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uvres de
Lautréamont
Les Chants de Maldoror. Paris, Baudouin, s.d. In-8° sous cartonnage
d'éditeur, 329 p.
10 euros (code
de commande : Laut/01 - vendu).
Chants
de Maldoror. [Chants premier et second.] Illustrations par
Baudoin. Nice, Z'éditions, [ca 1994]. In-4°
collé, 63 p.
En quatrième
page de couverture :
« Beau,
« Quelques-uns seuls savoureront
ce fruit amer sans danger ».
Baudoin est de ceux-là. Incontestablement.
Baudoin a lu l'avertissement de Ducasse. Il a « apporté
dans sa lecture une logique rigoureuse... »
Beau comme la rencontre du verbe et du trait.
Baudoin sans redondance.
« ... et une tension d'esprit au
moins égale à sa défiance... »
Beau comme l'évidence.
Isidore Ducasse, dit comte de Lautréamont,
est né à Montévidéo en 1846. Dans
sa courte vie (il est mort à 24 ans à Paris pendant
le siège de la Commune, en 1870), Lautréamont a
écrit Les Chants de Maldoror six chants
en tout, dont les deux premiers sont ici publiés
ainsi qu'un recueil intitulé Poésies.
Salués bien plus tard par Antonin Artaud
et les Surréalistes, Les Chants de Maldoror apparaissent
comme un règlement de compte d'une violence et d'une vigueur
inouïes avec tout principe d'autorité, qu'il émerge
de Dieu ou des hommes... »
10 euros (code
de commande : Laut/02 - vendu).
Chant premier. [9] lithographies de Frédéric
Penelle sur un extrait de texte de Lautréamont. S.l.,
Tandem, 1998. In-16 relié à la japonaise, [18]
p., lithographies hors texte, tirage limité à 20
exemplaires numérotés et signés par l'artiste
(n° 14), envois de l'artiste.
20 euros (code
de commande : Laut/03 - vendu).
Les Chants de Maldoror. Présentation par Philippe Soupault.
Paris, Livre Club du Libraire, 1958. In-8° sous reliure toilée
d'éditeur, XII, 301 p., illustrations contrecollées,
maquettes de Claude Soalhat, mise en pages de Catherine
du Vivier, (n° 56 de la série), un des 150 exemplaires
marqués H.C.
40 euros (code
de commande : Laut/04 - vendu).
Les Chants de Maldoror. Poésies,
Lettres. Textes présentés
et commentés par Louis Forestier. Illustrations
de Louis Cane. Paris, Imprimerie Nationale, 1991. In-8°
plein cuir rouge et étui d'éditeur, tête
dorée, 429 p., illustrations en couleurs, exemplaire numéroté
sur Rives (n° 1346), à l'état de neuf.
35 euros (code
de commande : Laut/05 - vendu).
Les
Chants de Maldoror. Chants I et II.
Lu par Redjep Mitrovitsa. Paris, Thélème,
s.d. Deux disques CD sous coffret d'éditeur.
Sur la pochette :
« Comte de Lautréamont
Isidore Ducasse, qui a publié les Chants
de Maldoror sous le nom de « Comte de Lautréamont »,
est né en 1846 à Montevideo, en Uruguay. Le père
d'Isidore, François Ducasse, qui avait été
nommé instituteur à Sarniguet en 1837, était
parti en Uruguay, où il occupait au consulat les fonctions
du chancelier Marcelin Denoix. En 1846, François Ducasse
se marie avec Jacquette Davezac, qui meurt un an plus tard. On
suppose qu'elle s'est suicidée. François Ducasse
est nommé chancelier de 1ère classe en 1856. En
1859, il décide d'envoyer son fils poursuivre ses études
en France. Isidore est interne au lycée impérial
à Tarbes, puis élève en classe de rhétorique
à Pau. En 1867, Isidore Ducasse obtient un passeport pour
Montevideo. Il revient quelques mois plus tard et s'installe
à Paris. Le Chant Premier des Chants de Maldoror
est imprimé chez Balitout. En janvier 1869, le Chant
Premier parait à Bordeaux dans Parfums de l'âme,
recueil collectif d'Évariste Carrance. Durant l'été,
le recueil les Chants de Maldoror sort des presses d'imprimeurs
bruxellois. Isidore Ducasse dépose au Ministère
de l'intérieur Poésie I et Poésie
II en 1870, annoncées dans La Revue Populaire de
Paris. Le 24 novembre, Isidore Ducasse, alors âgé
de 24 ans meurt au 7, rue du Faubourg-Montmartre.
Les Chants de Maldoror
Cette uvre peu connue à sa sortie a été
redécouverte par les surréalistes, qui la considéreront
comme prophétique. Les six chants qui composent le recueil
forment une épopée macabre qui exalte la cruauté
et le désespoir. Les thèmes sataniques et monstrueux
de cette prose poétique trouvent leur racines dans les
lectures de Ducasse, dans ses rêves et ses phantasmes,
nourris de figures mythologiques et de croyances morbides. La
force de l'imagination et la créativité dans le
langage caractérisent l'uvre. « Les images
[...] se succèdent à une cadence toujours plus
rapide, de telle sorte que nous n'avons plus le temps de les
éprouver jusqu'au bout et que nous les laissons inachevées,
reconnaissant en elles moins ce quelles signifient que leur mouvement... »
disait Maurice Blanchot. »
Chants I et II
Une figure marque le début des Chants de Maldoror,
celle du « vieil océan », qui tel
un monstre devient le symbole de la férocité de
Lautréamont-Maldoror. « Vieil océan,
aux vagues de cristal, tu ressembles proportionnellement à
ces marques azurées que l'on voit sur le dos meurtri des
mousses ; tu es un immense bleu, appliqué sur le
corps de la terre... »
« Vieil océan, tes eaux sont amères.
C'est exactement le même goût que le fiel que distille
la critique sur les beaux-arts, sur les sciences, sur tout... »
13 euros (code de commande
: 12043).
Maldoror
and Poems. Translated with
Introductions by Paul Knight. Penguin Books, [© 1978]. In-8°
collé, 286 p., (collection « Penguin Classics »).
En quatrième
page de couverture :
« It is not right that everyone should
read the pages wich follow ; only a few will be able to
savour this bitter fruit with impunity. »
So wrote the self-styled Comte de Lautréamont
(1846-70) at the beginning of his sensational Chants de Maldoror.
One of the earliest and most astonishing examples
of surrealist writing, Lautréamont's fantasy unveils a
world half-vision, half-nightmare of
angels and gravediggers, hermaphrodites and pederast, lunatics
and strange children. The writing is drenched with an unrestrained
savagery and menace, and the startling imagery delirious,
erotic, blasphemous and grandiose by turns possesses
a remarkable hallucinatory quality.
The writer's mysterious life and death, no
less than the book hitself, captured the imagination of surrealists.
Jarry, Modigliani, Verlaine and others hailed it as a work of
genius. André Gide wrote, « Here is something
that excites me to the point of delirium, » and André
Breton described the book as « the expression of a
total revelation which seems to surpass human capacities ».
This volume also contains a translation of
the epigrammatic Poésies. »
5 euros (code de commande :
Laut/06 - vendu).
uvres complètes du
Comte de Lautréamont (Isidore Ducasse). Les Chants de Maldoror - Poésies - Correspondance.
Étude, commentaires et
notes par Philippe Soupault. [Deuxième édition.]
Paris, Au Sans Pareil, 1927. In-8° broché, 440 p.,
couverture défraîchie, manque au dos.
vendu
uvres complètes.
Les Chants de Maldoror
- Poésies - Lettres. Étude
par Edmond Jaloux. Frontispice de Salvador Dali.
Paris, Corti, 1940. In-8° broché, 326 p., étiquette
de librairie. à la page de titre.
vendu
uvres complètes.
Les Chants de Maldoror
- Poésies - Lettres. Avec
les préfaces de L. Genonceaux, R. de Gourmont,
Ed. Jaloux, A. Breton, Ph. Soupault, J.
Grac, R. Caillois, M. Blanchot, les portraits
imaginaires de S. Dali et F. Valloton, des fac-similés
de correspondance et une bibliographie. Paris, Corti, 1997. In-12
broché, 431 p., exemplaire non coupé.
10 euros (code
de commande : Laut/09 - vendu).
uvres complètes. Les Chants de Maldoror - Poésies - Lettres.
Avec les préfaces de
L. Genonceaux, R. de Gourmont, Ed. Jaloux,
A. Breton, Ph. Soupault, J. Gracq, R.
Caillois, M. Blanchot, les portraits imaginaires de
S. Dali et F. Vallotton, des fac-similés
de correspondance et une bibliographie. Paris, Corti, 2005. In-8°
broché, 431 p., exemplaire non coupé et en parfait
état.
En quatrième
page de couverture (texte d'André Rousseaux, publié
en 1954) :
« Les uvres complètes
de Lautréamont (Les Chants de Maldoror, Poésies
et Lettres), après l'édition historique
de 1938, comprend les préfaces de leurs éditions
successives et une abondante bibliographie.
C'est une remarquable édition de Lautréamont
que vient de nous donner José Corti. Les uvres complètes
de Lautréamont y sont précédées de
huit préfaces, écrites à diverses époques
par divers écrivains, pour des éditions précédentes
(...). Cela fait au total un commentaire long et varié
sinon contradictoire
à travers lequel on pourrait suivre le fil de la connaissance
progressive de Lautréamont depuis sa première publication
jusqu'à nos jours. On voit d'abord comment cette uvre
est lente à se manifester. On a comparé son apparition
à une explosion volcanique, mais les volcans littéraires
ne font pas éclater sans résistance la croûte
des habitudes intellectuelles.
Y a-t-il beaucoup de lecteurs qui aient abordé
Lautréamont sans dresser entre eux et lui une barrière
qui ne vient que d'eux-mêmes ? Si nous comprenions
les poètes mieux que nous croyons le savoir, et celui-là
en particulier, nos yeux s'ouvriraient à cette vérité
que le problème est en nous. Le monstre le plus étrange
n'est pas celui qu'on pense : sinon l'homme moderne se ferait
peur à lui-même. J'imagine qu'un jour viendra où
Les Chants de Maldoror apparaîtront comme un de
ces phénomènes qui sur la terre fulgurent et retentissent
pour signaler quelque bouleversement naturel. »
10 euros (code
de commande : Laut/10 - vendu).
uvres complètes contenant Les Chants de Maldoror, les Poésies,
les Lettres, une introduction par André Breton, des illustrations
par Victor Brauner, Oscar Dominguez, Max Ernst, Espinoza, René
Magritte, André Masson, Matta Echaurren, Joan Miro, Paalen,
Man Ray, Seligmann, Tanguy. Une table analytique, des documents,
Répercussions. Paris,
G.L.M., 1938. In-8° sous cartonnage d'éditeur, XIV,
415 p., coins un peu émoussés, un des mille exemplaires
numérotés sur vélin bibliophile (n°
956).
150 euros (code
de commande : Laut/11 - vendu).
uvres complètes. Fac-similés des éditions originales.
[Introduction d'Hubert Juin.]
Paris, La Table Ronde, 1970. In-8° broché, XIII, 332,
15, 16, [16] p., mention manuscrite d'appartenance à la
page de garde.
vendu.
Poésies. [Poésies I et II, texte de l'édition
originale, Paris, 1870.] Auch, Tristram, 1989. In-8° broché,
57 p.
5 euros (code de commande :
Laut/13).
De Zangen van Maldoror. Vertaald en Ingeleid door J. Stärcke.
Bandtekening van W.F. Gouwe. Bussum, Van Dishoeck, 1917. In-8°
broché, XI, 240 p., exemplaire non coupé, rousseurs
à la couverture.
15 euros (code
de commande : Laut/14 - vendu).
Souborné dílo. Zpévy
Maldororovy, Poesie, Dopisy.
[Traduit du français par Prokop Voskovec et Petr Turck,
introduction par Ludvik Kundera.] Prague, Kra, 1993. In-12
collé, 247 p., jaquette.
10 euros (code
de commande : Laut/15 - vendu).
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À propos
de Lautréamont
AVNI
(Ora) Tics, tics et tics. Figures, syllogismes,
récit dans Les Chants de Maldoror. Lexington,
French Forum, 1984. In-8° broché, 186 p., (collection
« French Forum Monographs », n° 54).
Extrait de la préface
:
« Les Chants de Maldoror. Un texte
déconcertant ; fragmenté, mais bouclé ;
où sangsues, poux, araignées, pieuvres, dragons,
requins, poulpes, crabes rivalisent de destruction ; où
un héros, champion du Mal (mais peut-être aussi
du bien) se dresse contre Dieu ; où d'interminables
digressions, des images outrées et des parabases cocasses
portent atteinte au bon ton ; où aphorismes et adages
poétiques alternent avec les pires bouffonneries. Faut-il
y voir un bestiaire de l'agressivité ? L'épopée
d'une conscience qui se constitue à mesure qu'une écriture
la nie ? Une adaptation de théories de magnétisme
et d'animisme dans le goût de l'époque ? Un
remaniement du mythe de Narcisse ? de celui de Prométhée
ou de Lucifer ? Le symptôme d'une schizophrénie
qui va s'aggravant ? Une catabase ou psychograpie ?
Une souscription ? Des amphigouries ou un florilège
de cacographie ? L'uvre d'un cabotin ? d'un aliéné,
épateur ou fumiste ? La liste pourrait s'allonger
davantage. Ce qui s'en dégage, c'est la multiplicité
et la véhémence des lectures et des jugements.
Même sans faire mention de l'équipe surréaliste
dont Philippe Sollers dénonce « l'inflation
verbale » (à laquelle ni lui ni le groupe Tel
Quel n'échappent pourtant), l'uvre de Lautréamont
a donné lieu à des réactions partiales,
passionnées, dont rien ne justifie apparemment l'emportement. »
20 euros (code
de commande : Laut/17 - vendu).
BACHELARD
(Gaston) Lautréamont. Paris,
Corti, 1939. In-12 broché, 200 p., édition originale
sur papier d'édition, bel exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Chapitre I : Agression et poésie
nerveuse.
Chapitre II : Le bestiaire de Lautréamont.
Chapitre III : La violence humaine et les
complexes de la culture.
Chapitre IV : Le problème de la biographie.
Chapitre V : Le complexe de Lautréamont.
Conclusion.
15 euros (code
de commande : Laut/18).
BACHELARD
(Gaston) Lautréamont. Nouvelle
édition augmentée. 10e réimpression. Paris,
Corti, 1986. In-12 broché, 156 p., exemplaire non coupé
et à l'état de neuf.
Table des matières
:
Chapitre I : Agression et poésie
nerveuse.
Chapitre II : Le bestiaire de Lautréamont.
Chapitre III : La violence humaine et les
complexes de la culture.
Chapitre IV : Le problème de la biographie.
Chapitre V : Lautréamont : Poète
des muscles et du cri.
Chapitre VI : Le complexe de Lautréamont.
Conclusion.
8 euros (code de commande :
Laut/19 - vendu).
BOBILLOT (Jean-Pierre) Tombeau
d'Isidore Ducasse. Montigny, Voix, 1999. In-8° broché,
109 p., (collection « Vents Contraires »), exemplaire
numéroté (n° 106).
15 euros (code
de commande : Laut/20 - vendu).
BOUCHE
(Claude) Modes et fonctionnement de la parodie : l'exemple
de Lautréamont. Liège,
Université de Liège, Faculté de Philosophie
et lettres. Mémoire de licence en Philologie romane 1971-1972.
In-4° collé dactylographié, 290 p.
Avant-propos :
« Le présent travail se compose
essentiellement de deux parties, distinctes mais non indépendantes,
l'une consacrée aux problèmes théoriques
posés par le phénomène de la parodie, l'autre
à l'étude de ce même phénomène
dans les Chants de Maldoror de Lautréamont. À
l'origine, le travail n'aurait dû porter que sur cette
seconde partie ; mais il est apparu assez vite qu'il était
pratiquement impossible de la mener à bien sans définir
plus strictement la notion même de parodie, et que, d'autre
part, il y avait chez les critiques ou les écrivains qui
en ont parlé certains flottements dans l'utilisation des
termes et des concepts. Ce sont ces deux raisons, l'une personnelle,
l'autre plus générale, qui m'ont amené à
réserver à la question méthodologique une
place quelque peu disproportionnée, peut-être, dans
l'économie de ce mémoire. Que ceux qui auraient
souhaité voir d'emblée Lautréamont aux premières
loges veuillent bien m'en excuser. »
vendu
Cahiers de Midi. Revue internationale
de Poésie des Jeunes. N° 27-28. Namur, Cahiers de Midi, 1969. In-8° agrafé,
64 p., illustrations.
Ce numéro contient
notamment :
Lautréamont, par Franz Hellens, p. 1.
Isidore Ducasse, comte de Lautréamont,
par Hubert Juin, pp. 2-3.
Lautréamont et la Belgique,
par Frans De Haes, pp. 4-8.
vendu
CARADEC
(François) Isidore Ducasse, comte de Lautréamont. Avec la collaboration de Albano Rodríguez.
Paris, La table Ronde, 1970. In-8° broché, 261 p.,
illustrations hors texte, (collection « Les Vies Perpendiculaires »).
En quatrième
page de couverture :
« On a tant écrit et
répété qu'on ne savait rien de sa vie, qu'on
avait fini par le croire. Il n'y a pas de « mystère
Lautréamont » : on en sait plus aujourd'hui
sur Isidore Ducasse, poète mort à vingt-quatre
ans, il y a juste un siècle, que sur la jeunesse de la
plupart de nos grands écrivains.
Aucune uvre n'est moins autobiographique,
dit-on ; mais aucune uvre ne l'est aussi passionnément,
et c'est de l'uvre elle-même que sont nées
les premières recherches biographiques.
Autour de ces découvertes nouvelles
et contrôlées (le mariage tardif et le décès
prématuré de sa mère, le retour de Lautréamont
à Montevideo en 1867), François Caradec trace à
la fois la biographie de cette uvre et l'évolution
de la pensée et de l'écriture de Lautréamont,
fait revivre les milieux qu'il a traversés, les amis dont
il s'entourait (notamment le truculent Georges Dazet), et publie
pour la première fois toutes les pièces d'archives,
françaises et uruguayennes.
Pour les plus brillants de ses commentateurs,
Lautréamont était devenu l'occasion d'un délire
impuni, de mots d'auteur ou de mots d'ordre ; il est grand
temps de s'approcher avec simplicité de cette uvre
qui brûle tout commentaire. »
10 euros (code
de commande : Laut/22 - vendu).
[LAUTRÉAMONT
(Isidore Lucien Ducasse, comte de)]. CARADEC (François)
Isidore Ducasse, comte de Lautréamont. Édition revue et augmentée. Paris, Gallimard, 1975. In-12 collé,
380 p., (collection « Idées »,
n° 330).
En quatrième
de couverture :
On
a tant écrit et répété qu'on ne savait
rien de sa vie, qu'on avait fini par le croire. Il n'y a pas
de « mystère Lautréamont » :
on en sait plus aujourd'hui sur Isidore Ducasse, poète
mort à vingt-quatre ans, il y a un peu plus d'un siècle,
que sur la jeunesse de la plupart de nos grands écrivains.
Autour de découvertes nouvelles et contrôlées,
François Caradec trace à la fois la biographie
de cette uvre et l'évolution de la pensée
et de l'écriture de Lautréamont, fait revivre les
milieux qu'il a traversés, les amis dont il s'entourait,
et publie pour la première fois toutes les pièces
d'archives, françaises et uruguayennes.
8 euros (code de commande
: 25930).
La
cuestión de los orígenes. Lautréamont &
Laforgue. La quête des origines. Montevideo,
Academia Nacional de Letras, 1993. In-8° broché, 284
p., quelques illustrations.
Il s'agit de la publication
des Actas del Encuentro dos culturas : Lautréamont
y Laforgue, Montevidoe, Uruguay. 20, 21 y 22 de octubre de 1992,
coordonnés par Lisa Block de Behar, François
Caradec et Daniel Lefort.
Table des matières :
I. Transportes, desplazamientos.
- Ricochets
sur le vieil océan, par François Caradec.
- Transport
poétique par voix maritime. Laforgue entre l'Amérique
et l'Europe, par Alfons Knauth.
- Lautréamont
sur les rives américaines, par Leyla Perrone-Moisés.
II. Vidas, Historias de vidas.
- Sortir de
Tarbes, par Jean-Jacques Lefrère.
- Jules Laforgue
et Montevideo, par Jean-Louis Debauve.
- Un callejón
sin nombre, par Jacques-André Duprey.
III. Lo cotidiano y lo esoterico.
- Lautréamont
et la maçonnerie, par Jean-Pierre Lassalle.
- Le journal
imaginaire d'Isidore Ducasse, par Jean-Luc Steinmetz.
IV. Citas y referencias.
- La Complainte
des voix, par Jean-Pierre Bertrand.
- L'espérance
d'une queue, par Patrick Besnier.
- L : una letra
y dos alas, par Lisa Block de Behar.
V. Ecos y repercusiones.
- Le « catalogue
des Grandes-Têtes-Molles » de Lautréamont
et sa postérité (Pessoa et Fargue), par Jean-Paul
Goujon.
- Amédée
Pigeon, précurseur de Laforgue, par Michael Pakenham.
- Isidore Lautréamont
Ducasse : el demonio aproximativo, par Hebert Benítez
Pezzolano.
VI. Juicios y prejuicios.
- Laforgue,
un puente entre dos lenguas, par Manuel Ulacia.
- Ducasse savant,
par Michel Pierssens.
- Jules Laforgue
et l'Eve nouvelle, par Mireille Dottin-Orsini.
- Laforgue,
el filósofo, par Philippe Guéniot.
VII. Identidad y diferencias.
- Le jeune homme
et les vieillards, par Sylvain-Christian David.
- Lautréamont :
Una usurpación de identidad o una identidad intercesora,
par Carlos Pellegrino.
- Une esthétique
du métissage, par Daniel Grojnowski.
20 euros (code
de commande : Laut/29 - vendu).
DAVID
(Sylvain-Christian) Isidore Lautréamont. Paris, Seghers,
1992. In-8° broché, 288 p., (collection « Mots
»).
En quatrième
page de couverture :
« Sous le masque inamovible du comte
de Lautréamont, auteur des Chants de Maldoror,
se cache un jeune poète, né à Montevideo,
Isidore Ducasse.
Moins connu, plus discret, mais tout aussi
efficace.
Transparent.
Disparu à l'âge de vingt-quatre
ans, Isidore Ducasse serait-il, comme le prophétisa Léon
Bloy, l'un des plus grands poètes du monde ?
Que le comte de Lautréamont tombe le
masque ! Le Montévidéen et ses Poésies
de l'étrangeté nous parlent d'ailleurs.
Du plus lointain parage.
Car, pour le plus surprenant des explorateurs
d'espaces, ailleurs c'est ici. »
10 euros (code
de commande : Laut/23***).
FAURISSON
(Robert) A-t-on lu Lautréamont ? Paris, Gallimard, 1972. In-8° broché,
433 p., (collection « Les Essais », CLXX).
En quatrième
page de couverture :
« L'uvre de Lautréamont
n'a jamais été lue pour ce qu'elle est : une
joyeuse et magistrale contrefaçon du moralisme pontifiant.
Les Chants de Maldoror et les Poésies sont
deux fantaisies bouffonnes. Isidore Ducasse s'y présente
successivement sous les apparences d'un Tartarin (ou d'un Fenouillard)
du vice et de la vertu. Il fait mine de braver admirons
le style le « crabe de la débauche »
et le « boa de la morale absente ». Une
floraison de janotismes, de cuistreries et d'absurdités
cocasses donne toute leur saveur à ces deux divertissements
satiriques.
Encore fallait-il, pour les mettre au jour,
veiller à lire sans préjugé, ligne à
ligne, mot à mot et au ras du texte : précaution
élémentaire que négligent parfois les commentateurs,
en particulier ceux de la Nouvelle Critique.
On a beaucoup crié au génie surréaliste
de Lautréamont. En fait de génie, c'est celui de
la bêtise prudhommesque qui s'exprime par le truchement
de ces deux grotesques que sont le « Chantre »
et le « Poète ». L'uvre d'Isidore
Ducasse (1846-1870) constitue l'une des plus prodigieuses mystifications
littéraires de tous les temps... »
9 euros (code de commande :
Laut/24 - vendu).
GILLE (Valère) La
découverte des Chants de Maldoror. (Lecture faite à la séance du
11 février 1939). Bruxelles,
Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises,
1939. In-8°, 3 p., (Extrait du Bulletin, tome XVIII, fascicule
I).
2,5 euros (code
de commande : Laut/25 - vendu).
JANOVER
(Louis) Lautréamont et les chants magnétiques.
Arles, Sulliver, 2002. In-8° broché, 119 p.
En quatrième
page de couverture :
« Si l'on prête l'oreille
à ce que dit Lautréamont, Les Chants de Maldoror
restent aujourd'hui encore une fausse note dans la grande symphonie
du nouveau monde. Cette fresque hallucinée et hallucinante,
qui porte à son paroxysme parodique le système
d'exagération des vices du romantisme, peut être
lue comme la préfiguration de ce que nous voyons se dérouler
sous nos yeux dans les domaines de la culture. Mais elle laisse
deviner une autre voie ouverte à la révolte, à
contresens de la modernité, et ce courant a trouvé
son chemin dans l'histoire. C'est pourquoi certains chants, de
Nerval au surréalisme, ont conservé leur magnétisme,
alors que d'autres ont été démagnétisés
à jamais, pour s'être trop bien accommodés
de tous les modes d'emploi et de tous les usages.
Recomposons la généalogie d'une
révolte qui ne risque plus de prêter à confusion. »
10 euros (code
de commande : Laut/26).
JEAN
(Marcel) et MEZEI (Arpad) Maldoror. Essai sur Lautréamont
et son uvre. Suivi
de notes et de pièces justificatives. Paris, Éditions du Pavois, 1947. In-12
broché, 221 p., illustrations hors texte, exemplaire non
coupé.
Table des matières
:
I. L'entrée du Labyrinthe.
II. Le complexe d'dipe.
III. L'expérience fondamentale.
IV. Le complexe d'Oreste.
V. Du vampire à l'hermaphrodite.
VI. Maldoror.
VII. Le plan des Chants.
VIII. Vie pré-natale.
IX. Vie infantile.
X. Vie génitale.
XI. L'hermétisme rationnel de Lautréamont.
XII. L'alchimie de la pensée.
XIII. Le VIe Chant et le monde occulte.
XIV. De la rue Vivienne au Panthéon.
XV. La spirale.
XVI. L'humour.
XVII. Le Sphinx et la Pyramide.
Notes et pièces justificatives.
vendu.
Lautréamont
et nous. Paris, Ligne de
Risque, 1997. In-8° agrafé, 32 p.
Ce n° 2-3 de la
revue littéraire Ligne de Risque contient :
Entretiens
sur Lautréamont avec Philippe Sollers, par François Meyronnis et
Yannick Haenel.
Un hibou sérieux jusqu'à l'éternité,
par François Meyronnis.
La littérature absolue, par Yannick
Haenel.
Sic ou Camus & Le Clézio face
à Ducasse, par François Meyronnis et
Yannick Haenel.
Sept questions à Bernard Lamarche-Vadel,
par François Meyronnis.
Le dispositif BLV. À propos de Bernard
Lamarche-Vadel, par Yannick Haenel.
« Le canif américain ».
10 euros (code
de commande : Laut/30 - vendu).
Lautréamont
n'a pas cent ans. Numéro
spécial des Cahiers du Sud, n° 275,
1946. In-8° broché, 176 p.
@ La partie consacrée à
Lautréamont est contenue dans les pp. 3 à 52, on
y trouve :
Adaptez à vos bibliothèques
le dispositif Maldoror-Poésies, par Francis Ponge.
Lettre sur Lautréamont, par Antonin
Artaud.
Comte de L***, par Pierre Reverdy.
Dans le sens de l'espoir, par Jean Marcenac.
Le roi fou à la couronne de Flammes,
par André Masson.
Lautréamont, ou le poète imaginaire,
par Luc Decaunes.
Lautréamont et l'ère de l'inquiétude
des formes, par Camille Bourniquel.
Un poète de l'enfance, Lautréamont
le transparent, par Jean-Noël Barbier.
On me demande, par Gisèle Prassinos.
Pour un portrait de Lautréamont,
par Michel Roche-Varger.
Rencontre de l'Isidore, par Gaston Massat.
Lautréamont, poète des muscles
et du cri, par Gaston Bachelard.
Isidore Ducasse, ou Lautréamont,
par Louis Parrot.
Trente maximes, par Lautréamont.
vendu
LEFRÈRE
(Jean-Jacques) Lautréamont.
Paris, Flammarion, 2008. In-4° sous cartonnage et jaquette
illustrée d'éditeur, 223 p., nombreuses illustrations
en noir et en couleurs, bel exemplaire.
Sommaire :
- Le fils du Chancelier.
- Des origines bigourdanes.
- Natif de l'Uruguay.
- Au lycée de
Tarbes.
- Georges Dazet.
- Bazet, village bigourdan.
- La disparition de
1863.
- En Béarn.
- Le comte de Lautréamont.
- Le retour à
Montevideo.
- Le Chant premier.
- Les Parfums de
l'âme.
- L'avenir, La
Jeunesse et Charlemagne.
- Les Chants de Maldoror.
- Beau comme...
- La rature de Dazet.
- Le rhinocéros
et les immortelles.
- Isidore Ducasse.
- Correspondances.
- Poésies
I, Poésies II.
- Emporté en
deux jours.
- « Tant
que mes amis ne mourront pas... »
20 euros (code de commande
: 25854 - vendu).
LEFRÈRE
(Jean-Jacques) Isidore Ducasse, auteur des Chants
de Maldoror par le comte de Lautréamont. Paris, Fayard, 1998. Fort in-8° sous reliure
souple d'éditeur, 686 p., illustrations hors texte.
En quatrième
page de couverture :
« Isidore Ducasse (Montevideo, 1846-Paris,
1870), qui a signé ses Chants de Maldoror du pseudonyme
de « comte de Lautréamont », est
longtemps resté un personnage singulier, presque énigmatique,
qui aurait jeté son livre de modernité et de révolte
à la face du siècle avant de disparaître
à 24 ans. Faute de la connaître, on inventa longtemps
sa biographie.
Il faut dire que tous les ingrédients
d'une légende ou d'un mythe étaient au rendez-vous :
la naissance dans un pays lointain, l'enfance dans un Uruguay
en proie à la guerre civile, l'adolescence dans des lycées-cachots
de Bigorre et du Béarn, l'existence solitaire à
Paris et la mort précoce à vingt-quatre, de cause
inconnue, dans une capitale prise sous le siège de 1870.
L'uvre ? Déconcertante dans
sa forme, déroutante par son lyrisme, puissante par sa
sorte de modernité permanente.
Encore aujourd'hui, Isidore Ducasse passe pour
l'écrivain du dix-neuvième siècle sur lequel
on a le moins de renseignements, et les points obscurs de sa
biographie sont propices à une atmosphère de rumeur
et de mystère. Les Surréalistes craignaient ou
feignaient de craindre que la connaissance biographique
sur le poète nuise à la puissance d'impact de son
uvre. C'était un raisonnement faux : ce que
l'on a pu découvrir sur la vie de Ducasse enrichit au
contraire l'uvre, lui ajoutant chaque fois une nouvelle
facette. Après le livre de François Caradec, paru
en 1970, qui fut d'un apport considérable, le présent
ouvrage, richement illustré, bénéficie des
acquis les plus récents de la recherche biographique sur
cet écrivain dont on commence à dire qu'il pourrait
bien être le poète français du XXIe siècle,
comme Rimbaud a été celui du XXe siècle. »
vendu
Maldoror.
Revista de la Ciudad de Montevideo n° 23. Numero extraordinario
dedicado a Isidoro Luciano Ducasse. Octubre 1992. In-8° collé, 79 p.
Table des matières
:
Restituciones, par Carlos Pellegrino.
Exhumación proyectada, par Miguel
Angel Campodonico.
El conde de Lautréamont, par
Ruben Dario.
Maldoror Montevideo Ducasse Lautréamont,
par Carlos Real de Azua.
Isidoro Luciano Ducasse (Conde de Lautréamont)
Poeta Uruguayo, par Pedro Leandro Ipuche.
Le « Fantôme »
de Lautréamont, par Emir Rodriguez Monegal.
A un siglo de la muerte de Lautréamont,
par Aldo Pellegrini.
Isidore Ducasse y la retórica española,
par Emir Rodriguez Monegal y Leyla Perrone-Moises.
En torno a los corasanes, par Lavalleja
Bartleby (Mario Levrero).
Conclusão,
par Leyla Perrone-Moises.
Lautréamont reconquistado, par
Pablo Neruda.
A la hora del baño, par Enrique Molina.
Sudamericanos, par Juan Gelman.
Encuentro extramuros 1, Encuentro extramuros
2, par Amanda Berenguer.
A Lautréamont, par Jules Supervielle.
Fragmento de Nacido Neftalí, par Enrique Fierro.
Para Isidore Ducasse, par Carlos Pellegrino.
Prometeo en la ciudad, par Horacio Salas.
Visión de San Pablo a la noche Poema antropófago bajo narcóticos, par Roberto Piva.
Lautréamont, par Alvaro y Gervasio
Guillot-Muñoz.
El Conde de Lautréamont, poeta infernal,
ha existido, par Edmundo Montagne.
La retórica del mal decir, par Elias Uriarte.
Lazutréamont, potencial revolucionario,
par Fernando Loustaunau.
Cantos de Maldoror, par Enrique Pichon-Riviere.
Lautréamont, par Francisco Madriaga.
Quién es Isidoro Ducasse ?,
par Marguerite Duprey.
Lectura de Lautréamont, par Mario
Satz.
20 euros (code
de commande : Laut/34 - vendu).
NATHAN
(Michel) Lautréamont feuilletoniste autophage.
Suivi de Poésies
et poétique par Roger Bellet. Seyssel,
Champ Vallon, 1992. In-8° broché, 214 p., (collection
« Champ Poétique »).
En quatrième
page de couverture :
« Avec ses conventions, ses stéréotypes,
son langage outrancier, ses situations abracadabrantes, ses gestes
grandiloquents, ses ellipses et ses impudeurs stupéfiantes,
le feuilleton touche à l'essentiel : l'amour, la
mort, le désir, la violence, les tabous, la manière
de les vivre et de les dire. Conformisme et transgression s'associent
ou se télescopent emportés par des coups de théâtre
assez énormes pour tout faire passer. Or il y a bien du
feuilletoniste en Lautréamont dont l'écriture extrêmement
complexe prend racine dans des lectures élémentaires
et, à partir d'elles, prolifère, d'épisode
en épisode, comme un feuilleton autophage. Les Chants
de Maldoror sont ainsi un roman feuilleton qui se nourrit
de sa propre substance, offrant à la fois la volupté
de n'être pas dupe, les délices du truquage, la
boulimie et l'anorexie du romantisme noir. La pratique de l'artifice,
du pastiche, de la boursouflure décape, radicalise, mais
ne renonce pas à une forme de littérature contre
laquelle elle ne cesse de pester. Il en est des Chants de
Maldoror comme de Madame Bovary, ce sont des livres
écrits envers et contre la littérature de leur
temps. »
10 euros (code
de commande : Laut/35 - vendu).
PERRONE-MOISÉS
(Leyla) et RODRÍGUEZ MONEGAL (Emir) Lautréamont,
l'identité culturelle. Double
culture et bilinguisme chez Isidore Ducasse. L'Harmattan, 2001. In-8° collé, 106
p., (collection « Recherches et Documents - Amériques
Latines »).
En quatrième
page de couverture :
« Lautréamont, l'auteur des
Chants de Maldoror, est né en 1846 à Montevideo.
Traversant l'Atlantique, Isidore Ducasse a entrepris la conquête
d'une identité culturelle qui, à la différence
de celle de ses camarades français de lycée, n'allait
pas de soi. Si l'on tient compte de ses origines et de son expérience
de rapatrié, on cessera de s'étonner de sa personnalité
bizarre et de considérer son uvre comme un météorite
échoué inexpliquablement dans la littérature
française. Isidore / Isidoro ne venait pas d'une autre
planète ; il venait tout simplement du Nouveau Monde.
À l'aide d'une connaissance exceptionnelle
des littératures espagnoles et ibéro-américaines,
cette étude montre les effets décisifs, dans son
uvre, du bilinguisme et de la connaissance que Lautréamont
avait de la rhétorique et du baroque espagnols. »
7 euros (code de commande :
Laut/36 - vendu).
PICKERING
(Robert) Lautréamot-Ducasse. Image Theme and
Self-Identity. Glasgow,
University of Glasgow French and German Publications, 1990. In-8°
collé, 84 p.
Table des matières
:
Chapter One
- The Problematics of Pseudonyms
and Identity.
Chapter Two
- The Dynamics of Theme
and Image.
I.
Maldoror as God-leveller.
II.
Maldoror as Criminal.
III.
Modern Ocean.
IV.
Mathematically speaking.
V.
The Ways to Brutification.
VI.
Imagery of Rotation, Radiation and Contraction.
Chapter Three
- Language
and Style : Stresses and Strains.
Chapter Four
- Language
revisited : Towards a « New Poetics ».
Notes on Presentation of Text.
Notes on Text. Selective Bibliography.
10 euros (code
de commande : Laut/37 - vendu).
PIERRE-QUINT
(Léon) Le comte de Lautréamont et Dieu.
Préface de Jean
Cassou. Paris, Fasquelle, 1967. In-12 broché, 180
p.
Sur la couverture :
« Léon Pierre-Quint, critique
et animateur de maisons d'éditions, de revues, avait été
entièrement conquis et entraîné par les années
bouillonnantes du surréalisme. Il s'était posé
les questions qu'elles posaient, diverti aux surprenantes et
tumultueuses injures qu'elles lançaient à la face
de toute réalité.
Une extrême lucidité en même
temps qu'une très grande et séduisante fraîcheur :
tel était l'esprit de Léon Pierre-Quint en ces
années dont il s'accordait si bien à l'effervescence.
On le retrouve tout au long de cet essai sur
Lautréamont, de cette lecture de Lautréamont. Et
c'est aussi par le biais de l'ironie qu'il faut lire Maldoror,
plus sa contrepartie de Poésies. On sent alors
que tout ce qui y est dit est sérieux, et du même
coup assez simple. On sent qu'il y a là une rhétorique,
mais géniale. Une emphase excessive, mais vraie. Des véhémences
d'une inexorable outrance, mais contradictoires. Une pensée
qui prétend à l'absolu, mais demeure un détachement
de fureur qui exige en réponse le plus tendre et naïf
amour.
L'essai de Léon Pierre-Quint sur Lautréamont
a paru aux Cahiers du Sud en 1928.
Léon Pierre-Quint a revu le texte de
son Lautréamont il y a une douzaine d'années.
C'est ce texte définitif que l'on trouvera ici. on y sent
encore le feu de l'actualité qui l'a provoqué,
mais il apparaît aussi comme l'uvre d'un critique
de grand talent et de haute culture, qui se plaît à
philosopher et à moraliser et prend du recul devant les
accidents historiques... Léon Pierre-Quint, un humaniste. »
VENDU
Pour
le centenaire de Maldoror.
Aix-en-Provence, L'Arc, 1990. In-8° broché, 80 p.,
illustrations, (n° 33 de la revue « L'Arc »).
Table des matières
:
Lautréamont aujourd'hui, par
Raymond Jean.
Une lecture compromettante, par Roger
Borderie.
« Préface à un
livre futur », par Henri Ronse.
Le Lautréamont de Bachelard,
par Georges Mounin.
Abord psychopathologique de l'uvre
de Lautréamont, par Jean-Pierre Soulier.
Quelques répétitions...,
par Jean Roudaut.
Une poétique de la transgression,
par Gilbert Lascault.
L'arsenal ironique, par Jacques Raimbault.
Des discours de distribution des prix,
par Lucienne Rochon.
La Semence de Lautréamont, par
Pierre Bourgeade.
10 euros (code
de commande : Laut/39).
Quatre
lectures de Lautréamont. Par
Philippe Fédy, Alain Paris, Jean-Marc
Poiron, Lucienne Rochon. Paris, Nizet, 1973. In-8°
broché, 508 p., mention manuscrite d'appartenance à
la page de garde.
@ Ce volume contient :
- Introduction à la lecture,
par Lucienne Rochon.
- La comparaison dans le premier chant
de Maldoror, par Philippe Fédy.
- Les Bestiaire des Chants de Maldoror,
par Alain Paris.
- Les combats de Maldoror, par
Jean-Marc Poiron.
- Lautréamont et le lecteur,
Mythe, Mystagogie, Mystification, par Lucienne Rochon.
- Bibliographie.
- Index des auteurs cités.
20 euros (code
de commande : Laut/40 - vendu).
REED
(Jeremy) Invention d'Isidore Ducasse. Roman traduit de l'anglais par Richard Crevier.
Paris, La Différence, 1997. In-8° broché, 206
p., ouvrage « définitivement indisponible »
au catalogue de l'éditeur.
En quatrième
page de couverture :
« Lautréamont ou Isidore
Ducasse ? L'auteur des Chants de Maldoror ou le jeune
inconnu disparu anonymement en 1870 à l'âge de 24
ans ? Jeremy Reed, l'un des principaux représentants de
la nouvelle fiction britannique, se glisse dans la peau d'Isidore
pour tenter de percer le mystère de Ducasse, alias Lautréamont.
Peu à peu se dessine le portrait d'un
adolescent solitaire et altier, espionné par son précepteur
pour le compte de son vieillard de père. Ce sombre jeune
homme, ange et démon, fasciné par le Mal, bisexuel
avant la lettre, hante les cafés et les ruelles sordides
de Montevideo où il enterre Ducasse pour réapparaître
à Paris sous les traits inquiétants du paradoxal
Comte de Lautréamont.
Métamorphosant en matériau romanesque
la plus grande énigme de la littérature, Jeremy
Reed, avec l'insolente audace qui a fait sa réputation
outre-Manche, réinvente Lautréamont. »
10 euros (code
de commande : Laut/41 - vendu).
SAILLET
(Maurice) Les inventeurs de Maldoror. Cognac, Le Temps qu'il Fait, 1992. In-8°
broché, 155 p.
En quatrième
page de couverture :
« L'étude Saillet reconstitue
les étapes de la découverte de l'uvre de
Ducasse et rend à César (l'éditeur Lacroix,
mais aussi Huysmans, Gourmont, Jarry, Bloy, Fargue, l'éditeur
Genonceau...) ce que les surréalistes qu'il
n'apprécie guère se sont attribué.
Ce travail sur l'« invention » des Chants,
publié d'abord dans les Lettres Nouvelles (1954),
conserve aujourd'hui tout son prix. Le suivent un article sur
« Les cent ans d'Isidore Ducasse », une
« défense du plagiat » et ce qu'on
peut considérer comme la première véritable
biographie du comte de Lautréamont. C'est une pièce
maîtresse de la bibliographie maldororienne que ce bel
essai d'histoire littéraire passionnément écrit
par un critique cinglant, dégonfleur de baudruches, qui
avait voulu se faire oublier de ses contemporains. »
10 euros (code
de commande : Laut/42 - vendu).
SOUPAULT
(Philippe) Lautréamont. Une étude par Philippe Soupault avec
un choix de textes, une bibliographie, des illustrations. Paris,
Seghers, 1973. In-12 broché carré, 191 p., illustrations
hors texte, (collection « Poètes d'Aujourd'hui »,
n° 6).
Préface :
« Connaître Lautréamont,
savoir son âge, la couleur de ses yeux ou la longueur de
ses doigts sont désormais des souhaits inutiles. Cent
ans depuis sa naissance, cent ans qui ne signifient rien sauf
pour ceux qui croient que le temps peut avoir une influence sur
l'esprit, ceux qui se laissent ronger par les jours et dévorer
par les cancers de la vieillesse, de l'ambition et de la gloire.
Lautréamont ne sera jamais un personnage
historique. Il est en dehors de l'histoire littéraire
et de l'histoire des murs.
Que ceux qui ont suivi ou qui voudront suivre
le sillage qu'il a tracé sur le grand espace vide qui
nous entoure, et mesurer cette lumière et ce son, subir
cette odeur si forte et ce goût si amer qui, des Chants
de Maldoror aux Poésies, demeurent les invincibles
obsessions, s'approchent et qu'ils entendent le conseil d'Isidore
Ducasse, de Lautréamont, de Maldoror, qu'ils viennent
voir eux-mêmes s'ils ne veulent pas le croire.
La connaissance que nous pouvons avoir de l'uvre
de Lautréamont-Ducasse ne peut être qu'intime. Elle
ne s'adresse qu'au plus profond de nous-mêmes. elle s'attaque
à notre vie, celle surtout que nous ne connaissons pas
encore. »
7,50 euros (code
de commande : Laut/43 - vendu).
TESTON
(Michel) Lautréamont. Névrose et christianisme dans l'uvre
du poète. 2e édition revue et corrigée. Antraigues, Chez l'Auteur, 1996. In-8°
broché, 125 p.
En quatrième
page de couverture :
« Complètement inconnu de
son vivant, de la même génération que Rimbaud,
cet autre météore, Lautréamont est le type
même du jeune poète maudit que l'histoire n'en finit
pas de réhabiliter et de rehausser.
Mais pour s'être rebellé à
ce point-là contre Dieu, ne fallait-il pas être
névrosé et confondre Dieu avec son père
dans un super complexe d'dipe non résolu ?
C'est ce qu'essaie de démontrer ici
Michel Teston en analysant le poète par son texte, puisque
« l'inconscient est structuré comme un langage »,
et réciproquement. »
10 euros (code
de commande : Laut/44).
THUT
(Martin) Le simulacre de l'énonciation. Stratégies persuasives dans Les Chants de Maldoror de Lautréamont.
Bern - Frankfurt/M - New York - Paris, Peter Lang, 1989.
In-8° collé, 248 p., (collection « Publications
Universitaires Européennes », série
XIII : « Langue et Littérature Françaises »,
vol. 150).
En quatrième
page de couverture :
« S'inspirant de la sémiotique
littéraire élaborée, au cours des vingt
dernières années, autour de A.J. Greimas et de
J. Geninasca, la présente étude vise à fournir
une lecture cohérente des Chants de Maldoror de
Lautréamont, d'une uvre que de multiples discontinuités
de surface rendent d'un accès peu aisé.
Un tel projet présuppose la définition
explicite des instances et des acteurs principaux du texte, tâche
que la critique lautréamonienne a jusqu'à présent
tendance à négliger. Il apparaît ainsi que
le simulacre énonciatif mis en scène par le biais
de figures déléguées de l'auteur et du lecteur
est destiné, en dernier lieu, à assurer une interprétation
pertinente des Chants. Le texte s'avère véhiculer,
outre son contenu manifeste, les instructions d'analyse qui lui
permettent de se transformer en un discours signifiant, pour
autant que le lecteur accepte d'actualiser le parcours aménagé
à son intention.
Au cours de l'entreprise persuasive ainsi conduite,
une lecture éthique des Chants, pourtant suggérée
dès les premières strophes, se trouve progressivement
disqualifiée au profit d'une interprétation de
type esthétique, attentive au signifiant. C'est ainsi
de l'auteur et le lecteur implicites finissent par se reconnaître
comme des partenaires solidaires, au bout d'une stratégie
textuelle savamment orchestrée. Dans ce cadre, le simulacre
de l'énonciation, loin de constituer un simple accessoire
insolite, occupe une position centrale : il confère
à l'uvre sa dimension narrative. »
20 euros (code
de commande : Laut/45 - vendu).
LAFARGUE (Jacqueline) et CHAPON (François)
Une lettre de Lautréamont à Victor Hugo.
In Bulletin du Bibliophile
1983-1 (pp. 13-23). Paris, 1983. In-8°
broché, 144 p.
10 euros (code
de commande : Laut/28 - vendu).
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Cahiers Lautréamont
Livraisons
XXXI-XXXII.
Lautréamont & Laforgue
dans leur siècle. Actes
du deuxième colloque international sur Lautréamont,
Trabes et Pau, 21-24 septembre 1994. Textes
réunis par Daniel Lefort et Jean-Jacques Lefrère.
Paris, A.A.P.P.F.I.D, 1995. In-8° broché, 357
p., quelques illustrations, exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Références
- Jules Laforgue
et le droit de citer : Ah ! que la vie est quotidienne !,
par Lisa Block de Behar.
Découvertes, apprentissages
- La bibliothèque
du lycée de Pau, par Jean-Pierre Lassalle.
- Avec Ducasse
et Laforgue au temps des vers latins, par Jean-Louis Debauve.
- Ducasse et Hermosilla
: « El Arte de Hablar », par Jean-Paul
Goujon.
Les XIXe siècles : géographies
sociales
- Le carrefour
des écrasés, par François Caradec.
- Lautréamont,
le Montévidéen, par José Pedro Diaz.
- La France et
les Français à Montevideo entre 1830 et 1870,
par Pierre Gibert et Pablo Martinez.
- Lautréamont
au carrefour de deux siècles, par Maria Angelica Petit
de Prego.
- Lautréamont
ou la nouvelle Troie, par Fernando Loustauneau Braidot.
- Lautréamont
invisible : errance de Maldoror, par Carlos Pellegrino.
Écritures dépoque
: lécrivain au travail
- Le ressentiment
de la nature dans Les Chants de Maldoror, par Daniel Lefort.
- Le champ des
sciences, par Michel Pierssens.
- « Banalités
légendaires », par Jean-Pierre Bertrand.
- Lironie
laforguienne dans les « Moralité légendaires »,
par Daniel Grojnowsky.
- Notes sur la
prosodie de Laforgue, par Michel Décaudin.
Lectures du siècle : sources
et motifs
- Une source des
« Chants de Maldoror » : « Waverly »
de Walter Scott, par Liliane Durand-Dessert.
- De lappropriation
considérée comme un jeu créateur : Ducasse
et Baudelaire, par Claude Zissmann.
- Lil
et le génie : Laforgue, entre lImpressionnisme et
Böcklin, par Mireille Dottin-Orsini.
- Les métamorphoses
de Lohengrin dans les « Moralités légendaires »
de Laforgue, par Pierre Brunel.
Sillages, postérités
- « Les
Chants de Maldoror » en version espagnole, par
Bernard Barrère.
- Ducasse et Vasseur
fortuitement entre rencontre et mal encontre, par Susana
Poulastrou.
- Jules Laforgue
: rêverie tarbaise, par Daniel Aranjo.
- Laforgue et
Lautréamont, deux manières de vivre leur binationalité,
par Jacques-André Duprey.
Pierre dattente
- LAutel
des Pyramides, par Jean-Jacques Lefrère.
25 euros (code
de commande : Laut/46).
Livraisons
XXXIX-XXXX.
Isidore Ducasse à Paris. Actes du troisième colloque international
sur Lautréamont, Paris, 2-4 octobre 1996. Textes réunis par Jean-Jacques Lefrère
et François Caradec. Tusson, Du Lérot, 1997.
In-8° broché, 322 p., illustrations in et hors texte,
exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Ducasse avant Paris, par Pierre Gibert.
Ducasse, Jarry et Fargue, piétons
de Paris, par Jean-Paul Goujon.
Lautréamont est né à
Paris avec et contre Maldoror, par Hidehiro Tachibana.
Théodomire Geslain a-t-il snobé
Isidore ducasse ?, par Clara Moressa.
Petite poésie et haute poésie
à l'époque de Maldoror, par Jean José
Marchand.
L'esthétique d'Isidore Ducasse,
par Claude Zissman.
Ducasse et ses libraires, par Michaël
Pakenham.
Par la ville et par les Chants, par
Channa Newman.
Le Baiser de Paris, par Jacques-André
Duprey.
Philippe Soupault biographe et lecteur d'Isidore
Ducasse, par François Martinet.
Sous les pavés, la page, par
Jean-Pierre Lassalle.
Suicider l'autre : Maldoror et la colonne
de la place Vendôme, par Peter Nesselroth.
Paris Paraboles, par Loïs Nathan.
Iconographie du Paris d'Isidore Ducasse,
par Liliane Durand-Dessert.
Avez-vous lu Bernard ?, par Jean-Jacques
Lefrère.
Sous le signe de Maldoror : Léon
Bloy et Henry de Groux, par Rodolphe Rapetti.
Le statut de Pascal et Vauvenargues dans
les Poésies, par Naruhiko Teramoto.
Lautréamont et l'innommable,
par Marc Zammit.
Le Tunnel, par François Caradec.
25 euros (code
de commande : Laut/47).
Livraisons
XLVII-XLVIII.
Les lecteurs de Lautréamont. Actes du quatrième colloque international
sur Lautréamont, Montréal, 5-7 octobre 1998. Textes réunis par Jean-Jacques Lefrère
et Michel Pierssens. Tusson, Du Lérot, 1999. In-8°
broché, 510 p., illustrations en noir et en couleurs,
exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Les Surréalistes belges, lecteurs
de Lautréamont, par Paul Aron.
L'Édition critique, par Henri
Béhar.
Lautréamont dans les lectures uruguayennes
des années 1900, par Hebert Benítez Pezzolano.
Pour un Ducasse électronique,
par Michel Bernard.
Lautréamont et le Mercure de
France (1890-1895), par Patrick Besnier.
Lautréamont et les Automatistes québécois,
par André G. Bourassa.
Lautréamont et les arts visuels (1870-1998),
par Liliane Durand-Dessert.
Ville et nature dans Les Chants de Maldoror :
analyses sur la pastorale par Curtius et Benjamin, par Hiroshi
Fujii.
Ducasse avant Dada, par Hartmut Gatzke.
Lautréamont et ses premiers lecteurs
uruguayens, par Pierre Gibert.
Les non-lecteurs d'Isidore Ducasse,
par Jean-Paul Goujon.
André Breton et la vérité
angélique d'Isidore Ducasse, par Suzanne Guerlac.
Les Inventeurs hollandais de Maldoror,
par Frans De Haes.
Lautréamont lu par les Japonais,
par Yojiro Ishii.
« Los Cantos de Maldoror »
de Julio et Ramón Gómez de la Serna. La réception
des traductions en espagnol, par Guy Laflèche.
Ernest Naville, lecteur de Lautréamont,
par Jean-Pierre Lassalle.
Les Lecteurs de Lautréamont,
par Jean-Jacques Lefrère.
Le fauteuil-bascule d'Isidore Ducasse (Aragon
lecteur balancé), par Gérard Minescaut.
Le Passeur d'océans, par Élisabeth
Nardout-Lafarge.
Ducasse illisible, par Peter W. Nesselroth.
Les traductions en anglais des Chants
de Maldoror, par Michael Pakenham.
De Maldoror à Marchenoir : Léon
Bloy héritier de Lautréamont dans Le Désespéré,
par Lydie Parisse.
Maurice Blanchot, Lautréamont et
Isidore Ducasse : noms d'auteurs, par Sylvain Pelletier.
Ponge et Lautréamont, par Michel
Pierssens.
Georges Bataille, lecteur de Lautréamont,
par Annaïck Salaün.
Lautréamont, écrivain créole ?,
par Hidehiro Tachibana.
Les Chants de Maldoror filmés
par Shûji Terayama. Texte sur l'écran-rasoir,
par Naruhiko Teramot.
Le Détournement des Chants de
Maldoror dans La Liberté ou l'amour de Robert
Desnos, par Yves Thomas.
Une histoire des Chants de Maldoror,
par Éric Walbecq.
Écrivains illisibles et théâtre
ob-scène : Lautréamont - Georges Bataille,
par Marc Zammit.
30 euros (code
de commande : Laut/48).
Livraisons
LII-LIII.
Lautréamont au Japon ou les Chants de Maldoror et la culture d'après-guerre. Paris, A.A.P.P.F.I.D, 2000. In-8° broché,
155 p., quelques illustrations, exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Préface, par Hidehiro Tachibana.
Lautréamont au Japon
- Mon grand-père
Mizuho Aoyagi, premier traducteur des Chants de Maldoror,
par Izumiko Aoyagi.
- Tetsuro Komaï,
aquafortiste des Chants de Maldoror, par Hidehiro Tachibana.
- Des lecteurs
imprévus, par Tadayoshi Takizawa.
- Takehiko
Fukunaga et Lautréamont : de Gouffre à
LIle de la Mort, par Kenji Yamada.
- Lautréamont
dans quelques uvres littéraires japonaises :
Taruho, Mishima et Terayama, par Hiroshi Bamba.
- Lautréamont
et le théâtre « angura » (underground)
dans les années 60 et 70 au Japon : le cas de Jûrô
Kara, par
Kiyoko
Ishikawa.
- Deux ducassiens
au Japon : Koïchi Toyosaki et Yuko Deguchi, par Kenji
Yamada et Hidehiro Tachibana.
Tendances actuelles de la recherche au Japon
- Sur léclairage
au gaz au Chant VI, par Kazuya Tsukiyama.
- La greffe
du discours scientifique dans Les Chants de Maldoror :
une expérimentation physiologique de Paul Bert, par
Naruhiko Teramoto.
- Maldoror, observateur
de Paris, par Toshiro Goto.
- Notes sur
« car » dans Les Chants de Maldoror,
par Misao Harada.
- Lautréamont
à lépreuve du F.L.E., par Patrick Rebollar.
Document
- Tetsuro Komaï
et Les Chants de Maldoror, par Mizuho Aoyagi.
Comptes-rendus
- Une note
sur Lautréamont, par Tadayoshi Takizawa.
- Langage,
conscience, matière chez Lautréamont, par Tomohiko
Ohira.
- Magnétisme
et vampirisme dans Les Chants de Maldoror, par Yuki Ichijo.
Dossiers bibliographiques
- Premiers
lecteurs, premiers traducteurs de Lautréamont au Japon,
par Yoshio Maekawa et Kazuya Tsukiyama.
- Bibliographie
sur les études lautréamontiennes au Japon.
- Bibliographie
commentée des études japonaises parues en périodiques.
15 euros (code
de commande : Laut/49 - vendu).
Livraisons
LV-LVI.
Les Poésies d'Isidore
Ducasse. Actes du cinquième
colloque international sur Lautréamont, Marseille, 13-15
octobre 2000. Textes réunis
par Jean-Jacques Lefrère et Michel Pierssens.
Tusson, Du Lérot, 2001. In-8° broché, 232 p.,
exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Sur les Poésies
- Les Poésies
nont pas progressé dun millimètre,
par Jean-Jacques Lefrère.
- Approche matérielle
des Poésies, par Eric Walbecq.
- Genèse,
dessein et devenir des Poésies dIsidore Ducasse,
par Jacques Noizet.
- Du côté
de chez Timocrate (Les Poésies et le Baroque),
par Patrick Besnier.
- La Parole ridicule
dÉdouard Turquéty, par Jean-Louis Debauve.
- Du casse de
Pascal, par Jean-Pierre Goldenstein.
- Quelque-chose
dans le genre du Konrad de Mickiewicz mais cependant bien
plus terrible, par Liliane Durand-Dessert.
- Boudha contre
les castes et contre les manitous manichéens, par
Jean-François Perrimond.
- « Faut-il
que jécrive en vers
? » :
poésie et prosodie, par Roland-François Lack.
- Les Poésies
vues du pays natal, par Jacques-André Duprey.
- Les chefs-duvre
de la langue française sont les discours de distribution
pour les lycées, par Michel Bernard.
- Je remplace,
par Peter W. Nesselroth.
- LApocalypse
des animaux, par Sylvain-Christian David.
Autres communications
- Les Prototypes
anglais de Maldoror chez Richardson et Young, par Jean-Pierre
Lassalle.
- Disgracier le
poème. Maldoror, la science et le caramel, par Claude
Perez.
- Maldoror et
lhystérie, par Hasumi Tazaki.
- Quelques hypotextes
chez Ducasse, par Naruhiko Teramoto.
- Comment lire
« Je suis sale. Les poux me rongent » ou
le portrait dun yogi, par Alain Chevrier.
- La Révolte
dun juif errant, par Claude Zissmann.
- Lautréamont
et l'avant-garde japonaise dans l'entre-deux-guerres, par
Hidehiro Tachibana.
- Conclusions,
par Michel Pierssens.
18 euros (code
de commande : Laut/50 - vendu).
Livraisons
LV-LVI.
Maldoror hier et aujourd'hui.
Lautréamont du romantisme à la modernité.
Actes du sixième
colloque international sur Lautréamont, Tokyo, 4-6 octobre
2002. Textes réunis par
Yojiro Ishii et Hidehiro Tachibana. Tusson, Du
Lérot, 2003. In-8° broché, 374 p., illustrations,
exemplaire non coupé.
Table des matières
:
Ducasse sous le Second Empire
- La fausse vie d?Isidore
Ducasse, par Jean-Jacques Lefrère.
- Charles Diguet, ou
l'ombre d'un cheveu, parJean-Pierre Lassale.
- Isidore Ducasse lecteur,
par Éric Wallbecq.
- Ducasse anti-napoléonien ?
Tout au long de l?itinéraire de Mervyn dans le Chant
VI, par Naruhiko Teramoto.
- Les Confidences morales
d'Isidore Ducasse, par Jean-Pierre Goldenstein.
- Lautréamont
et Gabriel Tarde, par Hasumi Nishikawa.
- Les Éditions
parisiennes des Chants et des Poésies, de
La Sirène à Guy-Levis Mano, par Jean-Louis
Debauve.
- À propos d?une
allusion à La Calprenède, par Thérèse
Lassalle.
- Lautréamont,
peintre et sculpteur, par Liliane Durand-Dessert.
- Baudelaire-Ducasse :
aspects d'une référentialité intermittente
et ambivalente, par Steve Murphy.
- Lautréamont,
Rimbaud : palinodie ou retardement, par Yoshikazu Nakaji.
- Intertextualité
jarryque, Jarry et Lautréamont, par Henri Béhar.
Divers aspects de la modernité
- Lautréamont
et la logique de la digression, par Scott Carpenter.
- Comment le jeune
Isidore Ducasse a vécu l'épidémie de fièvre
jaune de Montevideo en 1857, par (Jacques-André Duprey.
- Dissociation, sugestion,
attention : Les Chants de Maldoror et la reconfiguration
du sujet moderne, par Jean-Christophe Valtat.
- Ce monstre de la
modernité : la figure du monstre dans Les Chants
de Maldoror, par Philip Hadlock.
- L'Énigme d'Isidore
Ducasse, par Peter Nesselroth.
- Le statut de Dieu
chez Nerval et Lautréamont, par Hisashi Mizuno.
- Réceptions
parallèles : Corbière et Lautréamont,
par Patrick Besnier.
- Le cas de Kunio Tsukamoto,
poète d'avant-garde, par Tadayoshi Takizawa.
- Hybridité
poétique et modernité perverse : lautréamont
au risque de l'impureté, par Olivier Sécardin.
- Comte de Lautréamont :
métaphore de la modernité latino-américaine,
par Herbert Benítez Pezzolano.
- Les « Quatre
Points de l'horizon » de Lautréamont. Approche
du thème de l'horizon dans les Chants à
la lumière de Michaux, par Qiang Dong.
- Lautréamont
et Henri Michaux dans la modernité en poésie,
par Byung-Joon Cho.
Poétiques de Lautréamont
- La Métaphore
marine chez Ducasse et Genet, par Patrice Bougon.
- Réception
et réfraction d'Isidore Ducasse : les pastiches des
Chants de Maldoror, par Alain Chevrier.
- L'Humour (noir) et
Lautréamont, par Misao Harada.
- « Ou plutôt » :
la métaphore exp(l)osée, par Pascal Durand.
- Le Genre littéraire
dans la modernité : la « formule définitive »
de Lautréamont, par Kazuya Tsukiyama.
- Lautréamont
et la prose critique, par Henri Scepi.
- « Une
vieille araignée de la grande espèce »
et la narration moderne, par Hidehiro Tachibana.
- Isidore Ducasse :
l'avant et l'après, par Michel Pierssens.
- L'Assassinat dans
Les Chants de Maldoror, par Jean-Luc Steinmetz.
- La Poétique
de la verticalité chez Lautréamont, par Yojiro
Ishii.
25 euros (code
de commande : Laut/51 - vendu).
Livraisons
LXXI-LXXII.
La littérature Maldoror. Actes
du septième colloque international sur Lautréamont,
Liège, 4-5 octobre, Bruxelles 6 octobre 2004. Textes réunis par Paul Aron, Jean-Pierre
Bertrand, et Pascal Durand. Tusson, Du Lérot,
2005. In-8° broché, 333 p., illustrations, exemplaire
non coupé.
Table des matières
:
- Les Champs de Maldoror, par Paul Aron,
Jean-Pierre Bertrand et Pascal Durand.
- « Lautréamont »,
par Pierre Somville.
I. Beau comme Maldoror
- Le Texte, ses
grilles et leurs grues, par Pascal Durand.
- Le Retour du
référent ou le tombeau du lisible inconnu,
par Jean-Pierre Goldenstein.
- Beau comme tout
; ou plutôt, comme nimporte quoi, par Peter Nesselroth.
- Beauté et
monstruosité dans Les Chant de Maldoror, par Philip
Hadlock.
- Le Corps de
Maldoror, par Yojiro Ishii.
- LHispanisme
des Chants de Maldoror, par Guy Laflèche.
- Blanchot et
laraignée : hantise et magnétisme,
par Laurent Dubreuil.
- Les Poésie
de lavenir, par Michel Pierssens.
II. Effets Maldoror
- Remy de Gourmont
et linvention de la littérature Maldoror, par
Nicolas Malais.
- La résistible
réception dIsidore Ducasse dans les anthologie,
par Alain Chevrier.
- Lautréamont
dans les dictionnaires et les encyclopédies, par Éric
Walbecq.
- Leffet
Maldoror chez Tristan Tzara, par Henri Béhar.
- La réécriture
des Chants de Maldoror dans Térandros, par
Jean-Pierre Lassalle.
- Ducasse-Péret,
un intertexte dynamique, par Leonor Lourenco de Abreu.
- Lautréamont
à Prague, par Petr Kral.
- LUnivers
de Lautréamont dans la littérature espagnole et
catalane, par Ricard Ripoll.
- Debord déférent
envers Ducasse, par Jean-François Perrimond.
- Lautréamont
- Ducasse et Le Clézio, par Naruhiko Teramoto.
- Lautréamont,
Houllebecq : une rencontre, par Murielle Lucie Clément.
- Live at
Bar Maldoror : les Chants magnétiques de Lautréamont,
par Laurence Brogniez et Frédéric Claisse.
III. Maldoror en Belgique
- Rozez, Wittmann,
Waller, Bloy, Verhaeren et les autres : de la cave au cabanon,
par Émile Van Ballberghe.
- Gérard
van Bruaene, le Cabinet Maldoror et la Fleur en Papier
Doré, par Liliane Durand-Dessert.
- Nougé
et Lautréamont : Le « cas » du Disque
vert, par Geneviève Michel.
- Henri Michaux
: invocation de Lautréamont, par David Vrydaghs.
- Ducasse en mémoire(s),
par Paul Aron.
- Allez-y voir
vous-même, si vous ne voulez pas me croire (chronique dune
expérience musicale en compagnie dIsidore Ducasse),
par
Michel
Fourgon.
IV. Interventions
- Isidore Ducasse
dans la clarté du jour, par Raoul Vaneigem.
- LAAPPFID
et les Ducassiens dhier et daujourdhui,
par Jean-Jacques Lefrère.
25 euros (code
de commande : Laut/52 - vendu).
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