ce village.
La sixiéme & derniere colonne fur
pour les troupes de M de Boufflers, lefquelles prirent le grand
chemin de Roloy à Philippeville, qu'elles laisserent à
droite pour aller à Sainzée, d'où elles
s'avancérent à Villers-deux-Eglises.
Chaque colonne de troupes fut suivie de ses
menus bagages, lefquels furent escortés par 200 hommes
de pied. On en mit 300 parmi les charrettes de Vivandiers.
L'armée campa, par la nécessité
du terrein, sur quatre lignes ; la premiere qui étoit
d'infanterie, campoit le long du ruisseau de Soumois qu'elle
avoit devant elle ; les deux du milieu composées
de cavalerie, étoient sur la hauteur de Cerffontaine,
& la quatrieme d'infanterie, près du bois. Les troupes
de M de Boufflers camperent sur deux lignes à la droite
de l'armée.
M de Luxembourg se trouvoit dans cette position
en état de prendre la tête du ruisseau qui va à
Beaumont & de celui qui passe à Cousolre, il avoit
des défilés devant lui & pouvoit couper les
détachemens que les ennemis eussent faits vers la frontiere.
Il s'arrêta dans ce camp, parce qu'il craignit que les
démarches des ennemis ne fussent de fausses démonstrations,
& qu ils n'eussent d'autres vûes que d'éloigner
de Dinant l'armée du Roi ; il vouloit aussi examiner
les chemins que M. d'Albergotti lui avoit indiqués, parce
que jamais armée n'y avoit passé.
Le Prince d'Orange, qui étoit persuadé
que M. de Luxembourg ne pouvoit se rapprocher de Maubeuge qu'en
prenant sa route par Marienbourg & Avesne, alla le 9 reconnoître
les chemins par où il feroit marcher son armée
pour aller dans la plaine de Grand Rieu & le camp qu il lui
feroit occuper ; il comptoit en y marchant obliger l'armée
du Roi de reculer pour défendre la frontiere contre les
détachemens qu'il pourroit y envoyer, & en même
tems prendre plusieurs marches d'avance pour aller fur l'Escaut,
où arrivant le premier il pourroit forcer les lignes,
désoler le pays qu elles couvroient, & empêcher
l'armée du Roi de prendre des quartiers de fourrage depuis
Courtrai jusqu'à Furnes. M. de Luxembourg qui croyoit
devoir dans ce moment mettre toute son attention à prévenir
les ennemis à Mons & sur la Dendre, marcha la nuit
du 9 au 10 pour aller camper à Lugny près de Beaumont.
40 euros (code de commande
: 30149).
BEAURAIN (chevalier de) Carte
des camps de Walef St. Pierre et Walef St. Georges et de Vignamont
Les 18. et 19 Juillet
1693. Avec les trois Camps des Troupes qui formoient la Circonvalation
d'Huy. Corrigée et augmentée par le Chevalier de
Beaurain Géogr. ord[inai]re du Roi.
Planche 12 du tome IV de Histoire militaire de Flandre,
Depuis l'année 1690. jusqu'en 1694. inclusivement. Paris,
Beaurain - Poirion - Jombert, 1755.
Dimensions :
- Illustration : 310 x 312 mm.
- Cuvette : 320 x 323 mm.
- Feuille : 514 x 394 mm.
Extrait de l'ouvrage du
chevalier de Beaurain (pp. 279-280) :
La
marche se fit sur dix colonnes.
Le bouteselle & la générale
à la pointe du jour, à cheval & l'assemblée
une heure après.
L'aile gauche de cavalerie forma les deux colonnes
de la droite ; elle défila par sa gauche, la premiere
ligne eut celle de la droite : elles marcherent toujours
en se côtoyant, & laisserent Bref, à droite,
& l'arbre de Holdin & celui de Tourine à gauche ;
delà elles passerent à vieux Walef, & continuant
leur marche entre Vaux & la Tombe, qu'elles laisserent à
deux cens pas sur leur gauche, elles allerent sur la bruyere
de Warmont, d'où laissant la Tombe de la Bourlotte à
gauche, elles passerent aux Tombes de Warmont, & delà
elles entrerent dans la plaine du camp.
La troisieme colonne fut pour les menus bagages
de l'aile gauche de cavalerie & d'infanterie, lesquels coulerent
le long de la cavalerie pour aller à l'arbre de Tourine
& à la Tombe de Vaux ; delà laissant Borsée
& la Tombe de la Bourlotte à gauche, ils entrerent
dans la plaine du camp.
Les quatrieme & cinquieme colonnes furent
pour l'aile gauche d'infanterie, qui défila par la gauche :
la premiere ligne eut la colonne de la droite ; ces deux
colonnes se côtoyant dans leur marche, passerent auprès
de Tourine, qu'elles laisserent à gauche, pour venir à
Borsée, qu'elles laifferent à droite ; elles
marcherent fort près des haies de ce village, & allerent
à la Tombe de la Bourlotte, & delà à
Warmont, où fut leur camp.
Les sixieme & septieme colonnes furent
pour l'aile droite d'infanterie, laquelle défila par sa
droite : la premiere ligne eut la colonne de la gauche ;
ces deux colonnes prirent leur marche entre Tourine & Walef-Saint
Pierre, passerent à Enef, qu'elles laisserent à
gauche, coulerent le long des haies, laisserent les autres colonnes
d'infanterie à leur droite pour aller à Chaponseré,
qu'elles laisserent aussi à gauche ; delà
elles marcherent à Vignamont, où fut leur camp.
La huitieme colonne fut pour les menus bagages
de l'aile droite de cavalerie & d'infanterie : cette
colonne rasa les haies des deux Walef, laissa Henef & Chaponseré
à droite, coula le long des haies de ce village, pour
aller entre Vignamont & Viler, où elle se trouva dans
le camp.
Les neuvieme & dixieme colonnes furent
pour l'aile droite de cavalerie, qui défila par sa droite :
la premiere ligne eut la colonne de la gauche ; ces deux
colonnes se côtoyant, passerent entre Walef & Selle,
pour aller entre Henef & Serré-le-Château, qu'elles
laisserent à gauche, ainsi que la cense de Quivietry,
d'où elles se rendirent à Viler, où fut
leur camp.
L'artillerie, qui s'étoit avancée
à Borsée, se mit en marche dès la petite
pointe du jour, & marcha toujours en plaine, pour aller parquer
en deçà de Vignamont.
Les vieilles gardes firent à l'ordinaire l'arriere
garde des colonnes.
L'armée eut sa droite à Fisse-Fontaine,
la gauche s'étendoit vers la Mehaigne, ayant Fameler derriere ;
elle le quartier général fut à Vignamont.
40 euros (code de commande
: 29552).
Beaux
dimanches d'autrefois. Orfèvrerie
et ornements liturgiques dans la province de Luxembourg. Bastogne, Musée en Piconrue, 1991.
In-4° broché, 135 p., nombreuses illustrations en
noir et en couleurs, (collection « Art religieux et croyances
populaires en Ardenne et Luxembourg », n° 6), signature
manuscrite et petit cachet ex-libris à la page de garde.
Cet
ouvrage a été publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée au Musée
en Piconrue, à Bastogne, en 1991.
Table des matières
:
- Avant-propos, par André Lanotte.
- Introduction, par André Neuberg.
- Entre le Concile de Trente (1545-1563)
et le Concile Vatican II (1962-1965) : une liturgie
de la beauté, une approche du Mystère, par
André Haquin.
- Textiles de l'église Saint-Donat
d'Arlon, par Anne Dudant.
- La chasuble dite « de
Charlemagne », par Bernard Wodon.
- De quelques vêtements liturgiques,
par Agnès Gouders.
- La dentelle aux fuseaux dans l'ornement
liturgique, par Bernadette Bodson.
- Chuchotements de sacristies à
travers quelques archives. Ardenne et Luxembourg, XVIIe-XIXe
siècles, par Jacques Charneux.
- Orfèvrerie religieuse dans
la province de Luxembourg, par Jean-Jacques Bolly
et Jean-Marie Lequeux.
- Catalogue.
20 euros (code de commande
: 19333).
BERENS (Willi) Eupen. Stadtwerdung und Ältestes Siegel. Bruxelles,
Crédit Communal de Belgique, 1966. In-8° broché,
88 p., illustrations.
7,50 euros (code de commande
: 1695).
BERTHOLET
(Paul) et HOFFSUMMER (Patrick) L'église-halle
des saints Hermes et Alexandre à Theux. Histoire et archéologie
d'un édifice singulier. Dison,
Lelotte, 1985. In-8° broché, 308 p., illustrations,
plans, cartes, 4 grands plans volants à déplier,
bel exemplaire non coupé.
Il s'agit
du volume 65 des Bulletins de la Société
Verviétoise d'Archéologie et d'Histoire.
Table des matières :
- Préface de Luc-F. Génicot.
- Abréviations - Cotes et nivellement
de référence - Archives et bibliographie.
- Introduction : Le contexte géographique.
Chapitre I : État de la question et
recherches actuelles.
1. Historiographie.
A. Les
premières observations.
B. La monographie
de Philippe de Limbourg en 1874.
C. Les
chercheurs du XXe siècle.
2. Les problèmes à
résoudre.
3. Les recherches actuelles.
A. Les
sources historiques et iconographiques.
B. Les
fouilles archéologiques.
C. L'étude
du bâtiment et les analyses.
Chapitre II : L'occupation mérovingienne.
1. Description et localisation
des vestiges archéologiques.
2. Interprétation,
datation et contexte historique.
A. Le premier
édifice.
B. Son
agrandissement.
C. Datation.
D. Contexte
historique (La présence gallo-romaine - Des Gallo-Romains
aux Mérovingiens - Les origines chrétiennes).
Chapitre III : L'église et la période
carolingiennes.
1. Description et localisation
des vestiges archéologiques.
A. La nef
rectangulaire.
B. La tour
occidentale.
2. Interprétation,
datation et contexte historique.
A. Interprétation
et datation.
B. Theux,
centre de la villa et siège d'un palais royal.
C. Expansion
limitée de Theux, centre de la Foresterie royale.
D. Localisation
du noyau carolingien (indices historiques et fouilles).
E. La paroisse
primitive de Theux.
F. Donation
de Theux à l'église de Liège et expansion
démographique.
Chapitre IV : L'église-halle romane
(vers 1091).
1. Généralités
: plan, volumes et maçonneries.
2. Le chur disparu.
3. Niveau du sol roman à
l'intérieur de l'église.
4. L'élévation
des nefs.
5. La zone occidentale (deux
dernières travées).
6. La 5e travée du
collatéral nord : tribune latérale et baptistère
?
7. Décoration et mobilier
de l'église romane.
8. Datation, interprétation
et contexte historique.
A. Datation
et fièvre constructive.
B. Nouvelle
organisation du domaine de Theux.
C. Expansion
démographique et églises nouvelles.
D. L'église-halle,
conséquence inattendue des soucis des constructeurs ?
E. L'église,
la liturgie et le culte des saints.
Chapitre V : La tour fortifiée (3e quart
du XIIIe s.).
1. Situation et chronologie
relative.
2. La maçonnerie.
3. Les trous d'échafaudage.
4. Les meurtrières.
5. Le rez-de-chaussée.
6. Premier et deuxième
étages.
7. Le troisième étage.
8. Le toit.
9. Cloches et vestiges du
beffroi primitif ?
10. Datation, interprétation
et contexte historique.
A. Datation.
B. Évolution
de l'organisation du futur Pays de Franchimont.
C. Tour
forte et période troublée.
Chapitre VI : Les hourds de la tour et le toit
fortifié du vaisseau.
1. Les hourds de la tour
(1345 et ss.).
A. Chronologie
: les hourds actuels, témoins authentiques ?
B. Description
et marques d'assemblage.
2. Le toit fortifié
du vaisseau (3e quart du XIVe s.).
A. Chronologie.
B. Généralités.
C. Description.
D. Système
défensif.
3. Interprétation
et contexte historique.
A. Les
événements.
B. Défenses
passive et active.
C. Les
églises fortifiées.
Chapitre VII : Les transformations gothiques
du XVIe siècle.
1. Plan général
et chronologie.
2. Les chapelles latérales.
3. Le faux transept.
4. Le chur.
5. La sacristie.
6. L'abside.
7. La toiture du chur.
8. Décoration et mobilier.
9. Contexte historique.
A. Une
éprouvante fin du XVe siècle.
B. Erard
de la Marck et le renouveau du Franchimont.
C. Les
pillages de la fin du XVIe siècle.
Chapitre VIII : Les XVIIe et XVIIIe siècles
et la Contre-Réforme.
1. L'église adaptée
aux idées de la Contre-Réforme.
A. Réforme
et Contre-Réforme.
B. Les
idées nouvelles.
C. Aménagements
et réparations divers.
2. Construction du beffroi
des cloches (peu après 1611).
A. Chronologie.
B. Description.
3. Construction du parvis
(1626).
A. Chronologie.
B. Description.
C. Dispositif
défensif.
4. La chapelle Wolff (1655)
et son mobilier.
A. Historique
et chronologie.
B. Description.
C. Dispositif
défensif.
D. Le mobilier.
5. La mode des plafonds peints
à caissons et celui de la nef centrale (1630).
6. Gros travaux au chur
et plafond peint de 1681.
A. Déversement
des colonnes et remplacement du pignon est.
B. Chute
des voûtes et plafond peint.
7. Chute des voûtes
des chapelles et plafond peint de 1698.
8. Le complexe fortifié
de l'église et du cimetière.
Chapitre IX : Le XIXe siècle : projets
de « restauration », heureusement non avenus.
1. Délabrement de
l'église dû aux difficultés financières.
2. Premier essai de restauration.
3. Projet dévastateur
de restauration.
4. Restauration modérée
de 1867-1869.
5. Mobilier et aménagements
intérieurs.
Chapitre X : Le XXe siècle : amélioration
du confort, aménagements intérieurs et restauration.
Chapitre XI : Synthèse générale.
Annexe 1 : Repérage du niveau géologique,
par Serge Demonty.
Annexe 2 : Analyses au radio-carbone, par Étienne
Gilot.
Annexe 3 : Analyse des enduits et mortiers,
par Michel Dupas.
Annexe 4 : SEM examination of the mortars,
par A.-E. Charola et R.-P. Sheryll.
Annexe 5 : Les analyses dendrochronologiques,
par Patrick Hoffsummer.
Annexe 6 : Les sépultures ; une tombe
à encensoirs.
Annexe 7 : La palynologie, par André
Munau.
20 euros (code de commande
: 30931).
BORMANS (Stanislas) Les
seigneuries allodiales du Pays de Liége. Liége, Gothier, 1867.
In-8° pleine toile bleue, 165 p.
70
euros (code de commande : 268/65).
BOURGEOIS
(F.) Apport des fouilles archéologiques à
l'histoire de la commune de Bras. Bruxelles,
Pro Civitate, 1964. In-8° broché, 44 p., illustrations,
une planche hors texte à déplier, (collection « Histoire »,
série in-8°, n° 5), exemplaire en très
bel état.
Extrait de l'historique
de la fouille :
Les
travaux entrepris pour l'installation du chauffage à air
chaud sont à l'origine des fouilles archéologiques
réalisées à l'église de Bras.
Au cours du mois de juillet 1958, une cave
fut creusée à l'extérieur du mur septentrional
du chur. Sous celui-ci, une tranchée pénétrait
dans l'église en traversant la nef dans les trois quarts
de sa largeur. Deux embranchements perpendiculaires s'avançaient
jusqu'à la première marche du chur.
Alerté par M. le chanoine A. Lanotte,
secrétaire de l'évêché de Namur et
membre de la Commission Royal des Monuments et des Sites, M.
A. Geubel se rendit sur place et fit, dans ces excavations, les
premières constatations archéologiques. Elles ne
pouvaient rester sans lendemain. À mon tour, je pus relever
quelques éléments significatifs. Au cours de cette
première phase des « travaux »,
qui ne laissaient aucune place à la recherche archéologique
systématique, des détails ont échappé
à l'observation.
La presse provinciale se fit l'écho
de nos regrets de voir laisser s'échapper l'occasion si
favorable d'« ausculter » un édifice
qui pouvait nous livrer son message. Le Service des Fouilles
de l'État promit son appui à des recherches ultérieures,
faute de pouvoir intervenir directement.
Les Autorités communales comprenant
tout l'intérêt que des fouilles pouvaient présenter
pour la connaissance du passé du village et de la paroisse
se montrèrent compréhensives et bienveillantes.
Une fouille systématique put être
entreprise, au cours des mois de janvier et de février
1959, grâce à l'intervention du Service des Fouilles.
Malheureusement, on dut la limiter à la nef, restriction
qui, nous le verrons, nous empêchera de découvrir
les constructions successives dans leur entièreté.
9 euros (code de commande
: 23361).
BROGNIEZ
(Yvette) et DEREINE (Georges) Fontenelle. À
la rencontre du passé. Walcourt,
Cercle d'Histoire de l'Entité de Walcourt, 1986. In-8°
broché, 291 p., illustrations hors texte, un plan
en couleurs à déplier, (collection « Études
Historiques du Pays de Walcourt », n° 1),
bel exemplaire.
Table des matières
:
- Bibliographie
générale.
Chapitre I. Géographie.
Chapitre II. Les toponymes.
Chapitre III. Les chemins.
Chapitre IV. La population.
Chapitre V. Les seigneuries.
Chapitre VI. La commune.
Chapitre VII. La paroisse.
Chapitre VIII. L'agriculture.
Chapitre IX. Les industries.
Chapitre X. L'enseignement.
25 euros (code de commande
: 30881).
Bulletin de la Société
d'Art et d'Histoire du Diocèse de Liège. Tome XL. Liège, 1958. Grand in-8°
broché, XIX + 208 p., illustrations hors texte, exemplaire
non coupé.
@ Contient : Inventaire analytique
des chartes de l'abbaye de la Paix-Dieu à Jehay-Bodegnée,
1238-1496, par Georges Hansotte ; Le mystérieux
langage des sculptures du palais des princes-évêques
à Liège, par Suzanne Collon-Gevaert ; Le
concile liégeois de Ciney en 1497, par François
Jacques et La population de Saint-Trond en 1635, par Joseph
Ruwet. Table in fine.
25 euros (code de commande
: 242/67).
Bulletin
de l'Institut archéologique liégeois. Tome
LXXIII 1959-1960. Tables générales des tomes
XXXIII à LXV (1902-1945),
par Georges Hansotte. Liège Musée Curtius,
1960. In-8° broché, 464 p., exemplaire non coupé,
envoi de l'auteur.
Table des matières
:
A.
Table systématique des articles.
I. Sciences auxiliaires
:
a) Diplomatique
et archivéconomie.
b) Sigillographie,
héraldique.
c) Toponymie.
d) Métrologie.
e) Numismatique.
f) Folklore.
g) Biographie
et généalogie.
h) Archéologie
préhistorique.
i) Archéologie
romaine, franque et médiévale.
II. Histoire de l'Art :
a) Généralités.
b) Architecture.
c) Sculpture,
ivoires, orfèvrerie.
d) Peinture.
e) Arts
appliqués.
f) Musique.
III. Histoire de la littérature
et de l'enseignement.
IV. Histoire ecclésiastique.
V. Histoire des institutions
:
a) Liège.
b) Looz.
c) Limbourg.
d) Stavelot-Malmédy.
VI. Histoire économique
:
a) Généralités.
b) Population.
c) Industrie.
d) Commerce.
e) Voies
de communication.
f) Finances
publiques.
VII. Histoire paroissiale
et locale.
VIII. Histoire par époque
:
a) Moyen
Âge.
b) Temps
modernes.
c) Révolutions
liégeoise et française.
d) Époque
contemporaine.
B. Table alphabétique des auteurs.
C. Table systématique des illustrations.
I. Cartes, plans, vues cavalières,
panoramas.
II. Fac-similés de
documents.
III. Portraits.
IV. Sceaux.
V. Armoiries et drapeaux.
VI. Monnaies et médailles.
VII. Monuments architecturaux.
VIII. Sculptures.
IX. Peintures.
X. Orfèvrerie.
XI. Ivoires.
XII. Armes.
XIII. Arts appliqués
et décoratifs.
XIV. Découvertes préhistoriques.
XV. Découvertes belgo-romaines.
XVI. Découvertes franques.
XVII. Divers.
D. Table alphabétique des noms de personnes
et de lieux.
10 euros (code de commande
: 20653).
CHALON
(Renier) Recherches sur les monnaies des comtes de
Namur. [Bruxelles], [Académie
Royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-arts de Belgique],
[1861]. In-4° sous un brochage factice un peu défraîchi,
146 p., bien complet des XXII planches hors texte,
(extrait des « Mémoires de l'Académie
Royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-arts de Belgique »,
Tome XXXII), rare.
Compte-rendu par Anatole
de Barthélémy :
Parmi les numismatistes qui rendent le plus
de services à l'étude des anciennes monnaies de
la Belgique, M. R. Chalon a droit à la première
place. Il y a quelques années il publiait une belle monographie
monétaire des comtes de Hainaut, et son nouveau travail
ne le cède au premier ni comme luxe typographique, ni
comme érudition, ni comme perfection des dessins. Je n'ai
pas besoin de rappeler ici en détail les nombreux articles
dus à la plume de M. R. Chalon dans la revue spéciale
qu'il dirige. Bien qu'il arrive quelquefois que je ne me trouve
pas d'accord avec lui, soit dans le fond, soit sur la forme,
je n'hésite pas un moment à rendre hommage à
son zèle, à son savoir, ainsi qu'à sa grande
obligeance personnelle.
Les « Recherches sur les monnaies des
comtes de Namur » sont rédigées d'après
le plan dont on doit, je crois, la première idée
à M. de Saulcy ; les textes, l'histoire et les monuments
sont méthodiquement juxtaposés de manière
à se compléter et à s'éclairer les
uns par les autres.
La série chronologique des comtes de
Namur commence à Bérenger, comte du pagus Laumensis,
qui devint le comté de Namur ; cette circonscription
territoriale paraît pour la première fois aux mains
d'un seigneur héréditaire sous le règne
de Louis de Germanie, en 908. M. Adr. de Longpérier, dans
le « Catalogue de la collection Rousseau »,
en 1847, signalait un denier au monogramme de Louis de Germanie,
forgé à Namur ; c'est évidemment une
pièce contemporaine du premier comte héréditaire
connu, et je suis convaincu qu'on arrivera à comprendre,
dans le monnoyage féodal , les autres deniers aux types
carlovingiens forgés à Namur et à Dinant.
À mon avis, on est trop habitué
à classer une monnaie dans la série des pièces
royales, parce qu'elle porte les types et les légendes
des Carlovingiens ; déjà, plusieurs fois,
j'ai établi, sur des textes positifs et par l'étude
de l'histoire dans ses détails, qu'il fallait chercher
dans les monnaies carlovingiennes, dites royales, les plus anciennes
monnaies purement féodales. La numismatique de Liège
et l'histoire politique des différentes parties de cette
province ecclésiastique au neuvième et au dixième
siècle viendront, j'en ai la conviction, corroborer mon
opinion, et permettront, ultérieurement, de faire reculer
de deux siècles le commencement du monnayage de Namur.
Lorsque l'empereur Charles IV, en 1362,
parlait officiellement du droit de frapper monnaie exercé
par les comtes de Namur, il disait que ces seigneurs tenaient
en fief de l'Empire le droit de frapper une monnaie légale
ayant cours dans leur comté. Cette formule me semble
indiquer clairement l'origine du monnayage namurois ; lorsque
le comté de Lomme devint héréditaire et
par conséquent fief de l'Empire, la monnaie qui s'y forgeait
devint également fief de l'Empire ; auparavant la
monnaie appartenait au souverain qui possédait directement
la province de Liège ; si Bérenger fut le
premier comte héréditaire de Lomme, ou Namur, la
monnaie au monogramme de Louis de Germanie ne peut être
attribuée qu'à lui.
M. R. Chalon ayant écarté les
monnaies carlovingiennes de Namur et de Dinant, pour les laisser
dans la série royale, il ne commence qu'au règne
d'Albert III (1037, 1105). De 1137 à 1263, on compte
onze comtes de Namur, et cependant on ne trouve que trois d'entre
eux dont les noms figurent sur les monnaies ; on en est
réduit à classer hypothétiquement aux huit
autres une bonne quantité de pièces anonymes. J'avoue
que ces attributions me semblent peu solides en général.
Je remarque bien quelques pièces qui portent la désignation
des ateliers de Dinant et de Namur, mais l'absence du nom du
seigneur me laisse dans le doute sur l'époque de leur
émission, et surtout sur les règnes pendant lesquels
elles ont été forgées. Les monnaies à
demi anonymes n'auraient-elles pas précédé
les espèces signées, et ne seraient-elles pas antérieures
en général à Albert III ?
J'ai dit que jusqu'à l'an 1263 on ne
trouvait que trois noms de comtes ; d'après la classification
de M. Chalon, on n'en lirait même que deux, Albert III
(1037-1105) et Godefroid (1105-1139) ; cette différence
provient de ce que j'attribuerais volontiers à Henri l'Aveugle
(1139-1196) le denier au nom de Henricus, qui est tout à
fait semblable à l'un des deniers d'Albert III.
Parmi les pièces anonymes ou semi-anonymes, je ne vois
guère qu'une division chronologique bien nette :
ce sont celles qui ont été frappées soit
avant, soit après 1190, époque à laquelle
Namur devint marquisat. Il est évident que toutes les
pièces représentant un personnage tenant une épée,
ou encore l'épée seule, insigne de la dignité
de marquis, sont postérieures à la date
précitée.
À dater de Gui de Dampierre jusqu'à
Maximilien-Emmanuel (1711-1714), la série numismatique
des comtes de Namur n'offre plus de lacunes, et, nous pouvons
ajouter, plus d'incertitudes sérieuses ; M. Chalon
a donné toutes les variétés à lui
connues, frappées dans les ateliers de Namur, de la Neuville-
lez-Namur, de Mérande, de Viéville et de Bouvignes ;
l'atelier de Dinant, dès le treizième siècle,
ne semble pas avoir continué à ouvrer pour les
comtes de Namur, et je m'étonne que le savant numismatiste
belge n'ait pas donné plus de détails sur ce fait.
Il faut noter le passage que M. Chalon consacre
à une monnaie désignée sous le nom de Pillevilles
ou Pillewille, que l'on trouve mentionnée dans un compte
de 1313 rendu au comte de Namur, et dans une ordonnance de la
même année du roi Philippe-le-Bel. Du Cange et Roquefort
semblent avoir commis chacun une erreur en parlant de cette monnaie.
Je remarque qu'à Namur les pillewilles
avaient cours ; deux pillewilles valaient un gros. En France,
le roi les décriait ainsi que les monnaies des évêques
de Toul et celles de Venise. Avec M. Chalon, je considère
la pillewille comme une pièce d'origine étrangère,
et probablement flamande : c'était le demi-gros ;
mais quelle était l'origine de son nom ?
Pile, en numismatique, semble venir de pnlh, porte, en souvenir du portail qui figurait sur des
monnaies carlovingiennes, ainsi que sur la monnaie tournois.
Un passage d'un registre de la cour des comptes, relaté
par Du Cange, semble le donner clairement à entendre :
« Item tradidi eidem CL jactatores (getoirs)
argenti ad pilam Turenensem, et CL alios jactatores argenti ad
scutum cum fol. Lilii. » On reconnaît facilement
dans ce texte les getoirs au type du chatel tournois et au type
de l'écu fleurdelisé. Plus tard, le mot pile,
attribué à celui des deux coins sur lequel on frappait,
devint par le fait le côté de la croix, sans doute
parce que l'effigie, lorsque l'on commençait à
la représenter, fut gravée sur le coin supérieur ;
à l'ancien dicton : croix ou pile, on substitua
celui de pile ou face.
Si nous remarquons que les Pillewilles
étaient au type tournois, nous trouverons naturellement
l'interprétation de la moitié de ce mot ;
quant à la seconde partie, c'est aux numismatistes flamands
de la chercher dans l'idiome ancien de leur province.
Bibliographie :
- Barthélémy (Anatole de), Recherches
sur les monnaies des comtes de Namur, par Renier Chalon,
dans Bibliothèque de l'École des chartes
- Année 1861, pp. 467-469.
90 euros (code de commande
: 28366).
CHEVALIER (Ann) La châsse de
saint Hadelin à Visé. Gembloux,
Duculot, 1973. In-8° broché, 47 p., illustrations
hors texte, (collection « Wallonie, Art et Histoire »,
n° 20).
Table des matières
:
Introduction.
I. Historique.
II. Qu'est-ce qu'une châsse ?
III. La technique.
IV. Description et iconographie.
A. Les pignons.
B. Présentations communes.
C. Les longs côtés.
V. Attribution et datation.
VI. Conclusions.
VII. Le buste ou chef de saint Hadelin.
Bibliographie sommaire.
Les expositions où la châsse a
figuré.
10 euros (code de commande
: 17880*).
CLAUSSET
(Édouard) et MAUCLET (Gustave) Auvelais et Arsimont
(canton de Fosses). Bruxelles,
Culture et Civilisation, 1981. In-8° broché, 283 p.,
une carte, (collection « Les Communes Namuroises - Monographies
Historiques »), cachet humide ex-libris à la deuxième
page de la couverture, exemplaire en bon état.
Il s'agit de la réédition
de l'édition publiée à Namur, chez A. Servais
& Fils, en 1905-1906.
Table des matières :
- Sources.
Chapitre I : Topographie, hameaux, écarts
et lieux-dits.
Topographie - Hameaux, écarts
et lieux-dits modernes - Lieux-dits anciens.
Chapitre II : Étymologie et origine
d'Auvelais.
Chapitre III : La seigneurie.
Les seigneurs d'Auvelais-le-Comté
- La seigneurie d'Auvelais, fief de demi-pairie du comté
de Namur - Droits, revenus et biens seigneuriaux d'Auvelais-le-Comté
- La seigneurie du Voisin.
Chapitre IV : Les cours de justice.
Cours de justice d'Auvelais-le-Comté
- Cours de justice au Voisin - Le greffier et le sergent des
cours.
Chapitre V : Les communautés.
Organisation distincte des
communautés - Aisemences delle ville d'Avelois - Bien
communaux - Limites des deux communautés. Population.
Chapitre VI : La paroisse.
Cure - Édifices du
culte - Institutions charitables - Institutions pieuses - Succursale
d'Arsimont.
Chapitre VII : Faits de guerre - Événements
politiques.
Guerres franco-espagnoles
- Guerre franco-autrichienne - La période de la Révolution
française.
Chapitre VIII : Établissements et constructions
d'utilité publique.
Chapitre IX : Agriculture, industrie.
Chapitre X : Murs et coutumes.
- Appendice : Les mayeurs d'Auvelais -
Religieux et prêtres originaires d'Auvelais.
18 euros (code de commande
: 31228).
Clermont-sur-Berwinne.
1230-1980. Clermont-sur-Berwinne, Centre Culturel de
Clermont-Elsaute-Froidthier, 1980. Fort in-4° sous cartonnage
illustré d'éditeur, 781 p., illustrations
en noir et en couleurs, trois cartes volantes à déplier,
exemplaire en bon état.
Table des matières
:
- Avant-propos.
- Préface.
- Clermont-sur-Berwinne... et son histoire.
- Historique.
- Généalogie.
- Architecture ancienne.
- Clermont... son cadre, son environnement.
- Promenade à
travers Clermont-sur-Berwinne.
- Le paysage.
- Caractéristiques
des sols.
- Évolution démographique
et économique.
- Habitat et urbanisme.
- Lieux-dits - Voirie
- Infrastructure.
- Histoire de l'agriculture
au pays de Clermont.
- Clermont dans la nouvelle
entité communale.
- Clermont... son folklore, ses traditions.
- À propos des
sociétés.
- Art dramatique.
- Coutumes.
- Les croyances religieuses.
- Quelques compositions
de notre terroir.
- Dictons.
- Clermont... sa vie socio-culturelle.
- Vie sociale.
- Vie culturelle.
- Clermont-sur-Berwinne
- Village fleuri.
- Qualité village.
- Rénovation
rurale.
- Notices historiques
sur l'enseignement et le personnel enseignant des écoles
de Clermont-sur-Berwinne.
- Bibliographie.
35 euros (code de commande
: 31845).
[COMMISSION
ROYALE DES MONUMENTS, SITES ET FOUILLES]. Bulletin de la C.R.M.S.F.
- Tome 22. Liège,
Commission Royale des Monuments, Sites et Fouilles, 2010. Grand
in-8° broché, 180 p., nombreuses illustrations
en noir et en couleurs, exemplaire en parfait état.
Table des matières :
- Préface,
par Robert Tollet et Pierre Gilissen.
- Un siècle d'architecture commerciale.
Les grands magasins dans les villes de Liège et de Charleroi
(1855-1967), par Sarah Gaillart.
- Verviers et ses grands magasins,
par Caroline Hermann.
- Le Passage Lemonnier au XIXe siècle
et au début du XXe siècle. Histoire d'une construction,
par Édith Micha.
- Le Passage Lemonnier. Les transformations
de Henri Snyers au XXe siècle, par Thomas Moor.
- Le Passage Lemonnier. De la table
ronde à aujourd'hui. Des lendemains qui chantent,
par Sébastien Charlier.
- « Passage périodique ».
Le Passage Lemonnier et la presse (1839-2009), par Sébastien
Cokaiko.
- À Charleroi : le Passage de
la Bourse, joyau d'architecture urbaine de la Ville Basse,
par Anne-Catherine Bioul.
- Pour une architecture radieuse :
briques, dalles et pavés de verre (1886-1940), par
Monique Merland.
15 euros (code de commande
: 30965).
COURTOY (Ferdinand) Lhôtel
de Groesbeeck-De Croix à Namur. Dessins dHenri
Bodart. Deuxième édition revue. Namur, Godenne,
1934. In-8° broché, 24 p., XII planches hors texte.
8 euros (code de commande
: 250).
DALEM
(Robert) Esneux au XXe siècle. Bomal-sur-Ourthe, Petitpas, 1976. In-8°
broché, 336 p., une carte à déplier,
exemplaire en parfait état.
Table des matières
:
lre
partie.
- Avant-propos.
- La commune.
- Sentiers, chemins
et routes.
- Anciens chemins et
sentiers.
- Des noms de rues.
- L'eau potable.
- Liste des sources,
fontaines, etc.
- L'instruction publique.
- Le canal.
- Le chemin de fer.
- Les anciens ponts.
- 1900- 1914.
- Généralités.
- Vie
et coutumes.
- L'église
d'Esneux.
- Autres
églises et chapelles.
- Un
journal local.
- La
villégiature.
- La
première fête des Arbres.
- L'hôpital
intercommunal le monument Montéfiore.
- Le
mémorial Lemonnier.
- Les
réjouissances estivales.
- L'achat
de Beaumont.
- L'acquisition
du parc du Mary.
- 1914 - 1918.
- La
grande guerre.
- 1918 - 1940.
- Généralités.
- Un
orage extraordinaire.
- La
crise des logements.
- La
voirie.
- Le
corso fleuri.
- La
défense des sites.
- La
plus forte inondation du siècle.
- Un
projet de barrage.
- Une
découverte à Beaumont.
- Le
tourisme et les arbres.
- La
guerre froide.
- 1940 - 1945.
- La
guerre mondiale.
- Urbanisme
et reconstruction.
- 1945 - 1964.
- Généralités.
- L'administration
de la Commune.
- Le
tourisme.
- Fêtes
et réjouissances populaires.
- Les
malheurs du parc du Mary.
- Un
hiver terrible.
- Le
nouveau pont et les aménagements de la rive droite.
2e partie. 1965 - 1976.
- Deuxième avant-propos.
- On change de crémerie.
- Achats de terrains
et nouvel hôtel de ville.
- Un marché public.
- Une nouvelle usine.
- Le nouveau rite liturgique.
- Électricité,
éclairage public et télédistribution.
- Nécropole franque.
- Le monument aux carabiniers
cyclistes.
- Une maison des jeunes.
- Hoûte-si-Plout,
cité universitaire.
- Le comblement du canal
vers La Gombe.
- Un nouveau bureau
des postes.
- Jumelage de communes...
et de la F.N.C.
- Découverte
d'un trésor.
- Un pavillon du Tourisme.
- Un monument au Roi
Albert.
- Une émission
postale à caractère touristique.
- Station verte de vacances.
- Esneux érigé
en doyenné.
- Esneux et les arbres.
- Notre sceau communal.
- Deux centenaires en
moins d'un siècle.
- Les élections
de 1970.
- Le nouvel hôpital.
- Le kiosque à
musique transformé en local pour pensionnés.
- La Reine Fabiola nous
fait visite.
- Les immondices.
- Le château de
Lavaux.
- Le château « Le
Fy ».
- Le château d'Avionpuits.
- Le Rond-Chêne.
- La Fondation Montéfiore.
- Camping à gogo.
- Randonnées
sportives et promenades instructives.
- Les autoroutes.
- La route buissonnière.
- La sécheresse
du siècle ?
- L'instruction publique.
- Dragage de l'Ourthe
et muraillage des berges.
- Les fouilles de Beaumont.
- Que d'eau, que d'eau
!
- On change les plaques
des rues.
- Nouvelles acquisitions.
- La culture, le sport
et les activités diverses.
- Informations générales
en bref.
- Les élections
communales de 1976 illustrées.
- Bienvenue à
Tilff. Adieu à l'ancien Esneux.
- Au fond...
- Conclusion.
- En annexe :
- Liste des quartiers
et dépendances d'Esneux.
- Liste des rues.
- Liste des sites et
monuments classés.
12 euros (code de commande
: 31994).
DEJOLLIER
(René) 1915-1940.
Namur... Revue à travers 25 ans de gazettes. Préface
par Pierre-Yves Massart. Namur, Wesmael-Charlier, 1982.
In-4° broché, 317 p., très nombreuses illustrations.
Préface :
C'est
en septembre 1980 que les Namurois, avec ravissement, prenaient
connaissance de l'ouvrage d'un des leurs Une pensée
de Namur. En faisant « joliment parler ses cartes
postales », René Dejollier nous entraînait
de façon aussi insolite qu'amusante, à la découverte
de quelques pages pittoresques de l'histoire de la cité
du Bia Bouquet, de 1890 à 1920.
Ce fut un succès et tous, nous nous
en réjouissons.
Namur-Revue à travers 85 ans de gazettes
sorti de presse, un an plus tard suscite
un intérêt identique, en nous retrempant dans la
vie quotidienne des Namurois, entre 1829 et 1914.
À présent, l'auteur nous invite
à découvrir de façon tout aussi originale,
un passé plus récent auquel ont été
mêlés de nombreux Namurois d'aujourd'hui. C'est
Namur-Revue à travers 25 ans de gazettes (1915
à 1940).
Il nous fait parcourir Namur entre les deux
dernières guerres, avec le glorieux retour du 13e de ligne,
la mobilisation de 1939 et la dernière épreuve
de 1940.
Il redit toute la gaieté proverbiale
des Namurois, la retrouve dans le passé, l'analyse, en
démêle leur caractère : le côté
bravoure, l'amour de chez soi, l'esprit de liberté et
l'indépendance.
Par 25 années de lecture de nos gazettes
locales, ajoutées aux 85 années précédentes
de son dernier ouvrage, l'auteur nous fait entrer dans la vie
de tous les jours des Namurois ; il en souligne ses faits
divers, les divergences politiques, les transformations de la
cité, l'évolution de l'instruction, etc.
Le tout avec l'appui de plus de 200 cartes
postales illustrées qui, à elles seules, nous font
pénétrer, mieux encore, dans Namur plus belle que
jamais.
Les souvenirs, chers à nos grands-parents,
nous offrent un témoignage émouvant de leur vie
d'autrefois.
En terminant, je veux exprimer à René
Dejollier, notre gratitude profonde, pour la joie intense que
la lecture de ses ouvrages a fait jaillir dans le cur de
ceux qui sont épris de notre cité.
30 euros (code de commande
: 24516).
DEJOLLIER
(René) Une
pensée de Namur. Namur, Wesmael-Charlier, 1980.
In-4° broché, 166 p., très nombreuses illustrations.
Il s'agit
d'un recueil de reproductions de cartes postales du début
du XXe siècle, accompagnées d'un court commentaire
historique.
Préface :
Moyen de communication par excellence et presque
exclusif, au début de ce siècle, la carte postale
illustrée d'hier est devenue, de nos jours, authentique
document.
Il suffit, pour s'en convaincre, de flâner
le dimanche matin, un peu partout en Wallonie comme ailleurs,
sur les marchés dits « aux puces ».
Outre l'acheteur qui, feignant l'indifférence,
cache bien son intérêt pour la « chose »
parfois insolite qu'il a découverte, l'on y rencontre
aussi le fouineur nostalgique de la poésie un peu désuète
qui s'exhale d'objets dont la vraie valeur est le souvenir qu'ils
évoquent.
Parmi toutes ces « vieilleries »
et ces bouquins aux senteurs de poussière, la carte postale
ancienne occupe une place de choix : elle attire, en effet,
nombre de collectionneurs dont la passion va croissant avec la
rareté des pièces qu'ils veulent acquérir,
souvent à des prix élevés.
René Dejollier est de ceux-là.
Sa collection est vaste.
Un seul thème, pourtant, l'anime :
Namur.
C'est dire l'attachement qu'il porte à
sa ville, à ses coins charmants où nos grands-parents
ont pris le temps de vivre.
Si le poète chante Namur, si l'historien
raconte son passé et l'archéologue restaure son
patrimoine, René Dejollier, lui, fait joliment parler
ses cartes postales.
Trente ans d'histoire locale, de 1890 à
1920, au travers d'une multitude de détails surprenants,
amusants, pittoresques, relevés sur chacune des 284 pièces
qui composent son ouvrage !
Que d'enseignements pour tous ceux qui aiment
notre ville et veulent la découvrir tous les jours davantage !
Que d'aspects insoupçonnés dans
la vie de notre récent passé !
Namur est une ville si attachante, par sa Meuse
majestueuse, son fier Champeau, ses toits gris et ses rues tortueuses ;
Namur est si délicieuse par ses gens et sa douceur de
vivre qu'elle méritait bien une pensée !
Remercions René Dejollier de l'avoir,
pour nous, bellement exprimée.
15 euros (code de commande
: 24515*).
DELOOZ
(R.) Reflets de
Namur. Lonzée, chez l'auteur, 1994. In-4°
broché, 137 p., illustrations en noir, couverture un peu
usagée.
Introduction :
À la suite des recherches parues
sur les vingt-quatre communes entourant la ville de Namur et
regroupées dans une seule entité, il semblait normal
d'aborder l'évolution de la ville elle-même. De
nombreuses études fouillées ont cependant déjà
été réalisées sur les différents
aspects de Namur et continuent à l'être que ce soit
dans les Annales de la Société Archéologique,
le Guetteur wallon, la revue Confluent, les ouvrages
de René Dejollier, ceux édités par le Crédit
communal et biens d'autres.
Dans cette rétrospective, nous aborderons
dès lors trois domaines de la vie namuroise : l'évolution
paroissiale, l'importance de son réseau scolaire et l'évolution
commerciale de la ville depuis le début du siècle.
Pour ce faire, nous avons visité les différents
édifices du culte, rencontré d'anciens responsables
d'écoles et des commerçants. Loin d'être
exhaustive, cette étude veut simplement illustrer certaines
modifications que Namur a connues en quelques décennies
pour en faire une capitale régionale très plaisante,
mais qui a aussi attiré des chaînes étrangères
de magasins, banalisant par la même occasion les quartiers
les plus fréquentés. Souhaitons aussi qu'il n'y
ait pas seulement place pour la pensée bourgeoise honnête
et conformiste où l'enthousiasme est condamné comme
toutes les ivresses, ainsi que le regrettait en son temps Félicien
Rops.
13 euros (code de commande
: 25297).
DERNONCOURT
(Jean) À
Andenne, de la terre... à la porcelaine.
Andenne, Chez l'Auteur, [post 1968]. In-8° broché,
[88] p., illustrations et nombreuses reproductions de cachets.
Note de l'auteur :
Cette
petite brochure n'a pas la prétention d'apporter du nouveau
à l'histoire des produits fabriqués à Andenne
en partant de la terre plastique, que ce soient les pipes, les
faïences ou les porcelaines.
En l'écrivant, nous poursuivons deux
buts. D'abord satisfaire bon nombre de visiteurs du Musée
de la Céramique qui demandent très souvent s'il
existe une brochure ou une documentation quelconque sur les fabrications
andennaises, désirant apprendre à les connaître
et surtout à les reconnaître. Trop souvent, en effet,
des pièces authentiques d'Andenne sont à tort attribuées
à d'autres origines et particulièrement à
Bruxelles.
Malheureusement aussi, le contraire est vrai,
et c'est là le second but de ce petit travail. Il y a
eu des erreurs d'attribution et des contrefaçons de marques.
Nous avons donc mis en présence les thèses des
différents historiens de la céramique, tachant
d'approcher la vérité au plus près afin
d'attirer l'attention et d'éclairer au mieux les amateurs
et de rendre autant que possible à chacun ce qui lui revient.
13 euros (code de commande
: 25984).
DES
OMBIAUX (Maurice) Contes de Sambre et Meuse (Choisis).
Illustrations de Léo
Jo, Laermans, Donnat, Koister, etc. Bruxelles, Association des
Écrivains réunis, 1905. In-12 broché, 166
p., bon exemplaire, peu courant.
Ce volume contient
:
-
Au fond du bois.
- Ziré Buzette.
- 1870.
- Le Pâtre.
- L'Accident.
- Petites Notre-Dames.
- Le Braconnier.
- Le Sec.
- Le Passeur d'eau.
45
euros (code de commande : 17078).
DES
OMBIAUX (Maurice) Namur la Gaillarde. Bruxelles, Les Éditions de Belgique,
1933. In-8° broché, 192 p., (collection « Littérature »),
exemplaire du tirage courant de l'édition originale, rousseurs
à la couverture.
Dans ce roman namurois, Maurice des
Ombiaux nous raconte les aventures du moine Gédéon,
« chanoine régulier de l'ordre des Croisiers »
:
« Gédéon était
d'humeur joviale, expert en langage populaire encore mieux qu'en
latin avec la gloutte en bonne place, ce qui faisait dire qu'il
avait bec salé. Bon vivant et bien disant, il était
naturel que dans cette ville de liesse il aimantât les
loustics qui, à l'exemple du grand saint Aubin dont nous
avons conté l'histoire dans le Joyau de la mitre,
préféraient, plutôt que de trimer dans les
ateliers, les établis ou les boutiques, célébrer
matines le verre en main, dire la messe sur l'escalier de la
cave, chanter vêpres au glouglou des bouteilles et assister
au salut dans les vignes ou les houblonnières du Seigneur,
conception toute gauloise et occidentale du droit canonique. »
12 euros (code de commande
: 20202).
DESSOY (M.) Saint Hubert. Le patron de lArdenne - LAbbaye
- La Basilique. Saint-Hubert,
Gofflet, s.d. In-8° agrafé, 64 p., illustrations.
8 euros (code de commande
: 264).
[DEUXIÈME
GUERRE MONDIALE]. Le vent de la liberté. Welkenraedt, Commune de Welkenraedt, 1994. In-4°
broché, 144 pages, illustrations en noir et en couleurs,
très bon exemplaire.
Catalogue
de l'exposition organisée à Welkenraedt dans le
cadre du 50e anniversaire de la Libération, sous la direction
scientifique de l'Institut Jules Destrée, avec les contributions
d'André Alexandre, François Becquart, Sergio Carrozzo,
Alain Colignon, Freddy Dehon, Paul Delforge, Marcel Deprez, Michel
Hannotte, Gigi Noiroux, Lili Rochette, Patrick Thonart, Daniel
Van Der Steen et Micheline Zanatta..
Table des matières :
- Préface de Paul Delforge.
Première partie. Plus jamais cela...
et pourtant !
Chapitre 1. Les faiblesses
de la paix : le la SDN à l'ONU.
Chapitre 2. Aujourd'hui comme
hier : du fascisme à l'antifascisme.
Chapitre 3. La liberté
d'expression.
Chapitre 4. Droit d'ingérence :
de Munich à Kigali.
Chapitre 5. Réfugiés :
de l'exode à l'asile.
Chapitre 6. La faim et la
malnutrition.
Chapitre 7. Ordre nouveau
- Univers concentrationnaire - Solution finale.
Chapitre 8. Expériences
médicales : de l'homme pur à l'homme parfait..
Chapitre 9. Plus jamais la
guerre.
Deuxième partie. Le vent de la liberté.
Chapitre 10. L'espoir et
l'information viennent du ciel.
Chapitre 11. La résistance.
Chapitre 12. Le sort de Welkenraedt.
Chapitre 13. Le procès
de Nuremberg.
- Bibliographie.
25 euros (code de commande
: 27548).
DORTU
(Jean) Cerhexe-Heuseux au temps jadis. Fléron, Cercle Historique de Fléron,
1978. A4 dactylographié et collé, III, 296 p.,
quelques illustrations hors texte, cachet humide ex-libris.
Table des matières
:
- Présentation.
- Introduction.
- Cerexhe-Heuseux, de nos jours.
- Aperçu historique.
- Les « pagi ».
- La collégiale
Saint-Pierre, seigneur de Cerexhe-Heuseux.
- La Révolution.
- Organisation administrative.
- La Cour de Justice.
- Les plaids.
- Le gibet.
- Organisation financière.
- Organisation religieuse.
- Le diocèse
de Liège.
- Les doyens ruraux.
- Le curé.
- Le chapelain.
- Le luminaire.
- La table du Saint-Esprit.
- Les maladreries.
- Les bénéfices.
- Les confréries.
- La population.
- La vie économique.
- Agriculture.
- Industrie.
- Métallurgie.
- Mines et carrières.
- Autres professions.
- La vie économique : le commerce.
- Le marché et
la foire de Heuseux..
- Une auberge à
Heuseux.
- Les monnaies.
- Les mesures.
- Les communications.
- Les constructions.
- Les fermes.
- L'église Saint-André
de Cerexhe.
- La chapelle Saint-Laurent
à Heuseux.
- Les oratoires.
- La maison pastorale.
- La grange pastorale.
- Le château des
Diffuy.
- La maison communale.
- Biens seigneuriaux et domaniaux de la
collégiale Saint-Pierre
- Le moulin banal ou
la fabrique.
- La brassine.
- Les écoles
et l'instruction.
- Le fort dit d'Evegnée.
- Personnalités.
- Antoine Goffart.
- Les Nagant de Deuxchaisnes.
- Jean-François
Delsupexhe.
- Eugène Gillissen.
- Conclusions.
- Annexes.
- Liste des ménages
de la paroisse de Cerexhe-Heuseux, faite par le curé de
la paroisse H. Bouhée, aux mois de septembre et octobre
1707.
- Les curés de
Cerexhe-Heuseux.
- Les chapelains de
Heuseux.
- Les bourgmestres et
mayeurs de Cerexhe-Heuseux.
- À propos de
la cloche banale.
- Acte de décès
du notaire Moulan.
- Partage des communs
biens et suppression de la main-morte (1739).
- Toponymie.
13 euros (code de commande
: 32016).
DUBOIS
(Charles) Vieux-Virton romain. Le vicus romain de Vertunum. Introduction et addenda par E. P. Fouss.
Gembloux, Duculot, 1970. In-8° broché, 79 p.,
illustrations hors texte, (collection « Wallonie,
Art et Histoire », n° 3).
Table des matières
:
Charles Dubois.
1. Avant-propos.
2. Aperçu historique.
3. Monuments lapidaires.
4. Objets en argent et en or.
5. Objets en bronze.
6. Objets en fer.
7. Objets en verre, en pâte de verre,
en pierre précieuse.
8. Objets en ivoire et en os.
9. Céramique.
10. Marques de potiers romains.
11. Monnaies - Collections.
12. Cimetières.
13. Histoire sommaire du vicus.
10 euros (code de commande
: 17875).
DUPRET (Marcel-Étienne) Un
joyau à découvrir. Harmignies, Dejardin et les
Épioux. Avec des
illustrations de Jean-Claude Servais. Mons, Mon's Livre,
2015. In-8° carré broché, 60 p., illustrations
en noir et en couleurs.
Table des matières
:
- Mot
de la présidente.
- Mot du CPAS de Mons.
- À propos de la commune de Florenville.
- Une collaboration avec Jean-Claude Servais.
- Introduction : propriété
du CPAS de Mons.
- Dejardin et les Épioux.
- La vente de 1887.
- Victor Dejardin, d'Harmignies
à Chiny.
- Les testaments de
Victor Dejardin.
- Un patrimoine d'exception.
- Les Hospices civils
de la Ville de Mons.
- Un lien avec Mons
: le chalet du « Ropieur ».
- La sauvegarde des
Épioux, un enjeu d'actualité.
- Au cur de la forêt de Chiny.
- Une histoire naturelle.
- Légende et
étymologies.
- Du comté de
Chiny à la Gaume d'aujourd'hui.
- L'abbaye Notre-Dame d'Orval.
- Le temps des maîtres de forges.
- L'industrie du fer
en Gaume.
- Les Épioux-Haut
et les forges Dumoustier.
- La forge Tamison.
- Les Épioux-Bas
et la forge Roussel.
- Le temps du domaine forestier.
- Pierre Bonaparte aux
Épioux-Haut.
- Edmond Picard aux
Épioux-Bas.
- Orientation bibliographique.
15 euros (code de commande
: 23617).
DUVOSQUEL
(Jean-Marie) Les statistiques communales
de l'ancien canton électoral de Saint-Hubert (1834-1976). Bruxelles, Crédit
Communal de Belgique, 1977. In-8° broché, [80] p.
Extrait
de
Saint-Hubert d'Ardenne, cahiers d'histoire, Tome I, pp. 155-235.
La présente publication concerne le
canton électoral de Saint-Hubert tel qu'il se présentait
avant la fusion des communes entrée en vigueur le 1er
janvier 1977. Cependant, les communes d'Awenne et de Mirwart,
appartenant au canton électoral de Saint-Hubert, relevaient
alors du canton judiciaire de Nassogne : aussi a-t-il semblé
utile de les distinguer dans la présentation du travail.
En outre, pour permettre la comparaison avec les chiffres qui
apparaîtront dans les recensements futurs, les communes
anciennes qui constituent aujourd'hui la nouvelle entité
de Saint-Hubert ont été pourvues systématiquement
d'un astérisque.
Rien n'est plus difficile à utiliser
que les chiffres : il est évidemment primordial de savoir
ce qu'ils recouvrent exactement. Des données apparemment
comparables cachent des réalités bien différentes.
C'est la raison pour laquelle il sera prudent de consulter, avant
utilisation des tableaux qui suivent, un article qui paraîtra
dans le Bulletin trimestriel du Crédit Communal de
Belgique et qui fournira les caractéristiques de chaque
recensement, les conditions dans lesquelles il a été
élaboré ainsi que les critères qui ont été
adoptés par les statisticiens de l'époque. Cet
article nous dispense aujourd'hui d'entrer dans des considérations
qui sont communes à tous les cantons qui seront envisagés.
Précisons encore que le but de ce travail
n'est que de fournir des matériaux et non de les mettre
en uvre. D'autres s'y emploieront ultérieurement.
9
euros (code de commande : 14340**).
En Fagne et Thiérache
Cette revue trimestrielle
est publiée par le cercle d'Histoire régionale
de Presgaux.
De format in-8° agrafé, ces volumes contiennent des
illustrations.
Nous disposons aussi des numéros suivants :
14/15, 35/36, 47, 67, 68,
81, 82, 92, 95, 107.
Tome 95.
1991. 44 p. + pp. 365-380.
9 euros (code de commande
: 328/64).
@ Contient
e.a. : L'ordre public dans le pays de Couvin et alentours
sous le régime français, par R. Malpaix.
Tome 97.
1992-1993. 36 p. + pp. 381-392. 9
euros (code de commande : 330/64).
@ Contient
e.a. : Bureaux de bienfaisance, mendicité et vagabondage,
par R. Malpaix ; Une histoire des seigneurs de Chimay : la
maison de Croÿ.
Tome 98.
1992-1993. 32 p. + pp. 393-416. 9
euros (code de commande : 331/64).
@ Contient
e.a. : Le presbytère de Couvin, par R. Malpaix
; 3 procès à Gonrieux. Colportage - Brasserie,
par A. Renier ; Une histoire des seigneurs de Chimay. |
[EVRARD
(Guillaume)]. SERESSIA (Charles)
Guillaume-Evrard, dernier
sculpteur des princes-évêques. Liège, 1709-1793. Gembloux, Duculot,
1973. In-8° broché, 62 p., 16 illustrations hors
texte dont une en couleurs, (collection « Wallonie,
Art et Histoire », n° 17).
Table des matières
:
- Introduction.
I. Biographie de l'artiste.
II. Guillaume Evrard au service des princes-évêques.
1. Les mausolées.
2. Les portraits.
III. La décoration sculptée de
l'église de Saint-Hubert.
1. Les stalles.
2. Le Saint Sébastien.
3. Les quatre évangélistes.
IV. Les uvres liégeoises.
- Conclusion : L'art de Guillaume Evrard.
- Bibliographie.
10 euros (code de commande
: 31713).
FALLON
(Henri) Namur. Paroisse de Saint-Jean-Baptiste. Bruxelles, Culture et Civilisation, 1981. In-8°
broché, 192 p., cachet humide ex-libris à
la deuxième page de couverture, pli au coin supérieur
du premier feuillet de la couverture.
Réimpression
de l'ouvrage paru à Namur, chez Servais, en 1907-1909,
dans la collection « Les Communes Namuroises - Monographies
historiques ».
Table des matières :
- Sources.
Chapitre I. La Paroisse.
§ 1. Formation de la
paroisse.
§ 2. Circonscription
de la paroisse.
§ 3. Administration
de la paroisse.
Chapitre II. L'église. Son mobilier.
Ses annexes.
Chapitre III. Les curés.
Chapitre IV. Les confréries.
§ 1. Confrérie
du Saint-Sacrement.
§ 2. Adoration perpétuelle.
§ 3. Association des
Adorateurs.
§ 4. Confrérie
des Cinq Plaies du Sauveur.
§ 5. Confrérie
de N.-D. de Lorette.
§ 6. Confrérie
du Perpétuel Secours.
§ 7. Confrérie
de la Sainte Famille.
Chapitre V. Les ermitages de la paroisse.
§ 1. Ermitage Saint-Adrien.
§ 2. Ermitage Saint-Georges.
§ 3. Ermitage Saint-Hubert.
§ 4. Ermitage Saint-Fiacre.
Chapitre VI. Les bénéfices.
§ 1. Bénéfice
N.-D., SS. Pierre et Paul.
§ 2. Bénéfice
SS. Benoît et Christophe.
§ 3. Bénéfice
Saint-Nicolas.
§ 4. Bénéfice
Saint-Georges.
§ 5. Bénéfice
Saint-Georges à l'Ermitage.
§ 6. Bénéfice
Saint-Thomas.
§ 7. Bénéfice
SS. Michel et Roch.
§ 8. Bénéfice
SS. Jacques et Fiacre.
§ 9. Bénéfice
Sainte-Barbe.
Chapitre VII. Les fondations et coutumes.
§ 1. Messes hebdomadaires.
§ 2. Offices.
§ 3. Fêtes des
Corporations.
§ 4. Processions.
§ 5. Musique.
20 euros (code de commande
: 30977).
[FERRIÈRES].
CAPITAINE (Maurice), FAGNOUL (Martin) et PASQUASY (René)
Ferrières, commune d'Europe. Histoire de ses
jumelages. Ferrières,
Association « Au Rythme de... Ferrières »,
1979. In-8° broché, 54 p., illustrations, (collection
« Au Rythme de... Ferrières », n° 2).
En quatrième
de couverture :
Le
hasard des promenades nous amènent très souvent
à découvrir des plaques de communes évoquant
des jumelages.
Ne nous sommes nous pas bien souvent interrogés
sur les affinités et les circonstances qui ont uni tel
village de chez nous à telle cité étrangère ?
Cette plaquette n'a d'autre prétention
que de nous éclairer sur la volonté des habitants
du nouveau Ferrières de réaffirmer les engagements
pris vis-à-vis de l'étranger et de revivre, au
travers du style propre aux trois auteurs, les multiples événements
folkloriques.
Grands jumelages qui n'évoquent guère
d'autres manifestations relevant du sport ou d'union d'anciens
combattants ! Tous les Ferrusiens ont participé à
ces unions, ils retrouveront dans le récit de leurs porte-paroles,
les grands moments des jumelages.
10 euros (code de commande
: 21964).
[FERRIÈRES].
CAPITAINE (Maurice) Petites histoires de bouche au
cur de la grande Histoire. Ferrières 1940-1945 par Maurice Capitaine. Ferrières, Association
« Au Rythme de... Ferrières », 1988.
In-8° broché, 143 p., quelques illustrations, (collection
« Au Rythme de... Ferrières », n° 9).
En quatrième
de couverture :
Ces
pages éditées sur la Petite Histoire des gens de
l'ancienne commune de Ferrières, durant la guerre 1940-1945,
revêtent un intérêt certain pour la jeunesse
qui ne peut pas ignorer toutes les péripéties et
les horreurs inhumaines de la dernière guerre mondiale
que certains voudraient contester.
En lisant ces lignes, les générations
montantes qui n'ont pas connu ces événements, apprendront
ce que furent les tristes réalités de la guerre
et le sacrifice total consenti par ceux de chez nous qui ont
mis tout en uvre pour repousser l'envahisseur, reconquérir
la liberté et dont le souvenir doit rester vivace dans
les mémoires.
Table des matières :
- Avant-propos.
Chapitre I. Soldat. Mai 1940.
Chapitre II. Sur les routes de l'exode.
Chapitre III. Avec nos prisonniers de guerre.
Chapitre IV. Sous l'occupation.
Chapitre V. La résistance.
Chapitre VI. Sur la route des vaincus.
Chapitre VII. La libération.
Chapitre VII. La guerre n'est pas finie.
- Le cauchemar d'achève.
- Bibliographie.
13 euros (code de commande
: 21968).
[FERRIÈRES].
CAPITAINE (Maurice) Nouvelles petites histoires de
bouche au cur de la grande Histoire. Entité de Ferrières
1940-1945. Ferrières,
Association « Au Rythme de... Ferrières »,
[ca 1989]. In-8° broché, 192 p., illustrations,
(collection « Au Rythme de... Ferrières »,
n° 10).
Table des matières
:
- Avant-propos..
Chapitre I. Premières secousses de la
guerre.
Chapitre II. Des prisonniers vus par eux-mêmes.
Chapitre III. Ceux qui n'ont pu éviter
la déportation.
Chapitre IV. Quelques réfractaires.
Chapitre V. Parmi les résistants.
Chapitre VI. Une population opprimée.
Chapitre VII. Une exclusivité dans la
nouvelle entité.
Chapitre VIII. Enfin ! Une belle journée.
Chapitre IX. La bataille des Ardennes.
- Épilogue.
- Annexes :
1. Nos prisonniers de guerre.
2. Des héros de la
Royal Air Force.
- Bibliographie.
15 euros (code de commande
: 21969).
FOCK
(Heike) et CNOCKAERT (Laetitia) La chapelle Saint-Barthélemy
de Wiesenbach. De la
légende à l'histoire.
Namur, Institut du Patrimoine Wallon, 2012. In-4° broché,
173 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs,
planches volantes à déplier, (collection « Études
et Documents - Archéologie », n° 26),
exemplaire en très bon état, épuisé
au catalogue de l'éditeur.
En quatrième
de couverture :
Lieu
de culte et centre de pèlerinage de temps immémorial,
site d'un ancien sanctuaire païen dédié à
la déesse Visuna, bâtie sur un cimetière
d'époque Franque la chapelle Saint-Barthélemy de
Wiesenbaeh (Saint-Vith) jouit d'une tradition historique emblématique.
Faisant partie des plus anciens édifices classés
de Belgique, décorée de splendides peintures murales
du XVe siècle redécouvertes par hasard en 1982,
son origine remonterait au IXe siècle.
Les fouilles archéologiques et les recherches
pluridisciplinaires menées depuis 1994 ont livré
îles résultats inattendus. Remettant en question
la plupart des données publiées auparavant, ils
permettent de retracer l'évolution complexe de l'édifice
qui pourtant totalement isolé de tout habitat
jusqu'il y a peu a constamment fait l'objet d'importants
travaux d'agrandissement et d'embellissement.
La première occupation du site de Wiesenbaeh
remonte au XIe siècle ; le cimetière alors
aménagé est affecté aux hameaux de la vallée
du Prümerbach, situés à trop grande
distance de leur église-mère. Le plus ancien édifice
identifié par les fouilles archéologiques, une
petite chapelle à chevet plat, remonterait au milieu du
XIIIe siècle. Au XIIIe ou au XIVe siècle, cette
chapelle est pour la première fois rénovée :
le chur est agrandi, puis recouvert d'un enduit portant
un décor de faux-joints ; la nef est en partie reconstruite.
La seconde transformation débute après 1425 et
s'achève peu après le milieu du XVe siècle.
On construit un chur polygonal et on modifie la nef, qui
est pourvue de fenêtres-hautes. L'autel Saint Bartholomé
est mentionné pour la première fois en 1575-1576,
dans une enquête sur les biens et revenus du clergé
luxembourgeois. La troisième transformation entamée
avant 1680 ne cible cette fois que la nef, partie laïque
de l'édifice. Interrompu par la guerre de Succession d'Espagne,
le chantier s'achève au plus tôt en 1721. Le coût
des travaux est alors probablement déjà financé
grâce au pèlerinage à saint Barthélémy,
dont une supplique inédite de 1730 témoigne indirectement.
L'attachement inaltérable des pèlerins puis, plus
tard, des habitants de Wiesenbaeh à la chapelle Saint-Barthélemy
a ainsi assuré la pérennité tic l'un des
monuments les plus remarquables de la région de l'Eifel.
20 euros (code de commande
: 30746).
FURNÉMONT
(René) Huy-sur-Meuse. Reflets du passé. Archéologie,
art, folklore. Gembloux,
Duculot, 1973. In-8° broché, 72 p., illustrations
hors texte, (collection « Wallonie, Art et Histoire »,
n° 18).
Table des matières
:
I. Le cadre.
II. Où les vieilles pierres nous parlent
d'autrefois.
III. La viticulture mosane.
IV. Archéologie.
V. Iconographie hutoise.
VI. Les monnaies de Huy.
VII. Les médailles commémoratives.
VIII. Souvenirs de la vie communale.
IX. Les étains.
X. Les faïences d'Andenne.
XI. Les porcelaines d'Andenne.
XII. Les faïences de Huy.
XIII. Faïences Boch (Luxembourg) et faïences
liégeoises.
XIV. Les Geedts, sculpteurs et peintres.
XV. Bustes.
XVI. Verrerie. Fer forgé. Pierre sculptée.
XVII. Art religieux.
XVIII. Folklore.
8 euros (code de commande
: 24004*).
GILSON (Julien) L'industrie
armurière liégeoise.
Bruxelles, La Roue Solaire, 1943. In-8° agrafé, 29
p., cachet ex-libris.
8 euros (code de commande
: 271/67).
GOFFIN (André-M.)
L'imprimerie à Namur de 1616 à
1636.
Namur, Vieux Quartier, 1981. In-8°
broché,
44 p., illustrations.
12
euros (code de commande : 288/71).
GOFFINET
(Jean) Géographie littéraire du Luxembourg.
Liège, L'Horizon Nouveau,
1942. In-8° broché, 235 p., tables onomastiques, une
grande carte à déplier, (collection « Bibliothèque
de la Cigale »), bon exemplaire malgré le papier
jauni et des rousseurs.
Table des matières
:
- Avant-propos.
Première partie. La littérature
latine.
Chapitre premier. Ausone,
St-Audovon.
Chapitre deuxième.
Poètes, chroniqueurs et divers écrivains.
Chapitre troisième.
Littérature religieuse.
Deuxième partie. La Littérature
française.
Chapitre premier. Nos légendes
épiques.
Chapitre deuxième.
Quelques poètes.
Chapitre troisième.
Chroniqueurs et autres.
Chapitre quatrième.
Orateurs sacrés - Écrivains religieux - Hagiographes.
Troisième partie. Le Luxembourg et les
révolutions de l'esprit.
Chapitre premier : Au XVIe
siècle.
- Littérature
et humanisme.
- Religion
et politique.
- Sciences.
- Note
sur l'imprimerie.
Chapitre second. Au XVIIIe
siècle.
- Les
Encyclopédistes à Bouillon.
- Les
Polémistes anti-Joséphistes et leur presse.
- Sous
la révolution.
- Note
sur l'imprimerie.
Quatrième partie. Les écrivains
modernes.
Chapitre premier. Avant le
Romantisme.
- La
poésie.
- Le
théâtre.
- L'histoire.
Chapitre deuxième.
Depuis la création de la Belgique.
- La
poésie.
- Romans
et nouvelles.
- L'histoire.
- Littérature
religieuse.
- Le
journalisme et la presse dans le Luxembourg.
Chapitre troisième.
Les contemporains.
- Les
lettres.
- L'histoire.
- Notes
en marge.
Cinquième partie. Nos dialectes romans.
Chapitre premier. Généralités
- Le passé.
Chapitre second. Les auteurs
et les uvres.
- Dans
le Pays de Marche-en-Famenne.
- En
Ardenne.
- En
Gaume.
- Bibliographie.
- Tables onomastiques.
15 euros (code de commande
: 30566).
[GRÂCE-HOLLOGNE].
Contribution à l'histoire de Grâce-Hollogne.
Grâce-Hollogne, Présence
et Action Culturelle, 1979. In-8° sous reliure d'éditeur,
[758] p., bel exemplaire.
Table des matières
:
- Hollogne
aux Pierres. Contribution à son histoire, par Léon
Jeunehomme, réimpression de l'édition de Vaillant-Carmanne,
en 1912, IX, 302 p., illustrations, 1 tableau et 1 plan
hors texte à déplier.
- La seigneurie laïque de Grâce-Berleur.
Les seigneurs, le domaine, les houillères, par Maurice
Ponthir et Maurice Yans, réimpression de l'édition
de Vaillant-Carmanne, en 1958 (extrait du Bulletin de l'Institut
archéologique liégeois, tome LXXII (1957-1958),
[265] p., une planche hors texte à déplier.
- Toponymie de Bierset, province de
Liège, par Jules Herbollon, publiée
dans le tome II de Toponymie de la Hesbaye liégeoise,
chez De Meester, en 1946, [96] p.
- Horion-Hozémont. Notice historique,
par L. Vandriken, publié par Grandmont-Donders,
en 1884 (extrait du tome III du Bulletin de la Société
d'art et d'histoire, 73 p.
- Articles de presse locale relatifs à
quelques faits d'histoire de Velroux, ouvrage réalisé
par l'abbé de Bouxthay, 12 p.
80 euros (code de commande
: 18883).
[GRAND DUCHÉ DE LUXEMBOURG].
BIERMANN (J.-P) Abrégé historique de
la ville & forteresse de Luxembourg. Luxembourg, Édouard Kutter, 1976. In-4°
sous reliure déditeur, 68 p., illustrations + 21
planches + un grand plan, exemplaire numéroté.
@ Réimpression
de lédition de 1890 sur un papier nacré de
belle qualité.
38
euros (code de commande 358/60).
[GRAND DUCHÉ DE LUXEMBOURG].
De lÉtat à la Nation 1839-1989. Luxembourg, 1989. In-4° broché, 221
p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs.@ Catalogue
de lexposition organisée à loccasion
du 150e anniversaire de lindépendance du Grand-Duché
de Luxembourg, du 19 avril au 20 août 1989.
20
euros (code de commande 357/60).
[GRAND DUCHÉ DE LUXEMBOURG].
Le Luxembourg pittoresque.
Dessins et vignettes par Michel Eengels. Texte explicatif
par Michel Engels et M. Huss. Luxembourg, Édouard
Kutter, 1973. In-4° sous reliure déditeur, 82
p., illustrations, planches en couleurs hors texte, un des cent
exemplaires numérotés réservés à
léditeur.
@ Réimpression
de lédition de 1901.
38
euros (code de commande 359/60).
[GRAND-DUCHÉ
DE LUXEMBOURG]. Luxembourg. Le
Puy, Christine Bonneton, 1984. In-8° broché, 399 p.,
illustrations en noir, dos ridé et pelliculage fragile.
Cet ouvrage collectif aborde tous
les aspects d'un pays : cadre naturel, histoire, art, littérature,
langue économie et traditions populaires ; il réunit
donc les meilleures spécialistes de ces sujets.
En quatrième de couverture :
Il était temps de donner au Grand-Duché
de Luxembourg une image précise et juste, et seuls des
hommes le connaissant en profondeur pouvaient le faire.
Paul Margue, professeur d'histoire et
Président du Centre Universitaire de Luxembourg, montre
comment ce pays a pu conserver son originalité et recouvrer
son indépendance. Il analyse aussi l'évolution
artistique dune région influencée par deux
civilisations.
Fernand Hoffmann, docteur en philosophie
et en lettres, est professeur au Centre Universitaire et à
l'institut Pédagogique de Luxembourg. Il étudie
ici la vie intellectuelle, les littératures et les langues.
On a confié à Henri Klees,
ethnologue et secrétaire permanent de la Section de Linguistique
et de Folklore de l'institut Grand-Ducal le chapitre concernant
l'art, les traditions et croyances populaires.
Jos Molitor, docteur en sciences naturelles,
professeur à l'Athénée et au Centre Universitaire
de Luxembourg, et Jean-Marie Gehring, également
professeur au Centre Universitaire de Luxembourg, présentent
le milieu naturel et mettent en valeur l'originalité de
la géographie du pays.
Enfin, nul n'était mieux qualifié
que Georges Als, directeur du STATEC (Service Central
de la Statistique et des Études Économiques) du
Grand-Duché de Luxembourg, pour expliquer les transformations
économiques et sociales du Luxembourg.
20 euros (code de commande
: 30835).
[GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG]. TRAUSCH
(Gilbert) Le Luxembourg
sous l'Ancien Régime. (17e,
18e siècles et débuts du 19e siècle) Luxembourg, Bourg-Bourger, 1977. In-8° sous
cartonnage illustré d'éditeur, 176 p., illustrations
en noir, quelques-unes en couleurs, (collection « Manuel
d'Histoire Luxembourgeoise », tome III), bel exemplaire.
Avertissement :
Le
troisième tome du manuel d'histoire luxembourgeoise doit
faire la jonction entre le tome 2 (P. Margue, Luxemburg in
Mittelalter und Neuzeit) paru en 1974, et le tome 4 (Le
Luxembourg à l'époque contemporaine) paru en
1975. L'un mène l'histoire des événements
jusqu'en 1715 (règlement de la succession espagnole et
passage du Luxembourg aux Habsbourg), l'autre part de 1839, date
du troisième et dernier partage et aussi véritable
acte de naissance du Grand-Duché moderne. Voilà
donc des jalons précis imposés au présent
ouvrage : conduire le fil des événements de
1715 à 1839. Tel est l'objet du Livre Ier de ce tome.
Pour y arriver, il n'est plus possible de retenir, même
au niveau de l'histoire événementielle, le vieux
schéma si commode et si cher à l'historiographie
luxembourgeoise : le découpage en règnes dynastiques.
Mais l'histoire telle qu'on l'entend ici, ne
se limite pas aux événements, si passionnants soient-ils.
Il y a la vie des hommes en société avec toutes
les questions qu'elle soulève et cela à plusieurs
niveaux : l'évolution du nombre des hommes, cest-à-dire
la démographie ; les modes de production, qui relèvent
du domaine de l'économie ; les institutions, qui
manifestent la volonté d'organiser la vie en commun ;
les aspirations spirituelles et intellectuelles, qui expriment
le désir de dépasser les difficultés de
la vie quotidienne ; les problèmes de la vie en commun
d'hommes divisés en classes sociales et en ordres juridiques.
Cest tout le tableau de la société d'Ancien
Régime qui restait à faire et tel est l'objet du
Livre IL Dun commun accord avec lauteur du tome 2
et pour éviter les répétitions, il a été
convenu de réserver au tome 3 ce tableau d'ensemble portant
sur les 17e et 18e siècles. De cet arrangement résulte
un certain déséquilibre : les événements
sont poussés jusqu'en 1839, alors même que le tableau
de la société ne dépasse pas la fin du 18e
siècle. Il n'a pas semblé nécessaire de
faire la description de la société issue de la
Révolution française, elle forme en fait la matière
du Livre Ier du tome 4.
Quelques lecteurs s'étonneront peut-être
de l'importance que cet ouvrage accorde à l'agriculture
et à la sidérurgie anciennes. Qu'ils veuillent
bien se rappeler alors que le Luxembourgeois d'Ancien Régime
est avant tout un campagnard, soit quil travaille la terre
à titre principal comme agriculteur ou à titre
accessoire comme artisan, négociant ou prêtre même,
soit quil en vive comme rentier ! Il n'y a probablement
pas eu à l'époque en Europe occidentale de région
plus caractéristique dune société
agraire que le duché de Luxembourg.
Le Luxembourg du 20e siècle se présente
volontiers comme le pays du fer. Il a pourtant en ce domaine
une tradition qui remonte bien au-delà de la révolution
industrielle (1870-1890). L'industrie du fer est solidement implantée
dans le Luxembourg d'Ancien Régime grâce à
une heureuse conjoncture : l'abondance de minerais dalluvion
et de vastes forêts. Elle travaille en des conditions tout
à fait différentes de celles des usines modernes.
Par comparaison, il est opportun d'insister sur les conditions
de production et de rentabilité d'autrefois et de montrer
les liens étroits qui unissent cette sidérurgie
ancienne à l'agriculture.
Comme pour le tome 4, un large choix de textes
accompagne les différents chapitres. Documents d'époque
et donc déjà loin de nous, de nos mentalités
et de notre façon de nous exprimer, ces textes ne sont
pas toujours dune lecture facile ; ils sont pourtant utiles
dans la mesure où ils illustrent ou complètent
l'expose proprement dit.
13 euros (code de commande
: 30836).
[GRAND-DUCHÉ
DE LUXEMBOURG]. TERNES (Charles-Marie) Répertoire
archéologique du Grand Duché de Luxembourg. I.
Texte. II. Planches. Bruxelles,
Centre National de Recherches Archéologiques en Belgique,
1970. Deux volumes in-8° brochés, 207 et 255 p.,
228 planches comprenant 404 figures, index, (Série C),
très bon exemplaire non coupé.
Extrait de l'introduction
:
L'ouvrage
qu'on s'apprête à consulter, s'insère dans
le cadre général de nos recherches sur la topographie
antique du Grand-Duché de Luxembourg ; c'est
pourquoi il adopte le point de vue géographique comme
principe de subdivision et cherche à donner pour chaque
localité les objets découverts et publiés.
Du point de vue chronologique il couvre l'immense
période qui va du paléolithique à l'époque
mérovingienne ; du point de vue de la géographie
moderne, il se limite grosso modo au territoire actuel du
Grand-Duché bien que l'auteur sache pertinemment que
ces frontières modernes ne signifient rien en archéologie ;
toujours est-il que les voisins du Grand-Duché disposent
déjà d'inventaires partiels ou systématiques,
et qu'il est donc urgent d'apporter à cet effort international
la quote-part luxembourgeoise.
L'auteur est pleinement conscient des limites
du présent ouvrage : il n'a pu contrôler les
quelques 150 000 objets répertoriés, et se
voit contraint de refuser toute responsabilité notamment
quant aux attributions chronologiques ou typologiques :
celle-ci retombe sur les auteurs dont les coordonnées
sont citées dans les chapitres bibliographiques. Aussi
paradoxal que cela paraisse, plus on corrigera le présent
ouvrage et mieux cela vaudra pour l'archéologie luxembourgeoise
et internationale !
Le Musée d'Histoire de Luxembourg n'ayant
pu mettre à notre disposition l'illustration nécessaire,
nous avons décidé de recourir aux dessins autographes
qu'Alexandre Wiltheim a insérés dans son manuscrit
ainsi qu'aux planches concomitantes dessinées en vue d'une
publication qui n'a pas eu lieu du vivant de notre premier grand
archéologue. De la juxtaposition des deux exécutions
d'un même objet résulte une description souvent
adéquate de celui-ci, et la valeur artistique de certains
de ces croquis est indéniable.
Les deux volumes : 25
euros (code de commande : 25317).
[GRAVURE
- NAMUR & HAINAUT]. BLAEU (Willem Janszoon et Joan)
Comitatuum Hannoniæ et Namurci Descriptio. Gravure extraite de l'édition de 1640
du Theatrum Orbis terrarum, sive atlas novus. Partis Primæ
pars Altera. Texte en latin au verso. Sous encadrement recto-verso
de loupe de noyer.
Dimensions :
- Trait carré : 380 x 495 mm.
- Cuvette : 385 x 500 mm.
- Feuille : 485 x 575 mm.
- Cadre : 510 x 590 mm.
Pour cette carte,
insérée dans son Theatrum Orbis terrarum, sive
Atlas novum publié à Amsterdam en 1640, Blaeu
adopte la formule de Mercator en joignant le comté de
Namur au Hainaut. Les armoiries des deux principautés
figurent de part et d'autre du titre, à l'angle inférieur
droit. La mise en page très sobre centre l'intérêt
sur le message cartographique.
C'est à Mercator, dont Blaeu avait pu
racheter une partie des cuivres, que Blaeu reprend également
le tracé des limites, notamment l'accès à
la Meuse, si typique. En y regardant de plus près, on
a bientôt l'impression de se trouver devant une réédition
de la carte de 1585 tant les renseignements sont identiques.
Euse, qui longtemps désigna l'Heure, est ici corrigée
en Heur, Bossenorisac, distorsion de Bois-Seigneur-Isaac, figure
sous cette forme, comme sur Mercator ; les exemples sont
multiples.
Guillaume ou Willem Janszoon Blaeu (Alkmaar
1571 - Amsterdam 1638) fut pendant six mois l'assistant de Tycho
Brahé, au Danemark. De cette époque date son vif
intérêt pour les globes et l'astronomie. Il s'établit
comme fabricant de globes et éditeur de cartes à
Alkmaar d'abord, puis à Amsterdam. À la demande
des États de Hollande, il publia des cartes marines. Il
s'intéressa au problème capital pour les navigateurs,
la détermination de la longitude, et fut le cartographe
attitré de la Compagnie des Indes néerlandaises.
Son fils continua son uvre.
Bibliographie :
- Lemoine-Isabeau (Claire), Cartes
topographiques gravées du Hainaut, dans Images
de Mons en Hainaut du XVIe au XIXe siècle, pp. 84-85.
150 euros (code de commande
: 27616).
GUIDES
COSYN
Ces volumes, publiés
à Bruxelles sous la patronage du Commissariat général
du Tourisme et rédigés par Paul et/ou Maurice
Cosyn, concernent les Ardennes belges. Ils ne sont généralement
pas datés. De format in-8° broché, ils contiennent
des illustrations, des cartes in et hors texte et des publicités
touristiques.
Houffalize. 16, 115-129 pp., 22 f. publicitaires
dont un déchiré sans perte.
5 euros (code de commande : 6226). |
HANUT
(Frédéric) et PLUMIER (Jean) La nécropole
gallo-romaine de la place de la Wallonie à Jambes (Namur).
Tome I : Textes.
Tome II : Catalogue. Namur, Institut du Patrimoine
Wallon, 2014. Deux volumes in-4° broché, 207 et 283 p.,
nombreuses illustrations en noir et en couleurs, (collection
« Études et Documents - Archéologie »,
n° 33 et 34), exemplaire en très bon état.
En quatrième
de couverture :
Au
début des années 1990, l'ancien Hôtel de
Ville de Jambes, devenu obsolète depuis la fusion des
communes en 1977, est détruit au profit de la construction
de nouveaux bâtiments administratifs de la Région
wallonne et de la création de l'actuelle place de la Wallonie.
Sur une surface d'environ 75 ares, trois campagnes de fouilles
préventives (1991-1993), menées par le service
de l'archéologie (Direction de Namur) du Service public
de Wallonie, mirent au jour 87 tombes à incinération
et plusieurs dizaines de structures secondaires (fosses à
cendres) ainsi que l'emplacement d'un bûcher collectif
ou ustrinum. Il s'agit d'une vaste zone funéraire
sur la rive droite de la Meuse, en face du vicus de Namur. En
1888, la construction des écoles communales de Jambes,
dans une parcelle voisine, avait déjà entraîné
la découverte de plusieurs tombes à incinération
du Haut-Empire et de l'Antiquité tardive.
Aménagées à l'est d'un
chemin antique orienté nord-sud, les sépultures
consistent en simples fosses, creusées en pleine terre.
Certaines étaient alignées le long de la voie.
La fondation du cimetière est datée du milieu ou
du troisième quart du 1er siècle apr. J.-C. L'analyse
de l'assemblage céramique des tombes met en évidence
quatre phases chronologiques. La première phase (50-120/130
apr. J.-C.) regroupe le plus grand nombre de sépultures.
Les phases II (110/120-170/180 apr. J.-C.) et III (170/180-250
apr. J.-C.) couvrent les 2e et 3e siècles. Trois tombes
de l'Antiquité tardive (phase IV) ont été
retrouvées à une distance appréciable des
incinérations du Haut-Empire. Cette monographie est le
résultat d'une étude pluridisciplinaire associant
archéologues, dessinateurs, infographistes, photographes
et spécialistes de l'Institut des Sciences naturelles
pour l'étude des ossements animaux et des restes humains
incinérés retrouvés dans les sépultures.
Les deux volumes : 30
euros (code de commande : 30783).
Harmonies
& fanfares en Luxembourg.
Bruxelles, Crédit Communal,
1983. In-4° broché, 111 p., illustrations en
noir.
Catalogue
de l'exposition organisée au Palais Abbatial de Saint-Hubert,
du 25 juin au 31 juillet 1983.
Table des matières :
- Préface
- La Fédération Musicale
Namur-Luxembourg.
- Approches historiques :
- Les sociétés
de musique à travers la province de Luxembourg. Essai
de répartition géographique.
- Les règlements
: reflets d'un état d'esprit d'une société.
- Les comptes et budgets
: reflets de la vie d'une société.
- La musique des Forces
de l'Intérieur et son impact sur les sociétés
du Sud-Luxembourg.
- Aspects musicologiques :
- La formation musicale
des instrumentistes.
- Le répertoire.
- Les compositeurs régionaux.
- La facture instrumentale.
- Fêtes et cérémonies
:
- La fête du village.
- Les grands feux.
- Saint-Hubert.
- La Hàmmelsmarsch,
les Fâchtebounen, la Foire aux Amoureux.
- La Foire aux Noix
à Bastogne.
- L'exemple militaire.
- Fêtes patriotiques.
- Religion, laïcité.
- La politique.
- Festivités
des musiques.
- Le néo-folklore.
- Répertoire des sociétés
de la province
- Catalogue.
15 euros (code de commande
: 16259).
HENDRICK
(Jacques) La peinture liégeoise au XVIIe siècle. Gembloux,
Duculot, 1973. In-8° broché, 72 p., illustrations
hors texte, (collection « Wallonie, Art et Histoire »,
n° 19).
Table des matières
:
I. Une école de peintres méconnue.
II. Les caractéristiques générales
de la peinture liégeoise au XVIIe siècle.
- L'influence du milieu
politique et social.
- Les tendances esthétiques.
III. Les principaux peintres liégeois
du XVIIe siècle.
A. La première génération
: Gérard Douffet, François Walschartz.
B. La deuxième génération
: Gérard Goswin, Bertholet Flémalle, Walthère
Damery, Gilles Hallet.
C. La troisième génération
: Quatre élèves de Bertholet Flémalle :
Jean-Guillaume Carlier, Gérard de Lairesse, Englebert
Fisen, Jean-Gilles Del Cour.
IV. Conclusions.
10 euros (code de commande
: 29830).
HENDRICK
(Jacques) La peinture au Pays de Liège. XVIe,
XVIIe et XVIIIe siècles. Liège, Éditions
du Perron-Wahle, 1987. In-4° sous reliure toilée et
jaquette d'éditeur, 287 p., nombreuses illustrations en
noir et en couleurs, bon exemplaire.
Extrait de l'avant-propos
:
L'optique de l'ouvrage.
Trois siècles d'histoire de la peinture,
c'est une matière considérable, surtout comme
c'est le cas de la peinture liégeoise lorsqu'elle
est encore relativement inexplorée. Dès lors, nous
croyons que pour faire uvre utile, il fallait opérer
un choix : soit faire connaître les artistes principaux,
leurs uvres et leur personnalité ; soit se
consacrer aux recherches historiques, biographiques, archivistiques.
Nous savons bien que l'idéal est d'associer ces deux exigences
scientifiques. Avec la meilleure bonne volonté, dans toute
la mesure du possible, nous avons voulu satisfaire aux nécessités
impérieuses que représente ce deuxième aspect
essentiel de toute histoire de l'art rigoureuse.
Mais l'ampleur de la tâche était
insurmontable. Que nos collègues archivistes ne nous reprochent
pas d'avoir laissé inexploré un vaste domaine.
Une tâche passionnante, avec certainement des découvertes
très fructueuses, les y attend.
Nous avons surtout voulu apporter notre contribution
à la connaissance de la peinture liégeoise dans
notre spécialisation : les questions techniques,
artistiques, esthétiques.
Nous avons donc choisi, d'abord, de dresser
un inventaire sélectif de notre patrimoine culturel liégeois,
dans son ensemble, durant trois siècles, en nous basant,
principalement, sur les critères stylistiques, jugés
secondaires par certains, ou, primordiaux par d'autres.
Ensuite, nous nous sommes efforcé de
dégager, parallèlement, la personnalité
de chacun de ces peintres, de comprendre ce qu'ils « aimaient »,
ce qu'ils ont « voulu dire », et de souligner
les moyens par lesquels ils se sont exprimés. Bref, de
caractériser leur style. Ceci était, également,
essentiel, pour tenter de résoudre certaines attributions
difficiles, notamment parce que les peintres liégeois
de l'Ancien Régime furent presque tous maîtres et
élèves les uns des autres ; élèves
qui ont subi, immanquablement, des influences de leurs maîtres,
au début de leur carrière.
C'est pourquoi, dans l'état actuel des
connaissances, lorsque certains tableaux nous ont laissé
perplexe quant à leur auteur, nous avons parfois préféré
tenir le problème en suspens, tout en le signalant. Mais
nous avons, aussi, rectifié de nombreuses attributions
erronées.
Enfin, très importante, également,
nous paraît la question au-delà de l'individualité
de chaque artiste de l'existence de traits communs
qui conféreraient aux peintres liégeois le rang
d'école personnalisée parmi les grands centres
artistiques « belges ».
Nous répondrons à cette question
au fur et à mesure que nous étudierons les différents
artistes, et plus particulièrement, en fin d'ouvrage,
dans nos conclusions.
30 euros (code de commande
: 19286).
HERBECQ
(Abbé Eugène) Dinant autrefois Deonant.
Son nom, son existence
à l'époque romaine, sa collégiale médiévale.
2e édition. Dinant, Bourdeaux-Capelle,
1986. In-8° broché, 93 p., une illustrations, envoi
de l'auteur.
Table des matières
:
Première partie. Un nom celtique.
I. Pourquoi Deonant
à l'origine du nom de Dinant ?
II. Le nom celtique de Dinant
n'est pas un nom banal.
III. La longue histoire du
nom de Dinant : Le dieu Nam - la déesse Diane
- la divine vallée - le lieu sacré.
Deuxième partie. Dinant existait à
l'époque romaine.
I. Superficie suffisante.
II. Dinant, don de la Meuse.
III. Le sol témoigne.
IV. Permanence du nom.
V. Dinant, résidence
des dieux.
VI. Une voie romaine Trèves-Bavai.
VII. Un pont romain.
VIII. La « civitas
Dionantis » au Ve s.
IX. Le terroir dinantais.
X. Ciney, voisin et témoin
de Dinant.
XI. Dinant, Namur et Huy,
trois villes mosanes et romaines.
XII. Des empereurs à
Dinant ? L'évêque St Servais (IVe s.).
XIII. Sur les hauteurs, six
villas romaines.
XIV. Saint Servais, évêque
de Tongres, est venu à Dinant, au IVe siècle.
XV. Serais de Tongres au
pays de Givet.
Troisième partie. La Collégiale
médiévale.
I. Les origines.
II. Notre chère Collégiale.
III. Trois Paroisses et non
douze.
- Annexe. Les dates de l'histoire de Dinant
avant l'an mil.
12 euros (code de commande
: 31907).
HÉRUBEL
(Michel) La bataille des Ardennes. Paris, Presses de la Cité, 1988. In-4°
sous cartonnage d'éditeur, 191 p., nombreuses illustrations
en noir, (collection « Troupes de Choc »),
exemplaire en très bon état.
Sommaire :
1.
Le sort de la guerre. 31 juillet 1944.
2. Hitler contre-attaque. Octobre 1944.
3. La « Grande » et la
« Petite solution ».
4. Objectif Anvers. Décembre 1944.
5. Skorzeny et la Kampfgruppen. Novembre 1944.
6. Le règne de l'optimisme. Décembre
1944.
7. Un roulement de tonnerre. 16 décembre
1944.
8. Le massacre de Malmédy. 17 décembre
1944.
9. Échec des paras. 17 décembre
1944.
10. Saint-Vith. 19-23 décembre 1944.
12. Patton fonce. 25 décembre 1944.
13. Libération de Bastogne. 26 décembre
1944.
14. Adieu à la Meuse. 26 décembre
1944.
- Tonnerre dans les Ardennes.
- L'offensive. 16-17 décembre
1944.
- L'épreuve de force
18-20 décembre 1944.
- Bastogne. 21-26 décembre
1944.
- Le coup d'arrêt.
23 décembre 1944 - 1er janvier 1945.
- La victoire alliée.
16-25 janvier 1945.
25 euros (code de commande
: 21821).
HEUSE (Paul) Nos vieux livres de droit. Causerie faite à l'Union
des Anciens Étudiants de l'Université de Liége.
Bruxelles,
Alliance Typographique, 1886. In-8° broché, 30 p.
10
euros (code de commande : 274/62).
HOEX
(Corinne) Saint Walhère. Culte - Vie - Iconographie.
Gembloux, Duculot, 1974. In-8° broché, 55 p.,
illustrations hors texte, (collection « Wallonie,
Art et Histoire », n° 21).
Extrait :
« En l'an 1669, au mois d'août,
le jour de saint Bartholomé, le vicaire de Marche-en-Famenne
vint à Onhaye accompagné de quinze ou vingt paroissiens
; chez eux plus de cent vingt têtes de bétail étaient
mortes et beaucoup d'autres malades et, comme ils avaient envoyé
en vain des suppliques à certains saints et notamment
à saint Hubert en Ardenne, ils se tournèrent finalement
vers saint Walhère sur le conseil de l'abbé de
Saint-Hubert, qui leur avait même adjoint deux de ses religieux
comme compagnons de pèlerinage afin qu'ils apportassent
l'offrande d'une neuvaine. Ils affirmèrent que, de ce
fait, depuis l'année 1671, la mortalité des animaux
avait cessé chez eux et que toutes les bêtes malades
avaient guéri. Ainsi écrivit et confirma de sa
signature celui qui fut le précédent curé
d'ici (Onhaye), D. Jean Auxbrebis. »
Saint Walhère, figure peu connue de
la liturgie officielle, mais vénérée dans
une grande partie des campagnes wallonnes autour d'Onhaye, est
illustré par cet extrait des Acta Sanctorum dans
son rôle essentiel, celui de protecteur du bétail.
De longue date, le pèlerinage d'Onhaye attire les éleveurs
désarmés face aux ravages des épizooties.
Le texte que nous venons d'aborder atteste dès 1669 l'existence
de ce pèlerinage, renforcé par une neuvaine. Les
bienfaits de Walhère jouissaient alors d'une renommée
capable de rivaliser avec celle de saint Hubert même et
de la supplanter pour ce qui concerne spécifiquement l'espèce
bovine. On n'hésitait pas à parcourir la distance
qui sépare Marche-en-Famenne d'Onhaye pour venir confier
au saint sa requête.
10 euros (code de commande
: 31764).
HOUBRECHTS
(David) Le logis en pan-de-bois dans les villes du
bassin de la Meuse moyenne (1450-1650). Préface par Robert Tollet et Pierre
Gilissen. Avant-propos par Philippe Mignot. Liège,
Commission Royale des Monuments, Sites et Fouilles de la Région
Wallonne, 2008. In-4° broché, 314 p., nombreuses
illustrations en noir et en couleurs, (collection « Dossier
de la Commission Royale des Monuments, Sites et Fouilles »,
n° 12), épuisé, exemplaire en très
bon état.
Préface :
Dans
la droite ligne de sa politique de publications scientifiques,
la Commission royale propose aujourd'hui au lecteur averti un
ouvrage dans sa série « Dossiers de la CRMSF »
consacré aux logis en pan-de-bois de nos pays mosans (au
sens large du terme) du milieu du XVe siècle au milieu
du XVIIe siècle, soit cette période troublée,
marquée par les guerres et leurs lots de destructions,
qui court du Moyen Âge finissant au cur du Grand
Siècle.
Les professionnels de la restauration (archéologues,
architectes, historiens de l'art, historiens...), les enseignants
et les étudiants, mais aussi les simples amateurs d'architecture
ancienne ou les curieux d'histoire urbaine, trouveront dans cette
étude, chacun pour ce qui les concerne, de quoi satisfaire
leur soif de connaissance sur un sujet peu étudié
jusqu'aujourd'hui.
Grâce en soit rendue à l'auteur
de cette étude, Monsieur David Houbrechts, Docteur en
Histoire de l'Art et Archéologie de l'Université
de Liège, qui nous présente ici le fruit de ses
longues et fructueuses recherches.
Le phénomène de l'architecture
en pan-de-bois est ici remis dans son contexte socio-économique,
notamment par rapport à l'exploitation et au commerce
du bois. Dans une vallée ponctuée de villes et
bordée de forêts, où la Meuse de
Givet à Maastricht joue pleinement son rôle
de transport des biens et des marchandises, mais aussi de transfert
des technologies, cette étude nous permet d'appréhender
l'ensemble des opérations que sont le débitage,
l'équarrissage, le sciage et le marquage des bois, suivies
du façonnage et de l'assemblage de la charpente, avant
son remontage in situ, le tout successivement aux soins
des Bons Métiers des Naiveurs, des Mairniers,
des Soyeurs et des Charpentiers.
À la lecture du texte, on comprend mieux
le caractère fondamental de l'architecture à pan-de-bois
dans l'urbanisme médiéval et post-médiéval,
véritable industrie du « préfabriqué »
avant l'heure, dans un contexte urbain au parcellaire compliqué
et étriqué, où les bâtiments « en
dur », de pierre et de briques, restent encore l'exception
jusqu'à la fin du XVIIe siècle.
Les formes du logis en pan-de-bois, tant pour
les façades, les pignons et les toitures, mais aussi pour
la décoration tant extérieure qu'intérieure,
sont ici brillamment décrites, analysées et systématisées.
Quelques articles complémentaires, mettant
en exergue des recherches et des découvertes récentes
en la matière, à Liège, Dinant, Andenne,
Manhay et Maastricht, viennent utilement compléter cette
étude en l'actualisant. Que leurs auteurs, Mesdames Caroline
Bolle, Birgit Dukers, Florence Pirard et Mallorie Duplouy, ainsi
que Messieurs Jean-Marc Léotard, Olivier Berckmans, Guillaume
Mora-Dieu, Jean-Louis Javaux et Denis Henrotay, soient ici chaleureusement
remerciés pour leur apport à cette publication
dont nous espérons sincèrement qu'elle rencontrera
un grand succès.
35 euros (code de commande
: 30967).
HOYOUX (Jean) Bulletin
bibliographique liégeois. VIII. Travaux publiés
de 1969 à 1971. Liège,
Vaillant-Carmanne, 1972. In-8° broché, [258] p.
Ce volume constitue le tome XIII,
n° 37 - Deuxième partie - Année 1972 (pp. 233-490)
de l'Annuaire d'histoire liégeoise publié
à l'initiative de la Commission Communale de l'Histoire
de l'Ancien Pays de Liège.
12 euros (code de commande
: 17645).
JORIS
(André) Le visage de Huy. Choix et commentaire de documents iconographiques
anciens XVe-XIXe siècles.
Bruxelles, Crédit Communal de Belgique, 1976. In-4°
broché sous chemise d'éditeur, 73 p., illustrations,
11 planches volantes dont certaines à déplier,
(collection « Histoire Pro Civitate »,
série in-4°, n° 6).
Table des matières
:
Avant-propos.
I. La ville médiévale.
1. Évolution de
la ville jusqu'au début du XVe siècle.
2. Huy dans la « Nativité »
du Maître de Flémalle - Essai de mise au point.
II. Huy, ville forte de la Meuse (XVIe-début
XVIIIe siècle).
1. Peintures, gravures
et dessins.
2. Les cartes et les plans
des ingénieurs militaires (1689-1715).
3. Huy vers 1700 :
la peinture de J. B. Juppin.
III. Le nouveau visage de Huy (XVIIIe-XIXe
siècle).
1. Mutation du paysage
urbain.
2. Influence du goût
romantique.
3. Plans administratifs
et fiscaux (1766-1860).
Annexe I : Cartes et plans de Huy conservés
aux Archives du Génie à Paris-Vincennes.
Annexe II : Cartes et plans de Huy conservés
à la Bibliothèque du Service Historique de l'Armée
(EMAT) à Paris-Vincennes.
Annexe III : Ingénieurs géographes
français qui ont travaillé aux plans de la place
de Huy (fin XVIIe-début XVIIIe siècle).
25 euros (code de commande
: 26795).
KREINS (Jean-Marie) Le
R.P. Alphonse Cus, sj (1846-1910).
Antécédents et action sociale dans la province
de Luxembourg. Arlon, Institut
Archéologique du Luxembourg, 1996. In-8° broché,
295 p.
@ Ce volume constitue le tome CXXII-CXXIII
des Annales de l'Institut Archéologique du Luxembourg,
années 1991-1992.
12 euros (code de commande
: 331/70).
LAMBIOTTE
(Gustave) et DELCHAMBRE (Roger) Aisemont à travers
les âges. Mettet,
Palate, 1972. In-8° broché, 151 p., illustrations,
très bon exemplaire bien complet de la grande carte volante
à déplier.
Table des matières
:
- Introduction.
I. De la première chapelle à
l'église actuelle.
II. Aisemont, paroisse autonome.
III. Aisemont, commune distincte de Fosses.
- Du plus lointain à nos jours.
I. Aisemont où le
trouver ?
II. Essai d'histoire.
III. Les temps modernes.
IV. Toponymie.
V. Cours d'eau.
VI. Le sol et le sous-sol.
VII. Description générale.
VIII. Voiries et superficies.
IX. Les lieux-dits.
X. Bâtiments communaux.
XI. Le personnel communal.
XII. Les conseils communaux.
XIII. Le chemin de fer.
XIV. L'eau, ce précieux
liquide.
XV. L'industrie.
XVI. Incursion dans le passé.
XVII. La population.
XVIII. L'état-civil
et les noms de familles.
XIX. Le folklore et les réjouissances.
XX. De la réalité
à la fantaisie.
- En guise de conclusion.
- Notes et bibliographie.
20 euros (code de commande
: 22319).
LECOUTURIER
(Phina) Liége. Étude
de géographie urbaine.
Liège, Vaillant-Carmanne, 1930. In-8° broché,
239 p., illustrations, deux plans hors texte à déplier,
couverture un peu défraîchie (trace d'adhésif
à la queue).
Table des matières
:
- Introduction.
Première partie. L'origine et l'évolution
géographique de Liége.
Chapitre I.
A. La position
géographique de Liége.
B. Le site
de Liége.
1)
Topographie des versants.
2)
Les cours d'eau.
3)
La plaine alluviale.
4)
La Légia.
Chapitre II.
A. Les
origines de la bourgade de Liége.
1)
Les fouilles.
2)
Les données des historiens.
3)
L'enceinte de Notger.
B. Liége,
village.
C. Liége,
cité fortifiée.
Chapitre III. Liége
depuis l'époque de Notger jusqu'à la fin du XIIIe
siècle.
Chapitre IV. Liége
de la fin du XIIIe siècle, jusqu'à nos jours.
Seconde partie. La ville de Liége d'aujourd'hui.
Chapitre I. La physionomie
des différents quartiers.
1) Le centre
de la ville.
2) Les
quartiers du Nord et du Nord-Est.
3) L'Ouest
de la ville.
4) Les
quartiers du Sud.
5) La ville
de la rive droite.
6) Les
quartiers des hauteurs.
Chapitre II.
A. La population.
B. La circulation.
Chapitre III. Liége,
ville industrielle.
1) Les
charbonnages liégeois.
2) Premier
groupe d'industries : L'armurerie.
3) Deuxième
groupe d'industries : Les industries métallurgiques
- L'industrie verrière - Les industries textiles - Industries
diverses.
4) L'énergie
électrique.
5) La population
industrielle.
Chapitre IV. Liége,
capitale régionale.
- Conclusion.
- Bibliographie.
10 euros (code de commande
: 22265).
Liège.
La province hier et aujourd'hui. [Bruxelles, Crédit Communal de Belgique,]
1976. In-4 broché, 93 p., nombreuses illustrations
et cartes hors texte en noir, cachet humide ex-libris sur la
page de faux-titre, très bon exemplaire.
Cette monographie
a été publiée à l'occasion du 25e
anniversaire de l'avènement du roi Baudouin et de sa visite
à Liège le 25 avril 1976.
Table des matières :
- De la principauté à la
province.
- Un empire propice
aux libertés, des princes qui ne gouvernent plus.
- Mutations.
- Les signes d'une continuité.
- Permanences et renaissances.
- La province dans la Belgique indépendante.
- Système électoral.
- Organisation politico-administrative.
- Missions de la province.
- La province de Liège
depuis 1914.
- Conclusion.
10 euros (code de commande
: 30662).
LINOTTE
(Léon) Les
manifestations et les grèves à Liège de
l'an IV à 1914. Louvain-Paris, Nauwelaerts, 1969.
In-8° broché, XII, 140 p., index, (collection
« Centre Interuniversitaire d'Histoire Contemporaine -
Cahiers », n° 53).
Extrait de l'avant-propos
:
Dans
une étude précédente, nous avons présenté
aux lecteurs un tableau complet et précis des Archives
de la Sûreté publique de la province de Liège
de 1831 à 1914 destiné à faciliter la mise
en uvre d'une Histoire approfondie des mouvements ouvriers
en Belgique.
Aujourd'hui, nous offrons au public un deuxième
travail sur les Manifestations et les Grèves qui, lui,
s'appuie exclusivement sur les Archives de la Police de la ville
de Liège de l'An IV de la République à 1914.
On le devine, un premier déblaiement
s'imposait : trier, sérier et classer logiquement ce fouillis
de papiers. Après quoi, fidèle à notre méthode,
nous nous sommes appliqué à donner une analyse
succincte des pièces dignes d'intérêt.
Au préalable, il est nécessaire
de donner un aperçu sommaire du fonds qui va retenir notre
attention.
Les Archives qui entrent dans ce volume proviennent
du Service Administratif du bourgmestre dit Bureau Administratif
de Police.
Remarquons que ce Bureau Administratif de Police
est une institution proprement liégeoise, non érigée
dans les autres communes belges.
La désignation de ce département
est devenue Bureau de Police Administrative par décision
du collège échevinal du 12 octobre 1964.
10 euros (code de commande
: 22753).
Le Livre blanc des pauvretés
dans la province de Luxembourg.
Vie féminine - Équipes Populaires, s.l., 1988.
In-8° broché, 334 p., illustrations de Pierre Kroll.
7,50 euros (code de commande
: 3970).
MAGNETTE (F.
) Précis d'histoire liégeoise à
l'usage de l'enseignement moyen. 3e édition. Liège,
Vaillant-Carmanne, 1929. In-8° broché, 328 p.
13 euros(code de commande
: 303/66).
MAHIN (Lucien (alias Louline Vôye)
Ène bauke su lès bwès d'l'Ârdène (Regards sur la forêt ardennaise). Fascicule 1 : Préface de Lucien
Léonard. Dès tchènes ou cûr
(Dès jeunes chênes jusqu'au cuir) Témoins
pour le fascicule 1 : Nicolas Bouillon et Albert Mahin.
Fascicule 2 : Préface de l'abbé Raymond
Mouzon. Baloûjenadje dins les bwès du-d-là
çant-ans (Ballade dans la forêt d'il
y a un siècle). Fascicule 3 : Préface
de Omer Marchal. Lès biêsses dès
bwès (Les animaux de nos forêts).
Montigny-le-Tilleul, Scaillet, 1984-1993. Trois volumes in-8°
collés, 343 p., illustrations.
En quatrième
de couverture :
« Lucien Mahin, qui signe ses publications
dialectales du pseudonyme de « Louline Vôye »
(pour l'ouline, la chenille, blason populaire des habitants
de Transinne, et vôye, partie au loin) est né
à Villance en 1953. À côté de sa carrière
professionnelle comme vétérinaire et enseignant
chercheur dans le tiers-monde, il se passionne pour la dialectologie
wallonne. Ses textes, écrits en wallon de Transinne (Ne
12, zone wallo-lorraine) ont été publiés
dans « L'Avenir du Luxembourg », « Les
Cahiers Wallons », « Saint-Hubert d'Ardenne,
Cahiers d'Histoire »...
Autour du thème central de la forêt,
Ène bauke su lès bwès d' l'Ârdène
met en scène un jeune garçon, lu p'tit Firmin,
qui interroge son oncle, lu non.nonke Colâs au sujet
de différentes facettes de la forêt ardennaise.
Les textes, d'accès relativement aisé
pour le wallonophone, sont ensuite analysés en détail.
La liste de vocabulaire proposée à la fin de chaque
chapitre constitue l'ébauche d'un « lexique
transinnois ». Enfin, la traduction française
intégrale permettra l'accès de l'ouvrage aux non-wallonophones
qui seraient intéressés par certains aspects techniques,
historiques ou écologiques. »
Les trois fascicules
: 25 euros (code de commande : 13912).
MARIËN
(M.E.) La nécropole à tombelles de Saint-Vincent.
Bruxelles, Musées
Royaux d'Art et d'Histoire, 1965. In-4° broché, 168 p.,
une illustration en couleurs en frontispice et nombreuses illustrations
en noir, planches à déplier in fine, (collection
« Monographies d'Archéologie Nationale »,
n° 3), ex-libris manuscrit à la page de titre,
peu courant.
Extrait de l'introduction
:
Exhumés
il y a un demi-siècle, les matériaux provenant
des fouilles du Grand-Bois de Saint-Vincent constituent toujours
un des ensembles les plus cohérents que la section de
la Belgique Ancienne puisse présenter comme témoins
du Premier Âge du Fer. Toutefois, à part quelques
brèves notices, aucune publication n'a été
consacrée aux mobiliers de cette importante nécropole.
La faute n'en est certes pas aux fouilleurs, car le baron de
Loë avait préparé la description des sépultures
et des conditions de découverte des pièces, Edm.
Rahir avait dressé le plan général de la
nécropole et exécuté des plans schématiques
et des coupes d'une série de tombelles. Une série
de photos, prises lors des fouilles, venait s'ajouter à
cette documentation. Enfin, toutes les pièces avaient
été pourvues d'un étiquetage minutieux qui
permettait le regroupement des mobiliers.
Dans ces conditions il était permis
d'entreprendre la publication des matériaux archéologiques,
pour rendre accessible les résultats d'une fouille ancienne,
avec ses qualités et ses défauts. La technique
des fouilles ne correspond certes plus à nos conceptions.
Si les anciennes photos de fouilles ont été jointes
ici au texte, c'est qu'elles peuvent parfois révéler
quelque détail utile. D'autre part, les fouilles de contrôle,
exécutées en 1964, se sont bornées à
un seul objectif, vérifier l'absence de fossé d'enceinte
à la base de quelques tombelles nettement identifiables.
M. M. Couteaux a pu utiliser cette occasion pour prélever
quelques échantillons palynologiques qui seront utilisés
par lui dans une étude d'ensemble. En ce qui concerne
la topographie générale de la nécropole,
bien que le plan dressé par Edm. Rahir semble s'écarter
quelque peu en certains endroits de la stricte réalité,
il ne m'a pas semblé opportun de faire un nouveau relevé,
car ceci aurait eu pour résultat de créer des difficultés
insurmontables pour l'identification de toutes les tombelles
et pour l'attribution des mobiliers y correspondant. Dans ce
même ordre d'idées, bien que les fouilles de contrôle
aient fait apparaître quelque désaccord avec les
constatations anciennes, aucun relevé de coupe n'a été
substitué aux anciens dessins.
Les restes d'ossements incinérés
que contiennent actuellement les urnes ou qui sont conservés
dans les réserves de la section de la Belgique Ancienne,
ont été soumis pour examen au Dr. F. Twiesselmann,
Conservateur à l'Institut Royal des Sciences Naturelles,
qui les a jugés peu utilisables pour des déterminations
pouvant fournir des données sûres. De commun accord,
nous avons donc laissé de côté tout examen
des restes osseux.
25 euros (code de commande
: 28305).
MARTIN
(Jean) Le Pays de Gembloux des origines à l'an
mille. Notice archéologique. Préface de Ferdinand Courtoy.
Gembloux, Duculot, 1950. In-8° broché, 113 p.,
illustrations, (collection « Publications Extraordinaires
de la Société Archéologique de Namur »),
cachet humide à la page de titre et décharges d'adhésif
à la couverture.
En quatrième
de couverture :
- Préface.
- Introduction.
I. La Préhistoire.
1. Les âges de la pierre.
A. Période
Paléolithique.
- La
grotte de Spy.
B. Période
Néolithique.
a.
Le menhir de Velaine-sur-Sambre.
b.
Le polissoir néolithique de Velaine-sur-Sambre.
2. Les âges du métal.
A. Un dépôt
de l'âge du bronze à Jemeppe-sur-Sambre.
B. La nécropole
des champs d'urnes à Noville-sur-Méhaigne.
II. La Période romaine.
1. La Chaussée romaine
de Bavai à Cologne.
2. Le problème de
Geminiacum.
3. Étude des vestiges
romains fouillés dans le pays de Gembtoux et les régions
avoisinantes.
A. La villa
de Sauvenière.
B. Le vicus
de Tourinnes-Saint-Lambert.
C. La villa
urbana de Basse-Wavre.
D. Les
tumuli en bordure de la chaussée romaine de Bavai à
Cologne.
a.
Le tumulus de Penteville près de Gembloux.
b.
Les tumuli du Bois de Buis.
c.
Les tumuli de Cortil-Noirmont.
d.
Le tumulus de Glimes.
e.
Le tumulus de Grand-Rosière-Hottomont.
E. La sépulture
gallo-romaine de Corroy-le-Grand.
4. Histoire du Pays de Gembloux
depuis la conquête de César jusqu'au milieu du IIIe
siècle.
5. La Période des
invasions dans le Pays de Gembloux.
III. Les Périodes mérovingienne
et carolingienne dans le Pays de Gembloux jusqu'à la fondation
de l'abbaye de Gembloux par Saint Guibert en 922.
- Table onomastique.
13 euros (code de commande
: 31862).
MATHIEU
(Jos.) Histoire
sociale de l'industrie textile de Verviers. Dison, Jespers-Grégoire,
1946. In-8° broché, 266 p., illustrations, un grand
plan à déplier, couverture défraîchie.
Extrait de l'introduction
:
Pourquoi
nous avons choisi comme sujet de thèse « le
mouvement social » dans l'industrie drapière
à Verviers ? Nos goûts personnels pour la sociologie
auraient pu trouver sans doute maints autres champs d'application.
Le pays est assez riche en groupements sociaux intéressants.
Le houilleur du Borinage, le métallurgiste de Seraing,
l'armurier clé Liège, le « dinandier »
de Dinant, le fondeur de cloches de Louvain, la dentellière
des Flandres, le pêcheur d'Ostende et hien d'autres encore
eussent pu faire l'objet d'autant de suggestions monographiques
sur des milieux particuliers.
Depuis des siècles la plupart de ces
industries se sont localisées en tels endroits du pays,
pour des raisons qui seraient à rechercher. L'ouvrier
qui s'y adonne a fini par s'identifier en quelque sorte avec
son travail et a créé des traditions. Outre le
point de vue économique qui est toujours déterminant,
il y a donc à ces industries un point de vue social et
psychologique qu'il serait non moins utile de préciser.
Si l'industrie textile de Verviers a fixé
notre choix, c'est que, mieux que toute autre, nous semble-t-il,
elle présente ce caractère géographique,
économique et psychologique.
Nous dirons, au cours de cette étude,
pourquoi et comment l'industrie drapière s'est établie
dans la riante vallée de la Vesdre ; le développement
économique et social constituera évidemment le
gros du travail.
20 euros (code de commande
: 22254).
MERGEAI
(Jean) Luxembourg
belge. Photos de Patrice Gaillet. Bruxelles, Paul Legrain,
1971. In 8° sous cartonnage et jaquette d'éditeur,
166 p., clichés en noir et quelques-uns en couleurs,
rousseurs.
En quatrième
de couverture :
Par
delà le pittoresque, il est un Luxembourg de la profondeur.
Tandis que nous irons par les routes et les
sentiers,
que nous suivrons les sinuosités des
rivières,
que nous rêverons au bord des étangs
et des barrages,
que nous nous enfoncerons dans les forêts,
que nous vivrons la vie des villages,
que nous écouterons la leçon
des vieilles pierres,
c'est ce Luxembourg intérieur que nous
rechercherons.
Son âme est en connivence avec le silence.
13 euros (code de commande
: 20835).
MINGUET
(Jean-Pierre) et BLONDIEAU (Philippe) L'Amblève,
sa vallée, sa chanson... Liège,
Éditions du Perron, 2003. In-8° oblong sous cartonnage
illustré d'éditeur, 135 p., très nombreuses
illustrations en couleurs, exemplaire en très bon état.
En quatrième
de couverture :
Une
rivière de mots pour la décrire, avec un peu d'histoire,
de poésie...
C'est en sillonnant cette belle région...
à bicyclette... que les idées sont venues.
C'est une poésie un peu sorcière,
car les mots, les images reflètent un prisme de sens qui
laissent à rêver, envoûtent.
C'est un retour sur la valeur des choses, garder
le meilleur du moment passé.
C'est un rêve qui se réalise,
comme ce livre en entier, auquel je n'avais pas pensé.
Mais la nature change sans cesse. L'humidité,
les crues, les sécheresses modifient la cascade, les ruisseaux
que j'ai vus... entendus.
À bon entendeur... Salut !
10 euros (code de commande
: 31428).
Molons
èt Rèlis namurwès. La littérature dialectale à Namur
de Charles Wérotte à Joseph Calozet. [Bruxelles], Crédit Communal de Belgique,
1968. In-8° carré broché, 61 p., illustrations.
Ouvrage
publié à l'occasion de l'exposition éponyme
organisée au siège du Crédit Communal de
Belgique, à Namur, du 29 novembre au 21 décembre
1968.
Table des matières :
- La littérature dialectale
à Namur.
- Aperçu historique.
- De Charles Wérotte à Joseph
Calozet.
- Généralités.
- Période Pré-Moncrabeaucienne.
- Période Moncrabeaucienne.
- Période Post-Moncrabeaucienne.
- Les Rèlis Namurwès
1904-1968.
- Notes.
10 euros (code de commande
: 22697).
MONASTICON BELGE
De format in-4° broché,
ces volumes furent initialement publiés par dom Ursmer
Berlière à l'abbaye de Maredsous puis par un groupe
de chercheur au Centre National de Recherches d'Histoire Religieuse,
à Liège. Il nous est impossible de détailler
leurs contenus ici, n'hésitez pas à nous questionner
pour toute information.
Tome V (tiré-à-part).
Province de Luxembourg. Prieuré de Chiny.
1975. Pp. 103-110.
4 euros (code de commande
: 319/66).
Tome V (tiré-à-part).
Province de Luxembourg. Prieuré de Longlier.
1975. Pp. 111-121.
4 euros (code de commande
: 320/66).
*****
MULLER
(Josy) Bouillon. Duché
- Ville - Château. Gembloux,
Duculot, 1974. In-8° broché, 63 p., illustrations
hors texte et trois planches volantes à déplier,
(collection « Wallonie, Art et Histoire »,
n° 25).
Introduction :
Bouillon, nom évocateur et célèbre
qui, chez tous, reporte l'esprit vers cet illustre Godefroid
de Bouillon, chef d'une des quatre armées de la première
croisade et premier roi de Jérusalem, aussi vers cette
famille française des Latour d'Auvergne, qui posséda
Bouillon et le duché aux XVIIe et XVIIIe siècles
et dont un des représentants les plus illustres, Turenne,
maréchal de France, dota la ville d'un collège
d'humanités. C'est en effet, grâce à un legs
testamentaire de Turenne que les Augustins purent ouvrir à
Bouillon deux classes de latin et de rhétorique, où
les jeunes gens peu fortunés recevaient une instruction
gratuite.
Bouillon évoque aussi le château,
le plus grand de Wallonie : « Sombre citadelle du XIe siècle,
dont il ne reste que le squelette mutilé », écrit
au XIXe siècle le romantique A. Leroux, qui poursuit :
« Décapité de son donjon et de ses tours,
à l'exception de la tour dite d'Autriche qui est restée
debout, il ressemble de loin dans le brouillard au corps mutilé
d'un gigantesque vaisseau privé de ses mats, mais ses
entrailles de pierre, qui survivront encore bien des siècles
à la force destructrice du temps, apprendront à
la postérité que des hommes ont construit cet antre
et que des générations de guerriers l'ont habité.
»
Retracer brièvement l'origine de Bouillon,
esquisser les grandes lignes de l'histoire et de la formation
du duché, de la ville et du château de Bouillon,
tel est l'objet de ce court travail.
8 euros (code de commande
: 24005).
Naître
autrefois. Rites et folklore de la naissance en Ardenne et Luxembourg.
Bastogne, Musée en Piconrue - Crédit Communal,
1993. In-4° broché, 280 p., nombreuses illustrations
en noir et en couleurs, (collection « Art Religieux
et Croyances Populaires en Ardenne », n° 8),
bel exemplaire.
Cet
ouvrage a été publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée au Musée
en Piconrue, à Bastogne, en 1993.
Table des matières
:
- Introduction,
par André Neuberg.
- Préface : Naître...
toute une histoire, par Jean Pirotte.
1. L'attente.
- Au temps des
sages femmes.
- Les
saints protecteurs de la maternité en Ardenne et Luxembourg,
par Antoinette Reuter.
- Les dévotions
des femmes enceintes : histoire et actualité, par
Françoise Lempereur.
- « Le
trépassement de la Vierge Marie » et autres
oraisons populaires pour les femmes en couches, par Léon
Marquet.
2. L'accouchement.
- Témoignages.
- Le folklore
de la naissance en Gaume méridionale, par Laurent
Muller.
- L'évolution
de la natalité et de la fécondité dans le
Luxembourg belge du début du XIXe siècle à
nos jours, par Thierry Eggerickx.
- Naissance
et santé, par Christian Moïs.
3. L'accueil : rites et symboles.
- Mots et images
pour une vie nouvelle, par Michel Boisdequin.
- L'attribution
du prénom : une histoire ?, par Michel Dorban.
- Prénoms
d'état civil, prénoms de baptême et prénoms
usuels, par Jean-Marie Duvosquel.
- L'enfant
et ses archives, par Jacques Charneux.
- Le baptême
des petits enfants : pratiques d'hier et d'aujourd'hui, par
André Haquin.
- Naissance
et baptême au XVIIIe siècle, par Paul Lafontaine.
- Baptêmes
en catastrophe.
- Enfants
légitimes et illégitimes dans l'Église catholique,
par José Gennart.
- Les âmes
des enfants morts sans baptême, par Louis Demoulin.
- Fonts baptismaux
en Ardenne, par André Lanotte.
- Le folklore
du baptême en Ardenne et Luxembourg, par Marcel
Pignolet.
- Le folklore
du baptême en Gaume méridionale, par Laurent
Muller.
- La naissance
dans le culte israélite, par Jean-Claude Jacob.
- La naissance
de Jésus dans l'imagerie religieuse, par Michel
Boisdequin.
4. Une vie fragile.
- Les saints
protecteurs de la petite enfance en Ardenne et Luxembourg,
par Antoinette Reuter.
- Remèdes
populaires pour un enfant malade, par André Choque.
- Les enfants
martyrs, par Sylvie Dupont-Bouchat.
- Les enfants
abandonnés sous l'ancien régime, par Louis
Demoulin.
- L'évolution
de la mortalité infantile dans le Luxembourg belge du
début du XIXe siècle à nos jours, par
Thierry Eggerickx.
- Quand le
Petit Prine rentre chez lui, par Gabriel Ringlet.
- Naissance
et prime enfance dans les sociétés antiques,
par Daniel Marcolungo.
5. Premiers pas, premiers rires.
- Berceuses d'Ardenne
et Luxembourg, par Roger Pinon.
- L'habillement
du premier âge, par Raymond Mouzon.
- Première
alimentation, premières dents.
- Le jouet,
facteur d'épanouissement de l'enfant, par André
Dehant.
- La naissance,
deux siècles de mutation, par Paul Servais.
Postface.
- Nous ne sommes
pas encore nés, par Gabriel Ringlet.
Catalogue.
35 euros (code de commande
: 25399).
NAMÈCHE
(Léon) La
ville et le comté de Gembloux. L'histoire &
les institutions. Deuxième édition. Gembloux,
Duculot, 1964. In-8° broché, VIII, 344 p., illustrations
hors texte in fine, couverture un peu défraîchie.
Extrait de l'avant-propos
:
Nous n'avons pas la prétention d'offrir
au lecteur une histoire définitive de Gembloux. Avant
que pareille uvre voie le jour, il reste bien des documents
à découvrir, des lacunes à combler, des
problèmes à résoudre. Mais un avis autorisé
nous a engagé à ne pas différer davantage
cet essai. « Je ne crois vas, a écrit M. Henri Pirenne,
que l'historien doit attendre, avant de prendre la plume, que
tous les détails de son sujet aient été
étudiés : il est indispensable que de temps en
temps les données des sources connues soient mises en
uvre et servent à constituer un tableau d'ensemble. »
Une autre raison, peut-être plus immédiate
et péremptoire, nous a décidé. Le Millénaire
de l'Abbaye de Gembloux, célébré en cette
année 1922, réclamait une étude de l'histoire
de la petite ville qui doit au plus ancien monastère du
Brabant son existence et son lustre. Nonobstant notre désir
de poursuivre nos recherches pendant quelques temps encore, il
nous était difficile d'échapper à l'impérieuse
exigence de cette circonstance mémorable.
20 euros (code de commande
: 28740).
[NAMUR - SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE].
Annales de la Société archéologique de
Namur. Tome 75. Namur, Société
Archéologique de Namur, 2001. In-8° broché
sous jaquette, 262 p., quelques illustrations en noir et
une en couleurs, exemplaire en bel état.
Table des matières
:
- In
memoriam. Georges Baurin (1910-2000), par C. Douxchamps-Lefèvre,
p. 5.
- Les Chaumont. Une ascension fulgurante,
par M. Thunus, p. 7.
- Emmanuel Pérès de la
Gesse Préfet du Département de Sambre-et-Meuse
(1800-1814) à travers ses lettres inédites,
par Fr. Lempereur, p. 75.
- Un « odieux mouchard » ?
Louis Jardinet Ducoudray, Vicaire général du diocèse
de Namur (1802-1814) d'après plusieurs documents inédits,
par A. Milet, p. 217.
10 euros (code de commande
: 31124).
[ORVAL]. Orval, neuf siècles d'histoire.
Orval, Éditions de
l'Abbaye, 1970. In-8° carré collé, 230 p.,
illustrations en noir, bon exemplaire.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée à l'occasion
du 900e anniversaire de l'abbaye.
Table des matières :
- Liminaire, par François-Xavier
Hanin.
- Préface de Léon-E.
Halkin.
- Section 1. Architecture.
- L'architecture
monastique à Orval, par Jean Kelecom.
- Évolution
du carrelage et du mobilier à travers l'histoire d'Orval,
par Georges Maillien.
- Section 2. Histoire.
- L'histoire de l'abbaye
d'Orval, par Charles Grégoire.
- Liste critique
des abbés d'Orval, par Charles Grégoire.
- Section 3. Économie et domaine.
- L'ancien domaine
d'Orval, par Christian Grégoire.
- Section 4. Manuscrits.
- Les manuscrits
de l'abbaye d'Orval, par Gætano Raciti et Jacques
Stiennon.
- Section 5. Art religieux et profane.
- L'iconographie
de Notre Dame à Orval, par Albert van Iterson
et Germain Ninane.
- Section 6. Vie monastique.
- La vie monastique,
par Jean Leclercq.
- Appendice 1. Le musée pharmaceutique.
- Appendice 2. Grande salle de réception.
13 euros (code de commande
: 30856*).
Le Patrimoine
Monumental de la Belgique.Volume 3. Province de
Liège. Arrondissement de Liège. Ville de Liège.
Liège, mardaga, 1974. In-8° sous reliure et jaquette
d'éditeur, 453 p.
25 euros (code de commande
: 344/58).
Le
pays gaumais. La terre et les hommes. Revue régionale. 26e année - N° 1 - 2 - 3 - 4. Virton, Éditions du Musée gaumais,
1965. In-8° broché, 181 p., illustrations.
Sommaire :
- Inauguration
du Musée de la Vie paysanne à Montquintin,
par V. Thiery.
- Message du Musée, par
E. P. Fouss.
- Terrains et fossiles jurassiques
de la Lorraine belge, par Edg. Casier.
- Saint-Hilaire, église-mère
de Marville, par E. Dejardin.
- Vierges de Pitié, par
J. de Borchgrave d'Altena.
- Les anciennes forges de La Claireau,
par M. Bourguignon.
- Nestor Outer et son temps, par
A. Renauld.
- L'ancien four banal de Musson, par
A. Rossignon.
- Le vignoble de Torgny, par F.
d'Ursel.
- Les Canadiens à Virton et
à Saint-Mard, par El. Autphenne.
13 euros (code de commande
: 18712).
PHILIPPEVILLE. Gravure
extraite d'une des éditions de la Description de tous
les Pays-Bas, par Lodovico Guicciardini.
Dimensions :
- Trait carré : 160 x 120 mm.
- Feuille : 190 x 136 mm.
20 euros (code de commande
: 18741).
[PLACARD]. État sommaire
des arrêts définitifs portant condamnation rendus
par la Cour de Justice criminelle du Département des Forêts,
tant en matière criminelle que sur appel des Jugemens
de Police correctionnelle, pendant le mois d'Avril 1809. Luxembourg, Brück, 1809. [A Luxembourg, chez Pierre Brück,
fils, rue de la Constitution, N°. 38.]
In-plano, 445 x 570 mm., en bel état.
Ce placard,
signé par Clément, Procueur général
impérial en la Cour de Justice criminelle, le 2 mai 1809,
indique la date des arrêts, les noms des condamnés,
la nature et leiux des délits, les peines prononcées,
etc.
Les condamnés figurant sur ce placard
sont Henry-Joseph Bourgeois (boucher et cordonnier à Neufchâteau) ;
Michel Mergen (domicilé à Outscheidt) ; Jean
Sinner, Pierre Grégoire et Jean Koch (de la commune de
Hessingen) ; Pierre Streff (domicilé à Neuheusgen).
30 euros (code de commande
: 21611).
POUMON
(Émile) Les châteaux luxembourgeois (Province belge). Bruxelles,
Cercle d'Art, 1952. In-8° broché, 64 p., 32 planches
avec leur commentaire, (collection « Les Châteaux
de Belgique »), exemplaire en bon état.
Table des matières
:
- Le
Pays d'Arlon.
- La Vire et le Ton.
- La Semois.
- Bouillon.
- La Lesse.
- L'Ourthe.
- L'Aisne.
- Le Val de Salm.
- Autour de Bastogne.
- Neufchâteau et ses environs.
- Bibliographie.
13 euros (code de commande
: 28836).
PRÉMOREL
(Adrien de) La Lesse Fille d'Ardenne. Illustré par Camille Barthélémy.
Bruges, Desclée de Brouwer, 1948. In-4° broché,
83 p., 26 illustrations en noir dans le texte et 4 illustrations
en couleurs à pleine page hors texte, 7 timbres-poste
ont été collés sur la page de titre, exemplaire
dédicacé par l'auteur, en bel état.
Table des matières
:
I.
La Lesse.
II. En Haute Lesse.
III. Le palais sans issue.
IV. Le trou de Han.
V. Le village et la grotte de Han.
VI. La Basse Lesse.
30 euros (code de commande
: 21674).
[PROFONDEVILLE - BURNOT]. Carte postale publicitaire imprimée par
E. Desaix, à Bruxelles, vers 1910. 138 x 89 mm.
Cette carte, peu courante, n'est pas
légendée, mais nous avons pu déterminer
qu'il s'agit d'une vue de l'actuel collège de Godinne-Burnot
qui, à l'époque de l'édition de la carte,
était occupé par les chanoinesses de Saint-Augustin
de Reims.
8 euros (code de commande
: 17963).
REMACLE
(Louis) Glossaire
de la Gleize. Liège, Société de
Langue et Littérature Wallonnes, 1980. In-8° broché,
216 p., (« Bibliothèque de Philologie et de Littérature
Wallonne », n° 5), exemplaire en parfait état.
Extrait de l'introduction
:
Le
présent ouvrage reprend, corrige et complète larticle
publié sous le même titre, en 1933, dans le Bulletin
du Dictionnaire wallon, tome 18, pp. 63-112.
Cet article ne recueillait que 460 mots environ,
ceux qui, à ce moment-là, avaient retenu
mon attention. On peut dire, cependant, que le vocabulaire du
wallon de La Gleize a été bien exploré ;
mais ses éléments sont dispersés dans des
ouvrages très divers :
- les lexiques du Spadois
Albin Body, qui remontent au 19e siècle et où certains
mots donnés comme « ardennais »
viennent probablement de notre commune ;
- les listes-questionnaires
du Bulletin du Dictionnaire wallon où sont enregistrées
les réponses dun excellent correspondant du hameau
de Ruy, Alphonse Dewez ;
- les dictionnaires
de Jean Haust et lAtlas linguistique de la Wallonie
(volumes publiés et documentation inédite) ;
- mon article de 1933
et plusieurs de mes livres ;
- enfin, limportante
thèse inédite de Georges Legros sur la meunerie.
Peut-être aurait-il fallu essayer de
rassembler les éléments épars de ce « trésor » ;
mais je ne pouvais songer à entreprendre une pareille
tâche.
Le choix des mots.
Comme larticle de 1933, le présent
volume est un simple « glossaire ». Il
constitue, somme toute, une seconde édition, qui remplace
et complète la première. Il reprend les mots de
celle-ci avec les exemples qui les accompagnaient (très
rarement avec dautres). Mais la collection sest augmentée
de mots entendus au hameau de Neuville entre 1930 et 1942 (parfois
en écoutant parler des gens venus de lextérieur)
et aussi dans les environs à des époques diverses
(notamment au cours denquêtes phonétiques
et toponymiques). Elle accueille aussi des termes courants et
bien connus (aler, aveûr, bièsse,
cou, dire, jé, long, magni,
pan, taper, tchin, vèy, etc.)
pour lesquels jai noté des significations, des emplois,
des exemples plus ou moins remarquables. Elle compte, au total,
plus de 2400 mots ; mais beaucoup dentre eux font
lobjet darticles très courts, qui donnent
simplement des renvois à des exemples contenus dans dautres
articles ou dans lappendice.
Les termes qui composaient le glossaire de
1933 ne méritaient pas tous la même considération.
Jean Haust, qui avait tenu à contrôler leur existence
en questionnant ses témoins de la région de Grand-Halleux,
avait raison décrire, dans son compte rendu du Bulletin
de Toponymie, t. 8 (1934), pp. 457-9 : « Beaucoup
de ces mots - sont de jolis dérivés Certains
autres sont des variantes de termes connus vers le sud ».
Il est vrai que javais découvert peu de mots inédits.
Et, malheureusement, le nouveau recueil ne doit guère
en révéler davantage.
Parmi les mots que celui-ci contient, il en
est beaucoup, je lai dit, qui sont bien et largement connus.
Ils ne sont donc pas susceptibles dintéresser la
lexicologie romane ni même la dialectologie wallonne au
niveau des types étymologiques, cest-à-dire
au point de vue de lhistoire du vocabulaire. Si je les
ai retenus, cest parce que je pouvais relever à
leur propos des sens curieux ou rares ou des exemples authentiques,
et ainsi fournir des éléments à un éventuel
dictionnaire général des dialectes belgo-romans.
On ne sétonnera pas que des mots
très employés fassent lobjet darticles
très courts. Pour un mot comme tièsse, je
ne donne quun sens particulier et trois proverbes ;
mais notre patois connaît beaucoup dexpressions qui
figurent sous tièsse dans le dictionnaire liégeois
de Haust et dans le dictionnaire verviétois de Wisimus.
On ne sétonnera pas non plus que les familles de
mots soient incomplètes.
On comprendra, dautre part, que des mots
pittoresques ou anciens ne soient même pas cités.
La plupart dentre eux figurent, avec des exemples satisfaisants,
dans les dictionnaires malmédiens (chez Villers déjà,
en 1793), verviétois et liégeois, ou dans les vocabulaires
de Stavelot et de Faymonville. Je les ai omis systématiquement
lorsque je ne pouvais rien apporter dutile à leur
sujet.
Certains mots sont signalés comme archaïques.
Ils létaient déjà avant 1942, et ils
sont probablement désuets aujourdhui.
Dautres mots, empruntés au français,
font figure de néologismes (apèrçu,
boukèt, convêrti, gârer,
hèrbok, luje, etc.), encore que certains
dentre eux soient peut-être déjà sortis
de lusage dialectal ; la civilisation et la technique
modernes en introduisent constamment de nouveaux, et je nai
pas essayé den relever beaucoup.
Pour quelques mots (joyon, hourand,
Ramète, raspindji...), je fournis des détails
purement anecdotiques. Si lon se reporte à lindex
final, on constatera que divers articles ont un intérêt
folklorique, et que, dans une série dautres, jai
cité comme exemples des proverbes.
Je me suis demandé si certains termes
que jai entendu employer par des personnes dont le langage
était volontiers très expressif nétaient
pas des créations individuelles, ou même occasionnelles :
je songe, par exemple à dusturloké, à
èstrèbouhi, qui doivent résulter
de contaminations. Je les ai cependant conservés, parce
que je les ai réellement entendus et parce que leur caractère
individuel ou occasionnel nest pas assuré.
Les notes de folklore.
Il ma paru intéressant de publier
à la suite de mon glossaire, en appendice, certaines notes
de folklore que javais recueillies à Neuville, de
1931 à 1935. Ces données se rapportent pour la
plupart au 19e siècle ; certaines, au début
du 20e. On remarquera que, pour les formulettes et les textes
chantés, la notation musicale manque : cette lacune
regrettable diminue naturellement, dans une certaine mesure,
leur valeur documentaire.
Cet appendice ne fournit pas, je tiens à
le souligner, un tableau complet du folklore de La Gleize. Jai
simplement choisi, parmi des notes fragmentaires prises il y
a une quarantaine dannées, celles qui mont
semblé mériter dêtre sauvées,
pour leur intérêt folklorique ou encore pour leur
intérêt dialectologique. Je rappelle que le glossaire
lui-même contient des éléments folkloriques
(voir lindex final au mot folklore). Jajoute que
jai laissé de côté des formulettes
purement françaises et largement répandues (1 2
3 Je men vais au bois ... ; Pim' pom' dor À
la révérence ... ; etc.).
La plupart des notes de folklore sont en wallon ;
elles constituent donc des échantillons, souvent tout
à fait authentiques, parfois un peu artificiels, du patois
local. Elles mont permis aussi denrichir le glossaire :
jai inséré dans celui-ci, en ajoutant au
besoin des « entrées » nouvelles,
des renvois à des mots ou à des expressions contenus
dans les notes folkloriques. (Pour faciliter ces renvois, jai
numéroté les paragraphes de ces notes et, en outre,
subdivisé en a, b, c... les longues
énumérations des numéros 134, 181, etc.).
Ces additions accentueront le caractère
inégal de la présentation des mots, et ce défaut
s'ajoutera de lui-même au manque d'homogénéité
géographique qui affecte l'ensemble du vocabulaire retenu.
J'espère, néanmoins, que l'ouvrage rendra quelques
services.
30 euros (code de commande
31438).
REMAN
(Raymond) Morialmé. Son carillon trente ans
sans échos. Morialmé,
s.n, 1987. In-4° agrafé, 46 p., illustrations,
cachet humide ex-libris à la deuxième page de la
couverture, exemplaire en bon état.
Table des matières
:
- Introduction.
Chapitre I. Les cloches de l'ancienne église.
1.1. 1810-1812.
Chapitre II. Les cloches de la nouvelle
église.
2.1. 1860.
2.2. 1888.
2.3. 1910.
2.3.1. L'incendie
de l'église en 1909.
2.3.2. L'acquisition
de nouvelles cloches en 1910.
2.3.3. Les
inscriptions des cinq cloches de 1910.
2.3.4. L'enlèvement
des cloches par les Allemands en 1944.
2.4. 1956.
2.4.1. Les
cloches de volée.
2.4.2. Les
cloches du carillon.
2.4.3. Les
inscriptions des seize cloches de 1956.
2.4.3.1. Les
cloches de volée.
2.4.3.2. Les
cloches du carillon.
Chapitre III. Pourquoi le carillon n'a-t-il
jamais été installé ?
Chapitre IV. Aujourd'hui.
4.1. L'état actuel
des cloches de volée.
4.2. L'« Opération-Carillon ».
4.3. L'état des cloches
après 1'« Opération-Carillon »
(Décembre 1987).
- Conclusion.
- Annexes.
- Bibliographie.
10 euros (code de commande
: 32042).
[RENARD
(Laurent)] Lettre d'Eustache Lefranc à Monseigneur
Corneille-Richard-Antoine Van Bommel, pour la plus grande utilité
du St-Siége, pour la mortification et le chatiment du
clergé wallon, évêque de Liége, etc.,
etc., etc.
2me édition.
Liége, Imprimerie des Missions, 1838. In-8° broché,
107, XI, [1 bl.] p., couverture salie, rare.
@ Laurent Renard (Liège, 1784-1852)
ne fut pas qu'un brillant professeur d'archéologie et
d'histoire de l'art moderne à l'Académie des Beaux-Arts
de Liège, il fut également un homme engagé
qui publia beaucoup et notamment le pamphlet présenté
ici. À son propos, Ulysse Capitaine écrit que l'auteur
y traite « des mariages mixtes, de l'infaillibilité
du pape, du pouvoir temporel, du libre arbitre, des francs-maçons,
etc., le tout avec beaucoup de verve et d'esprit, mais aussi
avec un ton sarcastique que l'on doit condamner dans la discussion
de matières aussi graves. » Les onze dernières
pages qui ne figurent pas dans la première édition,
contiennent la réponse à un article du Courrier
de la Meuse du 5 avril.
& Delecourt, Dictionnaire des anonymes et
pseudonymes, p. 554 ; J. Stecher, dans Biographie nationale,
t. XIX, col. 51-59 ; U. Capitaine, Nécrologe liégeois
pour 1852 ; Fesch, Bibliographie de la franc-maçonnerie,
col. 1181.
50 euros (code de commande
: 10395).
[ROCHEFORT]. Cercle culturel et historique
de Rochefort. Cahier n° 40.
Rochefort, Cercle Culturel et Historique, 2005. In-8° broché,
167 p., illustrations.
Table des matières
:
- Avant-propos, par Christian Limbrée.
- Octave Joseph Denis, de Forzée,
au Collège belge de Rome (1869-1872), par Marc
Belvaux.
- Le moulin de Behogne (des origines
à la Révolution française), par Amand
Collard.
- Jean Charlier mort à bord
du Chilier, par Amand Collard.
- Souvenirs et histoires d'autrefois,
par Philippe Collignon.
- Récit d'un voyage de 80 jours
en Hitlèrie, par Alain de Brabant.
- Une plongée de quatre mille
ans, par Marc Jasinski.
- Rochefort - Murailles, ponts, routes
et sentiers, par Jules Delhaise.
- La villa « les Rochettes »
à Rochefort, par Amand Collard.
- Sort de presse...
- Yvan Lebrun. Les
ducs d'Arenberg et Champlon-Famenne, rectificatif.
- Christian Sépulchre
de Solières. Les Desandrouin et les Bleret en Famenne,
deux familles, deux destins, présenté par Amand
Collard.
10 euros (code de commande
: 31006).
ROMUS
(Paul) Liége, port de mer. Essai de prévision économique
en fonction du trafic maritime d'autres ports intérieurs
avec18 figures et 6 planches.
Préface de A. Delmée. Liège, Thone,
1946. In-8° broché, IX, 480 p., illustrations,
(collection « Bibliothèque de l'École
Supérieure de Sciences commerciales et Économiques
de l'Université de Liége », volume XXXI),
exemplaire non coupé et dédicacé par l'auteur,
couverture défraîchie.
Texte du prospectus
de présentation :
Le
canal Albert, qui donne accès au port de Liège,
n'est pas une voie maritime et ne pouvait pas l'être. Des
isthmes ont été percés, à Suez, Corinthe,
Kiel et Panama, pour éviter une longue circumnavigation.
Des plaines maritimes ont été traversées
par un canal, suppléant à un fleuve insuffisant,
afin que des bâtiments de mer arrivent jusqu'à des
centres commerciaux importants tels que Manchester, Bruxelles
et Gand. Mais, jamais encore, un vrai canal maritime n'a été
creusé profondément à l'intérieur
des terres, passant d'un bassin fluvial à un autre. Le
navire n'est pas construit pour naviguer sur de longues voies
d'eau artificielles, sur mer, il est un instrument de transport
avantageux, à l'intérieur des terres, limité
dans sa vitesse, il perd ses qualités et doit céder
la place au chaland. Aussi, un canal entre Anvers et Liège,
eût-il même les dimensions de celui de Suez ou de
Panama, ne ferait pas monter les gros cargos jusqu'à Liège.
Cependant, le canal Albert a été
proportionné si largement, même pour les plus grands
bateaux d'intérieur, qu'on s'est demandé si des
caboteurs et des navires de mer spéciaux ne pourraient
pas le fréquenter. Ils le pourront, ont répondu
les constructeurs du canal et des navigateurs, moyennant le haussement
des ponts à construire, une légère modification
de la cuvette en quelques endroits et un renforcement de la protection
des berges.
Mais le canal, dès lors accessible à
de petits navires de mer, fera-t-il arriver un trafic maritime
jusqu'à Liège ? M. Romus répond à
cette question. Il expose les données du problème :
la voie et le navire adapté à la voie. Il étudie
longuement les exemples, à l'étranger, de la pénétration
d'une certaine navigation maritime à l'intérieur
des terres. Il cherche les ressources que la région de
Liège offre à un trafic maritime, en passant en
revue les principales industries et les commerces les plus importants.
Pendant des années, M. Romus a étudié
et médité son sujet, il a lu tout ce qui a été
publié sur la matière qu'il traite, il a procédé
à des enquêtes sur place et a interrogé de
nombreux industriels, commerçants, affréteurs,
agents maritimes et navigateurs.
Documenté et instruit, M. Romus formule
une conclusion aussi nette qu'il est possible lorsqu'il s'agit
de l'avenir. Le port de Liège ne peut pas devenir un grand
port de mer parce qu'il est à plus de 200 kilomètres
de la côte, mais il verra son trafic fluvial, fort important
déjà, se compléter par un trafic maritime,
secondaire mais de grande valeur par la qualité. Il n'aura
pas de services de navigation avec les pays lointains situés
de l'autre côté des océans, mais sera en
relation directe avec les ports de la Manche, de la mer du Nord
et de la Baltique.
M. Romus a fait une uvre scientifique
et son travail lui a valu, à l'Université de Liège
et avec la plus grande distinction, le titre de Docteur en Sciences
économiques.
Cette uvre ne doit pas rester purement
académique, elle doit instruire ceux qui ont à
prendre des décisions, elle doit former une opinion qui
soutiendra les pouvoirs publics dans l'effort qu'ils ont à
faire pour que Liège devienne, dans son genre, un port
de mer.
Le livre de M. Romus doit être lu par
ceux que la navigation intéresse, par ceux qui suivent
le développement de notre économie nationale, et
par les Liégeois qui ont à cur la prospérité
de leur pays.
Le lecteur prendre plaisir à lire cet
ouvrage, il visitera avec M. Romus les petits ports intérieurs
anglais, normands, néerlandais et suédois qui seront
bientôt directement associés à la fortune
maritime de Liège, il connaîtra la navigation côtière,
si active en certains parages et prête à pénétrer
jusque sur les rives de la Meuse liégeoise, il s'initiera
enfin à un monde d'affaires qui, aujourd'hui, se présente
à lui sous un aspect exotique, mais auquel il pourra participer
demain.
20 euros (code de commande
: 21703).
RORIVE
(Jean-Pierre) La guerre de siège sous Louis XIV
en Europe et à Huy. Préface
par André Corvisier. Bruxelles, Racine, 1998. In-4°
sous reliure et jaquette d'éditeur, 299 p., nombreuses
illustrations en noir et en couleurs, exemplaire en très
bon état.
En quatrième
de couverture :
Pendant
l'Ancien Régime, la guerre constitue l'ordinaire, tant
des acteurs que de ceux qui la subissent. Sous Louis XIV
(1668-1715), la guerre de bataille se mue en guerre de siège,
plus lente et plus coûteuse. Huy-sur-Meuse est l'une des
pièces de la vaste partie d'échecs que se livrent
alors les grandes puissances. Sa forteresse est la principale
de l'ancienne principauté de Liège, carrefour des
armées d'Europe. Sa position stratégique est exceptionnelle
et son enjeu international. Réputée « la
plus disputée » de son temps, elle a battu
tous les records en nombre, de sièges et d'occupations
en moins de quarante ans.
L'ampleur et l'exemplarité du sujet
ont conduit l'auteur aux quatre coins de l'Europe. Pour la première
fois en langue française, la guerre des villes au siècle
de malheur est examinée sous toutes ses faces en un même
livre. Celui-ci s'ouvre sur une vaste synthèse européenne,
débordant largement Vauban et son pré carré.
La seconde partie décrit de manière saisissante
le cas de Huy. Toutes deux sont illustrées par une riche
iconographie, souvent inédite (tableaux de batailles,
estampes et dessins de places, portraits, cartes et plans...).
« Si l'historien avait le droit
d'employer le terme exhaustif, écrit André
Corvisier, je n'hésiterais pas à le faire pour
qualifier ce travail. »
40 euros (code de commande
: 31027).
 ROSE-LA-UPÉ
Dinant-Ruine. Poésies
par Rose-la-Upé. Lauréat des Concours poétiques
du Midi de la France. S.l.,
[ca 1879]. In-18 sous cartonnage d'éditeur, 95, [1 bl.],
[1 (table)], [1 bl.] p., six photographies originales contrecollées,
ex-dono à la page de garde, rare.
On trouve la trace d'une autre publication
du même auteur : Guide. Les oasis de la Meuse aux
environs de Dinant. Dinant, Anseremme, Waulsort, Hastière,
Yvoir. Botanique, Paléontologie, Hommes célèbres,
le dernier des Nutons, Une tête de Lion, Dans labbaye
dHastière, Dinanderies. Dinant, Impr. Poncin-Fisette,
s.d. (avant 1914).
Table des matières :
- La Meuse.
- Dinant-Ruine.
- Montaigle et Poilvache.
- Crève-Cur .
- Montfât.
- Le Rocher Bayard.
- Le Fort.
- La Lesse, Walzin, Cavraine, Chaleux.
- Château-Thierry, Freyr, Waulsort.
- Montorgueil, vallée de Leffe.
- La Ruine de Dinant (1466).
- Ruines morales.
- La Ruine du Bonheur.
Le chant du Trouvère.
- La Ruine de l'Amour
Celle que j'aimais.
- L'Ancre de l'Espérance.
- Au Lecteur.
- Photographies : Vue de Dinant - Les
Ruines de Poilvache - Le Rocher Bayard - Les ruines de Crève-Cur,
Bouvignes - Les Ruines de Montaigle - Walzin, Bords de la Lesse.
Bibliographie :
- Quériat (Stéphanie), La
mise en tourisme de lArdenne belge (1850-1914). Genèse
et évolution dun espace touristique. Processus,
acteurs et territoires, p. 348.
45 euros (code de commande
: 28506).
SERVAIS (Jean) et HAMAL-NANDRIN (Joseph) Musée
archéologique liégeois. Section Préhistorique.
Catalogue sommaire. 123 figures (1 carte, 3 portraits, 5 plans,
12 vues et 455 reproductions d'objets). [Liège],
1929. In-8° broché, 147 p., quelques annotations.
10 euros (code de commande
: 360/64).
[SLUSE].
Les Sluse et leur temps. Une
famille, une ville, un savant au XVIIe siècle. Par François Jongmans, Robert
Halleux, Pascal Lefebvre et Anne-Catherine Bernes.
Bruxelles, Crédit Communal, 1985. In-4° broché,
112 p., illustrations, bel exemplaire.
Cet ouvrage a été publié
à l'occasion de l'exposition éponyme organisée
à la Chapelle des Sépulcrines, à Visé,
du 23 mars au 8 avril 1985.
Table des matières :
- Avant-propos, par F. Narmon.
1. Liminaire :
- à l'exemple de
Constantin le Paige.
- pour situer Sluse à
Liège.
- pour situer Sluse à
Visé.
2. Les Sluse à Liège.
3. Le Cardinal Jean-Gautier de Sluse :
- une brillante carrière.
- un sympathisant du jansénisme.
- une mort énigmatique.
4. René-François
de Sluse :
- serviteur de l'Église
et commis de l'État.
- la carrière liégeoise
de René-François de Sluse.
- portrait moral de René-François
de Sluse.
5. Reconstitution du cabinet de
travail de René-François de Sluse :
- bibliothèque
de René-François de Sluse.
- son cadre de vie.
6. Sluse et l'Europe.
7. Bref aperçu de l'uvre mathématique
de René-François de Sluse.
8. L'astronomie.
9. Sluse, la chimie et les sciences de la terre.
10. Sluse et le perfectionnement du thermomètre
:
- histoire du thermomètre.
- le thermomètre de
Sluse.
11. Sluse, l'horreur du vide et le baromètre
liégeois :
- introduction.
- Beeckman et Baliani, précurseurs.
- Sluse et le vide.
- le baromètre liégeois.
12. Sluse et les sciences de la
vie :
- la biologie au XVIIe
siècle.
- la transfusion du sang
au XVIIe siècle.
- la génération
des animaux.
13. Sluse, Huygens, Linus et la mesure
du temps.
20 euros (code de commande
: 16260).
SOREIL
(Arsène) Dure
Ardenne. Quatrième édition. Illustrations
d'Elisabeth Ivanovsky. Gembloux, Duculot, 1947. In-8°
broché, 196 p., 26 illustrations en noir (2 vignettes
sur la couverture, 6 à pleine page, 17 vignettes de tête
de chapitre, 1 cul-de-lampe).
Table des matières
:
- Préface
de Gaëtan Monfet.
- Le pain de coucou.
- La varlope.
- Les billes.
- Martyrs de désir.
- Saint-Nicolas.
- Pèlerinages.
- Virginie.
- Guillaume de Saint-Hubert.
- Une bonne place.
- Le sarrau de soie.
- Mentine.
- Mon chien Lion.
- La sagesse du bon vacher.
- Lîdge.
- Un dimanche d'août.
- Adieu, pays.
18 euros (code de commande
: 21426).
STIENNON
(Jacques) Étude sur le chartrier et domaine
de labbaye de Saint-Jacques de Liège (1015-1209).
Paris, Les Belles Lettres, 1951.
In-8° broché, XIV, 493 p., XL planches hors texte,
(collection « Bibliothèque de la Faculté de
Philosophie et Lettres de lUniversité de Liège
», fascicule CXXIV), envoi de lauteur, exemplaire
non coupé.
Avant-propos :
« En 1942, nous présentions, à la section
d'histoire de l'Université de Liège, un mémoire
sur la formation et l'évolution du domaine primitif de
l'abbaye de Saint-Jacques. À cette époque, le sujet
comportait une difficulté dont nous n'avions pas cherché
à dissimuler la gravité. La valeur de la principale
source narrative et de la plupart des sources diplomatiques venait
d'être ruinée par les conclusions pessimistes de
la thèse récente de M. Niermeyer (Onderzoekingen
over Luikse en Maastrichtse oorkonden en over Vita Baldrici episcopi
Leodiensis).
Envisager de retracer l'histoire du domaine de l'abbaye sur des
titres de propriété d'une authenticité chancelante
pouvait paraître une gageure. Nous avons cependant pu la
tenir, grâce à des circonstances qu'il n'est pas
inutile de rappeler ici :
1. Pour la plupart des chartes, le diplomatiste hollandais en
considérait seulement comme faux certains passages. Une
fois les interpolations supprimées du corps de ces chartes,
celles-ci nous livraient un texte dont il était permis
d'accepter les données.
2. L'examen de quelques chartes controversées, au cours
des exercices pratiques d'histoire médiévale à
l'Université de Liège en l'année 1941-1942,
avait contribué à tempérer le caractère
outrancier de certaines affirmations de M. Niermeyer.
3. De notre côté, nous n'avions pas négligé
de mettre en relief, dans le chapitre relatif aux sources, certaines
faiblesses dans l'argumentation de notre devancier, qui nous
engageaient, sous bénéfice d'une enquête
ultérieure, à manifester moins de méfiance
à l'égard des textes sur lesquels nous devions
nous appuyer.
Depuis lors, une vérification du jugement défavorable
dont était victime la Vita Baldrici a restitué
à ce texte la confiance, sinon totale, du moins considérable,
qu'on doit à cette source précieuse (Étude
critique sur la Vita Baldrici episcopi Leodiensis, par Ch.
Lays).
Pour notre part, nous avons exercé une révision
similaire à l'égard des documents diplomatiques
de l'abbaye liégeoise. Le fait que ces recherches ont
pu être menées parallèlement, sans jamais
se gêner ni se contrarier mutuellement, indique déjà
la fragilité de la chaîne commune à laquelle
M. Niermeyer avait voulu lier le sort de la Vita Baldrici
et celui des chartes.
Notre enquête ne s'est pas bornée aux seules chartes
étudiées par M. Niermeyer. Elle s'est poursuivie
jusqu'au début du XIIIe siècle, marquant pas à
pas les différentes phases de l'évolution du domaine.
Cependant, tout en restant d'abord préoccupée d'éclairer
l'activité économique de l'abbaye, elle peut également
constituer, dans une large mesure, une contribution à
l'étude des scriptoria et des chancelleries monastiques
de la Principauté de Liège au moyen âge.
La partie proprement historique a donc bénéficié
des remaniements dus aux résultats de la critique approfondie
des sources diplomatiques. Nous n'avons naturellement pas omis
de tenir compte des progrès apportés depuis 1942,
par les médiévistes, à la littérature
du sujet. Au cours de ce travail, nous avons été
guidé par le constant souci de considérer l'abbaye
dans son ensemble et de placer l'activité économique
dans son cadre religieux, artistique, intellectuel et politique.
Cette vue synthétique s'imposait d'autant plus qu'elle
s'appliquait aux deux siècles du moyen âge où
s'opèrent des transformations profondes et qui constituent,
des volets de son diptyque, la charnière complexe et sensible.
»
20 euros (code de commande
: 10923).
STIENNON
(Jacques) et DECKERS (Joseph) Exposition Wibald, abbé
de Stavelot-Malmédy et de Corvey (1130-1158). [Bruxelles], Ministère de la Communauté
Française, 1982. In-4° collé, 109 p.,
illustrations en noir et quelques-unes en couleurs, cachet humide
ex-libris à la p. 6.
Ouvrage
publié à l'occasion de l'exposition éponyme
organisée au Musée de l'ancienne Abbaye, à
Stavelot, du 2 juillet au 26 septembre 1982.
Plan du catalogue :
- La personnalité de Wibald
de Stavelot et de Corvey. Une problématique
I. Le cadre géographique et historique.
A. Les voyages de Wibald
en Occident et à Byzance.
B. L'itinéraire de
Conrad III (1138-1152).
C. Les souverains germaniques
(Lothaire III, Conrad III, Frédéric Ier Barberousse).
D. L'évêque
de Liège Henri de Leez.
E. Les abbayes de Saint-Laurent
de Liège, Waulsort-Hastière, Stavelot-Malmédy,
Mont-Cassin et Corvey.
II. Wibald scribe, rédacteur et inspirateur
de chartes
A. L'écriture de Wibald,
scribe.
B. Les diplômes royaux
et impériaux.
C. L'action de Wibald en
faveur de Stavelot.
III. Wibald et sa correspondance.
IV. Wibald, les lettres classiques et les sciences
de la nature.
V. Le mécénat artistique de Wibald
à Stavelot et à Corvey.
VI. L'action de Wibald à Logne.
VII. Souvenirs et documents de l'abbaye de
Stavelot.
- Annexes :
1. Les fouilles dans l'ancienne
église abbatiale. Rapport provisoire.
2. Reconstitution d'un jardin
monastique.
3. Publications diverses
relatives à Wibald.
15 euros (code de commande
: 28563).
Théâtre liégeois.
Nouvelle édition.
Augmentée d'une pièce inédite ; revue
et annotée par F. Bailleux, précédée
d'une introduction historique par U. Capitaine, d'une
lettre aux éditeurs par J. Stecher et ornée
de trois planches gravées par J. Helbig. Liège,
Carmanne, 1854. [Liége,
Typographie de J.-G. Carmanne, Place St Pholien, 13. 1854.] In-12 broché, XXX, 211, [1 bl.], [1
(table)], [1 bl.] p., exemplaire bien complet des trois
gravures, dos cassé, couverture défraîchie.

Couverture et gravure
en regard de la p. 23.
40 euros (code de commande
: 14214).
THISSE-DEROUETTE
(Rose) Le recueil
de danses. Manuscrit d'un ménétrier
ardennais. Étude sur la danse en Ardennes belges au
XIXe siècle. Arlon, Fasbender, 1960. In-8°
broché, 141 p., illustrations, envoi de l'auteure, bel
exemplaire non coupé.
Table des matières
:
- Dédicace.
- Introduction.
I. L'instrumentiste populaire en Wallonie.
II. Répertoire traditionnel de nos « djouweûs
d'danses ».
a) documents oraux.
b) documents manuscrits.
c) raisons de la rareté
de manuscrits d'airs de danses.
III. Le dernier ménétrier d'Ardennes
: Gédéon Fanon, de Heyd.
IV. Le Recueil de danses de Jean-Guillaume
Houssa, de Soy.
a) description extérieure.
b) résumé du
contenu, dans l'ordre du manuscrit.
c) analyse des textes - indications
chorégraphiques.
d) analyse musicale.
- Menuets.
a) du recueil.
b) de la couverture.
- Contredanses
a) historique.
b) les deux espèces
de contredanses.
Série
de 15 contredanses en ré :
a)
en 6/8.
b)
en 2/4.
Les autres
contredanses :
a)
série en la majeur.
b)
série en sol majeur.
c)
série en ut majeur.
d)
série en fa majeur.
e)
contredanses éparses.
- La « méthode »
d'un apprenti mestre.
- Pouilles et pas de tez.
- Emprunts à
des airs connus
- Simoniennes.
- Jardin d'Amour et
Maree Doudoue.
a) historique.
b) étude
musicologique.
1)
conceptions tonale et modale.
2)
comparaisons.
3)
solution modale.
4)
datation.
5)
deux des versions wallonnes de « La Boulangère ».
a)
folklorisation ardennaise : « La Marèye Doudouye
».
b)
bifurcation en contredanse.
c)
justification du titre « Jardin d'Amour ».
d)
transformation en danse régionale.
- Passepieds.
a) historique.
b) analyse musicale.
I. Les walses à trois temps.
a) historique.
b) analyse musicale.
II. Les valses à deux temps.
- Les anglaises.
a) historique.
b) analyse musicale.
- Les allemandes.
a) historique.
b ) analyse musicale.
- Les amoureuses.
a) historique.
b) folklore.
c) analyse musicale.
- Les matelottes.
a) les deux sortes de matelottes
primitives.
b) historique de la « danse
dès maclotes ».
c) itinéraire probable
du prototype.
d) quelques aspects chorégraphiques
de Wallonie.
e) les autres matelottes.
- Coda.
a) danses disparues.
b) la tétralogie devenue
« folklorique ».
c) danses à la mode
et danses régionales.
d) marches de cortèges.
e) « galope ».
- Hommage a nos mestres.
1. Citations d'auteurs.
2. Répertoire alphabétique
des matières.
3. Table des illustrations
musicales.
4. Table des matières.
5. Addenda.
6. Illustrations hors
texte.
25 euros (code de commande
: 21927).
TILLIÈRE
(Nicolas) Histoire de Jamoigne. Arlon, Bruck, 1909. In-8° demi-toile bleue,
254 p., illustrations hors texte.
Extrait des Publications de l'Institut
Archéologique du Luxembourg, 1909. Tome XLIV des Annales.
Table des matières :
Chapitre I. Temps préhistoriques.
Chapitre II. Paroisse de Jamoigne.
Chapitre III. Incorporation de l'église.
Chapitre IV. Affranchissement de Jamoigne.
Chapitre V. Premiers curés connus.
Chapitre VI. Filiales et sous-filiale.
Chapitre VII. Bois communaux.
Chapitre VIII. Noblesse.
Chapitre IX. Clergé.
Chapitre X. Institutions.
Chapitre XI. Révolution française.
Chapitre XII. Jamoigne contemporain.
- Appendices.
30 euros (code de commande
: 31008).
TOUSSAINT (Le chanoine)
Histoire de l'abbaye de Marche-les-Dames.
Namur, Douxfils, 1888. In-8° broché, 122 p., exemplaire
non coupé.
Table des matières
:
- La vallée de la Meuse.
- La chapelle de Saint-Jean-Baptiste
- Les pierres tombales.i
- Origine de l'abbaye de Marche-les-Dames.
Noms des Abesses connues avant la Réformation
:
I. Ivette. 1236.
II. S... 1247.
III. Marie I. 1273.
IV. Helwy. 1291.
V. Clarisse de Bawegny. 1330.
VI. Marie II delle Malaise. 1340.
VII. Ponche de Modave. 1392.
VIII. Marguerite de Boen. 1402.
Abesses depuis la Réformation
:
I. Marie I de Bervier. 1406-1447.
II. Marie II de Collechon. 1445 ou 1447-1460.
III. Marie III de Hersta. 1460-1486.
IV. Marie IV de Hustin. 1486-1504.
V. Catherine de Hodeige. 1504-1531.
VI. Jacqueline de Houtain. 1531-1565.
VII. Marie V de Dave. 1565-1579.
VIII. Jeanne Baduel. 1579-1602.
IX. Clémence de Castro. 1602-1635.
X. Anne de Jamblinne. 1635-1658.
XI. Christine de Hinnisdael. 1658-1682.
XII. Catherine Woost de Triexhe. 1682-1706.
XIII. Marguerite de Bulley. 1706-1722.
XIV. Constance de Bulley. 1722-1743.
XV. Louise de Fumal. 1743-1769.
XVI. Marie-Josèphe de Boron. 1769.
25 euros (code de commande
: 13079).
TOUSSAINT
(François) Histoire de monastère d'Oignies
de l'ordre des chanoines réguliers de Saint-Augustin.
Par l'abbé Toussaint
Docteur en philosophie et lettres et professeur de philosophie
au séminaire de Floreffe.
Namur, Douxfils, 1880. [Namur
/ Imprimerie de veuve F.-J. Douxfils, libraire, rue de la Croix
/ 1880] In-8° broché,
116, (1 (table)], [1 bl.] p., petit cachet à la page
de titre, couverture un peu défraîchie, rare.
Table des matières
:
Chapitre
I. Les origines.
- Fondation d'Oignies.
- Jean de Nivelles et
Jean de Dinant.
- Sainte Marie d'Oignies.
- Jacques de Vitry.
- Frère Hugo.
- Mort de Gilles de
Walcourt.
Chapitre II. Suite de l'histoire.
- Depuis Baudoin de
Barbençon jusqu'au XIV siècle.
- Depuis le XIVe siècle
jusqu'à la réforme de la communauté.
- Depuis la réforme
de la communauté jusqu'à la période moderne.
Chapitre III. Description du monastère.
- La ferme.
- Le monastère
proprement dit.
- L'église.
- Liste chronologique
des prieurs d'Oignies.
- Notes.
25 euros (code de commande
: 24580).
[TOUSSAINT
(Jacques, dir.)]. La seigneurie d'Anhaive à Jambes.
Jambes, Centre d'Archéologie,
d'Art et Histoire de Jambes, 2005. In-8° sous reliure et
jaquette d'éditeur, 184 p., illustrations en noir
et en couleurs, (collection « Études et Documents »,
n° 1), bel exemplaire.
En quatrième
de couverture :
- Préface,
par Frédéric Laloux.
- Avant-propos, par Jacques Toussaint.
- Anhaive : un coup de folie et un
parti pris architectural, par Dominique Allard et
Jean Geus.
- Le toponyme Anhaive à Jambes,
par Jean Germain.
- Les cimetières romains de
Bèronvaux et de Basse-Anhaive et leur contexte archéologique,
par Jean-Louis Antoine.
- La tour d'Anhaive et le fauxbourg
de Jambes, par Cécile Douxchamps-Lefèvre.
- La seigneurie d'Anhaive des origines
à nos jours.Histoire de l'évolution d'une petite
seigneurie rurale mosane du Moyen Âge au XXe siècle,
par Emmanuel Bodart.
- L'ancien château-ferme d'Anhaive
: approche archéologique et architecturale, par Olivier
Berckmans, Jean Plumier et Sophie Plumier-Torfs.
- La tour d'Anhaive : un « donjon »
ordinaire en terroir mosan, par Luc Francis Genicot.
18 euros (code de commande
: 30933).
TOUSSAINT
(Joseph) Gembloux. La
ville et l'abbaye. Aperçu géographique, historique
et artistique. Gembloux, Éditions
de l'Orneau, 1977. In-8° broché, 654 p.,
illustrations.
Extrait de la préface
:
En
1922, Gembloux a fêté dignement, mais,
semble-t-il, avec une avance de près de vingt années ,
le millénaire de la fondation de son abbaye.
À cette occasion ont paru diverses études
historiques sur la ville et son comté. Parmi elles excellent
les travaux de l'avocat Léon Namèche, du chanoine
Charles-Gustave Roland et du Père Bruno Lefèbvre,
S. J.
Depuis lors, plus de cinquante années
se sont écoulées. Sans doute, divers mémoires
ont-ils, dans un passé récent, approfondi l'un
ou l'autre point de l'histoire gembloutoise. Mais jusqu'à
ce jour ils sont restés inédits.
Le présent ouvrage voudrait, dans une
modeste mesure, présenter au grand public une synthèse
de l'acquis de nos connaissances géographiques, historiques
et artistiques sur Gembloux, au passé si prestigieux,
à l'avenir tant prometteur. Il ne vise nullement à
être exhaustif. Il laisse volontiers place à de
nombreuses études ultérieures, notamment en ce
qui concerne le temporel du monastère. Il cherche avant
tout à fournir à ceux qui s'intéressent
au passé dune ville, qui a connu plusieurs périodes
de gloire, mais aussi un grand nombre d'années de graves
tribulations, une narration susceptible il le souhaite
du moins de satisfaire quelque peu leur louable curiosité.
Il aurait aussi atteint un de ses buts, s'il aidait à
donner à de jeunes historiens le goût de la recherche
et de la publication en des domaines à peine effleurés
par lui.
45 euros (code de commande
: 29493).
TOUSSAINT
(Joseph) L'abbaye de Gembloux. Les origines et
l'âge d'or (940-1136). Gembloux, Duculot, 1972. In-8°
broché, 72 p., illustrations hors texte, (collection «
Wallonie, Art et Histoire », n° 12).
Introduction :
Au XVIIe s., une inscription figurait dans
l'antique église abbatiale de Gembloux. Elle apprenait
qu'en 922 saint Guibert avait fondé le monastère
bénédictin de la ville.
Mille cinquante années ont passé
depuis lors. À l'occasion de ce jubilé, on voudrait
retracer ici à grands traits l'histoire de cette abbaye
au cours des deux premiers siècles de son existence. On
s'arrêtera en 1136. Alors mourut l'abbé Anselme,
avec lequel se clôtura l'âge d'or, que le couvent
avait connu depuis l'accession d'Olbert au siège abbatial
de Gembloux en 1012.
La principale source dont on dispose pour entreprendre
cette étude est l'uvre historique de Sigebert. Ce
moine illustre, à qui Gembloux dut sa renommée
intellectuelle dans le Bas Moyen Âge, naquit en Brabant
vers 1030. Il fut formé par Olbert. En 1051, il fut appelé
à l'abbaye Saint-Vincent de Metz comme écolâtre
(directeur d'école). Revenu à Gembloux entre 1071
et 1075, il continua à former des disciples, tel ce Godeschalc
qui devait reprendre à sa suite la rédaction de
la Geste des abbés de Gembloux. Il poursuivit sa
carrière d'historien et d'hagiographe. Il entama celle
de polémiste : il soutint l'empereur contre le pape
dans la Querelle des investitures. Il se fit le promoteur de
la canonisation de saint Guibert. Il mourut le 5 octobre 1112.
Ce qui établit surtout la renommée
de Sigebert, ce fut sa Chronique universelle. Pendant
des siècles, elle servit de fondement aux études
historiques dans les milieux cléricaux de la Belgique
et du nord de la France.
Mais plus importants sont pour nous deux autres
ouvrages : la Vie de saint Guibert et la Geste
des abbés de Gembloux, écrites dans un latin
élégant. Pour la première, Sigebert a recueilli
à Gembloux et à Metz d'utiles renseignements. Dans
la seconde, il livre ses souvenirs, il utilise les archives du
monastère. Souvent il insère dans son récit
le texte des chartes. Il manifeste une profonde connaissance
du milieu. Les ratures et les corrections que l'on trouve dans
l'autographe, actuellement à la Bibliothèque du
Sénat à Leipzig, plaident en faveur du soin qu'il
apportait à son uvre.
Dans son épitaphe, les moines de Gembloux
l'appellent la lumière de leur vie, le miroir de leur
règle. N'est-ce pas là à son adresse une
louange incomparable ? C'est ce savant, un des plus instruits
de son temps, qui va nous servir souvent de guide dans la présente
étude.
13 euros (code de commande
: 31765).
Un
cabinet, un roi, une ville. Een kunstkast voor Willem III.
Sous la direction de Jacques
Toussaint et Anne Verbrugge. Namur, Société
Archéologique de Namur - Service de la Culture de la Province
de Namur, 2004. In-4° sous reliure et jaquette d'éditeur,
144 p., illustrations en couleurs, édition bilingue
(français - néerlandais), (collection « Monographies
du Musée Provincial des Arts Anciens du Namurois »,
n° 28), exemplaire en parfait état.
Ouvrage
édité à l'occasion de l'exposition éponyme
organisée au Musée provincial des Arts anciens
en Namurois, à Namur, du 15 mai au 10 octobre 2004.
Table des matières :
- Préface - Woordvooraf, par
Martine Jacques.
- Avant-propos - Voorwoord, par André
Oosterlinck.
- Introduction - Inleiding, par Cécile
Douxchamps-Lefebvre et Jacques Toussaint.
- Les péripéties d'une
collection d'uvres d'art - De lotgevallen van een kunstverzameling,
par Marc Nelissen et Anne Verbrugge.
- Un cabinet décoré du
Triomphe de la paix issu de l'atelier de Henri van Soest et destiné
à Guillaume III - Een cantoor behelsende de Triomphe
van de Vreede. Een kunstkast voor Willem III uit het atelier
van Hendrik van Soest, par Ria Fabri.
- Le contexte historique - De historische
achtergrond, par Philippe et Françoise Jacquet-Ladrier :
- Le roi Guillaume
III d'Orange ou la résistance a louis XIV (1672-1702)
- Koning Willem III van Oranje en het verzet tegen Lodewijk XIV
(1672-1702).
- Namur à la
fin du XVIIe siècle - De stad Namen aan het einde van
de zeventiende eeuw.
- Maximilien-Emmanuel
de Bavière (1662-1726), un allié instable - Maximiliaan
Emmanuel van Beieren (1662-1726), een onbetrouwbare bondgenoot.
- Un meuble sauvé des flammes.
À propos de la restauration d'un scriban anversois - Een
kast uit de brand. De restauratie van een Antwerps kabinet, par
Anne Verbrugge.
10 euros (code de commande
: 23699).
VEREERSTRAETEN (Julien)
Le bassin de la Meuse. Étude de géographie
hydrologique. Bruxelles, Société Royale Belge
de Géographie, 1972. In-8° broché, 339 p.,
cartes, tableaux et graphiques, (« Revue Belge de Géographie
», 94e année - 1970, fascicules 1 à 3).
Plan général
de l'ouvrage :
- Avant-propos, liste des tableaux, liste
des figures.
- Introduction.
- Généralités :
- Le
bassin (La source de la Meuse ; Délimitation
du bassin versant ; Grandeur du bassin ;
Répartition de la superficie par tranches d'altitude).
- Quelques
principes d'hydrométrie (Bilan annuel ;
Méthodes de jaugeage).
- Calcul
de la lame d'eau moyenne tombées sur un bassin.
- Première partie : La
Meuse en France (La Meuse à Commercy ;
La Meuse à Chooz).
- Deuxième partie : La
Meuse en Belgique (La Meuse à Visé ;
Corrélations dans le temps).
- Troisième partie : Les
rivières affluentes (La Semois ; La
Lesse ; La Sambre ; L'Ourthe ;
Le Viroin ; Autres rivières).
- Quatrième partie : La
Meuse mitoyenne et néerlandaise (La Meuse à
Borgharen, La Meuse à Maaseik ; La
Meuse à Lith).
- Cinquième partie : Genèse
d'une crue (La crue mémorable de l'hiver 1925-1926 ;
La crue de l'hiver 1961).
- Sixième partie : Fréquence
des débits dans le bassin de la Meuse.
- Septième partie : L'évaporation
et le déficit d'écoulement.
- Huitième partie : Utilisation
de la Meuse et de ses affluents pour la consommation d'eau en
Belgique.
- Conclusions.
20 euros (code de commande
: 11678).
[VIRTON
- ANTIQUITÉ]. Un quartier de l'agglomération
gallo-romaine de Saint-Mard (Virton). Namur,
Ministère de la Région Wallonne, 1986. In-4°
broché, 177 p., illustrations en noir et en couleurs,
une carte volante à déplier, (collection « Études
et Documents - Fouilles », n° 1), pli au
second feuillet de couverture.
Sommaire :
- Rapport des fouilles de sauvetage
de 1979 à 1986 sur le plateau de Mageroux à Saint-Mard
(Virton), par Claire Massart & Anne Cahen-Delhaye,
avec les contributions de Jean Bourgeois, Henri Gratia, Jacqueline
Lallemand, Marie-Thérèse Raepsaet-Charlier &
Michel Vanderhoeven.
- Fouille dune cave sur le plateau
de Mageroux à Saint-Mard (Virton), par Carole Lambert-Henricot
avec la contribution de Michel Vanderhoeven.
- Les restes danimaux du quartier
gallo-romain de Mageroux à Saint-Mard (Virton), par
Achilles Gautier.
- Un secteur du quartier artisanal
gallo-romain au plateau de Mageroux à Saint-Mard (Virton),
par Raymond Clausse avec les contributions de Jacqueline
Lallemand & Claire Massart.
- Les moules monétaires de Saint-Mard
(Virton, Belgique) et les moules de monnaies impériales
romaines en Europe : essai de répertoire, par
Jacqueline Lallemand.
12 euros (code de commande
: 29072).
WEYERGANS
(Franz) Liège. Photos de Michel Fischer. Bruxelles,
Paul Legrain, 1971. In 8° sous cartonnage d'éditeur,
178 p., clichés en noir et quelques-uns en couleurs, accroc
à la queue, rousseurs.
En quatrième
de couverture :
Liège
est un miracle.
Que cette ville existe, belle, avenante,
à la fois rude et gaie,
c'est là le miracle.
Et nous savons,
en parcourant cette ville
où tout homme,
pauvre ou riche,
est roi en sa maison et prince dans la rue,
que cet air que nous respirons,
c'est l'air léger de la liberté.
12 euros (code de commande
: 20836).
WILLEMS (J.)
Le quartier artisanal gallo-romain et mérovingien
de « Batta » à Huy. Bruxelles,
Service National des Fouilles, 1973. In-8° broché,
64 p., illustrations, (collection « Archeologia Belgica »,
n° 148).
Les principaux chapitres
:
Introduction.
- Le site.
- Le contexte archéologique.
- Historique des découvertes.
Description du matériel.
- Époque romaine
: les murs, les fours, le foyer, les monnaies, la poterie.
- Époque mérovingienne
: les fours, les fosses, l'habitation antérieure au four,
l'atelier des os, l'habitation, le moule à fibules.
- Conclusions.
10 euros (code de commande
: 21045). |