Âge
d'or bruxellois. Tapisseries de la couronne d'Espagne. Bruxelles,
Bruxelles 2000, 2000. In-8° broché, 151 p., illustrations
en couleurs, très bon exemplaire.
Catalogue
de l'exposition éponyme organisée du 17 mai au
20 septembre 2000, à la cathédrale des saints Michel
et Gudule, à Bruxelles, à l'occasion des manifestations
Bruxelles, capitale culturelle européenne.
Sommaire :
- Préface, par François-Xavier
de Donnea.
- Avant-propos, par Álvaro
Ferndndez-Villaverdey de Silva.
- Catalogue. Notices rédigées
par Cecilia Paredes.
- Les tapisseries de dévotion
et la formation de la collection royale espagnole..., par
Concha Herrero Carretero.
- Bruxelles, âge d'or
et âge de fer, par Arlette Smolar-Meynart.
- Lissiers et cartonniers de
Bruxelles vers 1500, par Guy Delmarcel.
- Rapports entre tapisseries
et retables bruxellois, par Catheline Périer-D'Ieteren
et Cecilia Paredes.
- Le costume dans la tapisserie
bruxelloise de la fin du XVe et du début du XVIe siècle,
par Elsje Janssen.
- Technique et conservation
des tapisseries, par Liliane Masschelein-Kleiner et Vera
Vereecken.
- Bibliographie.
20 euros (code de commande
: 19823).
Annales
de la Société Royale d'Archéologie de Bruxelles.
Mémoires, rapports et documents. Tome cinquante. 1956-1961. Bruxelles, Société Royale d'Archéologie
de Bruxelles, 1961. In-8° broché, 305 p., illustrations
et planches hors texte à déplier, quelques traces
d'humidification.
Table des matières
:
- Essor leptolithique dans le Nord
de la France, par J.-L. Baudet.
- Égouts et Aqueducs Bavaisiens,
par le chanoine Biévelet.
- Du Belgium de César
à la Belgique de 1830. Essai sur une évolution
sémantique, par Paul Bonenfant.
- Le Mésolithique à Ommen
(1952-1953) et à Budel (1929), par J. Butter.
- Rapports entre les premiers Jansénistes
belges et français, par Lucien Ceyssens.
- Les fournitures d'armes aux Insurgents
américains et la Résolution du Congrès du
15 juillet 1775, par Albert de Dorlodot.
- La Charte de 741-742 du Comte Robert
de Hesbaye pour l'Abbaye de Saint-Trond, par Georges Despy.
- Le Corpus Christianorum et sa Continuatio
Mediaevalis, par A. Dumon.
- Le Retable dei Pizzicaiuoli,
par Marcel Fryns.
- Une entreprise nationale : Le Monasticon
Belge, par Nicolas Huyghebaert.
- Le Concile de Jodoigne en 1497,
par François Jacques.
- Jean Vlimmerius éditeur de
Sermons de saint Augustin, par C. Lambot.
- Grammaire et Humour dans les textes
du Moyen Âge, par Jean Leclercq.
- Le portrait offert à l'Intendant
Sénac de Meilhan en 1783, par Paul Lefrancq.
- L'accueil des habitants de Charleroi
et de Thuin aux troupes de Louis XIV en 1678-1679, par Jean
Mossay.
- Les Van Eyck, leur origine Mosane
et Liège, par Joseph Philippe.
- Un dépôt de prisonniers
de guerre anglais de 1798 à 1814, par Gabriel Piérard.
- « Le retouchage »
dans la tapisserie bruxelloise ou les origines de l'édit
impérial de 1544, par S. Schneebalg-Perelman.
- Die Hanse in europäischer Sicht,
par H. Sproemberg.
- Les prétentions généalogiques
et la protohéraldique des familles de la République
Romaine, par Charles Terlinden.
- La Céramique à l'âge
de la pierre, par Arthur Vandenbosch.
- L'homme du paléolithique moyen
brûlait les os des animaux, par Arthur Vandenbosch.
- Le domaine de Mariemont au XVIe siècle
(1546-1598), par Robert Wellens.
- La restauration de l'ancien régime
dans le Nord de la France sous l'occupation autrichienne de 1793-1794,
par Liliane Wellens-De Donder.
- Le problème de la condition
juridique des tributaires d'église en Belgique : une question
mal posée, par Charles Wirtz.
- La conclusion du contrat de mariage
d'Antoine, duc de Brabant, et d'Elisabeth de Görlitz (1408-avril
1409), par Gabriel Wymans.
10 euros (code de commande
: 21057).
 L'archidiocèse
de Malines-Bruxelles 450 ans d'histoire. Volume I :
L'archidiocèse de Malines de la réforme catholique
à la période révolutionnaire 1559-1802.
Volume II : L'Église populaire dans l'archidiocèse
une Église « libre » dans une société
moderne 1802-2009. Antwerpen,
Halewijn, 2009. Deux volumes in-4° sous cartonnage illustré
d'éditeur, 296, 411 p., illustrations en noir et
en couleurs, cachets de bibliothèque aux pages de garde
et de titre.
Tables des matières
:
Tome I :
- Préface,
par Godfried Danneels.
- Introduction générale,
par Jan De Maeyer, Eddy Put, Jan Roegiers,
André Tihon et Gerrit Vanden Bosch.
- Origines de l'archidiocèse
de Malines, par Arnoud-Jan A. Bijsterveld et Charles
M.A. Caspers.
- Une mesure pour rien ? (1559-1596).
Les épiscopats de Granvelle et de Hauchin, par Guido
Marnef.
- L'élan de la réforme
catholique (1596-1648). Nouvelles structures, nouvelles normes,
par Eddy Put.
- Le catholicisme en vitesse de croisière
(1648-1689), par Toon Quaghebeur.
- Discorde et troubles internes (1690-1759),
par Toon Quaghebeur et Jan Roegiers.
- Routine, réorganisation et
révolution (1759-1802), par Jan Roegiers.
Tome II :
- La restauration (1802-1830),
par André Tihon.
- L'épanouissement d'une Église
« libre » (1830-1883), par Vincent
Viaene.
- L'Église se tourne vers le
peuple (1884-1926), par Jan De Maeyer.
- Apogée et fin d'une époque
(1926-1961). L'archevêché sous le cardinal Van Roey,
par Lieve Gevers.
- Une Église devenue minoritaire
dans un environnement pluraliste (1961 -2009). L'archidiocèse
sous Léon-Joseph Suenens et Godfried Danneels, par
Léo Kenis.
- Un passé couché sur
le papier. 450 années d'histoire de l'archevêché
dans les documents d'archives et l'historiographie, par Gerrit
Vanden Bosch.
- Conclusion générale, par
Jan De Maeyer, Eddy Put, Jan Roegiers, André
Tihon et Gerrit Vanden Bosch.
- General conclusion.
- Annexe.
- Bibliographie.
- Index des noms de personnes Index des
noms de lieux.
- Auteurs.
Les deux volumes : 80
euros (code de commande : 24560).
BEAUFAYS
(A.) La taille d'Aulme - Centre International de Recherches
Glyptographiques. Trente ans de publications. 1964-1994. Tables. Braine-le-Château,
La taille d'Aulme, 1997. In-8° collé, 219 p.
Introduction :
Deux
ans après sa création en 1964, la Taille d'Aulme
faisait paraître son premier travail de recherche historique
locale, sous la plume de Jean-Louis Van Belle fraîchement
sorti de l'université.
Elle devait affirmer son existence et sa mission
de recherche sur Braine-le-Château et ses environs, en
s'érigeant en A.S.B.L. C'était en février
1968.
Ses travaux locaux l'ont amené, au fil
des ans, à une découverte riche de conséquence,
qui devait lui conférer une dimension internationale et
entraîner, en février 1975, une révision
de ses statuts. Son objet fut élargi à l'étude
et la connaissance des pierres gravées anciennes, sans
limitation géographique. À côté du
C.R.B. (Cercle de Recherches historiques et folkloriques de Braine-le-Château),
se créa ainsi un C.R.G. (Centre de Recherches glyptographiques).
La Taille d'Aulme était devenue bicéphale...
Le C.R.G. ne tarda pas à porter sur
les fonts baptismaux le C.I.R.G. qui attesta de son universalité,
à partir de 1979, en organisant bisannuellement, en Belgique
et à l'étranger, ses colloques internationaux.
Toujours dans la ligne de ses missions, la
Taille d'Aulme apporta sa contribution aux programmes des « Rencontres
médiévales » de Braine-le-Château,
en mettant sur pied des expositions dans le cadre enchanteur
du vieux moulin banal.
On la retrouve aujourd'hui présente
dans les expositions de la « Maison de l'Outil »,
à travers les catalogues qu'elle réalise.
Cet itinéraire de plus de 30 ans d'écritures
est jalonné de quelques 67 publications qui font l'objet
du présent travail.
De 1966 à 1973, parurent dans des revues
spécialisées, des articles essentiellement centrés
sur la commune de Braine-le-Château.
Résolue à voler de ses propres
ailes, la Taille d'Aulme créa alors ses propres éditions
et commença à diffuser ses collections : Annales,
Mémoires et Bulletins. Sans pour autant
négliger l'exécution de travaux hors collection
et en coédition.
Ce sont les inventaires onomastiques et autre
relevé de ces ouvrages qu'elle propose aujourd'hui à
ses lecteurs.
Ces inventaires ont été scindés
en deux fascicules qui tiennent compte de l'intérêt
spécifique que les ouvrages représentent, à
savoir, fascicule I : l'histoire locale et régionale (50
titres) et, fascicule II : la glyptographie, regroupant notamment
les actes des colloques internationaux. Si le fascicule I s'attache
aux noms des personnes et à la toponymie du village de
Braine-le-Château, le fascicule II, s'est voulu un inventaire
des lieux porteurs de signes taillés dans la pierre à
travers le monde.
Chaque fascicule s'assortit d'une liste alphabétique
des auteurs ayant apporté leur collaboration à
la réalisation des travaux édités, soit
sous la forme d'écrits, soit à l'occasion des communications
faites au cours des colloques organisés. Ces listes permettent
de faire connaître, par exemple, les intentions des textes
regroupés dans les ouvrages collectifs.
20 euros (code de commande
: 19278).
BIEBUYCK
(Jacques) Le roman
pays de Brabant. Avec la collaboration de Françoise
Humblet. Photos de Michel Fisher. Bruxelles, Legrain,
1972. In-8° sous cartonnage illustré et jaquette d'éditeur,
190 p., illustrations en noir et quelques-unes en couleurs, rousseurs
éparses sinon bon exemplaire.
Extrait :
Au
premier coup d'il, maisons, chemins, églises vous
ont l'air posés la depuis toujours. La réalité,
quoi ! Ce qu'on ne regarde plus. Surtout, si l'on passe
vite. En auto.
Ralentissez. Descendez de voiture, marchez,
apprenez ce paysage par les pieds. Tout change. Rien n'est plus
aussi naturel ; des groupes, des ensembles se mettent à
prendre un sens second. Lentement, le décor se dévêt,
s'entrouvre, se met à vous parier. Alors, parfois, on
peut aller jusqu'aux hommes...
Aimer un pays, c'est cela.
Le Brabant ne se donne jamais à qui
passe vite. C'est un pays qu'il faut connaître en marchant.
La route ne vous révélera rien, ou si peu. Ici,
la beauté se cache. Le charme, la surprise, l'odeur singulière,
le creux intime, l'horizon saisissant, autant de trésors
à débusquer dans des sentiers mineurs, le long
de pistes plongeant sous les feuilles, de voies apparemment sans
issue.
Je songeais a cette intimité difficile
et savoureuse, assis sur la margelle de la fontaine Saint Germain,
a l'écoute d'une rumeur millénaire. J'y pensais,
accroupi dans les graminées, face à ce château-ferme
de Moriansart dont les pierres de la tour sont, à la base,
scellées de ciment romain. J'y rêvais à Aywiers,
où sans qu'on puisse le situer, on entend bruire le puits
de Sybille de Gages. Je m'enchantais et me désespérais
de tant d'énigmes : jamais je n'arriverais à
redire la centième partie de ce Brabant ; il reculait
au rythme de mon approche.
N'est-ce pas ainsi qu'un être humain
ou une région vous attache ? Sa présence a-t-elle
jamais autant de poids que son mystère ?
Ainsi suis-je entre en ce roman pays de Brabant
comme dans une mémoire et un projet sans fin, comme dans
un amour proche et sans cesse plus profond.
12 euros (code de commande
: 24075).
Bonjour
dhier, bonjour daujourdhui, bonjour de Néthen.
Melin, Les Amis de Nethen, 1994. In-4° collé,
67 p., illustrations, plan, tirage limité à 500
exemplaires.
Présentation
:
« Les Amis de Néthen »
vous proposent un recueil d'anciennes cartes postales du village,
datant des premières décennies de notre siècle.
Elles sont assorties de commentaires récoltés auprès
de Néthennois pétris de l'histoire et du folklore
de leur village.
Des problèmes se sont posés lors
du choix des textes à faire paraître. Par exemple :
ne risquions-nous pas de lasser certains lecteurs en leur soumettant
des listes trop nombreuses et trop longues d'habitants de certaines
maisons ou de certaines rues ?
Finalement, nous avons estimé que l'édition
de notre recueil nous donnait une occasion, peut-être unique,
de regrouper en un seul ouvrage des données éparses
récoltées à des sources multiples qu'il
ne sera peut-être plus possible de consulter avant longtemps.
Nous avons donc décidé de donner un maximum de
détails sur l'habitat humain à Néthen.
Une autre question nous a tracassés :
jusqu'où pouvions-nous aller dans l'utilisation des surnoms
de nos concitoyens ?
Tenant compte que finalement chaque ancienne
famille du village a les siens (et ne s'en porte pas plus mal)
nous avons cru pouvoir en citer un certain nombre qui sont comme
un clin d'il que l'on se donne entre gens de bonne compagnie.
Nous osons espérer que les famille intéressées
y verront une preuve de connivence sympathique plutôt que
d'irrespect. Et nous promettons à ceux qui n'auront pas
trouvé leur place dans notre florilège qu'ils y
figureront une prochaine fois.
La comparaison entre cartes anciennes et photos
actuelles, qui en sont chaque fois le pendant, permettra de réaliser
combien le chemin a été parcouru en moins d'un
siècle, notamment en ce qui concerne le développement
de l'habitat.
Souhaitons ensemble que le mouvement ne s'emballe
pas trop pour que Néthen conserve longtemps encore son
caractère typiquement rural, si cher à ses habitants,
que ceux-ci soient récents ou de vieille souche. »
15 euros (code de commande
: 11936).
BORCHGRAVE
D'ALTENA (J. de) À propos des Dinanderies conservées
en Brabant. Bruxelles, Service
de Recherches Historiques et Folkloriques du Brabant, 1957. In-8°
agrafé, 39 p., illustrations.
Il s'agit
du n° 134 - Juin 1957 de la revue Le Folklore brabançon.
Avertissement :
Il ne s'agit pas dans cette note d'écrire
l'histoire de la dinanderie dans notre pays, mais tout simplement
d'attirer l'attention des chercheurs sur différentes pièces
conservées dans les limites relativement étroites
d'une de nos provinces, le Brabant.
Ayant visite, ville par ville, village par
village, les Arrondissements de Bruxelles, de Louvain et de Nivelles,
nous pouvons prétendre avoir eu sous les yeux tout ce
que notre province abrite de pièces valables dans ce domaine
déterminé ; certes ces dinanderies étaient
pour la plupart connues, mais nous en avons signalé plusieurs
qui ne figurent pas dans des répertoires prétendument
complets.
Il doit également être entendu
que le Brabant, ayant le privilège de constituer le centre
du pays, nous aurons à nous occuper incidemment des contrées
voisines : les régions mosanes et celles de l'Escaut
entrent surtout en ligne de compte et ceci dans des proportions
diverses.
8 euros (code de commande
: 19057).
Bruxelles,
construire et reconstruire. Architecture
et aménagement urbain 1780-1914. Bruxelles,
Crédit Communal, 1979. In-4° broché, 304 p.,
illustrations, coupures de presse, très bon exemplaire,
peu courant.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée à la galerie
du Passage 44, à Bruxelles, du 12 septembre au 28 octobre
1979.
Table des matières :
- Un monument c'est pour la vie,
par André Monteyne.
- L'évolution de la physionomie
de Bruxelles au XIXe siècle, par Yvon Leblicq.
- Défense et illustration de
la façade du XIXe siècle, par J. Vandenbreeden
et A. Hoppenbrouwers.
- Bruxelles à travers l'archéologie
industrielle, par Georges Van den Abeelen.
- Problèmes de documentation
- inventorisation. Les dispositions légales concernant
la protection des monuments, par Michel de Waha.
- Les photographies et cartes postales
anciennes de Belgique en tant que sources d'iconographie,
par Gustave Abeels.
30 euros (code de commande
: 26460).
[BRUXELLES].
Il faut respecter
le « Botanique » parce que... Bruxelles, Les Défenseurs
du Jardin Botanique de Bruxelles, 1938. In-8° broché,
151 p., illustrations, bon exemplaire, peu courant.
Le
combat pour la défense du patrimoine ne date pas d'hier...
Table des matières :
- Préface.
- Les groupements protestataires.
- Pour respecter la mémoire du
Roi Albert.
- Historique montrant comment et pourquoi
l'État s'est engagé, vis-à-vis de la Législature,
de la Ville de Bruxelles et de la Société d'Horticulture,
à conserver le Jardin Botanique.
- Les déclarations de MM. Spaak
et Balthazar au Sénat (séance du 16 novembre 1938)
à la lumière des documents de 1870.
- Historique du Fonds Albert.
- Le « Botanique » uvre
d'art.
- Le point de vue de la Sécurité.
- Un exposé du baron Horta à
la classe des Beaux-Arts de l'Académie Royale de Belgique.
- Les chiffres démentent... (Une
mise au point de Pêtre, bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode).
- Lettres particulières.
- Voix d'outre-tombe.
- L'opinion de la Presse.
- Quelques protestations de groupements.
- Une lettre à M. Balthazar, ministre
des Travaux Publics et de la Résorption du Chômage,
avec la liste de tous les signataires.
25
euros (code de commande : 21886).
[BRUXELLES].
GOETGHEBUER (Pierre Jacques) Palais de Justice
de Bruxelles. Aquatinte réalisée pour l'album
Choix des monumens, édifices et maisons les plus remarquables
du Royaume des Pays-Bas. Bruxelles, Stévin, 1827 (planche
n° XCVII).
Le Palais de Justice était
situé sur l'actuelle place de la Justice, entre l'actuel
boulevard de l'Empereur et la rue de Ruysbroeck, il fut détruit
en 1892.
Description extraite de l'album :
« Palais
de justice à Bruxelles, d'après les dessins de
l'architecte F. Verly.
L'entrée principale de ce palais est
un péristyle de douze colonnes et de quatre pilastres
corinthiens, supportant un fronton, disposé comme celui
du Panthéon de Rome ; cette élévation
fut commencée en 1818 ; elle fut terminée
en 1823, comme l'indique l'inscription placée dans la
frise,
Wilhelmus, Primus Belgarum
Tex Themidi consecravit MDCCXXIII.
Le bas-relief du fronton n'est que projetté ;
plusieurs sculpteurs ont déjà fait pour cette sculpture
des esquisses, qui expriment allégoriquement la destination
de ce monument. La place devant le péristyle est l'ancien
terrain de l'église des Jésuites, démolie
en 1811. »
Dimensions :
- Image : 304 x 189 mm.
- Cuvette : 333 x 215 mm.
- Feuille : 434 x 289 mm.
Bibliographie :
- Leblicq (Yvon), Les deux Palais
de justice de Bruxelles au XIXe siècle, dans Poelaert
et son temps, pp. 251-260 (avec la photo du Palais de Justice
vers 1890 reproduite ci-dessus).
- Meganck (Marc), Bruxelles disparu (tome
II), pp. 30-31.
40 euros (code de commande
: 23056).
Cahiers
bruxellois. Revue d'histoire
urbaine. Tome XXI - 1976.
Bruxelles, Cahiers Bruxellois, 1977. In-8° broché,
178 p.
Ce
volume contient :
- La mise en exploitation du sol anderlechtois
(XIe- XIIIe siècles), par M. De Waha ;
- Un voyageur de Bohême à
la Cour de Bourgogne, par A. Van Crugten ;
- Les visées d'une famille bruxelloise
sur la forêt de Soignes pendant le XVe siècle,
par A. Smolar-Meynart ;
- « À propos d'un Jean
de Bernage
»: nouvelles conclusions, par C.
Van den Bergen-Pantens ;
- Le doyen des buffets d'orgues bruxellois,
par J.-P. Félix ;
- Cent cinquante ans d'éclairage
au gaz à Bruxelles, par C. Roman ;
- Un courant politique indépendant
à Bruxelles au XIXe siècle : l'action d'Eugène
Bochart (1860-1869), par Y. Leblicq.
12 euros (code de commande
: 12988).
La
Cathédrale Saint-Michel. Trésors d'art et d'histoire.
Bruxelles, Société
Royale d'Archéologie de Bruxelles, 1975. In-8° broché
sous jaquette, 208 p, une planche en couleur, illustrations,
32 planches hors texte en noir in fine, très bon
exemplaire.
Ce catalogue qui fait partie des Annales
de la Société Royale d'Archéologie de Bruxelles,
a été publié à l'occasion de l'exposition
éponyme organisée à la cathédrale
Saint-Michel, à Bruxelles, du 8 août au 15 octobre
1975.
Sommaire :
- Préface, par J. de Borchgrave
d'Altena.
- L'origine de la paroisse Saint-Michel,
par J. Verbesselt.
- Bref aperçu de l'histoire
du chapitre des Saints-Michel-et-Gudule, par W.M. Grauwen.
- Bref aperçu de l'histoire
de la construction, par D. Coupe, d'après P.
Lefevre.
- L'avant-corps de l'ancienne collégiale
romane des Saints-Michel-et-Gudule et les débuts de l'art
à Bruxelles, par J.-C1. Ghislain.
- Les moulures intérieures de
la cathédrale, par D. Coupe.
- La cathédrale Saint-Michel,
ancienne Collégiale Sainte-Gudule, par J. de Borchgrave
d'Altena.
Catalogue :
- Avant-propos, par
Gh. Derveaux-Van Ussel.
I. Sceaux.
II. Iconographie.
III. Peintures.
IV. Vitraux.
V. Tapisseries.
VI. Sculpture et mobilier.
VII. Dentelles.
VIII. Textiles.
IX. Orfèvreries.
15 euros (code de commande
: 18718).
Les cent cinquante ans de l'Université
libre de Bruxelles (1834-1984). Direction
scientifique : André Uyttebrouck et Andrée
Despy-Meyer. Bruxelles, Éditions de l'Université,
1984. In-4° sous reliure et jaquette un peu usagée
d'éditeur, 506 p., illustrations, exemplaire numéroté.
25 euros (code de commande
: 5588).
Centenaire
de la Société d'Archéologie, d'Histoire
& de Folklore de Nivelles et du Brabant wallon. Actes du
colloque 26 et 27 mars 1977. Musées
de Nivelles, 1978. In-8° broché, 136 p., illustrations.
@ Contient
e.a : Détection aérienne, typologie, implantation
et cartographie des habitats ruraux gaulois et gallo-romains
dans le Nord de la France, par R. Agache ; Méthode
et résultats du sauvetage archéologique à
Pommerul, par G. De Boe et F. Hubert
; L'archéologie industrielle en Belgique, par J.P.
Ducastelle.
12
euros (code de commande : 256/71).
COLLON
(Frédéric) Armorial de Wavre et environs.
Avec 104 reproductions
de blasons par André Stielle.
Bruxelles, Librairia, 1952. In-8° broché, 174 p.,
illustrations, en noir, exemplaire numéroté (n° 866)
et signé par l'auteur, ex-libris.
Introduction :
Cet
ouvrage n'est qu'une contribution à un armorial de la
région wavrienne. En effet, il laisse à désirer
du fait que, par la destruction totale des monuments funéraires,
vitraux, archives et greffe scabinal, les sources locales ont
disparu complètement. En outre, le magistrat wavrien s'est
généralement servi d'un sceau commun.
Les attributions d'armes sont donc difficiles,
et, à moins d'être confirmées par un document
nominatif, elles doivent être considérées
comme de simples indications.
Les renseignements généalogiques
et biographiques contenus dans le présent travail permettront
aux vieilles familles wavriennes de voir qu'elles ont un passé
plein d'intérêt. Wavre, sous l'ancien régime,
a été une franchise administrée par des
bourgmestres, maïeurs et échevins, dont les attributions
étaient bien plus importantes qu'aujourd'hui. Le banc
des échevins rendait en effet la justice, s'occupait des
questions relatives aux personnes et aux biens, actuellement
de la compétence des notaires. Les actes de vente, achat,
location, succession, etc.. étaient passés devant
les échevins de la Franchise.
C'est aux descendants des baillis, bourgmestres,
maïeurs et échevins de Wavre que j'ai surtout consacré
ce livre. Je n'ai pas compris dans ce travail les grandes familles
seigneuriales qui ont possédé des terres dans la
contrée où elles ne résidaient pas, pas
plus que les familles étrangères à la région,
qui ont assis leurs titres sur des fiefs brabançons, mais
qui séjournaient principalement à Bruxelles et
à Anvers.
Beaucoup de nos familles wavriennes actuelles
verront qu'elles descendent de familles anciennes et qu'elles
ont souvent des ancêtres illustres. Le sang des ducs de
Brabant s'est allié directement aux de Dion, de Lantwijck.
De ceux-ci descendent les Beaufaux, van Dries, Thiry, Englebert,
Brion, etc.. La famille Brabant, nombreuse encore, descend en
ligne mâle de Jean III,
J'espère que ces notes inciteront les
familles intéressées à remonter dans leur
histoire personnelle. Maintes de celles-ci pourront satisfaire
une légitime curiosité et y trouveront des motifs
d'être pleins de fierté de leur passé et
d'espoir pour l'avenir.
Cet ouvrage doit beaucoup à M. le Comte
Thierry de Limburg-Stirum, à Huldenberg, qui a mis sa
riche bibliothèque héraldique à ma disposition ;
à M. Émile de Buisseret dont les extraits de greffes
scabinaux et registres paroissiaux m'ont permis de donner des
aperçus généalogiques sur les familles qui
nous intéressent ; à M. l'abbé Pensis,
qui m'a fait profiter de l'abondante documentation du Cercle
Historique et et Archéologique de Wavre et de la Région,
et qui a relevé ce qu'il y avait d'intéressant
dans la plupart des registres paroissiaux anciens des communes
du canton ; à M. le Président R. Goffin, de
Nivelles et au Dr. J. M. Romain, qui ont examiné mon manuscrit
et m'ont donné de nombreuses additions intéressantes ;
à M. Louis Robyns de Schneidauer et à M. Jean Meurice,
pour leur précieuse collaboration ; et enfin à
la Ville de Wavre, qui par sa souscription au Cercle Historique
et Archéologique, a permis d'illustrer cet ouvrage.
25 euros (code de commande
: 24866).
COMMISSION
ROYALE D'HISTOIRE. Bulletin de la Commission Royale d'Histoire.
Tome XCVIII - 1er bulletin.
Bruxelles, Lamertin, 1934. In-8° broché, XII, 125 p.,
exemplaire non coupé.
Table des matières
:
- Compte
rendus des séances des 8 et 15 janvier 1934.
- Compte du domaine de Gautier de Brienne
au royaume de Chypre, par Ed. Poncelet (pp. 1-28).
- Documents relatifs à l'histoire
politique intérieure de Bruxelles de 1477 à 1480,
par F. Favresse (pp. 29-125).
10 euros (code de commande
: 18481).
COSEMANS
(A.) De bevolking van Brabant in de XVIIde en XVIIIde
eeuw. Bruxelles, Palais
des Académies, 1939. In-8° broché, XL, 261 p.,
(collection « Commission Royale d'Histoire »),
exemplaire non coupé.
Avant-propos :
De Heer Cuvelier behandelde in zijn bekend
werk over de Brabantsche haardtellingen, reeds vóór
een vijf en twintigtal jaren verschenen, de tellingen die in
het hertogdom werden uitgevoerd tot vóór 1526 ;
hij voegde er slechts enkele beschouwingen aan toe over de haardtellingen
tot aan de komst van Alva in 1567. Graag hadden we onze studie
aan het belangrijk werk van den eere-archivaris-generaal direct
vastgeknoopt ; doch zulks was onmogelijk gezien eerst en vooral
het feit dat er na de XVIe eeuw geen eigenlijke haardtellingen
« hertellingen », meer plaats grepen, maar volkstellingen
; anderszij ds dat slechts tegen het einde van de XVIIe eeuw,
m. a. w. in 1693, andermaal een denombrement werd uitgevoerd,
belangrijk genoeg om aan zijn resultaten voldoende houvast te
hebben. Tusschen 1553 en 1693 werden alleen sporadische, locale
tellingen uitgevoerd, meestal door den paro-chialen clerus, waarvan
de uitslagen ons van weinig nut waren.
En nochtans,hoe bewogen en somber zijn die
honderd en veertig jaren geweest ! Dertig jaar burgeroorlog en
godsdientonlusten ; daarna honderd jaar overrompelingen, bezettingen,
« tochten en hertochten » van nationale en vreemde
troepen, die het land uitmergelden ! Tot eindelijk met den dood
van Lodewijk XIV rust intreedt, begin XVIIIe eeuw. We laten natuurlijk
al die droeve gebeurtenissen onbesproken, en vangen aan met de
telling van 1693, toen de strijd om en door den Franschen Koning
nog woedde, om te eindigen in 1784, toen de laatste telling van
de Oostenrijksche periode werd uitgevoerd, de eerste echter van
de moderne tijden, ten minste door haar omvang, zooniet door
haar techniek. Daarna kwamen de overzichtelijke verslagen van
de Fransche préfets, die trouwens aan de voorafgaande
tellingen vastknoopten, en die we, alleen om practische redenen,
buiten beschouwing laten.
Ons doel wijkt daarenboven af van dat van den
H. Cuvelier : het luidt dat we vooral aandacht willen vragen
voor het verloop van het Brabantsche bevolkingscijfer sedert
het einde der XVIIe eeuw ; hetgeen we daarbij vermelden over
volkstellingen, economische toestanden, politieke en militaire
gebeurtenissen, dient alleen als aanvulling, tot bestwil van
den lezer.
Moest al het statistisch materiaal dat we in
de volgende bladzijden verwerken, alleen een droge, mathematische
beteekenis hebben, dan zouden we ons de moeite niet getroost
hebben er zooveel over uit te weiden. Maar doorheen al die getallen,
bespeurt men een achtergrond : 's lands economischen toestand,
het pauperisme, den geestelijken nood van onze voorouders, andere
vergezichten ook die naar onze bescheiden meening de kennis van
de XVIIIe eeuw betreffende stad en dorp in een zekere mate zullen
verrijken. Daarbij ook nog dat we niet zullen nalaten hier en
daar de door den H. Cuvelier uitgevoerde berekeningen over 1526
in te roepen om ons betoog den lezer aanschouwelijker te maken
; soms zelfs verwijzen we naar statistieken uit de XXe eeuw,
met het doel den afgelegden weg tot heden ten dage aan te toonen.
We zijn niet zoo vermetel te beweren met onze
studie het ter hand liggende archiefmateriaal integraal verwerkt
te hebben, noch dat onze interpretatie van de feiten ne varietur
moet aangenomen worden : het veld van onzen arbeid was te groot
om zonder gebreken heel en al beploegd te worden : onze wensch
is 't, dat hier en daar verbeteringen aan de hiernavolgende bladzijden
zouden worden aangebracht, ophelderingen verschaft en enkele
punten zouden worden uitgediept.
Aan ons mathematisch overzicht kenne men ook
geen absolute waarde toe : de voorwaarden waarin de volkstellingen
door de ambtenaren uit de XVIIIe eeuw werden uitgevoerd, laten
zulks niet toe ; te meer dat dooreenstrengeling van nauwkeurigheden,
foutieve aangiften, gissingen, leemten en oncontroleerbare gegevens,
tot scepticisme moeten stemmen. Er kan dan alleen aan onze getallen
de beteekenis toebedacht worden van een overzichtelijke studie,
een verkenning in vogelvlucht : duistere plekken zullen overblijven,
waarvoor we welwillendheid vragen. Daarom ook, zooals de H. Cuvelier
het heeft gedaan, zouden we deze voorrede willen eindigen met
de troostvolle woorden : De minimis non curat praetor !
15 euros (code de commande
: 17725).
Coup d'il sur ma Patrie.
S.l., 1790.
Rare
pamphlet publié durant la révolution brabançonne.
DEKNOP (Anne) et DE JONG (Krista) De
la ville et ses plaisantes campagnes. Regards sur Bruxelles et ses environs au 18è
siècle. Dessins et peintures de F.-J. Derons et A. Martin.
Bruxelles, Musée de la
Ville de Bruxelles, 2007. In-4° sous reliure toilée
et jaquette d'éditeur, 182 p., très belles reproductions
en couleurs, (collection « Fontes Bruxellæ »,
n° 4), exemplaire en bel état.
Préface :
Témoins
des transformations quotidiennes de notre ville, nous connaissons
généralement bien notre environnement immédiat.
Nous avons également tendance à croire que nous
disposons d'une vision assez précise des différentes
représentations de l'espace urbain et de son évolution
antérieurs à notre naissance, entre autres au travers
des sites historiques de plus en plus valorisés comme
témoins tangibles de notre passé et d'une iconographie
relativement importante sur la ville de Bruxelles aux 19e et
20e siècles. Il n'est cependant pas toujours évident
d'imaginer la structure de cet espace antérieurement aux
transformations majeures de ces deux derniers siècles
qui ont métamorphosé le paysage de Bruxelles.
Au travers de l'uvre de deux artistes
bruxellois peu connus mais non des moindres, le dessinateur Ferdinand-Joseph
Derons (1700-1762) et le peintre André Martin (1699-1
763), cette édition de sources, propose un regard inédit
sur Bruxelles et ses environs au 18e siècle.
Au 15e siècle, le développement
économique, politique et institutionnel de Bruxelles ainsi
que l'installation de la cour des ducs de Bourgogne et ensuite
des souverains et de leurs représentants, les gouverneurs
généraux, font de Bruxelles la capitale de fait
des Pays-Bas méridionaux.
Et a partir du 16e siècle, se développe
un courant artistique international qui consistait à reproduire
les villes et les grands domaines de la noblesse et du clergé :
les gravures de Jacques Leroy (1633-1719) sur Bruxelles et le
duché de Brabant (Legrand théâtre profane
du Duché Je Brabant) s'inscrivent dans cette tradition.
Jusqu'à aujourd'hui, on s'est cependant moins intéressé
aux artistes du 18e siècle qui ont poursuivi ce travail
d'illustration du paysage bruxellois et de ses alentours.
Afin de mieux comprendre la démarche
de ces deux artistes, qui ont vécu et travaillé
en tandem, et de replacer l'importance de leur uvre
dans une perspective historique, nous avons tenté de recenser,
d'identifier et de réunir un maximum de dessins de F.-J.
Derons et de les comparer à l'uvre d'A. Martin.
Sont ainsi rassemblés plusieurs pièces conservées
aux Musées et aux Archives de la Ville de Bruxelles, mais
également des dessins et peintures appartenant à
d'autres institutions publiques ou privées ainsi qu'à
des collections privées.
Après les biographies sommaires de ces
deux artistes et la remise en contexte de leur démarche,
le point de départ du présent catalogue se situe
à l'intérieur de la seconde enceinte de Bruxelles :
plusieurs quartiers sont passés en revue, de la ville
haute et son Palais des Ducs de Brabant à la ville basse
et sa Grand-Place.
Ensuite, nous quittons les murs de la ville
par les portes, qui ont piqué la curiosité de Derons
et nous voyageons dans les environs bucoliques de Bruxelles,
tels qu'ils étaient au 18e siècle et que nous ne
connaissons plus aujourd'hui : en effet, la ville était
entourée de villages qui abritaient chacun plusieurs maisons
de campagnes de la bourgeoisie bruxelloise. D'autres dessins
représentent des bâtiments caractéristiques
tels que des églises et des monastères et de temps
à autre une vue de village.
Cette recherche et l'établissement du
présent inventaire de l'uvre de Derons a donc nécessité
un travail d'identification minutieux : en premier lieu,
un éclairage sur la vie de ces deux artistes, dont la
biographie détaillée est impossible à établir
faute de sources ; en parallèle, le repérage
et l'identification des uvres qui leur sont ou non attribuées ;
ensuite et enfin, la localisation et la reconnaissance des lieux
représentés.
D'une part, une collaboration étroite
entre les spécialistes de la question Krista
De Jonge, professeur à la Katholieke Universiteit Leuven,
Jean-Marie Duvosquel, professeur à l'Université
Libre de Bruxelles, Jacques Lorthiois, chercheur, A. Deknop et
Martine Vrebos, toutes deux conservatrices aux Musées
de la Ville de Bruxelles a permis de développer
et de concrétiser le projet. D'autre part, un travail
impressionnant de recherches et de synthèse réalisé
par Anne Deknop sur ces deux artistes, la filiation de leur uvre,
le contexte de création et la destinée de leurs
dessins et tableaux, leur identification et la localisation des
lieux représentés, ont donné une nouvelle
vie à ces artistes et à leurs réalisations,
quasi inédites et qui nous révèlent une
valeur documentaire et historique sur Bruxelles inestimable.
Enfin, il convient de souligner ici la très
précieuse contribution de Simon et Petra Casier-Fieuws
qui ont assuré la réalisation graphique
de cet ouvrage dans la reconnaissance des lieux dessinés
par F.-J. Derons et leur situation dans la ville contemporaine
et ses environs. L'association à cette tâche de
Myriam Devriendt dans la reproduction photographique de tous
les lieux que nous avons pu identifier confère à
ce travail de recherche une clé de compréhension
et de lecture supplémentaire du développement du
paysage bruxellois et de sa « banlieue »
au cours de ces trois derniers siècles.
Par cette étude et l'exposition, qui
rassemble les pièces originales, les auteurs de ce catalogue
raisonné ont tenté de dresser un portrait aussi
complet que possible de ces deux artistes, de leur époque
et de Bruxelles au 18e siècle. Nous espérons qu'elle
suscitera la poursuite de recherches dans ce domaine et la découverte
d'uvres encore inédites.
25 euros (code de commande
: 26688).
DELEPINNE (Berthe) Le florilège
de Bruxelles. Bruxelles,
Willy Godenne, 1956. In-4° broché, 168 p., illustrations
hors texte, exemplaire numéroté sur vergé
Old Style.
19 euros (code de commande
: 1352).
DEPRÊTRE
(Dominique) Bruxelles. Photographies
Vincent Halleux. Liège, Éditions du Perron,
2002. In-4° sous reliure et jaquette d'éditeur, 175 p.,
très nombreuses illustrations en couleurs.
Sur la jaquette :
Capitale
d'une Europe qui n'en finit pas de grandir, Bruxelles est née
il y a un peu plus de mille ans autour des marécages arrosés
par une rivière capricieuse, la Senne.
Précisément, c'est en canalisant
jusqu'à le faire carrément disparaître
son principal cours d'eau que Bruxelles a étendu au fil
des siècles son rayonnement. Il s'agit là d'un
superbe paradoxe. La plupart des grandes villes européennes
sont profondément marquées par leur rivière.
Bruxelles a préféré « passer
au-dessus »... Comme sur bien d'autres choses !
Car des paradoxes, il y en a toujours eu, à
Bruxelles. Qui, très tôt, fit tournoyer les regards
des Grands d'alors, venus de cultures et d'horizons divers. Bruxelles
devint en effet capitale des Ducs de Bourgogne et de Charles-Quint,
lesquels tentèrent à leur manière de faire,
avant la lettre, l'Europe que nous connaissons aujourd'hui.
Bruxelles fut le berceau de la Révolution
qui provoqua enfin, la naissance de la Belgique
et par excellence témoin d'une autre Révolution,
Industrielle celle-là, dans l'autre moitié du XIXe
siècle. Celle qui préparait notre monde moderne.
Berceau de l'Art Nouveau et de l'Art Déco,
courants d'art tellement fugaces qu'ils sont devenus mythiques
aujourd'hui, Bruxelles a joué les précurseurs dans
tous les domaines urbanistiques, fût-ce avec des fortunes
diverses.
Ville des rencontres et des cohabitations les
plus improbables, Bruxelles a gardé un charme intact,
fait d'insolite, de mystère et de fascination.
Ce livre vivant a pour objet de faire découvrir
le Bruxelles d'hier et d'aujourd'hui sous un jour nouveau, avec
la participation interactive de grands artistes et artisans qui
s'y côtoient.
20 euros (code de commande
: 19487)..
DE
VILLERS (Marie-Louise)
Notre cher Waterloo de naguère. Waterloo,
Rayez, 1983. In-4° broché, [124] p., nombreuses
illustrations.
Préface :
Plusieurs
écueils guettent la préface d'un ouvrage comme
celui-ci, la complaisance pour la patience de l'auteur Marie-Louise
de Villers qui a réuni et commenté l'illustration,
le défaut de connaître une époque révolue.
Je céderai donc à une rêverie, aux émerveillements
des anciens mirages, où l'on trouve les forestiers, les
géomètres traceurs de route, les paveurs, les laboureurs,
les humbles artisans, les notables qui ont essarté, cultivé,
orné, administré, humanisé le coin de pays
qui est le nôtre. Le charme des images invite à
une promenade. Je réponds à l'invitation. Me voici
promeneur, ici, contemplant la Chapelle royale et son dôme,
là, visiteur d'une auberge, songeur au destin de Wellington
signant la dépêche annonçant la victoire,
donnant l'universalité au nom « Waterloo ».
Reprenant la route, par un chemin privé, portant aujourd'hui
le nom d'une Reine aimée, les hêtraies somptueuses
de la forêt m'attendent; revenant vers Joli-Bois, le fantôme
d'un enfant de Waterloo me surprend Jacques Pastur, dit Jaco,
soldat autrichien, puis français, défenseur de
la forêt, choisissant le centre au terme de sa vie pour
y terminer ses jours, ne soupçonnant pas qu'il léguerait
son parc et un château à la Commune de Waterloo.
Mon imagination fréquente les tavernes
disparues aux noms évocateurs, Belle-Vue, Joli-Bois, Petit-Paris,
elle y trouve les visages de ceux qui ont vécu le vieux
Waterloo, son calme, ses charmes, avant que lotisseurs, promoteurs,
bâtisseurs, commerçants, ne donnent aux campagnes
le visage d'une cité et aux édiles les soucis d'une
ville.
De nos jours il est sage de ramener nos regards
sur le passé. Aujourd'hui l'homme a le vertige de la rapidité,
de l'efficacité, du profit ; saisi par les témoignages
d'antan, il rencontre une époque où le rythme de
vie était pauvre, sans doute, mais simple et heureux.
Notre Waterloo, c'est aussi le Waterloo d'autrefois. L'ouvrage
de Marie-Louise de Villers laisse deviner quelle était
sa jouissance paisible de la vie. Dans les voix intérieures
de sa conscience, le lecteur entendra l'espoir d'un village et
le vers du poète « Rends-moi le temps de mon
adolescence, où je n'étais qu'en espérance »
(Goethe).
20 euros (code de commande
: 22784).
L'enseignement
de la diction française. Bruxelles,
Ville de Bruxelles, 1963. In-8° agrafé, 43 p.,
envoi au professeur Jean-Jacques Hoebanx.
Introduction :
L'enseignement de la langue maternelle a constamment
retenu l'attention des autorités scolaires de la Ville
de Bruxelles. Celui-ci comporte notamment le souci du bon parler
dans une région où des influences linguistiques
diverses risquent de compromettre la correction du langage. Aussi
des soins particuliers ont-ils été apportés
à l'enseignement de l'orthophonie et de la diction.
Le Collège des Bourgmestre et Echevins,
sur ma proposition, a pris un ensemble de mesures, afin de doter
nos écoles des instruments de travail indispensables en
cette matière.
Des cours de diction ont été
créés dans nos établissements scolaires
et des cours normaux préparant à l'enseignement
de la diction ont été ouverts auprès de
notre Académie de Musique.
Il fallait compléter ces dispositions
par la rédaction d'un programme et la formulation de règles
méthodologiques. C'est ce travail qui est publié
aujourd'hui. Rédigé une première fois par
M. Carlos Roty, professeur honoraire de nos athénées
et de nos écoles normales primaires et moyennes, il a
été soumis à l'examen des directions de
nos grandes écoles et à notre direction générale
de l'Instruction publique et des Beaux-Arts.
Nul doute que son application par notre personnel
enseignant et la surveillance de celle-ci par nos directions
d'école porteront l'enseignement du bon langage au niveau
où la Ville de Bruxelles désire qu'il atteigne.
8 euros (code de commande
: 15942).
FALKENBACK
(Pierre) Historique de Woluwe-Saint-Pierre. Woluwe-Saint-Pierre, Commune de Woluwe-Saint-Pierre,
1992. In-8° collé, 159 p., illustrations, exemplaire
en bel état.
Table des matières
:
- Avant-propos,
par Jacques Vandenhaute.
- Introduction.
Chapitre I. Woluwe-Saint-Pierre dans le cadre
de notre histoire nationale.
Chapitre II. Les droits de justice.
Chapitre III. Les seigneurs.
Chapitre IV. Les paroisses.
Chapitre V. Les noms de rues à Woluwe-Saint-Pierre.
Chapitre VI. Géographie.
Chapitre VII. Woluwe-Saint-Pierre et les artistes.
Chapitre VIII. Statistiques et tableaux.
Chapitre IX. Le Palais Stoclet.
Chapitre X. Le nouvel Hôtel communal
et le Centre Culturel.
Chapitre XI. Le Centre Sportif de Woluwe-Saint-Pierre.
Chapitre XII. La maison de retraite « Home
Roi Baudouin ».
Chapitre XIII. Les centres de quartiers.
- Bibliographie.
20 euros (code de commande
: 25150).
GAZIAUX
(Jean-Jacques) Le
temps qu'il fait [à Jauchelette]. Introduction
Jean-Marie Pierret. Bruxelles, [Institut du Patrimoine
Wallon], 1995. In-8° collé, 101 p., illustrations,
cartes, 3 pages du glossaire sont assemblées selon la
numérotation inverse.
Il s'agit
d'un tiré-à-part du volume n° 2 de la collection
« Traditions wallonnes », publiée
par l'institut du patrimoine wallon.
Introduction de l'auteur :
Le temps qu'il fait, sujet de conversation
banal pour tout un chacun, constitue par contre une préoccupation
quasi quotidienne pour les ruraux, tout spécialement pour
les cultivateurs. Les intempéries peuvent en effet non
seulement contrarier leurs activités, mais, bien pire,
occasionner de graves dommages à à leurs récoltes.
L'étude ethnographique et dialectologique
que j'ai consacrée à la vie agricole à Jauchelette
regorge effectivement de références aux réalités
atmosphériques.
Le présent travail vise à rassembler
le vocabulaire et les expressions en rapport avec le temps en
usage dans ce village de l'Est du Brabant wallon. Il contient
les informations que j'ai glanées auprès des villageois
au gré de mes enquêtes ou de mes conversations.
En outre, il s'est enrichi des observations que ma tante Maria
Léonard, ancienne cultivatrice née en 1915, a accepté
de noter brièvement en wallon sur le temps qu'il a fait,
et ce chaque jour, pendant un an, d'avril 1982 à mars
1983. J'en ai repris divers passages particulièrement
significatifs, échos de la vie et de la pensée
d'une paysanne.
10 euros (code de commande
: 21704).
Géants
et dragons. Mythes et traditions à Bruxelles, en Wallonie,
dans le nord de la France et en Europe. Tournai, Casterman,
1996. In-4° sous cartonnage et jaquette d'éditeur,
155 p., illustrations en noir et couleurs, (collection « Les
Beaux Livres du Patrimoine »), exemplaire en très
bon état.
Sommaire :
Préface,
par Roger Dehaybe et Henry de Lumley.
I. Géants et dragons, du plus profond
de nos mémoires.
- Dragons au cur
des mythologies, par Yvonne de Sike.
- Géants entre
dieux et hommes, par Yvonne de Sike.
II. Géants de fêtes et dévotion.
- Dragons, géants
et cités par Yvonne de Sike.
- Les géants
processionnels, un phénomène européen, par
Jean-Pierre Ducastelle.
III. Des conquérants fondateurs aux
communiers pacifiques. La France du Nord, par Marie-France
Gueusquin.
IV Héros de légende et saints
protecteurs en Wallonie et à Bruxelles.
- Ath ou la force des
traditions, par Jean-Pierre Ducastelle.
- Bruxelles, renouveau
et dragons de légendes, par Brigitte Twyffels.
- Mons et le combat
du Lumeçon, par Jean-Pierre Ducastelle.
- Namur et ses Aurdjouwants,
par Jacques Willemart.
- La famille Argayon
de Nivelles, par Jean-Pierre Ducastelle.
- Géants et dragons
contemporains, regain de traditions en Wallonie, par Jean-Pierre
Ducastelle.
Annexes.
- Confection et portage
des géants de cortège, par Hervé Cabezas.
- Tableau des manifestations
en Belgique et dans le nord de la France.
- Carte des apparitions
des géants Samson, Goliath et Saint Christophe au XVe
siècle.
- Carte de la Wallonie
et du nord de la France.
- Glossaire.
- Bibliographie.
- Index des noms de
lieux et de personnalités.
30 euros (code de commande
: 19139).
GODDING
(Philippe) Le Conseil de Brabant sous le règne
de Philippe le Bon (1430-1467). Bruxelles,
Académie Royale de Belgique, 1999. In-8° broché
sous jaquette illustrée, 610 p., une carte volante
à déplier, (collection « Académie
Royale de Belgique, Classe des Lettres », coll. in-8°,
3e série, Mémoires, tome XIX), exemplaire à
l'état de neuf.
En quatrième
de couverture :
Avant
l'avènement de Philippe le Bon, le duc de Brabant rendait
occasionnellement la justice, entouré de quelques conseillers.
Après 1430, le Conseil de Brabant, institution qui avait
connu des ébauches depuis une quinzaine d'années,
s'affirme en une structure autonome, à fonction principalement
mais non uniquement judiciaire. En peu
d'années, cette fonction connaît un essor considérable,
malgré la méfiance des États de Brabant.
Philippe le Bon dut tenir compte de l'importance politique que
conservaient ceux-ci, dominés par les villes principales
du duché, et le Conseil de Brabant présenta de
ce fait sous son règne un caractère atypique par
rapport aux conseils de justice de principautés voisines,
telles que la Flandre et la Hollande. En effet, le duc ne réussit
pas à introduire en Brabant la fonction de procureur général,
lequel devait être un agent essentiel du pouvoir ducal,
le Conseil ne put imposer une compétence en degré
d'appel, et les juristes universitaires restèrent en minorité
jusqu'en 1463 dans un Conseil composé surtout de représentants
de la petite noblesse issus du patriciat des chef-villes. En
outre, le succès de la juridiction du Conseil était
spontané et dû aux avantages qu'elle pré
sentait pour les plaideurs ; le Conseil, quant à
lui, veilla à respecter la compétence propre des
juridictions traditionnelles. Il sut néanmoins réduire
les abus auxquels donnait lieu la position dominante des villes.
Outre l'activité judiciaire du Conseil,
l'ouvrage souligne son rôle dans la politique intérieure
du duché, ainsi que du point de vue législatif,
administratif et diplomatique. Une dernière partie concerne
l'introduction au Conseil de la procédure romano-canonique,
dont les traits essentiels se retrouvent dans la procédure
civile observée de nos jours. En évoquant l'objet
de multiples procès et les parties qu'ils mettent aux
prises, l'étude fait ressortir l'intérêt
des sources relatives aux activités judiciaires du Conseil
pour l'histoire du duché de Brabant à l'époque.
30 euros (code de commande
: 21288).
GUÉRIN
(Thérèse) Ixelles en cartes postales
anciennes. Deuxième
édition. Zaltbommel, Europese Bibliotheek, 1972. In-12
oblong sous cartonnage d'éditeur, 160 p., 156 reproductions
en noir, édition bilingue (français - néerlandais).
Extrait de l'introduction
:
La
commune d'Ixelles a pour origine l'agglomération qui s'est
formée dans la vallée supérieure d'un gros
ruisseau tributaire de la Senne, auprès du monastère
de la Cambre ; celui-ci avait été fondé
en 1201, à la source même du Pennebeek qui prit,
un peu plus tard, le nom de Maelbeek. Au bord des quatre étangs
successifs alimentés par ce cours d'eau s'établissent
par la suite plusieurs brasseries, quelques maisons, une chapelle,
et de nombreux estaminets : le bas-Ixelles devient un village
prospère. D'autre part, au dix-huitième siècle,
l'amélioration des routes et le goût des voyages
donnent de l'importance au plateau du haut-Ixelles sur lequel
s'ouvre la porte de Namur : des commerçants et des
hôteliers s'installent le long des chaussées que
relient cette entrée de Bruxelles au bas-Ixelles et à
Etterbeek. La chance veut qu'Ixelles échappe à
la vague d'industrialisation sauvage du dix-neuvième siècle :
ce sont d'abord les familles aisées de Bruxelles qui s'y
font construire de belles maisons de campagne où l'on
vient respirer l'air pur du plateau ; puis des centaines
de Wallons, cherchant fortune dans la capitale, se fixent dans
ce faubourg encore agreste. En moins de trente ans, la population
double, et la progression continue: Ixelles comptait 18.371 habitants
en 1856, plus de 90.000 en 1960.
Nous allons flâner dans l'Ixelles de
1898/1925 en parcourant d'abord sa partie orientale : porte
de Namur, place Ste-Croix, boulevard Militaire et avenue de la
Couronne, avec une incursion vers la gare du Luxembourg; ensuite,
le quartier de Tenbosch, puis Boendael, pour finir par rappeler
quelques activités pittoresques des Ixellois. Et nous
souhaitons qu'en feuilletant cet album nos lecteurs retrouvent,
ça et là, le souvenir de moments heureux et qui
sait ? d'un visage aimé...
15 euros (code de commande
: 23555).
GUISLAIN
(Albert) Découverte de Bruxelles. Photos de Willy Kessels (assistant :
Léon Stons). Bruxelles, l'Églantine, 1930. In-8°
broché, 243 p., 22 reproductions photographiques hors
texte, couverture défraîchie.
Table des matières
:
Chapitre
premier, en forme de première préface.
Chapitre deuxième, en forme de deuxième
préface pour faire suite à la première....
Chapitre troisième, en forme de troisième
préface.
Chapitre quatrième et dernière
préface, celle des petits.
Chapitre cinquième. - Périple.
- Les boulevards.
Chapitre sixième. - Par le Steenweg.
Chapitre septième. - La Grand'Place.
Chapitre huitième. - Flâneries.
Chapitre neuvième. - Nouvelles flâneries.
Chapitre dixième. - Via populi, vox
populi.
Chapitre onzième ou chapitre de gueule.
Chapitre douzième. - Squares, Parcs
et jardins publics.
Chapitre treizième. - Les Musées.
Chapitre quatorzième. - « Des
Sens ».
Chapitre quinzième. - Les Églises.
Chapitre seizième et dernier en forme
d'épilogue pour les enfants d'hier.
30 euros (code de commande
: 23330).
GUISLAIN
(Albert) Découverte de Bruxelles. Photos de Willy Kessels (assistant :
Léon Stons). Édition pour la jeunesse. Bruxelles,
l'Églantine, 1931. In-8° broché, 253 p., 22
reproductions photographiques hors texte, on joint une coupure
de presse et l'avis nécrologique d'Albert Guislain (1969),
une photo du campanile de l'hôtel de ville par le studio
des frères Haine (signée), ex-libris du photographe
Marcel Lefrancq, signature et date (25/12/1932) manuscrites du
même à la page de garde, couverture défraîchie,
dos ridé.
Table des matières
:
Chapitre
premier, en forme de première préface, celle des
petits.
Chapitre deuxième, en forme de deuxième
préface.
Chapitre troisième, en forme de troisième
préface, pour faite suite à la deuxième.
Chapitre quatrième et dernière
préface.
Chapitre cinquième. - Périple.
- Les boulevards.
Chapitre sixième. - Par le Steenweg.
Chapitre septième. - La Grand'Place.
Chapitre huitième. - Flâneries.
Chapitre neuvième. - Nouvelles flâneries.
Chapitre dixième. - Via populi, vox
populi.
Chapitre onzième ou chapitre de gueule.
Chapitre douzième. - Squares, Parcs
et jardins publics.
Chapitre treizième. - Les Musées.
Chapitre quatorzième. - Les Églises.
Chapitre quinzième. - Promenades centrifuges.
Chapitre seizième. - Premier épilogue.
Chapitre dix-septième . - Deuxième
épilogue.
50 euros (code de commande
: 23329).
L'Heure
bleue. La vie nocturne
à Bruxelles de 1830 à 1940. Bruxelles, Crédit
Communal, 1987. In-4° broché, 219 p., nombreuses illustrations
en noir et en couleurs.
Cet ouvrage a été publié
à l'occasion de l'exposition éponyme qui s'est
tenue au Passage 44, à Bruxelles du 20 mars au 24
mai 1987.
Avant-propos :
Le XIXe siècle est volontiers étudié
pour ses conceptions urbanistiques, son architecture métallique
et ses grands monuments, tous trois empreints d'un souci de grandeur
et de sérieux associé à l'image d'une société
industrielle et bourgeoise en pleine expansion. L'Architecture
Moderniste, elle, est surtout connue pour son apport théorique
et sa contribution à l'art d'habiter rationnellement.
Seuls l'Art Nouveau ou l'Art Déco dénotent une
coloration plus frivole.
À l'origine de cette exposition, réside
l'envie de découvrir quelle architecture le XIXe et la
première moitié du XXe siècle ont réservée
à leurs plaisirs, plus propices à autoriser quelque
audace Imaginative que les grands programmes civils. À
ce dessein architectural, s'ajoute bientôt, inéluctablement,
l'histoire des spectacles eux-mêmes, spectacles au sens
large, du théâtre au cinéma en passant par
ceux offerts dans les cafés, dancings et autres lieux
nocturnes.
30 euros (code de commande
: 19831).
JACQUEMYNS
(Guillaume) Histoire
contemporaine du Grand-Bruxelles. Bruxelles, Vanderlinden,
1936. In-8° broché, 248 p., bien complet de ses 40
planches hors texte, non coupé, couverture un peu insolée,
hommage de l'auteur.
Table des chapitres
:
- Introduction.
Première partie. L'urbanisation.
Les voies de communication.
Chapitre I. Le Grand-Bruxelles.
Chapitre II. Mesures législatives
et règlements qui ont régi et facilité l'urbanisation
des faubourgs et la construction des voies de communication dans
l'agglomération bruxelloise.
Chapitre III. Les voies de
pénétration vers la banlieue et les artères
de raccordements entre les faubourgs.
Deuxième partie. Les moyens de communications.
Chapitre I. Les diligences,
malles-poste et les messageries.
Chapitre II. La capitale
centre du réseau ferré belge.
Chapitre III. Les chemins
de fer vicinaux.
Chapitre IV. Les omnibus
et les autobus.
Chapitre V. Les premières
compagnies de chemins de fer américains.
Chapitre VI. Les Tramways
bruxellois.
Chapitre VII. Les chemins
de fer à voie étroite de Bruxelles à Ixelles-Boendael
(1883-1893).
Chapitre VIII. La Société
générale de Chemins de fer économiques.
- Conclusion.
25 euros (code de commande
: 23359).
JOURDAIN
(Virginie) Hôtel Métropole. Bruxelles, Luc Pire, 2008. In-8° sous cartonnage
illustré et jaquette d'éditeur, 125 p., nombreuses
reproductions en noir et en couleurs, bel exemplaire peu courant.
Table des matières
:
1.
Les Wielemans-Ceuppens : une famille de brasseurs.
- Les Brasseries Wielemans-Ceuppens
l'innovation, clé d'un succès commercial.
- Des bières
de prix.
2. Le Métropole, un hôtel de la
Belle Époque.
a. Naissance des grands
boulevards centraux.
- Jules
Anspach, bourgmestre « bâtisseur » (1863-1879).
- Le
monument Anspach.
b. Le Métropole, palais
Art nouveau.
- Alban
Chambon (1847-1928) le décorateur de l'Hôtel Métropole.
c. Le Métropole, un
palais moderne pour voyageurs.
- Pourquoi
le « Métropole » ?
- Des
synergies pour un souci de qualité constant.
d. Le Métropole, rendez-vous
des artistes et des scientifiques.
- Un
pensionnaire illustre.
e. Bruxelles 1900.
3. Un complexe architectural innovant au cur
du Bruxelles des années 30.
a. Le Métropole, palais
Art déco.
- Adrien
Blomme, une uvre architecturale variée.
- Adrien
Blomme, architecte de la famille Wielemans.
b. Le Métropole, palais
du Cinéma.
- La
frise d'Ossip Zadkine.
- Ossip
Zadkme (1890-1967).
c. Jazz et dancings à
Bruxelles.
4. Le Métropole, 1940-1945.
- Les bières
Wielemans-Ceuppens, des bières de marque.
5. Les Golden Sixties.
a. L'Expo 58 et le Métropole.
- Le
Centre d'information de la place de Brouckère.
b. Un soir à Bruxelles.
6. Les années 70 et 80.
- Le Wiels, centre d'art
contemporain de Bruxelles.
7. Cent ans au cur de l'Europe.
a. Le Métropole, palace
international de la capitale.
- Bruxelles,
capitale européenne et ville de congrès.
b. Le Métropole au
cinéma.
- Le
Métropole, décor pour le 7e art.
c. Le Métropole en
bandes dessinées.
8. Perspectives pour un palace au XXIe siècle.
- Bibliographie sélective.
25 euros (code de commande
: 26211).
KERVYN
DE MARCKE TEN DRIESSCHE (Roger) Les fables de Pitje
Schramouille suivies de
deux petits jeux scéniques. (4e édition).
Bruxelles, Wellens & Godenne, 1940. In-12 broché,
118 p.,
Table des fables :
- Les
Prumes.
- El Ver Luisant.
- El Viterinaire.
- Le deuïe Chiens.
- El Lintj'weurm.
- Malvina.
- Le Paon et le Pintad'.
- El Porteplim' et 1' Crayon.
- Tich.
- El Merel et les Coqs.
- El Trésor.
- Wisske.
- La Pécole.
- El Canard.
- El Stouma.
- Berke n'et Belleke.
- Leapold.
- Les Oranges.
- El Mettekoo et l' Doûphin.
- Les Boutel' de Krieke-Lambic de Suske
Maboul.
- El Woûter-Rat et l'Veuske.
- Netje Vliermuis.
- L'An', la Chèv' et le petit Chival
Aaghlais.
- Ine Histwar d'em Bouma.
- El siég' de Trwa.
- El Cid.
13 euros (code de commande
: 26578).
LEFEVRE (F.
) La collégiale des saints Michel et Gudule
à Bruxelles. Son histoire - Son architecture - Son mobilier
- Ses trésors. Photos W. Godenne. Bruxelles, Librairie
Générale, 1942. In-8° sous cartonnage et jaquette
d'éditeur, 187 p. dont 96 planches en noir.
12 euros (code de commande : 294/66).
LEURS (C.)
Les origines du style gothique en Brabant.
Première partie : L'architecture romane. Tome II
: L'architecture romane dans l'ancien duché.
Bruxelles-Paris, Vromant, 1922. In-8° broché, IX +
233 p., illustrations, plans.
25 euros (code de commande
: 295/66).
MACOIR (G.) Le Musée royal
dArmes et dArmures de la Porte de Hal à Bruxelles. Wetteren,
Jules De Meester, 1928. In-8° broché, 48 p., planches
hors texte.
@ Tiré à part du 33e
volume des Annales de la Société Royale dArchéologie
de Bruxelles dans lequel l'auteur retrace les grandes lignes
de l'histoire du bâtiment depuis sa construction à
la fin du XIVe siècle jusqu'à sa restauration et
à sa transformation en musée, en 1870. L'origine
des collections est ensuite évoquée (elle proviennent
essentiellement de l'Arsenal de la Cour, fondé par les
ducs de Bourgogne) avant d'en aborder la description selon le
sens de la visite du bâtiment.
12 euros (code de commande
: 11884).
MARTENS
(Mina) Actes relatifs à l'Administration des
Revenus domaniaux du Duc de Brabant (1271-1408). Bruxelles, Palais des Académies, 1943.
In-8° broché, 355 p., (collection « Commission
Royale d'Histoire »), exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Introduction.
Première partie : L'administration centrale.
A. Nature de l'intervention
ducale dans l'administration et ses diverses manifestations.
B. Rôle de la cour
féodale.
C. Rôle du receveur
de Brabant.
1. Attributions
administratives.
2. Attributions
financières.
3. Attributions
en matière judiciaire.
D. Rôle du sénéchal
de Brabant.
Deuxième partie : L'administration locale.
A. Rôle des receveurs
locaux.
I. Attributions
administratives.
a.
Présidence des échevins en matière de juridiction
gracieuse domaniale.
b.
Présidence des cours censales.
c.
Présidence des cours allodiales.
d.
Présidence de la Chambre des tonlieux.
II. Attributions
financières.
III. Attributions
judiciaires.
B. Rôle des officiers
de justice.
Liste chronologique des actes.
Index des termes rares ou inédits.
Index des sceaux.
Table onomastique.
Additions et corrections.
15 euros (code de commande
: 17774).
MARTENS (Mina) Le censier
ducal pour l'ammanie de Bruxelles de 1321. Bruxelles, Académie Royale de Belgique,
1958. In-8° broché, 376 p., (collection « Commission
Royale d'Histoire »), exemplaire sur vergé,
en partie non coupé. bel exemplaire.
Conclusion de l'introduction
:
La
courte introduction que nous avons réservée au
document que nous présentons, uniquement destinée
à apporter quelque lumière sur la nature du domaine
ducal, pourrait paraître limiter l'intérêt
du texte à ce seul aspect historique. Il n'en est rien.
En dehors des services qu'il pourra être appelé
à rendre aux toponymistes, un tel censier se révèle
plein d'enseignement pour ceux qui s'efforcent de rechercher
les formes économiques du Brabant au XIVe siècle.
Un exemple permettra de justifier le bien-fondé
d'une telle affirmation : le seul relevé des professions
exercées à Bruxelles parmi ceux qui payent un cens
au duc. On y voit 8 tailleurs de pierre, 7 tisserands, 10 charpentiers,
1 serrurier, 1 cuisinier, 4 brasseurs, 6 pelletiers, 1 fabricant
de bourses, 1 corroyeur, 8 boulangers, 1 chausseur, 6 meuniers,
4 teinturiers, 3 foulons, 1 tapissier, 3 tanneurs, 3 savetiers,
1 mesureur, 4 forgerons, 3 charrons, 1 marchand, etc...
Sans doute, n'est-ce là qu'un faible
pourcentage des artisans ; néanmoins cette liste
est-elle utile, puisqu'elle révèle certaines professions
exercées à Bruxelles, à une époque
pour laquelle nous avons peu de renseignements de ce genre.
Cet unique exemple de l'intérêt
du censier ducal de 1321 pour Bruxelles et ses environs, est
loin de condenser toutes les formes de curiosité qu'il
est susceptible d'éveiller; n'oublions pas, entre autres,
que les spécialistes de la géographie urbaine y
trouveront un réel avantage si l'on songe que ce texte
se rapporte, essentiellement, à une année bien
précise, pour laquelle il est possible de reconstituer,
partiellement, la figure des rues, des ruelles, des ruisseaux
et même des collines de la ville et cela à une époque
où, il est inutile d'y insister, nous n'avons aucun autre
élément du genre pour ce faire.
Nombre de disciplines, depuis l'histoire économique
et sociale, l'histoire institutionnelle et la géographie
historique, jusqu'à la toponymie et l'anthroponymie y
trouveront matière à se compléter.
18 euros (code de commande
: 17295).
MARTINY
(Victor-Gaston) Bruxelles. Architecture civile et militaire
avant 1900. Braine-l'Alleud,
Collet, 1992. In-4° broché, 100 p., nombreuses
illustrations en bistre et en couleurs, bel exemplaire.
Préambule :
Le millénaire de Bruxelles, fixé
à l'an 1979 par le Collège échevinal, avait
été choisi pour commémorer l'établissement
de Charles de France dans une île de la Senne considérée
alors par les historiens comme le berceau de la Ville.
Une analyse plus poussée des textes
par le professeur Georges Despy comme des recherches archéologiques
récentes menées par M. Michel de Waha et Mme Françoise
Jurion au quartier Saint-Géry et par M. Pierre Bonenfant
à l'intérieur de la cathédrale Saint-Michel,
sembleraient remettre ce choix en doute.
Mais, dans la quête de sources sûres
menée par des scientifiques, il sera toujours malaisé
de départager les critères qui sont généralement
évoqués pour affirmer qu'un acte volontariste ou
qu'un habitat déterminé fut le moteur de la ville.
Car le statut de ville fut donné à des agglomérations
qui n'en ont aucunement l'apparence, comme Durbuy ou Chiny chez
nous. Pour Bruxelles, dans l'état actuel de nos connaissances,
il est quasi certain que les origines remontent à la période
médiévale, quoique son sous-sol ait été
bouleversé mécaniquement aux deux tiers sans qu'on
ait pensé aux substructions antérieures qui auraient
pu y être découvertes.
En tout état de cause, il y eut, ça
et là, des trouvailles fortuites qui permettent d'imaginer
que la région de Bruxelles était habitée
bien avant que la ville ne prenne forme et n'acquière
son nom. Il y en eut en terrain sec place du Grand-Sablon, dans
le Parc, rue Philippe-le-Bon et rue du Marteau, et dans le sol
humide rue des Chartreux, quai aux Barques, et au Petit-Château.
D'après Edgard Mariën la présence de haches
polies « dans des terrains plus ou moins tourbeux
depuis Forest jusqu'à Montplaisir et Melsbroeck semble
indiquer qu'il a dû exister des habitations palustres à
côté des sites fortifiés sur promontoire
sablonneux. »
Peu importe, après tout, pour notre
sujet, ces découvertes d'objets préhistoriques
et celles d'époques beaucoup plus tardives gauloise
ou celte aux environs de la cité. Ce qui est
à noter, c'est qu'il y eut permanence d'habitat en des
endroits divers, sur une partie de territoire relativement réduite.
La présence d'un cimetière de trois cents tombes
de la période mérovingienne au Champ de Sainte-Anne,
à Anderlecht, en pleine substructions romaines, des tombes
à Haren, Ixelles, Uccle, Saint-Josse-ten-Noode et Melsbroeck,
en sont la meilleure preuve.
Car qui dit cimetières, dit lieux habités.
On peut imaginer que ceux-ci étaient constitués
de constructions en rondins la forêt de Soignes
est proche et, quoique certaines aient pu subsister
lors de l'établissement du castrum bruxellois,
elles ont dû rapidement faire place à d'autres constructions
plus confortables et plus raffinées, steenen et
chaumières d'abord, habitations de bois et de pisé
ensuite, constructions de briques et de tuiles enfin.
15 euros (code de commande
: 24992).
MATTHIEU
(Flory) Portes bruxelloises. [Photographies
de l'auteur.] Paris, Ereme, 2007. In-8° sous cartonnage et
jaquette d'éditeur, 79 p., belles reproductions en couleurs,
exemplaire à l'état de neuf.
En quatrième
de couverture :
Il existe une autre histoire de Bruxelles,
discrète, intime, mais pourtant débordante de fantaisie,
d'imagination, de couleurs, de formes, de matières, d'ombres
et de lumières, et qui se trouve être, à
bien des égards, l'un des plus fidèles témoins
de l'histoire de la ville, embrassant toutes les époques
qu'elle a traversées : celle de ses portes.
Baroques, Art Nouveau, contemporaines, quelques
cent-vingt portes ou détails de portes nous emmènent
dans une balade savoureuse et colorée au cur du
patrimoine bruxellois.
10 euros (code de commande
: 17722).
MICHEL (Louis) Le Brabant wallon.
Chez l'Auteur - Besace culture, s.d. In-8 broché, 173
p, nombreuses illustrations, quelques traces d'humidité
aux derniers feuillets.
7,50
euros (code de commande : 378/57).
Mille ans de
transport à Bruxelles. Bruxelles, Stib, 1979. In-8° agrafé,
76 p., illustrations.
10
euros (code de commande : 281/59).
Le
patrimoine industriel et sa reconversion. Wallonie - Bruxelles. Bruxelles,
Crédit Communal, 1986. In-4° broché, 247 p.,
nombreuses illustrations en noir et quelques-unes en couleurs,
exemplaire en très bel état.
Il s'agit
de la publication éditée à l'occasion de
l'exposition éponyme organisée à l'ancienne
église Saint-André, à Liège, du 17
janvier au 15 mars 1987.
Table des matières :
- Préface, par François
Narmon.
- Avant-propos, par Gauthier Jacob
et Pierre Frankignoulle.
- La protection du patrimoine industriel :
cadre légal et action des pouvoirs publics et des associations
volontaires, par Jacques Barlet.
- L'archéologie industrielle
et l'assainissement des sites charbonniers, par René
Leboutte et Henri Delree.
- Approche urbanistique de la reconversion
des sites industriels désaffectés, par Jean
Barthelemy.
- La réaffectation des anciens
sites industriels à des fins économiques :
bilan et propositions, par Bernadette Merenne-Schoumaker.
- Une croissance industrielle et urbaine :
Seraing, par Luc Lejeune.
- Architectures d'industries, par
Marina Frisenna.
25 euros (code de commande
: 27599).
PORTEMAN (Karel) Emblematic Exhibitions
(affixiones) at the Brussels Jesuit College (1630-1685).
Bruxelles, KBR - Brepols, 1996. In-4 broché, 198 p., nombreuses
illustrations en noir et en couleurs.
19
euros (code de commande : 385/57).
Province
de Brabant. Étains, porcelaines et faïences d'autrefois.
Bruxelles, Province de Brabant,
1974. In-8° broché, 76 p., [44 (illustrations)]
p., exemplaire en bel état.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition éponyme organisée au Gouvernement
Provincial, à Bruxelles, du 27 juillet au 14 septembre
1974.
Table des matières :
- Introduction, par Philippe Van
Bever.
- Bibliographie.
- Faïences de Bruxelles, par A.M.
Marien-Dugardin.
- La porcelaine bruxelloise, par Andrée
Brunard.
- Les étains brabançons,
par F. Hertz Pompe.
15 euros (code de commande
: 18755).
QUIÉVREUX (Louis) Bruxelles
notre capitale. Histoire,
folklore, archéologie. Bruxelles
- Liège, Pim-Services, [1954]. In-8° broché,
362, [5 (index)] p., exemplaire en bel état.
Introduction :
Il
y a quelque amertume à exercer la profession de journaliste,
car ce qu'écrit le reporter dure à peine le temps
de la chute d'une feuille de papier, c'est-à-dire vingt-quatre
heures. Hier emporte souvent un enfant chéri, fruit fugitif
d'une idée, d'un spectacle ou d'une enquête. Aussi,
comme le faisait remarquer un jour un de mes confrères,
le journaliste soucieux de conserver, pour la postérité,
ce qu'il estime être le meilleur de sa production, cherche-t-il
dans le livre le havre où quelques-unes de ses pages seront
sauvées. C'est ce que j'ai fait. Le texte de ce recueil,
consacré à l'histoire, au folklore et à
l'archéologie de Bruxelles, est composé d'articles
écrits, en ordre principal, pour La Lanterne. Un
index alphabétique permet à l'ami de Bruxelles
de trouver rapidement le renseignement qu'il me ferait l'honneur
de chercher dans ce livre que je dédie à ma fille,
afin qu'elle aime sa petite patrie comme je l'aurai aimée.
15 euros (code de commande
: 23371).
RENOY (Georges) Bruxelles sous Léopold
Ier. 25 ans de cartes porcelaine 1840-1865. Bruxelles, Crédit Communal, 1979. In-4°
broché, 192 p., nombreuses reproductions en noir et en
couleurs, exemplaire en très bon état.
Table des matières
:
I. L'image en question.
II. Coup d'il sur Bruxelles version 1850.
III. Marchands d'esprit.
IV. Au bonheur des dames.
V. Au bonheur des messieurs.
VI. Homme sweet homme.
VII. Petits et grands bazars.
VIII. Bruxelles, auberge de l'Europe.
IX. À plein verres.
X. À chacun son métier.
XI. Galeries Saint-Hubert.
XII. Grande Harmonie.
XIII. Le siècle marche.
15 euros (code de commande
: 26499*).
Trésors
d'art du Brabant. Catalogue. Bruxelles,
Musées Royaux d'Art et d'Histoire, 1954. In-8° broché,
131 p, CXXVII planches hors texte en noir, bon exemplaire.
Catalogue publié à l'occasion
de l'exposition organisée en juin-juillet 1954 aux Musées
royaux d'Art et d'Histoire, à Bruxelles.
Table des matières :
- Lettre de J. de Néeff.
- Introduction, par M. Spaelant.
- Avertissement, par le comte de Borchgrave
d'Altena.
- Trésors d'Art du Brabant.
Généralités.
- Architecture, par V. G. Martiny.
- Éléments architectoniques
de l'ancien château ducal de Tervuren, par M. Bequaert.
- Peinture, par Paul Fierens
et le comte d'Arschot Schoonhoven.
- Tapisseries, par J. B.
- Note sur la tenture de l'Histoire
de Jacob, par Mme Crick-Kuntziger.
- Vitraux, par J. Helbig.
- Broderies, par J. B.
- Sculpture, par J. B.
- Meubles et boiseries, par J.
B.
- Orfèvrerie, par J.
B.
- Sigillographie, par J. Boisée.
- Dinanderies, par J. B.
- Dentelles, par Mme Risselin-Steenebruggen.
- Céramiques, par J.
Helbig.
- Folklore, par J. Verbesselt.
15 euros (code de commande
: 18202)..
VAN AUDENHOVE (Jean)
Les rues d'Anderlecht. Anderlecht, Cercle
d'Archéologie, Folklore et Histoire d'Anderlecht, 1995.
In-4° collé, II, 278 p., illustrations, (collection
« Anderlechtensia »), bel exemplaire.
Table des matières
:
- Préface de la première
édition.
- Avant-propos.
- Introduction.
- Historique du réseau anderlechtois.
- Le service de la voirie.
- Les transports en commun.
- L'éclairage public.
- Les premières plaques odonymiques.
- Dictionnaire historique et anecdotique
des voies publiques anderlechtoises..
30 euros (code de commande
: 25974).
VANDEN
BRANDEN (Jean-Pierre) La Maison d'Erasme. Anderlecht.
Bruxelles, Crédit Communal, 1992. In-4° broché,
127 p., nombreuses illustrations en couleurs, (collection
« Musea Nostra », n° 28), bel
exemplaire.
Extrait :
Le Musée d'art et d'histoire d'Anderlecht
fut officiellement inauguré le 24 septembre 1932 en la
présence de Leurs Altesses Royales le duc et la duchesse
de Brabant, Léopold et Astrid.
L'initiateur et le fondateur de cette institution
muséale était Daniel Van Damme, fonctionnaire cultivé
et amoureux du passé, qui rêvait depuis longtemps
de créer un musée dans le vieux bâtiment
connu sur les plans cadastraux et dans la tradition orale sous
la dénomination de « Maison d'Erasme ».
Deux ans à peine après le sauvetage du béguinage,
le bourgmestre Félix Paulsen et son collège prirent
le risque, en pleine crise économique mondiale, d'investir
près de deux millions francs (de l'époque !)
dans la remise en état de cette propriété
de campagne mi entretenue et enlaidie par des constructions annexes
qu'il fallut abattre.
Le bâtiment et son environnement furent
classés comme monuments historiques en 1937. Dès
le début, le décor des salles fut réalisé
grâce à un fonds important de mobilier (bahuts,
tables, coffres, crédences, fauteuils, chaises, statues,
chandeliers, lustres, étains, poteries) qui avait appartenu
à un collectionneur célèbre du siècle
dernier Jules Vandenpeereboom, ministre des Chemins de fer, Postes
et Télégraphes pendant près de vingt ans.
Celui-ci avait accumulé dans sa Maison flamande qui
existe toujours en face de la collégiale des saints Pierre
et Guidon des trésors qui, à son décès
survenu en 1917, furent répartis entre les musées
nationaux. Une partie en fut heureusement récupérée
et revint ainsi à son point de départ, car ce mobilier
provenait de la vente des biens du chapitre d'Anderlecht à
la Révolution française, en 1794.
La collection des éditions anciennes
d'Erasme commença par le cadeau spectaculaire d'un pasteur
hollandais qui envoya à Anderlecht une vingtaine d'ouvrages
par valise diplomatique, dans le but de récompenser la
commune pour son initiative de consacrer un musée à
la gloire de son compatriote de Rotterdam. Par contre, la période
agitée qui s'étendit de l'inauguration du musée
jusqu'à 1954 ne fut guère favorable à son
enrichissement puisque la crise de 1929 et ses séquelles,
l'avant-guerre, le conflit mondial de 1940-1945 et le lent réveil
culturel de l'après-guerre rendirent les acquisitions
très aléatoires, faute de moyens.
L'association des « Amis de la Maison
d'Erasme » fut la source constante de ces enrichissements
grâce à la générosité fidèle
de ses membres qui permit de dénicher des merveilles dans
les ventes publiques ou chez des antiquaires et libraires du
monde entier. L'administration communale d'Anderlecht engagea
des sommes considérables dans l'achat de tableaux anciens.
Des dépôts furent effectués par la fabrique
d'église de la collégiale et quelques objets précieux
furent offerts par des particuliers.
Les collections (mobilier, uvres d'art,
gravures, livres et archives) constituent aujourd'hui un ensemble
unique qui illustre divers moments de l'histoire européenne :
la Renaissance, le règne de Charles Quint, le courant
humaniste, l'essor de l'imprimerie, les conflits religieux naissants.
Le charme de ce petit musée littéraire
réside dans l'harmonie qui y règne entre l'écrin
architectural et les objets de collection. L'atmosphère
quiète, l'odeur de la cire, le discret parfum du chêne,
le silence relatif de ces lieux privilégiés en
font un endroit propice à la méditation comme Erasme
dut le ressentir cinq siècles plus tôt.
Ce musée peut satisfaire à la
fois l'historien et le chercheur, l'esthète et l'amateur
d'art, l'écolier et le visiteur de passage sensible aux
vestiges des temps anciens. Cependant, malmené pendant
plus de quatre siècles par les intempéries, les
parasites du bois, l'humidité ascensionnelle, l'invisible
pénétration des racines des arbres multicentenaires
dans ses fondations et, enfin, par la pollution de l'air et la
construction du tunnel du métro à quelque vingt
mètres de son mur d'enceinte, le bâtiment était
à ce point menacé qu'une campagne de restauration
s'avéra absolument nécessaire. Celle-ci fut rendue
possible grâce à la générosité
de la société belge Petrofina qui accepta d'en
supporter la lourde dépense.
La Maison d'Erasme ferma ses portes le 1er
avril 1986. Tous ses trésors furent mis à l'abri
dans des locaux de la Banque Nationale de Belgique et le bâtiment
fut recouvert d'un caisson métallique, en dessous duquel,
pendant un peu moins de deux ans, uvrèrent maçons,
charpentiers et hommes de métier. La rénovation
fut exécutée avec le plus grand respect des techniques
anciennes. Le résultat est tel que le visiteur d'aujourd'hui,
à peu de choses près, découvre la Maison
avec les mêmes yeux qu'Erasme lorsqu'il pénétra
pour la première fois dans cette demeure qui existait
alors depuis six ans à peine. Tout y était propre
et net, la lumière entrait à profusion par les
hautes fenêtres gothiques. Une paix délicieuse régnait
dans les jardins où il faisait bon se promener après
un déjeuner frugal.
Le destin de cette demeure n'est donc pas banal
puisque la renommée ne lui est venue que bien après
le séjour qu'y fit l'illustre Erasme. Pendant trois siècles,
elle fut occupée par des chanoines. Vendue comme bien
d'État lors de la Révolution, elle devint la maison
d'été d'une famille aisée bruxelloise, séduite
par la pureté de l'air de cette campagne à quatre
kilomètres à peine du centre de la grande ville.
Et, en 1932, elle inaugura une tout autre existence, celle d'un
musée à nul autre pareil...
15 euros (code de commande
: 25940).
VANDENBREEDEN
(Jos) et DE PUYDT (Raoul Maria)
Basiliek / Basilique Koekelberg, art-decomonument
/ monument art déc. Tielt-Bruxelles, Lannoo-Racine,
2005. In-4° sous cartonnage et jaquette d'éditeur,
175 p., nombreuses reproductions en couleurs, plans, édition
bilingue (français-néerlandais), bel exemplaire.
Il s'agit de la première importante
monographie sur cet édifice.
Sommaire :
- Préface,
par Godfried Danneels.
- Historique de la construction,
par Raoul Maria de Puydt.
- L'architecture, par Jos Vandenbreeden.
- La sculpture du bâtiment,
par Raoul Maria de Puydt.
- Les vitraux, par Raoul Maria
de Puydt.
- Mobilier liturgique, par Norbert
Poulain.
- Les vases sacrés, par
Raf Steel.
- La vie musicale, par Jacques
Dehan et Françoise Houtart.
- Le patrimoine artistique, par
Raoul Maria de Puydt.
30 euros (code de commande
: 25991).
.
VAN DEN STEEN
(Willy) Het Palais der Natie.
Brussel,
Belgische Senaat, 1982. In-4° sous reliure, jaquette et étui
d'éditeur, 266 p., illustrations en noir et en couleurs.
23
euros (code de commande : 393/62).
VAN
EECKHOUT (Marie-Thérèse) Woluwe-Saint-Lambert.
Esquisse historique. Préface de Albert Marinus. Woluwe-Saint-Lambert,
Moderna, 1953. Grand in-8° broché, 214 p., illustrations.
Table des matières
:
- Préface.
- Introduction.
Chapitre I : Les origines et les aspects
géographiques de Woluwe-Saint-Lambert.
Chapitre II : Les origines historiques de
Woluwe-Saint-Lambert.
Chapitre III : Les souvenirs du passé.
Chapitre IV : Le Woluwe-Saint-Lambert d'aujourd'hui.
Chapitre V : Les noms de rues à Woluwe-Saint-Lambert.
- Appendice.
20 euros (code de commande
: 22284*).
VANHAMME
(Marcel) Les environs
de Bruxelles. Promenades dans le passé. Bruxelles,
Office de Publicité, 1950. In-8° broché, 96
p., illustrations hors texte, rousseurs.
Table des matières
:
- Présentation.
Première promenade. Vieil Anderlecht,
Itterbeek, Pede-Sainte-Anne, Dilbeek.
Deuxième promenade. Le château
de Gaasbeek et le Payottenland.
Troisième promenade. Le château
de Beersel, Alsemberg et les Sept-Fontaines.
Quatrième promenade. Le champ de bataille
de Waterloo.
Cinquième promenade. Boitsfort, centre
de vénerie d'autrefois ; le prieuré de Groenendal.
Sixième promenade. Tervuren, son parc
et ses châteaux perdus.
Septième promenade. Les églises
romanes de la Voer et le château de Leefdaal.
Huitième promenade. Zaventhem, Diegem,
le château de Beaulieu (Machelen).
Neuvième promenade. Le château
de Bouchout et l'église de Grimbergen.
Dixième promenade. Le palais de Schoonenberg
(Laken) et ses alentours.
13 euros (code de commande
: 23296).
VAN
NIEUWENBORGH (Marcel) À Bruxelles. Traduit et adapté du néerlandais
par Marie-Françoise Dispa. Bruxelles, Hatier, 1990. In-8°
broché, 161 p., illustrations et cartes, (collection
« Itinéraires »), exemplaire en
très bel état.
En quatrième
de couverture :
Bruxelles
n'est pas de ces villes que le lecteur associe spontanément
à la littérature internationale. Rares sont d'ailleurs
les romans qui se déroulent dans la capitale belge. Mais
nombre d'auteurs aujourd'hui classiques y ont vécu une
période plus ou moins longue, et ils n'ont pas manqué
d'exprimer, dans leurs écrits, les sentiments que ce séjour
leur avait inspirés.
Au XIXe siècle, beaucoup de jeunes écrivains,
que des impératifs politiques ou financiers avaient obligés
à fuir leur propre pays, trouvèrent dans la capitale
du jeune État belge, liberté et sécurité.
Pour Arthur Rimbaud et Paul Verlaine, la Belgique marqua en outre,
un tournant, tant dans leur relation que dans leur carrière
littéraire.
Bruxelles pourtant, malgré son provincialisme
serein, son manque de théâtralité et l'absence
d'un grand fleuve comme à Paris ou à Londres, fascine
Hugo et Baudelaire, Scott et Byron, Mirbeau et Joyce, Marx même.
La Grand Place, la place Royale, la place des Barricades, mais
aussi Waterloo depuis 1815 bien qu'à l'extérieur
de Bruxelles. Tous ces espaces architecturaux aux qualités
scéniques incontestables serviront l'imagination de gens
de lettres qui avaient alors besoin de correspondances spatiales.
Ce guide littéraire, en douze itinéraires
illustrés de cartes et de gravures, truffés de
citations extraites de leurs écrits, retrace le séjour
de ces grands écrivains étrangers à Bruxelles.
Table des matières :
- De Casanova à Joyce.
Itinéraire 1. Charles
Baudelaire. Le ballon captif.
Itinéraire 2. Victor
Hugo. Le rossignol de la place des Barricades.
Itinéraire 3. Rimbaud
et Verlaine. L'énigme de la religieuse flamande.
Itinéraire 4. Alexandre
Dumas. Les nègres du mulâtre.
Itinéraire 5. Honoré
de Balzac. L'escroc et les contrefacteurs.
Itinéraire 6. Marx
et Engels. Des rires dans la nuit.
Itinéraire 7. Charlotte
Brontë. Une Anglaise au pensionnat.
Itinéraire 8. Lord
Byron. Le bal de la comtesse.
Itinéraire 9. Octave
Mirbeau. Quatre pneus pour un fou rire.
Itinéraire 10. Léon
Daudet. Les belles du Bois de la Cambre.
Itinéraire 11 J.-K.
Huysmans. À vau-la Senne.
Itinéraire 12. Claudel,
Auden et James Joyce. Les saisons de Bruxelles.
- Bibliographie.
- Index.
13 euros (code de commande
: 24887).
VER
ELST (André) De
Brabantse watermolens in beeld. Les moulins à eau brabançons
en images. Avant-propos de Victor Servaes. Zaltbommel,
Bibliothèque Européennen 1978. In-12 oblong sous
cartonnage d'éditeur, 112 p. (dont 97 illustrations
commentées), index, édition bilingue (français
- néerlandais), exemplaire en très bon état,
peu courant.
Avant-propos :
Étant
moi-même, comme meunier, possesseur d'un moulin à
eau, j'accorde naturellement le plus vif intérêt
à tous ceux qui subsistent encore dans notre pays. Ces
dernières années, j'en ai visité des dizaines,
recherchant inlassablement toutes pièces de rechange ou
éléments nécessaires à la maintenance
de mon moulin le « Dorpsmolen »
à Boortmeerbeek en parfait état de
marche.
Le 11 juin 1977, André ver Elst, à
la tête (en qualité de guide) d'un groupe important
d'amateurs de moulins affiliés aux « Amis du
Service Éducatif des Musées Royaux d'Art et d'Histoire
de Bruxelles » me rendit visite. Une visite qui m'émut,
car elle me révéla l'intérêt réel
que chacun portait à mon moulin. L'idée me vint
alors de le présenter désormais comme un témoin
vivant et combien authentique de mon
histoire familiale.
Ce beau livre me remplit donc tout à
la fois d'aise et de mélancolie. Il évoque, en
effet, avec acuité, toute une époque, celle de
ma jeunesse et celle de notre « commerce ».
Depuis lors, beaucoup de ces choses qu'on appelle le progrès,
ont évolué techniquement. Et si le temps, lui,
continue à moudre traditionnellement ses heures, il n'en
est, hélas, pas de même pour nos moulins à
eau dont bon nombre se sont depuis longtemps tus, souvent dans
un ruisseau séché... Les meuniers intéressés
doivent donc prendre conscience de la valeur considérable
sinon inestimable de leur patrimoine.
Mais cette prise de conscience ne saurait négliger
celle du travail à accomplir dans le sens du maintien
et, aussi, de la restauration des moulins à eau encore
existants. Avec le concours, s'il le faut, des autorités
concernées. Ces moulins à eau pourraient ainsi
devenir un pôle d'attraction socio-culturel dynamique où
les villageois se rencontreraient, dans l'esprit d'une communauté
moderne attachée aux valeurs du passé.
20 euros (code de commande
: 24712).
VERNIERS
(Louis) Histoire de Forest-lez-Bruxelles. Bruxelles, De Boeck, 1949. In-4° broché,
356 p., illustrations, couverture un peu défraîchie.
Table des matières
:
Introduction.
Première partie : Le cadre
géographique.
- Les toponymes.
- Le sol et le sous-sol.
Deuxième partie : Histoire
du village et de l'abbaye depuis les origines jusqu'à
la fin de l'ancien régime.
- Les origines et les
premiers développements du village.
- Les origines de la
communauté abbatiale et son histoire jusqu'à la
veille de sa dissolution.
- Le village et l'abbaye
dans le cadre de l'histoire générale du XIIe à
la fin du XVIIIe siècle.
- La population et son
genre de vie.
- Les répercussions
des guerres et des révolutions du XVIe au XVIIIe siècle.
Troisième partie : Forest
pendant la période française (1794 à 1814).
- Pendant la période
républicaine (1794-1799).
- Période consulaire
et impériale (1799-1814).
Quatrième partie : Le village
pendant la période de la réunion de la Belgique
à la Hollande (royaume des Pays-Bas 1814-1830).
- De la réunion
à la France à la réunion à la Hollande.
- La révolution
de 1830..
Cinquième partie : Forest
pendant la période 1830-1914.
- Démographie.
- Les facteurs de conservation
et de transformation du paysage.
a. L'agriculture.
b. L'industrie.
c. Les
chemins de fer (voies et stations).
d. Les
autres éléments nouveaux dans le paysage forestois
à partir de 1869 et les noyaux de résistance au
changement.
- Administration publique
et vie politique pendant la période 1830-1914.
- La vie sociale de
1830 à 1914.
Sixième partie : Forest pendant
la guerre 1914-118.
Septième partie : D'une
guerre mondiale à la suivante (période 1918-1940).
- Caractères
généraux de la période 1918-1940.
- La vie sociale.
- La vie économique.
- La vie politique et
administrative.
- Les transformations
du paysage et l'action du service des travaux publics (projets
et réalisations).
- L'enseignement.
- Les finances communales.
Index - Bibliographie.
25 euros (code de commande
: 23042).
Watermael entre Boitsfort et Auderghem. Exposition historique organisée à
l'occasion du 25e anniversaire et de l'inauguration des nouveaux
bâtiments du collège Saint-Hubert. Bruxelles, Collège Saint-Hubert, 1978.
In-8° broché, 151 p., illustrations, plans, tableaux.
Ouvrage
publié à l'occasion de l'exposition éponyme
organisée au Collège Saint-Hubert, à Bruxelles,
en 1991.
Table des matières :
- Avant - propos.
- Saint Hubert, prince carolingien
et guérisseur de la rage, par P.P.
Dupont.
- Watermael entre Boitsfort et Auderghem,
par G. Vande Putte.
- Contribution à l'histoire
de Watermael-Boitsfort. Michel de Cafmeyer et sa « Maison
Haute », par J. Lorthiois.
- Heurs et malheurs de la politique
religieuse de Joseph II à Watermael, par A. Vanderborght.
- Catalogue de l'exposition « Watermael
entre Boitsfort et Auderghem ».
15 euros (code de commande
: 20125).
Wavre,
ville et franchise du roman pays de Brabant. Wavre Ministère
de la culture française, 1972. In-8° carré
broché, 78 p., illustrations.
@ Catalogue de l'exposition éponyme
réalisé à l'occasion du 750e anniversaire
de l'octroi des libertés communales 1222-1972.
Introduction :
« Le samedi 23 avril 1222, en la fête
de saint Georges, le duc Henri Ier de Brabant concédait
à la ville de Wavre une charte de franchise. Il consacrait
ainsi sur le plan politique et juridique l'évolution économique
et sociale du bourg.
L'agglomération, déjà
citée en 1086, s'était développée
aux abords de la Dyle, au croisement des grands chemins de Bruxelles-Namur
et de Nivelles-Louvain.
Des artisans et des commerçants y tenaient
boutique et des marchés attiraient chaque semaine les
habitants des villages voisins. Une classe sociale, détachée
de la terre, s'affirmait face au seigneur et ressentait un besoin
de libertés.
Dans une charte de 1209, les « burgenses »
ou bourgeois de Wavre sont cités comme témoins,
après le « villicus » ou intendant
de la seigneurie mais avant les autres habitants de la villa
ou domaine rural.
Avec l'accord de leur seigneur, les bourgeois
wavriens demandent et obtiennent du duc de Brabant l'octroi des
libertés dont jouissent les bourgeois de Louvain.
La charte de 1222 en est le témoignage
officiel. Cet événement marquait un véritable
tournant dans l'histoire de la cité. Le commerce local
et les marchés vont connaître un essor remarquable
qui se maintiendra à travers les siècles malgré
les guerres, les incendies et les épidémies. Les
marchés libres vont se tenir les mercredis et les samedis.
Les boutiques et les échoppes se multiplient et de nombreuses
hôtelleries et auberges peuvent accueillir les voyageurs
de passage, les marchands étrangers et les paysans des
alentours.
L'exposition, organisée par le Cercle
Historique et Archéologique de Wavre et de la Région,
a pour but de célébrer cet anniversaire et de montrer
aux visiteurs, par l'objet et le document, les divers aspects
de l'histoire de Wavre à travers les siècles. »
10 euros (code de commande
: 11570*). |